Groupe De Vacances 43

GROUPE DE VACANCES 43
Ep 43 : DES SOUS, ENCORE DES SOUS


Antoine et moi nous retrouvions au cabinet de Justine un après midi peu avant la fin de la semaine. Nous étions reçu par Joss, Antoine le connaissait, il avait fait sa connaissance lors de la compétition quelques mois plus tôt …

Joss : La patronne va vous recevoir … Elle tient absolument à s'occuper de vous personnellement !
Moi : Mais tu pourrais nous en dire plus ?
Joss : Non, elle m'a clairement dit de ne pas vous parler de l'affaire !
Antoine : Là tu m'inquiètes !
Joss : Ne vous en faites pas les gars, je peux quand même vous dire qu'il ne s'agit pas d'une mauvaise nouvelle !

On attendait autour de la machine à café … C'est vrai que j'étais en territoire connu, je passais faire la bise aux secrétaires et prendre des nouvelles. Elles me faisaient un grand sourire, et l'une d'entre elle me glissait à l'oreille … '' Tu vas voir Djé, c'est une super bonne nouvelle ! '' …

Justine arrivait enfin, elle ne nous avait pas fait attendre longtemps, et nous inviter à entrer dans son bureau …

Justine : Voilà les garçons, je représente donc Mr Le Conte, comme vous le savez … Il m'a chargé d'une mission un peu particulière … Je devais me mettre à la place de votre avocat et déterminer ce que je négocierais si je travaillais pour vous … Tout en restant raisonnable, mais dans votre intérêt … C'est donc ce que j'ai fait pour en arriver à la proposition que nous allons vous faire …
Moi : Et il s'agit de quoi exactement ?
Justine : Un contrat publicitaire … On souhaite utiliser votre image pour vendre le dispositif que vous avez conçu !
Antoine : Et on va être payés ?
Justine : Oui … ! Pour la première année, en tenant compte de votre célébrité, de l'image que vous véhiculez … Enfin en tenant compte de tous les paramètres … On pense … Je pense que un montant de …

Elle faisait une pause et nous regardait … pour nous taquiner …

Justine : Je parle bien sûr en net fiscal, c'est à dire ce qui vous restera après imposition …

…

Moi : Mais vas-y parles !
Antoine : Mais pourquoi tu ne dis rien … Combien ?
Justine : Cent cinquante mille …
Antoine : Tout de même … Ça nous fait chacun une jolie somme …
Justine : Cent cinquante mille chacun … Et c'est pour la première année … Toutefois le contrat n'est pas obligatoirement renouvelable …
Antoine : Ouéé ! Moi je suis d'accord ! Je signe quand tu veux !
Moi : Et il faut faire quoi ?
Justine : Une série de photos, habillé, torse nue, dans des positions sportives ou assis à un bureau, avec le sourire … Une bonne demie journée de travail, pas d'avantage !
Antoine : C'est bien payé de l'heure ton taf !
Justine : Cent cinquante mille pour quatre heures de travail … Je te laisse faire le calcul … C'est très bien payé … Mais il s'agit de votre image …

On parlait encore un moment, Justine nous confirmait que c'était une proposition très honnête … On signait et on prenait rendez-vous pour la semaine suivante avec un photographe … Il nous contacterait directement chez nous !

En ressortant Antoine jubilait …

Antoine : Tu te rends compte … On a gagné deux cent mille DI en quelques semaines … J'ai jamais été aussi riche moi ! J'y aurais même pas cru si on me l'avait dit !
Moi : Je suis pas loin du demis million moi depuis moins de six mois …
Antoine : Si ça continue comme ça … Je prends ma retraite à vingt cinq ans !

A l'appartement on racontait ça à Luc …

Luc : Si il veulent de moi aussi, je suis volontaire … Moi aussi je suis très mignon en photo …

La semaine passait vite … Le jeudi suivant on sonnait à la porte.

Luc se précipitait pour ouvrir, il n'avait pas cours et avait annulé toutes ses activités sportives et autres, il voulait être là pour la séance photo … Charles restait imperturbable et n'essayait même pas d'ouvrir avant mon frère, c'était son boulot d'aller ouvrir la porte mais il savait que quand Luc était un peu agité il était inutile de résister, il valait mieux le laisser faire …

Le photographe entrait … Allure sportive, beau sourire, belle gueule, élégant … Encore un employé de Mr Le Conte … Un porteur de toutes évidences … On faisait connaissance.

DB : David Badmington … Enchanté de faire votre connaissance les jeunes … On se tutoie … Alors c'est toi le modèle principal …
Luc : Ouai, je suis volontaire, si vous voulez, vous verrez je suis très mignon en photo …
Moi : Ne fait pas attention à lui David, c'est mon jeune frère Luc, les deux modèles seront mon ami Antoine et moi …

Charles arrivait, l'air guindé portant à bout de bras deux costumes sur un cintre recouverts d'une housse, des costumes plus décontractés ainsi que des tenue de sport … tout était prêts … Luc faisait la grimace …

Charles : Tu sais Luc, si tu veux aussi un costume je t'en apporte un tout de suite !
Luc : Pfff ! C'est pas la peine je suis pas sur la photo !

On passait le reste de l'après midi à se balader dans le campus de la fac à prendre des poses détendues, toujours avec le sourire. On entrait dans la fac, photos dans le hall, dans les couloirs, dans l’amphithéâtre, sacoche à la main ou les bras croisés … Luc ne loupait rien, il portait le matériel photo …

On passait ensuite dans les salles de sport, on se changeait alors et on mettait les tenues qui correspondaient. A la piscine, le maillot de bain avait été savamment choisi pour laisser deviner l'objet, deviner pas d'avantage ! Le dispositif que nous avions réalisé était tellement discret qu'il avait fallu choisir une maillot de bain presque transparent.
Nous avons fait plusieurs essais et c'est finalement le maillot blanc qui donnait satisfaction. Luc proposait de porter la crème bronzante ( ? ).

Sous la douche, là ça devenait un peu érotique mais le photographe avait des consignes très précises … Pas de cadrage en dessous de la ceinture … On aurait gardé notre pantalon sous la douche ça n'aurait fait aucune différence sur la photo … Luc portait les serviettes.

On faisait une pause à la terrasse d'un bar … David en profitait pour faire encore quelques clichés, Luc parvenait à se glisser sur un certain nombre de photos. David le laissait faire … Plus tard il les lui enverrait et ça semblait lui faire plaisir …

On terminait l'après midi et si on n'avait pas eu à nous changer régulièrement on n'aurait jamais eu l'impression de travailler … Le soir, comme Charles avait sa soirée, je proposais une resto …

Moi : Allez vu qu'on a gagné un fric monstre je vous invite tous au resto …
David : Non, c'est la production qui invite, et je vous laisse choisir le lieu, vous connaissez mieux que moi la ville.
Luc : Moi j'aime bien quand une journée de lourd labeur se termine par un restaurant …
Moi : Tu n'as pas beaucoup travaillé toi !
Luc : Quoi ! J'ai pas travaillé ! J'ai porté le matériel photo toute la journée … J'ai bien mérité un peu de réconfort … Et en plus j'ai faim … C'est que je suis en pleine croissance moi !
David : Il est toujours comme ça ?
Antoine : Toujours, il y a des jours ou on a l'impression qu'il voudrait faire croire qu'il est mal traité.

Luc Faisait la grimace mais ça ne devait pas durer, devant le menu du restaurant il retrouvait vite un air réjoui. David nous expliquait comment ça allait se passer … Une ou plusieurs photos seraient sélectionnées et se retrouveraient sur les emballages de nos nouveaux dispositifs, sur le fascicule ainsi que dans la presse …

En règle générale un contrat pour l'emballage comme celui que nous avions signé rapportait pas loin de cent mille DI …

Luc : Eux ils ont eu cent cinquante mille !
Moi : Luc … !
David : Et bien votre boss ne s'est pas moqué de vous ! Vous êtes un peu célèbre mais pas à ce point là … C'était bien payé …
Antoine : Je crois qu'il nous aime bien le boss !

On se retrouvait à l'appart pour arroser cette journée, Luc avait école le lendemain aussi il allait se coucher tôt et nous laissait Antoine et moi avec notre photographe David Badmington …

Antoine : On n'a pas fait de photos à poil …
David : Le boss était clair, soft et présentable …
Antoine : Pourtant c'est pour vendre une truc bien précis … Et on ne le verra pas sur la boite ?
David : Tu veux que je te prenne en photo à poil ?
Antoine : ( en me regardant ) Ouai ! C'est une idée ça ! Mais c'est bien parce que tu insistes !

David se retournait vers moi … Antoine retirait sa chemise, j'en faisais de même et en quelques instants nous étions entièrement nus tout les deux … On faisait une séance dans les règles, dans tout un tas de positions du quotidien, rien de suggestif, enfin c'était suggestif en soit, deux mec à poil portant un dispositif de chasteté … En tout cas c'était érotique !

Antoine : Et toi David tu reste habillé ! C'est quel modèle que tu portes toi ? Tu nous le montre !
David : Moi … Je …

Sans rien rajouter David se déshabillait à son tour … Et quand il baissait son pantalon … Surprise, il n'en portait pas !

Moi : Mais je croyais que les employés de Mr Le Conte portaient tous un dispositif …
David : Je ne sais pas, moi je suis un indépendant ! J'ai déjà travaillé pour Le Chateau ( c'était la marque sous laquelle était diffusé le dispositif ) mais je n'y suis jamais allé …

David commençait à bander et c'est avec une certaine malice qu'il ne le cachait pas … On regardait ça avec attention … Antoine commençait, il s'approchait de David qui le regardait faire avec un léger sourire et écartait les cuisses … Antoine se penchait et commençait à le sucer.


David : Vas y mon gars, j'ai l'impression que je vais aimer ça moi !

Mon dispositif ne tardait pas à se redresser sou l'effet de la pression qui soudainement le remplissait … Je bandais, c'était contenu mais je bandais ! Je regardais mon camarade gober la bite du photographe sur toute sa longueur et je savais qu'il faisait çà très bien pour l'avoir déjà pratiqué. Je bandais, la pression devenait infernale mais c'était sans douleur … C'était une forte pression sur toute la longueur de ma queue, une pression ferme, douce, forte qui ne laissait rien paraître, qui ne laissait aucun espoir … J'aime bien ces moments de frustration, mon cœur s'accélère, ma respiration devient plus forte, j'avalais ma salive et je ne loupais rien …

David avait l'air aux anges, il arborait un large sourire qui exprimait tout le plaisir de ce moment. Il caressait la tête de mon camarade, appuyait de temps en temps. Antoine avalait alors jusqu'à la garde, il savait bien synchroniser sa respiration … Je connaissais bien la technique moi aussi et je la mimais. Quand Antoine avalait bien à fond, je coupais moi aussi ma respiration, j'avalais ma salive et je m'imaginais recevoir la queue de David dans ma gorge … Ma cage donnait l'impression qu'elle allait exploser !

A cet instant je me serais damné pour pouvoir prendre la place de David ! Il y a des moment comme ça … On ferait n'importe quoi pour pouvoir retirer ce truc … Je me souvenais du modèle que je portais quelques semaines plus tôt, si je l'avais encore ça aurait été insupportable et douloureux mais là … Aucune douleur, seulement une délicieuse frustration et un désir de dingue de baiser, de bander, de me branler, de me faire sucer, et de défoncer un cul … Je regardait le cul d'Antoine et ça me rendait dingue !

Il me regardait un instant, me lançait un sourire complice et me faisait signe de m'approcher. Je ne pourrais pas lui défoncer le cul mais je pouvais toujours participer … Je m'approchais et prenais la place d'Antoine … Aussitôt David se manifestait .
.

David : Tu fais ça aussi bien que ton copain ! Vas y continue .

Antoine s'était assis sur un transat, il ne loupait rien de ce que je faisais et je supposais qu'il devait avoir les mêmes pensées que moi quelques instants plus tôt. David me caressait les cheveux, il appuyait sur ma tête doucement pour me guider, il relevait son bassin et sa queue me rentrait bien à fond dans la gorge.

Antoine était revenu à côté de moi et me poussait doucement avec son épaule, il voulait reprendre sa place, je m'écartais et reprenais ma place sur le transat … J'avais toujours cette pression dans ma cage, ça ne passait pas et le spectacle que j'avais devant les yeux ne risquait pas de me calmer … Antoine se lâchait, il caressait les cuisses de David et c'est de plus en plus vite qu'il avalait la bite de David. Il penchait la tête en avant, il avalait … Il relevait la tête la queue de David ressortait complètement. Antoine caressait et massait cette très belle queue puis recommençait son mouvement …

Je finissais par me rapprocher de nouveau, et poussais à mon tour Antoine de l'épaule, il ne voulait pas me laisser la place … Je caressais le ventre et les cuisses de David qui lui appréciait de plus en plus …

David : Vous n'allez pas vous battre pour moi ? Oh et puis si ! Allez-y battez vous !

Je poussais Antoine, il résistait, je rigolais, il rigolais aussi comme il pouvait avec la bouche bien remplie. Il n'arrêtais pas de sucer mais finissais par me laisser une petite place. J'avalais la queue puis c'était Antoine, moi de nouveau et Antoine à son tour. David ne faisait plus rien, il s'était confortablement installé et nous regardait faire. Il respirait fort et gémissait de plaisir. Il relevais son bassin par secousse et finalement il éjaculait … J'en prenais plein la figure … Une seconde giclée, celle là elle était pour Antoine . David soufflait fort et râlait de plaisir …

David : Vous êtes de bons coups les gars, laissez moi deviner, c'est pas la première fois que vous sucez une bite vous deux …

J'étais encore plus excité qu'au début de la soirée et à voir la tête que faisait Antoine, il était dans le même état que moi … On était tendu, frustrés. L'un comme l'autre on se la serait bien prise dans le cul cette queue, mais voilà, déjà il commençait à débander et ne voulait plus qu'on y touche … Et il rigolait en plus …

Antoine tout comme moi avait le dispositif qui se relevait clairement. On reprenait nos position sur le transat … Luc arrivait, il avait enfilé un pantalon de sport et voyant qu'on ne dormait pas il s'installait sur un transat avec nous .

Luc : Ça se passe bien les gars, alors vous ne dormez toujours pas … Demain il y a école !

On discutait encore un moment à tout les trois puis David nous laissait, on allait tous se coucher, c'est vrai qu'il commençait à se faire tard …

J'ai très mal dormi cette nuit là. Il y a des moments ou on serait prêt à faire n'importe quoi pour pouvoir se branler, éjaculer, jouir. Je n'avais pas envie de m'enfiler un gode dans le cul ! Une bite je ne dis pas mais un gode … Non ! J'avais envie d'une queue, j'avais envie de jouer avec une queue, avec ma queue … J'ai l'impression d'avoir bandé, enfin d'avoir essayé de bander, toute la nuit. Je m'endormais et me réveillais rapidement, une pression de dingue dans ma cage. Toute la nuit était comme ça. Au petit matin j'étais épuisé et j'avais toujours cette pression entre les jambes … Ça ne me l'a pas souvent fait ! En tout cas pas à ce point là .

Le lendemain notre footing matinal me remettait les idées en place … J'avais très mal dormi mais la pression sexuelle qui s'était accumulée toute la nuit me donnait une énergie incroyable pendant toute la journée … J'étais sur les rotules mais j'étais bien, je tenais le coup toute la journée sans mollir … Le soir, on était vendredi et je recevais j'étais épuisé et je me serais bien passé de cette soirée mais c'était trop tard pour annuler et ça aurait déçu trop de monde … Malgré tout je me retirais tôt, après avoir salué tous mes hôtes et m'être excusé auprès d'eux, je les laissais en compagnie d'Antoine et aux bons soins de Charles … Cette nuit là par contre, j'ai très bien dormi !

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