Groupe De Vacances 44
GROUPE DE VACANCES 44
Ep 44 : NOUVEAU RICHE
Ce Week-end je décidais de ne pas sortir. Je me reposais. Charles ne serait pas là, mes colocataires sortiraient certainement, ils iraient faire la fête, Antoine avec Romain, Luc avec son copain Bob. Je serais tranquille
Me coucher tôt pour me lever tard
Ça va me changer, d'habitude je me lève tôt
Antoine : Djé, tu pourras m'excuser auprès de nos amis, ce week-end je fais du cocooning
Je le regardais
Moi : Et Romain alors, tu ne le vois pas ?
Antoine : Romain est parti voir sa famille !
Moi : Ça veut dire que tu ne sors pas ?
Antoine : Exact !
Moi : Que tu restes ici à te reposer?
Antoine : Toujours exact !
Moi : Que tu ne vas voir personne ?
Antoine : Encore exact !
Moi : Te coucher tôt pour te lever tard ?
Antoine : C'est tout à fait ça. Je me repose !
Moi : Et bien, on sera deux, c'est ce que j'avais prévu de faire moi aussi !
Antoine : Et Luc il fait quoi ?
Moi : Luc
Je lui paye le restaurant pour lui et son copain Bob, il nous foutra la paix
!
Antoine : Toujours l'esprit pratique !
Moi : Et tu avais prévu de manger quoi ?
Antoine : Je sais pas, je pensais me faire livrer une pizza ou un truc comme ça
Moi : Chinois ?
Antoine : Chinois !
Ça va nous changer !
C'était réglé ! On passerait finalement un week-end solitaire ... à deux. Je passais au magasin pour acheter quelques bouteilles de champagne
Bein oui quoi, je suis riche maintenant
Non en fait je déconne, j'en bois pas si souvent que ça mais c'est vrai que ça change de la bière ? Et puis j'ai les moyens
On se retrouvait tranquillement allongés sur la terrasse, il faisait chaud, par moment pour se rafraîchir on s'installait dans le bain bouillonnant puis on revenait s'allonger sur un transat
Antoine : C'est pas mal ce qui nous arrive, on gagne un fric monstre sans rien faire !
Moi : C'est vrai que le dernier chèque n'a pas demandé trop d'efforts !
Moi : Mais cette marque
Le Château
C'est ridicule, c'est pas vendeur
Antoine : Il faudrait trouver un nom plus
Vendeur
Prometteur
Moi : Quelque chose qui sonne bien
Antoine : Qui marque !
Moi : Voyons voir
Ça sert à quoi !
Antoine : A se préserver ?
Moi : Le préservatoir ?
Antoine : Préservatif ?
On rigolait
Moi : Les prédicateurs religieux parlent de pureté
Rester pure
Antoine : Purificateur
Nouveaux fou-rires
Moi : Purifieur
Antoine : Gardien de la pureté
Moi : Trop long !
On restait un moment à se lancer des idées, des propositions, l'un la lançait, l'autre la rattrapait, la modifiait, rajoutait un mot ou un commentaire
Enfin bref, à un moment je ne sait plus lequel de nous deux à lancé
'' Garde pur
Purity Keeper ! ''
L'autre lui répondait
'' P K
Ce sera la P K Compagnie
la Purity Keeper Compagnie
''
'' Allons proposer ça tout de suite au big boss
''
'' Mais il dort à l'heure qu'il est ! ''
'' Et alors il aura le mail demain ''
Quand Luc entrait avec son copain Bob ils nous trouvaient à poil devant un ordinateur
Le mail était envoyé et rapidement on passait à autre chose
Bob : Ils sont torchés, il y a trois bouteilles de champagne vides
Luc : Et vous ne nous avez même pas invité à prendre un verre
Moi : Ça c'est bien passé au resto ?
Luc : Tu as vu comme il me traite Bob, il se débarrasse de moi en me payant le resto
Bob : Mais
On a pris du champagne au restaurant !
Luc : C'était pas la peine de le dire, maintenant je suis beaucoup moins crédible dans le rôle du jeune frère maltraité
Antoine : Quelle famille !
Un peu fatigué, on ne tardait pas à aller se coucher.
Quelques jours plus tard je rencontrait Alexis par hasard. Il était sur un chantier, c'était la fin de l'après midi et il était en train de ranger ses outils
Il me faisait un grand salut
Alexis : Alors Djé ça va comme tu veux depuis l'autre jour ?
Moi : Alexis, mais qu'est ce que tu fais là .
Alexis : Mais je travaille moi ! La journée est finie, je te paye un verre ?
Moi : Avec plaisir !
J'étais à pied aussi je montais dans sa voiture et on se retrouvait chez lui rapidement
Il débouchait deux bières et
Alexis : Tu m'excuses deux secondes mais après une bonne journée de travail je me prends toujours une douche
Je suis à toi dans quelques instants
Il disparaissait dans la salle de bain. Pour pouvoir continuer à discuter je prenais ma bière et le suivait dans la sale de bain
Moi : Ça fait longtemps que tu es ici !
Alexis : Deux ans, je travaille avec Romain depuis que je suis arrivé.
Moi : Et tu vis seul ?
Alexis : Bein oui, célibataire
Mais je sais pas si tu es au courant mais avec cette nouvelle mode de ce truc que tu portes c'est de plus en plus difficile de se trouver une copine. Elles veulent toutes te mettre en cage
Il était vraiment bien musclé, comme j'aime. L'eau coulait sur tout son corps entraînant une écume de savon, sa peau était lisse. Il me regardait et n'était pas dupe, il savait ou je regardais
Je sentais encore cette pression intense dans ma cage, toujours cette ferme et douce pression qui ne laissait rien paraître, ne provoquait aucune douleur mais ne laissait aucun espoir
Moi : Et ça n'a pas l'air de te plaire ?
Alexis : Et à toi, ça te plaît ?
C'était une belle queue qui pendait lourdement entre ses cuisses, il était circoncis, et quand il se lavait à cet endroit j'avais l'impression qu'il allait bander
Il ne bandait pas, enfin pas vraiment, sa queue était lourde, elle grossissait mais restait molle et se balançait d'une façon spectaculaire.
Moi : Tu essayes un jour, c'est addictif, et finalement tu ne peux plus t'en passer !
Alexis : Arrête donc de dire des conneries et viens me frotter le dos
Rapidement je retirais mes vêtements et le retrouvais sous la douche. Je commençais à lui savonner le dos. Mon dispositif se relevait légèrement, il était sous pression... Il se laissait faire puis brusquement se retournait, d'un geste me retournait et me lavait le dos à son tour
Alexis : Tu as fait une longue séance de sport, et tu avais bien besoin d'une douche toi aussi !
Ses mains se promenaient aussi sur mon torse, je les lui caressais, je remontais ses avant bras. Il descendait jusqu'à mes fesses qu'il savonnait bien puis sans prévenir me glissait un doigt dans le cul... Je sursautais. Il me prenait dans ses bras et me serrait contre lui, je passais mes mains derrière lui et tentais de lui rendre ses caresses.
Il me retournait alors face à lui, il avait un grand sourire et il bandait bien ferme. Il m'embrassait, me mordillait l'oreille et me glissait à l'oreille
Alexis : Suce moi la bite
Je m'exécutais
Alexis : Oui, vas y, c'est ça prend la bien à fond
C'est bon !
Il me dirigeait la tête avec beaucoup de douceur, et je suivais ses consignes
Bien à fond
Il ne bougeait presque pas, n'avançait pas son bassin, il se laissait faire. Il me laissait faire ! Il se contentait de me caresser les cheveux sans appuyer sur ma tête
Peut être avait-il peur que je m'étouffe
J'en ai vu d'autres !
Il avait une belle queue, pas énorme mais loin d'être minuscule, une belle taille, bien proportionnée avec au bout un beau gland luisant. Je passais sans me lasser ma langue dessus et Alexis me manifestait son plaisir par des gémissements et des caresses toute en douceur sur la nuque.
On sortait enfin de la douche et il m'entraînait vers le salon, il s'installait confortablement sur un fauteuil, les jambes écartées
D'un regard il m'invitait à continuer ce que je faisais peu avant.
Au bout d'un long moment, son souffle devenait plus intense. Il me dit d'arrêter
Alexis : C'est bon Djé, ne bouge plus, ne touche plus à rien
Je relevais ma tête et le regardais
Alexis : Vas donc chercher la bière que tu as laissé dans la salle de bain !
Il prenait la bière qu'il avait laissé sur la table de salon et en avalait une gorgée
J'allais chercher la mienne. En revenant je m'asseyais entre ses jambes et commençais à lui caresser doucement la queue tout en avalant quelques gorgées de bière
Alexis : Tu es content de toi ?
Moi : Content mais de quoi ?
Alexis : C'est un peu de ta faute si les filles sont comme ça maintenant !
Moi : Les filles ?
Alexis : Elles veulent toutes me mettre la queue en cage !
Moi : Mais j'y suis pour rien moi !
Alexis : Tu parles
Je recommençais à le sucer, au moins ça le faisait taire
Mais pas longtemps !
Alexis : La dernière voulait bien qu'on sorte ensemble, mais elle voulait aussi que je porte ce truc jusqu'au mariage
La bonne blague, je ne voulais pas de mariage moi ! Je voulais juste la tirer ! Et plus si affinité
Oui vas y ! C'est bon là c'est bon ( j'avais recommencé à le sucer )
J'ai jamais rencontré une fille qui suce aussi bien que toi !
Moi : ( relevant la tête ) Ça a aussi des avantages. ( je reprenais )
Alexis : Ouai, les filles sont devenues très farouches, mais, heureusement qu'il y a les porteurs, ils sont beaucoup moins farouches eux !
Je n'arrêtais pas de le sucer et lui n'arrêtait pas de parler
Je relevais la tête et lui caressait la queue de la main
Doucement, sur toute la longueur en insistant sur son gland, puis je reprenais, je le suçais jusqu'au fond de ma gorge
Alexis : Alors là ! Tu me gâte ! Tu fais ça vraiment bien ! Tu sais Romain lui il s'en fou, je crois qu'il est gay mais moi
J'aime bien les filles
Arrête je vais t'enculer !
Je me relevais, il me faisait signe de me retourner et de me pencher en avant sur le fauteuil.
Alexis restait doux dans ses gestes, il restait également très doux dans les mouvements de son bassin. Il préférait des mouvements amples et réguliers, j'ai connu plus violents et je dois dire que ce n'était pas désagréable ! Rapidement je sentais un plaisir envahir tout mon bas ventre, une sensation de chaleur qui envahissait mon intestin, cette sensation devenait plus forte, plus intense. Je ne contrôlais plus ma respiration, je me cramponnais comme un fou au fauteuil
Je mouillais toujours.
Alexis : J'ai même un collègue de travail qui porte un truc comme ça
Je gémissais, c'était bon.
Alexis : C'est sa femme qui à les clés
Je me tordais de plaisir, j'avais des convulsions au niveau de mon ventre
Alexis : C'est elle qui décide quand il peut le retirer
Je tremblais, je gémissais, je n'avais plus de souffle
Alexis : Quand elle a envie, elle lui enlève et il peut la baiser
Moi : Oui, vas y c'est bon ( je hurlais )
Alexis ne disait plus rien, il se concentrait enfin sur ce qu'il faisait, son souffle devenait plus fort, plus rapide. Il me tenait plus fermement, me tirait vers lui avec un peu plus de force et finalement je l'entendais gémir, il me prenait fort dans ses bras, je me sentais bien et je l'entendais gémir au moment ou il jouissait dans mon cul. Il ne bougeait plus
Alexis : Tu te rends compte, c'est sa femme qui décide ! Sans lui demander son avis ! Je suis pas un sex-toy moi !
Il se retirait, sa dernière réflexion me faisait rire
Alexis : Et ça te fait rire toi cette histoire !
En tout cas tu as l'air d'aimer ça ! Moi aussi, mais j'aimerais bien une fille aussi pour changer !
On se rhabillait, il m'invitait à rester manger mais je devais décliner, on m'attendait, je n'avais pas prévenu
Alexis : Maintenant que tu sais ou j'habite, tu peux venir quand tu veux
On pourra remettre ça !
Moi : Toi pareil !
A la maison, personne n'était arrivé, j'étais le premier. Charles me recevait
Charles : Justine a téléphoné, elle voulait te parler à toi et à Antoine, elle a dit,
Moi : Elle t'a dit ce qu'elle voulait ?
Charles : Elle a dit
'' C'est une idée géniale qu'ils ont eu, le big boss est ravis, ils vont encore gagner un tas de fric
''
Ou quelque chose dans le genre en tout cas
J'en sais pas plus, elle rappelle !
Peu après le téléphone sonnait
Charles répondait
Charles : Oui madame
Non seul Monsieur Brosso est là
Je vous le passe
( en aparté ) C'est Justine
Moi : Allô Justine, ça va
Justine : Tu sais Djé, l'idée que vous avez eu Antoine et toi à fait l'unanimité, tout le monde était enthousiaste, Mr Le Conte a décidé d'adopté '' PK '' comme marque pour distribuer les dispositifs de chasteté et il a été décidé que ce serait un féminin !
Moi : Cool ! Et on va gagner combien ?
Justine : Tu ne perds pas le nord toi ! Cent cinquante
Moi : Chacun ?
Justine : Bien sûr chacun tu va t'imaginer quoi ?
Moi : Net après fiscalité ?
Justine : Toujours
Moi : C'est Antoine qui va être content !
Justine : Je te laisse annoncer la nouvelle à Antoine, vous passez me voir dès que possible pour signer le contrat
Et on vous verse l'argent
Quand Antoine arrivait je lui racontait
Antoine : Mais c'est génial ça, on a gagné trois cent mille DI en moins de d'une semaines en faisant presque rien ! Je sens que je vais aimer cette vie
Il retrouvait ce sourire béat, celui qu'il avait gardé pendant deux jours quand on lui avait annoncé le montant pour les '' droits d'auteur ''.
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