La Punition
Oui tu as mal aux dents et ton humeur est devenue morose, tu nas plus envie de me faire lamour comme cétait prévu entre nous. Je me trouvais donc seul, nu, devant toi avec mon pénis en érection. Et toi tu avais si mal, que tu voulais être tranquille. Javais beau répéter que du sexe te ferais oublier ton mal et que du sperme dans ta bouche pourrait lutter contre cette rage de dent, mais tu ne voulais pas y croire. Jai pas mal insisté alors tu tes fâchée.
Tu mas dit, puisque tu veux à tout prix jouir, je vais te faire jouir. Ton visage sest illuminé, tes yeux coquins et un peu pervers reflétaient à travers tes lunettes. Tu as décidé, toi-même de la façon dont tu allais me faire lamour. Comme jétais nu tu nas eu aucun mal à mattacher les poignets derrière mon dos, et tu mas fait mettre immédiatement à quatre pattes le visage collé sur la couverture qui se trouvait au sol. De ce fait mon postérieur se trouvait dirigé vers le plafond, tu admirais mes fesses rebondies, doù sortaient quelques poils de la fente qui les séparaient. Dans un silence secret, tu réfléchissais à la façon dont je méritais cette punition que tu voulais minfliger. Moi en soumis, je te faisais entièrement confiance. Je voulais du plaisir et je savais que tu men donnerais quel que soit la méthode. Je suis prêt à assumer, tous tes gestes, doux ou violents, tous tes désirs. Le but, oublier ta rage de dents et pour moi jouir.
Je suis bien resté dans cette position environ cinq minutes, sans que rien ne se passe, puis tu es venue vers mon trou anal et tu as glissé en son intérieur un thermomètre, tu voulais vérifier ma température. Le temps que celle-ci apparaisse sur lobjet de mesure, tu as commencé à nouer à mes poignets une fine corde, puis tu as fait en sorte quelle rejoigne mes testicules pour les nouer ensemble. Chaque fois que je bougeais, la corde de mes poignets et de mes bourses se resserrait. Je devais donc resté immobile pour ne pas avoir mal.
Tu continues tout doucement à agrandir mon trou car maintenant il y a deux phalanges qui viennent dy rentrer. Tu viens de remettre une noisette de vaseline et tout glisse, rien ne fait mal ni ne force. Avec tes deux doigts tu malaxes mon anus et avec lautre main tu chatouilles maintenant mon gland, tu fais en sorte que ton pouce et ton index, forme un cercle où tu introduis ma verge. A chaque pénétration de mon anus, ton autre main fait un va et vient avec mon sexe, et cela dure quelques minutes, je reconnais que je commence à être fort excité.
Stop
.. tu me dis et tu lâches toute emprise sur moi, je me retrouve toujours à genoux, mon anus dilaté, mes testicules violacées et mon pénis prêt à exploser. Tu me laisse seul un moment pour revenir avec une autre petite corde. Tu attaches celle-là autour de mon gland, à son prépuce, et lautre bout de la corde sera attaché à mes chevilles.
Maintenant tu as pris un manche à balai, tu viens de me lintroduire dans mon trou et tu lenfonce au moins de quinze centimètres, en même temps tu effectues une rotation que je ressens au plus profond de moi, jai limpression que tu touches lintérieur de mon ventre. On dirait que tu nas plus mal aux dents, car jai limpression que tout cela te fait de leffet. Pour dire tu viens denlever le haut de tes habits, et à travers mes cuisses je peux voir tes seins, dont les mamelons effleurent mes fesses.
Ce qui mexcite encore une fois, mon prépuce est toujours pris dans cette corde qui tire et retire mon pénis. Je commence à avoir mal et je le dis tout fort. Jai alors limpression que tu te fâches ou que tu simules la colère. Tu enlèves dun coup sec le manche à balai qui libère mon anus ouvert et tu commences à frapper mes fesses avec. Tu donnes des petits coups, puis plus rapidement et plus violemment. Je commence à sentir mes fesses devenir chaudes. Tu arrêtes précipitamment et tu reviens cette fois-ci avec une raquette en bois. Je connais cette raquette, elle est de couleur bleu. Tu frappes à nouveau mes fesses. Elles rebondissent à chaque coup, comme des vagues sur la mer. Là je sens immédiatement que mes fesses me brûlent et à chaque « clap » que je reçois je ne peux mempêche de bouger mes jambes et mon gland sétire et devient très rouge. Je ne supporte plus du tout cette souffrance et tu ten aperçois, alors tu arrêtes immédiatement cette violence et avec tes deux mains tu me passe de la vaseline sur toute la surface de mon cul, en faisant des cercles sur mes fesses. A chaque contour, tu les écartes pour laisser apparaître mon trou, qui lui souvre à toutes les caresses. Maintenant à chaque ouverte, tu introduis un de tes seins dans cette fente, je ressens même ton mamelon qui effleure mon anus.
Tu ne lâche pas prise et ta main est toujours dans mon anus. Tu me libère entièrement de mes liens, même mes poignets sont détachés et tu me demande de me retourner et de me mettre sur le dos. Mais attention il faut que je puisse tourner avec ta main dans cette position. Pour cela tu tires très fort sur mon sexe et tu lentraînes vers le haut je nai plus quà me soumettre à ta volonté si je ne veux pas avoir mal. Tout doucement et sûrement jarrive à me tourner, je sens ton pouce qui vient de se déplier frotter ma paroi anale. Je suis maintenant sur le dos, dans une position plus reposante malgré, la position de ta main qui ne veut pas sortir de cette grotte chaude et huileuse.
Pour me récompenser je pense ou pour activer le sang dans ma verge, tu viens de la prendre en bouche, et tu la salive énormément afin quelle redevienne normale et surtout quelle nexplose pas, ce que je ne peux promettre.
Tu auras à ton tour les pieds et les mains liées, mais toi dans une position autre que la mienne.
Tes chevilles seront nouées à tes poignets, ce qui te fait être sur le dos, tes membres dressent vers le plafond. A mon tour de mamuser, mais moi étant plus pervers que toi, je te regarde tout dabord, dans cette position de soumise, et jadmire tout ton corps. Je suis excité car en tattachant javais posé mon anus et mes fesses ouvertes sur ton visage et javais senti ta langue me sucer lintérieur de mon trou anal. Ouvert comme il est, cela a été facile pour toi de laver avec ta langue ce fruit défendu. Maintenant que tu es à ma portée, prisonnière de mes phantasmes, je lèche tout dabord tes mamelons que je sens grossir et se dresser contre ma bouche arrogante.
Je prends mon temps et cela dure plusieurs minutes. Je nai pas trop serré tes liens pour que tu ne ressentes aucune douleur, par contre je ferai en sorte que tu jouisses la première malgré toute lexcitation que tu mas donnée avant. Maintenant jai ma langue dans ton nombril, elle effectue plusieurs va et vient, de plus en plus profond. Comme ta position sy prête, ma langue ira contre ton anus. En ce lieu je prendrais tout mon temps, je sens cette chaleur interdite. Moi aussi jai envie de te dilater lanus
Et cest ce que je mapprête à faire. Alors avec mes deux mains jintroduis à toi mes deux index, et jécarte ton trou qui sétire et qui me permet daller plus profond avec ma langue. Je lèche ton intérieur avec plaisir, je ressens cette chaleur cette envie de te laver, de texciter, mes doigts bougent, ma langue suce tout le contour de cet anus. Puis pour te calmer, moi aussi je rajoute une noisette de vaseline que je pousse tout au fond de cette grotte. Ma langue goûte au mélange de cette pommade avec lintérieur de cette peau qui est souvent jalousement gardée par son propriétaire. Maintenant jai décidé de moccuper autrement de toi. Je détache momentanément tes chevilles pour les attacher à nouveau contre les pieds de la table qui se trouve à proximité. De cette façon tu as les jambes très écartées, ton sexe poilu est maintenant à ma portée et rien nempêchera de mamuser avec cette partie de ton corps. Je regarde et japprécie la vision de ce sexe qui pour linstant se cache parmi cette forêt broussailleuse. Jai limpression que ton sexe demande à être étudié, recherché, découvert, mais doucement avec passion.
Je commence donc par grattouiller les poils qui entourent ce trésor, je les caresse en les espaçant vers lextérieur de ton sexe. Quelques fois jenduis avec ma salive mes doigts pour bien aplatir ces cheveux, tout autour de tes lèvres. Le dessin qui apparaît est magnifique, une forêt bien cultivé, entourant une clairière rosé. Dans cette clairière, des lèvres douce et fine font le pourtour dune grotte, fermée et laissant apparaître une légère ouverture. Pour linstant jécarte lentrée de cette grotte avec mes doigts, poussant vers lextérieur cette chair rosée, chaude et humide. La grotte souvre et me laisse voir en son sommet un petit capuchon qui renferme sûrement un trésor. Cest ma langue maintenant qui sactive, sur cette chair, elle humidifie sont contour, et sarrête plus précieusement sur ce capuchon qui bouge et qui à chaque passage laisse apparaître un petit bouton qui semble grandit. Je tentends, gémir de douceur. Plusieurs fois et longuement, langue te travaille et texcite, surtout quand je remonte du bas de ta grotte vers ce bouton.
La pointe de ma langue te pénètre à chaque fois et ralenti sous ton capuchon pour faire ressortir ton clitoris qui est ensuite lessivé plus rapidement par ma bouche. Je recommence plusieurs fois cet examen, du haut vers le bas, japlatie ma bouche sur le bouton et je recommence encore et encore
Ton anus est toujours ouvert, lintervalle entre celui-ci et le début de ton sexe est court, lorsque ma langue se trouve vers le bas elle à profite pour nettoyer encore et encore les parois de ton anus. Maintenant japerçois vraiment ton clitoris qui est sorti de sa capuche, il ne veut plus y rentrer et demande impoliment quon le lèche, quon le trifouille, quon le goutte. Ce que je ne me lasse pas de faire. Je sens que plusieurs gouttes de plaisir coulent le long de cette grotte, pour se noyer dans ton anus. Je nabandonne pas pour autant ce plaisir que je fais durer longuement.
Tout en léchant jai introduit en toi un de mes index, que jai recourbé comme un T, la pointe de celui-ci vient tapoter la boule qui se trouve en toi, et cela toujours en te léchant, un petit ruisseau comment à naître. Jarrête donc là, lactivation de tes sens, pour te laisser traîner dans lincertitude de la jouissance. Pourtant tu narrêtes plus de me dire, encore, plus vite, je veux, oui, continue. Je ne tobéis pas, car toi avant, tu ne ma non plus pas écouté. Jai maintenant en main un glaçon, que je pose sur ton clitoris, à chaque passage sur ton clito, le glaçon fond, ton bouton aussi, mais ma langue le réactive immédiatement. Tu sens le chaud et le froid, qui, jai limpression font, du bien à ton bouton. Le glaçon est maintenant dans ma bouche et tu ressens différemment mes caresses buccales. Jai freiné volontairement ce petit ruisseau qui voulait devenir une rivière pour pouvoir maintenant introduire dans ton sexe le tube dune poire de lavement remplie dun thé tiède, à la température de ton corps. Je verse intégralement cette tisane en pressant la poire dans ton sexe, ce qui te remplit de chaleur. Avec ma bouche je referme ton sexe qui demande à garder ce liquide chaud dans ta vulve, puis sous leffet de ma langue, une rivière de thé coule entre tes cuisses, réchauffant également ton anus. Je sais que tu nen peux plus, que tu veux maintenant du plaisir commun, ou alors tu vas éjaculer ta cyprine dun moment à lautre sans attendre la douceur de ma verge dressée. Moi aussi jai envie de toi, alors pour cet acte de jouissance, je te détache ce qui te permet denrouler immédiatement mon corps de tes jambes, de tempaler sur mon pénis, de serrer tes bras dans mon dos, tu ne touches plus le sol, tu viens de taccrocher à mon corps accroupi, ton sexe vient davaler entièrement le mien. Nous restons comme cela pendant quelques minutes, les yeux dans les yeux, tes seins collant les miens, tes ongles prêts à me griffer, ton sexe, tes lèvres sexuelles viennent aspirer mon pénis. Je me dois de te pousser vers le sol, pour pourvoir effec le va et vient de ma verge en toi. Je donne des coups pour aller plus profond en toi, ce qui provoque des bruits de « Splach » « Splach », ta rivière éclaboussant à chaque coup ma verge. Je nage dans ton intérieur en essayant de ne pas me noyer, ce qui me donne une joie douce et chaude, je continue de plus en plus fort « Splach », « splach », mes cuisses sont à leur tour mouillé, ton anus est noyé, tu cris de jouissance des oui, des encore, et quand à mon tour je veux éjecté mon jus sucré, tu me dis « Non », tu me lâches, tu fermes tes yeux et tu ouvres grandement ta bouche me faisant savoir et tu as envie de mavaler. En me libérant de ton étreinte, jai senti mon jus, mon sperme séchapper quand même en toi, tu as ressenti également ce liquide bouillant aller se frapper tout au fond de ta grotte, ce qui te procure une douceur sans limite, je dois serrer mon sexe dans ma main pour éviter que ma jouissance parte et jarrive tout au fond de ta gorge pour enfin éjaculer. En ce moment-là, cest moi qui prolifère un bruit roque, un grognement de plaisir, un aboiement de loup. Je menfonce dans ta gorge avec violence, comme si je voulais t, tempêcher de respirer et je jouis avec fureur. Toi tu aspires et re-aspire mon sperme jusquà la dernière goutte. Je me trouve à allongé, mon sexe dans ta bouche, tenu par mes points et mes orteils au sol. Le reste flotte dans lespace. Je donne encore des cous de verge sur ton palais. Jabandonne maintenant, après ma jouissance ta bouche et je me réintroduis avec mon pénis dans ton vagin encore mouillé et chaud et je me couche sur toi,ma bouche dans la tienne, effectuant avec ma langue une nouvelle union avec la tienne. Cela dure une éternité, voulant à tout prix mendormir dans cette position, pour toujours.
Nous avons jouit tous les deux, mon dos est griffé, ton sexe est béant, mon anus est ouvert, ma verge est au chaud, nos yeux sont fermés, nos langues se battent amicalement, nous nous aimons ou nous nous sommes aimés encore une fois.
BISOUS, jespère que cela ta vraiment plus, MOI OUI
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