Ho Mo Car
Ce mardi, je devais aller à Montpellier. Oui mais
On nous annonçait lapocalypse avec les trains. Du coup, jai envisagé le stop.
Après tout, ce nest pas la première fois que jen fais. Il paraît que dans les années 70, ça se faisait énormément. Et puis
ça peut parfois se terminer très très agréablement ( voir « merci Sam ! » ). Alors, foin de bla bla car et autres trucs. Je me place à la sortie de ma ville. Apparemment, je ne suis pas le seul à y avoir pensé. Il y a déjà deux autres stoppeurs devant moi. Bien élevé, je me place à 50 mètres derrière le deuxième. Ca tombe bien, cest juste après quil y a un très grand dégagement pour se garer. Ca ma toujours surpris ça. Que les stoppeurs ne pensent pas au conducteur qui va la prendre. Comment va t-il faire pour se garer sans problèmes ? Je me suis fabriqué un petit panneau où jai écrit, en grosses lettres :MONTPELLIER.
Une demi- heure passe. Le premier stoppeur est parti assez vite. Ca va bientôt être à mon tour dêtre, en tête de gondole ! Cest alors quun gros camping car blanc vient se garer 30 mètres derrière moi. Je ne saisis pas tout de suite si cest pour prendre un stoppeur ou simplement sarrêter provisoirement. Je me retourne et cest alors que, côté passager, quelquun descend et me fait signe, à moi. Par gestes, je lui fais comprendre quil y a quelquun avant moi. Toujours par signes, il me fait signe que, cest à moi quil sadresse. Il ne me reste plus quà y aller, en faisant un geste dexcuse à celui qui est devant moi. Il lève le pouce, très sportivement. Merci ! En mapprochant du camping car, je comprends mieux pourquoi. La plaque se finit par un « E », comme Espagne. Perpignan est sur leur route. Bingo ! Je risque de faire le trajet, dune seule traite ! Ca va être loccasion de réviser mon espagnol !
En mapprochant, je détaille rapidement le passager. Sweat lie de vin, bermuda tabac, tennis marine. Dans les 25 ans, très brun. Mignon. Re bingo !
« -Ola ! Montpellier ?
-Si ! Gracias ! ».
Je grimpe à sa suite sur le troisième siège, en saluant le chauffeur, copie conforme du passager ! Re re bingo ! Le voyage risque de ne pas être désagréable du tout, en compagnie de ces deux beaux gars
Heureusement pour moi, ils manient très bien langlais. Ca sera plus simple. Du coup, on fait vite connaissance. Ils terminent une semaine de périple en France. Ils sont de Barcelone. Ils sont dans la pub. Ils adorent camper dans des coins sauvages, complètement isolés. En riant, ils me disent aussi quils mont préféré à lautre stoppeur car
ils me trouvaient plus beau que lui
Je dois prendre ça comment ? Je commence à me douter, à de petits gestes, de petites attentions entre eux que, ces deux là sont homos et séclatent dans le grand lit que je vois complètement défait à larrière du véhicule. Ce nest pas pour me déplaire, bien au contraire ! Du coup, jessaie, par de petites allusions, de leur faire comprendre que, moi aussi
Au bout dun moment, le chauffeur, Juan, pose, naturellement, sa main sur la cuisse de Pablo, le passager. Ils me sourient.
« -Si, somos homosexuales. Nos amamos.
No hay problema. Yo tambien !
-Enfonces, esta bien ! »
Du coup, la conversation soriente nettement plus sexe. Ils veulent tout savoir de moi, de Paulo. Eux-mêmes, ne sont pas avares de détails sur leur vie amoureuse. Ca devient très très détendu et très joyeux. Très chaud, aussi. Je leur montre une photo de Paulo, ils poussent des cris dadmiration. Je mempresse de leur dire quon est un couple très libre. Eux aussi
Ils sont pour toutes les expériences possibles. On ne saurait être plus clair. Du coup, Pablo en vient à poser sa main sur ma cuisse, avec un clin dil appuyé à Juan qui rigole. Ne voulant pas être en reste, je glisse ma main sous ses fesses et je lui chatouille la raie de mon index. Si ça continue, le van va avoir du mal à garder une trajectoire bien droite ! Dire quil y a une demi- heure, on ne se connaissait pas ! La main de Pablo est venue se glisser jusque sur mon paquet qui enfle doucement.
« Memories of our holiday week
-I see
»
Bien sûr, jai bien capté que Pablo est entrain de me chauffer un max. Jai rien contre. Cette fois, il a ouvert mon bouton de pantalon, fait glisser mon zip et il me malaxe doucement le slip, bien bien tendu. Jai moi-même glissé ma main dans larrière de son bermuda, sous son slip. Je lui caresse la raie du majeur. Il se soulève légèrement pour que je coulisse dautant mieux. Juan nest pas en reste. Il a, lui aussi glissé sa main dans le slip de Pablo, vers sa bite. Malgré tout, il arrive encore à se concentrer sur la conduite du van.
« -Wait a minute ! » nous souffle Pablo. Il se déleste de son sweat, de son bermuda et de ses shoes. Il nous apparait ainsi en mini maillot de bain jaune et vert, bien bien gonflé. Trop beau. Son torse, finement musclé, est recouvert dune fine toison de poils bruns, avec une belle ligne touffue qui plonge vers le slip. Il va être surpris quand il va me voir complètement rasé ! Sa bite, dressée, sort du devant de son maillot, luisante de mouille. Belle pièce !
« -Youre not too hot ? me demande-t-il
Yes, a little bit
-You can put yourself at ease, you know
-OK ! »
Donc, je me déleste de mon pull, de mon pantalon, de mes shoes, ne gardant que mon slip.
« -Nice underwear ! Do you want somethingto drink ?
-Why not. »
Du coup, tout en roulant, on passe à larrière du camping car, dans la partie cuisine.
« -Very beautiful installation !
-Thanks. We rented this van for a week. We love our comfort ! »
Nous nous installons à la table pour boire un coke, côte à côte.
Pablo demande à Juan de nous rejoindre. Il est OK. Il cherche juste un endroit pour se garer. Ca devrait pas prendre trop de temps vu quon traverse une belle forêt.Ca y est. Il sest même engagé dans un petit chemin de terre, tout à fait tranquille. Le temps de nous rejoindre, il sest déjà débarrassé de son sweat et de son pantalon. Par contre, lui est totalement imberbe. Aucun poil sur tout le corps ! Sûr quil doit se raser ou sépiler. Joli slip de bain bleu ciel, belle silhouette. Deux beaux presque trentenaires dans la splendeur de leur jeunesse. Lui aussi a la bite dressée dans son slip, comme un mât de cocagne. Les choses sérieuses peuvent commencer
Ca commence sous la table, par un jeu de jambes qui se frôlent, se cherchent, se caressent, sentrecroisent, se serrent
Puis viennent les mains. Qui est qui ? On sen fout. Ce qui importe, cest le bien quelles font en se promenant sur les maillots, en appuyant leurs caresses, en glissant furtivement quelques doigts sous les tissus. Javais raison : Juan est entièrement rasé. Comme moi. On se sourit, on rit. On aime beaucoup ça. Pablo se glisse carrément sous la table ! Il va sûrement prendre les choses
en mains, pardon, en bouche. Je sens son visage venir se nicher contre mon slip. Je sens son souffle chaud sur ma bite. Je glisse légèrement le devant de mon slip pour lui offrir mon gland. Je sens la pointe de sa langue qui vient me titiller. Trop bon ! Juan, qui est venu se placer à côté de moi, entreprend de me titiller les tétons. Il me les pince légèrement. Il cherche ma bouche. Je la lui offre bien volontiers. Je sens sa langue me pénétrer doucement. Je suis aux anges ; Je sens que je vais passer un bon moment avec mes deux ibériques, chauds comme la braise. Je vais être leur sextoy du moment. Ca me va. Cette fois, Pablo commence à mengloutir doucement. Je sens la douceur de ses lèvres aller et venir lentement sur ma tige et senfoncer un peu plus à chaque fois.
Me voici donc allongé sur le dos sur la table, les jambes pendantes. Mes deux hôtes, tels deux chirurgiens, penchés sur moi. Apparemment, cest surtout la « partie basse » qui pose problème ! Je fais celui qui est sous anesthésie mais mes mains se baladent en toute liberté sur leurs slips, dans leurs slips. Jessaie de deviner qui me fait quoi. Pour linstant, ils me lutinent tous les deux le slip, cherchant à le faire glisser le plus voluptueusement possible. Lun a passé ses mains sous lavant, lautre sous larrière. Ca descend lentement. Me voilà nu, offert à leurs regards. Jen profite pour leur baisser, à mon tour, leurs slips de bain. Jouvre un il : beaux engins, bien raides. Je leur tripote gentiment. Visiblement, ils sont tous deux obnubilés par ma bite. Lun me malaxe doucement les couilles pendant que lautre fait aller le bout de ses doigts sur ma hampe, puis vient titiller mon gland, le frein du prépuce
Wouuuuh ! Je les branle doucement. Chacun dans une main. Puis je les rapproche, colle leurs bites et les branle ensemble. Qui est entrain de commencer à me sucer à nouveau ? Juan ? Pablo ? Peu importe. Lautre a passé son doigt dans ma raie et cherche à magacer la rondelle. Ils me font mettre en levrette, jambes bien écartées. Juan se glisse entre mes jambes pour me sucer pendant que Pablo entreprend de me rimmer consciencieusement. Trop trop bon ! Je sens sa langue qui pousse de sa pointe, cherchant le passage. Jondule du bassin, baisant ainsi la bouche de Juan tout en essayant que la langue de Pablo me pénètre plus
Je gémis de plaisir. Cest alors que je sens un doigt qui cherche à me pénétrer. Il est bien froid. Sûrement enduit de gel. Je le sens qui me caresse la prostate. Trop cool ! Bientôt, un deuxième force le passage. Juan en a plein la bouche. Il me fait des gorges profondes, avec beaucoup de savoir faire. Il a empoigné les globes de mon cul et tire bien dessus pour que Pablo samuse encore mieux avec mon trou.
« -What if we went to bed ? We would be better, right ? »
Cest vrai, ça. On serait peut être mieux dans le lit qui nous tend les bras. En parlant de bras, cest dans leurs bras, porté par les deux amants, que je vais faire le trajet jusquau lit ? Trop rigolo. On reprend donc là où on sétait arrêté. Avec une variante quand même. Si je suis toujours en levrette, si Pablo me dilate toujours le trou, cette fois cest Juan qui se dresse devant moi, à genoux, pour que je moccupe de sa bite avec ma bouche. Pendant ce temps, Pablo, tout en me doigtant, me branle par en dessous de son autre main. Jai de la chance : je préfère sucer les bites bien rasées, ce qui est le cas de celle de Juan. Très longue, fine, bien lisse. Un sucre dorge qui dégage une forte odeur de mâle. Jadore. Juan aussi a lair dapprécier la façon dont je le pompe. Il gémit. Du coup, ça excite Pablo qui sapproche pour menfiler. Je sens son gland qui me titille, cherchant, en douceur, à forcer le passage. Assez vite, il passe. Je le sens en moi. La bite de Pablo est beaucoup plus épaisse que celle de Juan et légèrement plus courte. Il commence doucement à progresser dans mes entrailles. Je sens parfaitement bien sa tige chaude senfoncer en moi. Jadore ces moments là. Je suce Juan avec dautant plus dentrain. Il gémit de plus en plus. Ca y est. Pablo est entièrement en moi. Il ne bouge plus. Cest moi qui, à présent, coulisse sur sa bite. Ca aussi, jaime beaucoup. Juan me demande alors sil peut rejoindre son amant pour menculer, lui aussi. Si ça lui fait plaisir
En alternance, ils vont alors me pénétrer chacun leur tour. Pas besoin de me retourner pour deviner qui fait quoi. Les deux bites sont vraiment très différentes et les sensations aussi. Ils ont accéléré la cadence de leurs allers et retours, ainsi que la fréquence des échanges. Celui qui ne me défonce pas me branle énergiquement la bite par en dessous. On entend le chuintement des bites qui coulissent dans mon trou, ainsi que leur souffle qui commence à se saccader. Cest alors quils me retournent sur le dos pour mieux membrocher de face. Jai posé mes chevilles sur les épaules de celui qui me pistonne. Changement de partenaire, accélération de cadence, à nouveau changement, à nouveau accélération. Cest Pablo qui me trombonne à toute vitesse, décidé à exploser en moi. Je le sens se raidir. II vient. Il hurle et minonde de sperme chaud. Aussitôt, il se retire pour permettre à Juan de jouir aussi. Mon trou est en feu. Mais cest trop trop bon de se faire ainsi défoncer deux fois à la suite. Le sperme de Pablo a complètement lubrifié mon trou. Juan y glisse à toute vitesse. Pablo, un peu remis, se met à branler furieusement ma bite. Juan a encore accéléré ses coups de bite. Ses couilles claquent à chaque fois sur mon cul. Il est en nage, le souffle complètement coupé mais il ne jouit pas encore. Très très résistant, le gars. Pablo se déchaîne sur ma bite. Jai empoigné sa main et on la branle à deux. Pablo passe alors brutalement un doigt dans le cul de Juan. Instantanément, ça déclenche de longs jets de sperme de la bite de Juan. A nouveau, je suis inondé de foutre. Moi aussi, je me sens sur le point de cracher ma semence. Pablo la compris, il approche son visage et reçoit tout. Nous redescendons tout doucement tous les trois, dans une odeur de foutre terrible. Wouaah ! Ce fut terriblement sauvage et bon. On comate un peu tous les trois. Mais il faut bientôt se remettre en route car la route est encore longue et leurs vacances se terminent demain soir. Mais, justement, il peut encore se passer pas mal de choses, dici à Montpellier
Cette fois, cest Pablo qui sest collé au volant après un rapide passage par la douche. Il a simplement réenfilé son maillot de bain. Aurait-il des projets derrière la tête ? Juan me propos de passer à la douche. Cest trop rigolo dessayer de prendre une douche dans un camion qui roule ! Une fois séché, Juan me prête un de ses slips de bain. Lui aussi en a toute une collection. Jen choisis un bleu et jaune assez slippé. Je regagne la cabine et massieds à côté de Pablo. Maintenant quon se connait un peu mieux, la conversation roule sur tout, très joyeusement. Déjà, de temps à autres, Pablo repose sa main sur mon slip
Jen fais autant, de chaque côté pour quil ny ait pas de jaloux ! Ils décident quon sarrêtera vers 13 heures pour déjeuner. Une demi- heure avant, Juan retourne vers larrière pour préparer le repas, tout en roulant. Je le rejoins pour laider. Il nous prépare des tas de petits en cas espagnols, des tapas quoi. A nouveau, les mains se font baladeuses, les frôlements inopinés
Pablo, dans le rétro, suit tout ça en live. Vers 13 heures, on sarrête à nouveau pour déjeuner. En fait, cest super cool de pouvoir sarrêter nimporte où, nimporte quand. Mais bon, il paraît que ça coûte un bras. Tout est très délicieux, arrosé dun bon petit vin espagnol. Olé ! Du coup, ça nécessite ment une petite sieste qui devient vite crapuleuse. Cette fois, cest moi qui les défonce bien bien profond. En fait, ils mont pris en sandwich. Et, pour que je profite bien du cul de chacun, ils ont échangé leurs places. Un super pied là encore. Re comatage. Oupsss ! Il reste 300 bornes pour Montpellier et eux 700 jusquà Barcelone
Je sens quils vont me demander de passer la nuit avec eux, vu quils ne rendent le van que demain après midi. Faut que jy réfléchisse
Laprès midi se passa de façon très très joyeuse. Ce sont vraiment de gais lurons. Du coup, plus le temps passait, plus je me disais que jallais avoir du mal à les quitter
Après tout, ce que javais à faire à Perpignan pouvait bien attendre demain. Jaurais quà mettre ça sur le compte de la SNCF. Ca na pas manqué. Arrivés à Montpellier, ils mont proposé de passer la nuit avec eux. Dit comme ça, ça ne se refuse pas ! Ils ont cherché un coin isolé, sur les hauteurs, dans les vignes. Le point de vue était extraordinaire. Le coin super désert. On a allumé un feu. La soirée sest prolongée
par la nuit qui fut trop caliente. Epuisés, sur le coup de trois heures, on sest tous écroulés comme des masses jusquà
neuf heures !
Ils mont même déposé à lendroit exact où je devais aller. Hasta luego, amigos !!!
Vivent les grèves perlées de la SNCF !
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