Affaires D'Hommes (1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
AFFAIRES D'HOMMES
Chapitre 1 - André Dakar était un homme d'affaires noir, puissant et redoutable. Il voulait ouvrir en banlieue un restaurant haut de gamme avec un club de strip-tease en sous-sol, mais il avait du mal à convaincre les édiles que son idée en valait la peine. Ces gens du gratin local estimaient que leur ville était trop conservatrice et puritaine pour une entreprise si mécréante. André avait préparé un plan très pervers qui lui garantissait d'obtenir les cautions qu'il désirait. Il savait que s'il pouvait convertir le très respecté Mgr Fouler à sa façon de penser, le prêtre influencerait à son tour les autres dirigeants de la ville en faveur de sa demande. Comme André était un homme qui n'acceptait jamais de perdre, il avait imaginé un plan scandaleux qui allait certainement jouer en sa faveur. André savait aussi que le prêtre était raciste et méprisait particulièrement les Noirs, même si, bien sûr, il n'admettrait jamais cela en public.
« Mgr Fouler, je suis tellement flatté que vous ayez accepté mon invitation ce soir, mais avant que nous nous mettions au travail, je souhaiterais vous montrer un petit film que j'ai préparé. Je comprends que vous ayez beaucoup de questions sur mon projet, mais je pense qu'avant de juger, et afin que vous soyez parfaitement informé, vous pourriez le voir? »
« Oh oui, j'apprécie beaucoup, je suppose que ça va nous donner une bonne représentation de vos plans?» demanda-t-il
« Bien sûr, mais c'est une présentation quelque peu différente de celle que vous avez pu voir dans le passé, c'est spécialement conçu pour votre regard et ça montrera bien le mode de coopération que je recherche.»
« Bien, jetons un coup d'il et voyons ce que cette vidéo propose.»
« Je suis confiant, après en avoir visionné la totalité, vous serez convaincu de me soutenir inconditionnellement.»
Après ces quelques palabres, André a commencé le visionnage du film.
D'abord quelques sauts d'image, puis la vidéo a commencé. La haute qualité de l'image était immédiatement perceptible, et on pouvait aussi dire que le film était très réaliste. Le prêtre regardait avec une attention considérable, désireux de voir ce qu'il supposait être un film sur la façon dont la ville bénéficierait de la construction de ce club.
Le film commençait étrangement. Au début, il n'y avait pas de son et l'écran montrait un pied de femme, dans une chaussure à talons hauts. C'est étrange, pensa le prêtre, mais il regardait, intéressé de voir comment le film se développait. La femme portait des chaussures rouges à talons aiguilles, et le sol carrelé était très sale.
La caméra a commencé à remonter le long de belles, minces, longues jambes blanches recouvertes de fins nylons noirs.
La caméra se déplaçait lentement vers le haut, ne montrant que les jambes. Le caméraman savourait visiblement les jambes magnifiques de cette jeune femme. Le film montrait les fines cuisses découvertes, et le prêtre pensa que la tenue de la femme devait être courte, très courte. La femme tenait ses mains jointes plaquées sur ses cuisses.
La caméra a zoomé sur une énorme bague de fiançailles en diamants et une alliance. Bien qu'il soit difficile de bien voir les bagues, il était clair que c'était une femme mariée. La progression a stoppé lorsque l'image a atteint la robe, très courte, puisque les jambes étaient presque totalement dénudées. le prêtre commençait à se demander ce que tout cela avait à voir avec lui et les investissements d'André.
Le travelling montant s'étant arrêté, on pouvait maintenant entendre le bruit d'une respiration lourde. On aurait dit que c'était le caméraman. Quelques secondes puis, l'image toujours fixée sur ses cuisses, elle se mit à osciller en écho à la respiration lourde et à l'excitation du caméraman. A ce moment, on entendit une voix d'homme, probablement le caméraman. «Soulève ta robe et montre-nous tes trésors.
« S'il vous plaît, ne me forcez pas à le faire ...» La voix de la femme était douce, juvénile, et clairement elle était filmée sous la contrainte. La caméra ne bougea pas, restant centrée sur ses jolies cuisses, dissimulée seulement par sa robe très courte. « Allons, ma chérie, obéis, tu sais ce que tu désires ...»
Cette fois, la jeune femme a obtempéré à la demande du caméraman. Lentement, ses mains ont glissées sur ses cuisses fuselées, entraînant la robe vers haut, jusqu'au dessus de la taille, découvrant le liseré en dentelles des bas, les jarretières, et la fine culotte. Le mouvement s'est effectué lentement, sans à-coups, juste un déhanchement lascif au niveau des fesses, comme le striptease d'une effeuilleuse professionnelle. La caméra a suivi le mouvement en parfaite synchronisation.
L'image se déplaça lentement, effleurant le ventre plat et les hanches sensuelles jusqu'à sa poitrine apparemment très ferme. Les seins étaient couverts par sa robe fleurie, mais le tissu très léger laissait apparaître les tétons dardés.
Après quelques secondes à examiner la vision de son décolleté, la caméra continua son chemin vers le haut et son cou apparut. Un cou long, fin et gracile orné d'un magnifique collier de perles. Clairement, c'était une femme aisée.
Désorienté et troublé, le prêtre devenait de plus en plus curieux de savoir qui pourrait être cette femme.
Mariée, fortunée, raffinée, attrayante mais apparemment plutôt réticente, pensa-t-il.
Pendant que la caméra poursuivait son lent travelling montant, le prêtre devenait de plus en plus impatient de découvrir le visage de cette malheureuse jeune femme et de connaître le triste sort qui la plongeait dans une situation aussi bizarre.
Et, quand son visage apparut enfin, il eut un sursaut d'horreur en découvrant l'identité de l'inconnue, car c'était sa propre charmante jeune épouse, Sandra !!!
Elle semblait extrêmement nerveuse et, de la pointe de sa langue, léchait ses lèvres purpurines.
« Oh mon Dieu!» jura-t-il, sous le choc de l'horreur la plus totale.
Sandra Fouler, la belle jeune épouse du prêtre, apparaissait dans le film, maquillée et vêtue en pute de luxe!
« Ce n'est pas possible. Ce n'est pas correct. Oh mon Dieu, ça ne peut pas être, ça ne peut pas être!» criait-il, choqué et confus.
« Connaissez-vous cette femme?» demanda sournoisement André, sachant exactement qui elle était.
« Oui, mais oui, bien sûr, je reconnais Sandra, c'est ma femme!» Mais sa femme était douce, aimante, fidèle ...
« Comment? Que lui a-t-on fait? Comment l'avez-vous eue sur ce film? Ce n'est pas correct! Elle est l'épouse d'un prêtre, un homme de Dieu, et c'est une vraie croyante
» Comme si le fait d'être l'épouse d'un homme d'église, prêtre de surcroît, devrait la mettre à l'abri des pulsions humaines.
Le prêtre criait, regardant André, horrifié par ce qu'il voyait. « N'y a-t-il rien de sacré pour vous?»
Ce prêtre n'avait eu aucun scrupule à mettre dans son lit cette jeune oie blanche, qui avait l'age d'être sa fille, et qui venait aider à la paroisse après le catéchisme. Il l'avait séduite, dévergondée, déflorée mais trouvait scandaleux qu'un autre homme puisse convoiter cette belle pouliche.
André se contenta de sourire à cette avalanche de questions naïves et stupides.
« Chaque femme a ses pulsions, mon père, alors pourquoi ne pas regarder le film et voir ce qui se passe ensuite ?..»
Le prêtre le regarda, hocha la tête nerveusement, puis se retourna vers l'écran, résigné et soumis. Par son côté sombre, le prêtre pervers a compris le sous-entendu. Lui, comme Sandra, étaient de bons chrétiens, adeptes conservateurs de la Sainte Bible, croyant au caractère sacré du mariage, et pensant que les deux races, noires et blanches, devraient se mélanger le moins possible.
« Oh mon Dieu, c'est si méchant!» le prêtre pleurnichait. Mais son comportement, sa respiration rauque, trahissait son excitation de voir sa femme maltraitée par un inconnu.
La petite Sandra a commencé à supplier. «S'il vous plait, oh, s'il vous plait, ne me demandez pas ça, s'il vous plait, ne me faites pas faire ça, vous savez que c'est mal, vous plus que quiconque vous le savez ...»
« Ce que je sais, c'est que c'est ça que tu veux, c'est pour ça que tu es venue ici, n'est-ce pas?»
Pendant que le caméraman parlait, le prêtre pensait qu'il reconnaissait cette voix, elle lui semblait familière. Mais le son était trop faible, comme étouffé, et il ne pouvait pas mettre un nom dessus.
Sandra regarda droit dans l'objectif et répondit: «Non, j'ai été trompée, je ne savais pas qu'on allait m'amener ici, dans cet endroit, où il serait, je venais vous rejoindre, pourquoi me faites-vous ça, pourquoi?»
« Je fais ça parce que je sais que tu en as besoin. Je le fais parce que je sais que tu n'es qu'une sale petite pute blanche soumise au sexe de l'homme noir. Regarde-toi. Regarde comme tu t'es habillée et maquillée. Juste pour goûter à la bite noire dont tu rêves, n'est-ce pas? Tu ne t'habilles pas comme ça pour ton mari, n'est-ce pas?»
Le prêtre était assis sans réaction, choqué, pendant que cet homme réprimandait sa charmante épouse en lui adressant ces mots orduriers. Silencieuse, Sandra baissa le regard en léchant ses lèvres pulpeuses. Clairement, elle acceptait le sermon.
« Regarde-toi. Tu ne portes même pas de soutien-gorge aujourd'hui, n'est-ce pas?» Sandra secoua la tête négativement. « Et tu fais ça pour aguicher l'homme noir dont tu es éprise, n'est-ce pas?»
« Non, non, ce n'est pas pour ça, je le jure, souvent je ne porte pas de soutien-gorge!»
« Ne me mens pas, Sandra!» Pour la première fois, le caméraman avait élevé la voix, effrayant Sandra qui laissa échapper une plainte. La colère inattendue de l'homme terrorisait Sandra qui ne put retenir une larme.
« S'il vous plaît, ne ...»
« Non. Je ne veux pas entendre tes misérables et pitoyables supplications, tu vas filer doux et obéir aux ordres, salope, tu comprends?»
La caméra a alors lentement commencé à dé-zoomer du beau visage de Sandra, élargissant le champ, montrant la fille en entier dans son environnement. Sandra était assise sur un chiotte dans les toilettes des hommes!
Des toilettes pour hommes particulièrement dégueulasses, les carreaux au sol étaient jaune pisseux et couverts de taches suspectes. Les murs de tous les côtés étaient couverts de graffitis et d'autres taches douteuses. C'était un endroit particulièrement répugnant que Sandra n'aurait jamais dû visiter.
Et, dans ce lieu maudit, Sandra Fouler, l'épouse modèle, assise sur la pointe des fesses, vêtue d'une robe indécente, les jambes croisées, montrant ses bas et jarretières, un halètement causé par la peur agite sa poitrine pulpeuse, et ce visage angélique où se lit un mélange de crainte et d'excitation. Dans des circonstances normales, personne ne s'attendrait à trouver une femme d'une telle qualité dans un endroit d'une telle saleté.
Pour le prêtre, tout cela était surréaliste et il se demandait comment Sandra s'était laissée entraîner dans un tel guêpier.
« Maintenant, obéis, mets-toi à genoux et suce cette grosse bite noire, salope, putain de garce blanche.» Le caméraman l'invectivait, haletant, enfiévré et excité d'avoir une femme blanche si raffinée à sa disposition.
Le prêtre s'imaginait que le caméraman était un vieux noir, peut-être l'homme de ménage de cet endroit dégoûtant.
D'une façon ou d'une autre, il avait réussi à contraindre la pauvre Sandra, à l'amener ici et que c'était lui qui allait se faire sucer, d'où son excitation compréhensible.
« Non, non s'il vous plaît, ne faites pas, ne me faites pas ...» supplia Sandra.
« Sandra, ne discute plus, maintenant, fais ce qu'on te dit et suce cette grosse bite noire!» le prêtre était très surpris, car cette voix était différente de celle du caméraman et Sandra avait, pour la première fois, regardé d'un autre côté, loin de l'objectif, et il était évident qu'il y avait d'autres personnes.
La voix était profonde et grave, un ton de commandement, et il n'avait pas besoin d'élever la voix pour être obéi. Il suait l'autorité sans aucun besoin de forcer le ton. Le prêtre a immédiatement pensé que c'était la voix d'un homme noir raffiné, puissant, habitué à commander, quelqu'un comme André, mais il ne pouvait pas en être sûr.
Le regard tourné de côté, Sandra continuait ses supplications.
« S'il vous plaît, monsieur, je ne veux plus le faire, je ne veux plus sucer de grosses bites noires, je veux être une bonne épouse maintenant, je veux travailler avec mon mari à l'église, l'aider à transmettre la parole du Seigneur ...» Sandra tourna alors la tête pour regarder de nouveau la caméra.
« Mais comment puis-je le faire quand on me demande d'être une pute adultère? Ce n'est pas correct, ce n'est pas ce que j'enseigne et en quoi je crois ... vous le savez et vous pouvez m'aider ...»
Visiblement, ce n'était pas la première fois que Sandra se soumettait et offrait sa bouche au vit noir, mais il semblait qu'elle ne voulait plus y être e et voulait que ça s'arrête.
« Ce n'est pas notre problème, Sandra, tu es une chienne faite pour servir, et c'est exactement ce que tu vas faire.»
« Tu es là pour être utilisée comme vide-couilles par des verges noires, que tu le veuilles ou non, ton consentement n'est pas nécessaire. A moins que tu ne veuilles que ton mari soit informé, je te conseille d'obéir, tu sais que tu veux à...» L'homme laissa sa menace en suspens.
Sandra baissa les yeux et, suçotant ses lèvres, répondit:
« Je n'ai vraiment pas le choix, je n'ai pas d'autre choix que de me soumettre à la puissance des gros sexes noirs.»
Puis, fixant la caméra comme si elle lui parlait, elle a continué:
« Mais, je veux que tu saches que je le fais sous la contrainte, je n'ai jamais voulu cela, je le jure, j'ai toujours voulu être une épouse fidèle, je n'ai jamais souhaité devenir une pute au service des gros braquemarts des mâles noirs. Il m'a obligée à le faire, à me prosti!» Elle a crié en indiquant le deuxième homme. «Je vais le faire, mais seulement parce qu'il m'a obligée de le faire, parce que je n'ai pas le choix, pas parce que je veux ...»
« Mais oui, bien sûr, tu ne trompes personne, petite pute. Maintenant, fais-le, à genoux et suce cette grosse bite noire et avale-la bien !!!!» C'était le caméraman qui parlait et Sandra baissa la tête, soumise.
Sandra, se laissant glisser du siège des toilettes, s'agenouilla sur le sol sale. Mais elle ne vint pas vers la caméra, elle rampa le long du mur vers une cloison percée d'un trou à hauteur des hanches. Elle progressait lentement sur les genoux, la bouche grande ouverte, la langue légèrement sortie, humidifiant ses lèvres sensuelles.
Le prêtre était confus. Naïvement, il se demandait ce que Sandra pouvait faire, agenouillée sur le sol, la bouche grande ouverte devant un trou vide dans un mur?
Quelques secondes, et la réponse est arrivée sous la forme d'un très gros et très long vit noir. Bien sûr, c'était un trou aménagé en Glory Hole.
« Nom de Dieu!» a juré le prêtre sous la surprise! La jeune femme du prêtre était sur le point de sucer la grosse bite d'un homme noir, dans des toilettes d'hommes dégoutantes, et elle ne connaissait même pas l'homme qu'elle allait sucer!
Bien sûr, le prêtre a trouvé cela totalement obscène, odieux et immoral. Cependant, sa propre bite se raidissait à la pensée que sa charmante épouse soit obligée de sucer une queue, une bite noire pas moins. Il semblait que plus la situation était lubrique, plus elle l'excitait. Il était aussi pervers que Sandra, pensa-t-il.
La gland noir était maintenant très proche de la bouche ouverte de Sandra. Elle ne l'avait pas encore touché et, avant qu'elle ne le fasse, son visage se tourna de nouveau vers la caméra et, regardant de nouveau avec ces beaux yeux bleus implorants, elle dit:
« S'il te plaît, fais en sorte que ça s'arrête. Je ne veux pas faire ça, s'il te plaît ...»
« Suce-la, sale pute, MAINTENANT!» hurla le caméraman coupant court à ses supplications. Sandra regarda de nouveau vers l'énorme queue noire et, plutôt que de la prendre en bouche immédiatement, tira la langue pour lécher le gland massif. C'était comme si elle voulait faire durer le moment pour retarder l'inévitable.
« Oh, je ne veux pas faire ça, je ne veux pas être obligée de sucer la bite de cet homme, si noire et si grosse! Oh, c'est si obscène ...»
« Fais-le, chienne ... MAINTENANT !!»
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