David Hors Normes 1

Désolé, mes excuses à vous tous.... j'avais oublié de poster le premier chapitre

Depuis quelque temps, je couchais avec un mec bien viril, chaud, poilu et avec un bon gros sexe.On avait eu un bon contact par Internet, sur un site de drague, et on se correspondait bien.

Moi 45 ans 180 mais avec un peu de ventre… léger quand même, dû à mon manque de pratique du sport, châtain et avec des yeux verts. Mec dans la vie, voix de mec, très chaude d’ailleurs, mais hyper femelle au lit. J’aimais les mâles, les vrais, bien virils et dominants, et surtout, avec une bonne grosse queue, bien épaisse, ce dont rêvent tous les vrais passifs… Ce n’est pas 30 cm qui comptent, mais un très gros diamètre pour bien se faire défoncer la chatte que nous avons entre les jambes.
C’est donc Antoine qui m’avait contacté, bel homme viril de 54a, bien poilu, d’environ 1,85m, 80kg je pense, brun aux yeux noirs, avec une queue comme je les aimais, bien large, et qui vivait seul… Du moins, je le croyais…

A la quatrième fois où je venais chez lui, j’ai senti Antoine nerveux…

Comme d’habitude, dès que je suis arrivé chez lui, il m’a pris dans ses bras, m’a embrassé partout, j’ai de suite senti son désir contre mon ventre et son odeur de mâle a commencé à faire son effet. Je n’ai pu m’empêcher de glisser ma main dans son pantalon et caresser ce pieu de chair qui m’avait procuré toujours autant de plaisir.
Il était fou… En quelques secondes, il a baissé mon pantalon léger et a enfoncé son membre dans moi, d’un coup…
Je m’étais préparé, mais quand même 22*6 d’un trait…

Antoine me bourrinait comme un malade… Il s’enfonçait en moi, profondément, encore et encore… Il tapait fort le salaud…
Pendant qu’il me baisait, j’entendais des bruits dans sa maison, comme une plainte… Cela semblait venir de l’étage…
Antoine s’est déversé à longs jets dans moi et après un peu de calme, je lui ai parlé de ces bruits que j’avais entendus…

« C’est mon fils, il est obsédé sexuel, il ne pense qu’à ça et il bande tout le temps »
« Merci de ta confiance… Tu fais quoi pour lui ? Pour l’aider ? »
« J’ai tout fait… Même lui donner mon cul pour espérer le calmer, mais j’y arrive plus… C’est sans fin… »
« Tu veux que j’aille le voir Antoine ? »
« Non… Tu pourras pas… C’est un monstre de la nature… »
« Un monstre ? »
« Oui… 30cm de bite et hyper large… Plus de 8cm de diamètre… J’ai fait un monstre »

J’étais interloqué par ce qu’Antoine m’avait dit, mais aussi par sa confiance.

Je crois aussi qu’il craquait et qu’il avait besoin d’aide, qu’il n’arrivait plus à assumer cette situation.

« On va le voir ? Si tu veux, bien sûr… »
« Oui, mais il va vouloir te baiser… Il ne pense qu’à ça… !!! »
« On verra bien… On y va ? »

Et Antoine m’a amené à l’étage, dans la chambre de David, son fils…

Beau mec d’environ 25 ans, nu sur son lit, hyper poilu comme son père, en train de branler son chibre…énorme… !!! Je n’avais jamais vu ça…

Il a dit un seul mot…. « Baiser », « veux baiser »…

J’étais fasciné par ce que je voyais… Un sexe vraiment… Hors Normes… Tendu comme un arc, et Antoine me poussait vers lui….

« Donne-lui du plaisir, je t’en prie… »

Comme une machine, je me suis approché de ce sexe monstrueux, et j’ai essayé de l’entourer de mes mains… Il en fallait les deux…
Avec une force énorme, il a pris mes mains pour les mettre sur son membre, hors norme et dur comme du béton. Il m’a regardé avec ses yeux étonnamment doux, presque implorants…
- Baiser, veux baiser… !!!

J’ai senti ses doigts me caresser la chatte, ouverte, remplie du foutre de son père pendant qu’il tendait son membre démesuré vers ma bouche.
Comme un réflexe, j’ai commencé à le sucer et à écarter les cuisses pour lui laisser accès à mon trou, hébété par ce qu’il se passait, et Antoine, derrière moi, qui me poussait gentiment, mais fermement vers son fils, vers cette poutre démente qui cherchait à s’enfoncer le plus possible entre mes lèvres.

« Tu es libre cette nuit, tu m’as dit, non ? Reste avec lui, je t’en prie… Quand il est en manque comme ça, il est intenable et je n’arrive plus à le calmer »

En 2 minutes, Antoine m’a déshabillé et poussé dans les bras de son fils, allongé sur le lit. Il sentait une odeur forte, celle du mâle en rut, bourré de testostérone.
Je me suis retrouvé sur le dos, cuisses écartées, David sur moi, son torse hyper velu sur le mien, son membre démoniaque sur mon ventre, sa bouche cherchant la mienne et ses doigts me forant la chatte.
De mémoire de mec salope, habitué à se faire baiser régulièrement, je n’avais jamais connu ça. Jamais vu un sexe aussi gros, aussi long et aussi dur… Un vrai monstre de la nature, avec un gland qui dépassait, tel un champignon.
Même si Antoine m’avait baisé 3 fois avant, même si j’étais bien plein de son sperme, bien ouvert par ses coups de butoir, je n’en menais pas large, mais en même temps, j’étais hyper excité par la situation, par ce mâle, vraiment… Hors normes.
David a senti que je me relâchais, que je me détendais, que j’étais prêt à accepter cet accouplement monstrueux, que mon cul allait s’ouvrir pour accueillir son pieu de chair

- Baiser… Veux Baiser…

Son sexe s’est placé devant mon orifice et d’une formidable poussée, il s’est enfoncé dans moi, en introduisant plus de la moitié d’un coup, me laissant tétanisé par la surprise et la douleur. Jamais je n’avais été fisté, mais j’avais l’impression de vivre ça… Un bras dans mon cul… !!!
David, sentant ma chatte réceptive est ressorti un peu, pour mieux se renfoncer dans moi, et en trois ou quatre coups, son membre m’a perforé en entier, j’ai senti un craquement dans moi et ses couilles taper mes fesses.

- Hmmmmm Baiser, te baiser….

Pour sûr, il me baisait… Comme un malade, d’une façon démentielle. Ses 30 cm de chair prenaient possession de ma chatte jusqu’au plus profond de moi, s’enfonçant sans répit, comme un marteau piqueur…
D’un coup, David s’est mis à hurler, en me serrant par les hanches, son membre a giclé toute sa liqueur de mâle, encore et encore, en 7 ou 8 jets qui n’en finissait pas.

- Baiser… Encore te baiser…

Son sexe n’avait rien perdu de sa vigueur, toujours aussi gros et dur, recommençait son mouvement de machine et me perforait à nouveau…
Antoine me regardait, en train de donner du plaisir à son fils et David continuait à me pilonner, d’une force extrême, ma chatte encore pleine de son éjaculation précédente et dont le sperme dégoulinait entre mes jambes, mais qui facilitait aussi cette pénétration sans commune mesure.

« Il est Priape… C’est infernal… Tu peux rester avec lui ? Toute la nuit ?»

Pendant que David jouissait encore en moi, que je le sentais se déverser encore à plusieurs reprises dans ma chatte bien malmenée ce soir, j’ai juste pu dire à Antoine que je resterais toute la nuit auprès de son fils. Il était épuisé et David avait besoin de se calmer. Aux dires de son père, il était intenable depuis plusieurs jours.
Antoine est parti se reposer et je suis resté seul avec David, sa poutre en moi, en essayant de le calmer…

« Je suis là David, ne t’inquiète pas… Là pour toi… »

Il s’était un peu calmé, rassuré et j’ai pu enfin le contempler… Un vrai mec... Très grand, très mince, des poils partout, et une odeur de mâle qui empestait la chambre…

« Baiser… encore baiser… »

David ne devait connaitre que ces mots et son sexe, de nouveau au garde à vous, confirmait ses dires… Priape avait dit son père…Je confirme…

Tandis que David s’enfonçait en moi d’une longue poussée…

La nuit promettait d’être longue… Très longue…