Croisière 7
Il y avait une soirée costumée ce soir-là, mais je navais pas envie de my rendre, pas envie de soutenir le regard de mes camarades niçois, qui me demandaient souvent pourquoi je nétais pas avec eux le soir, à jouer aux cartes, au flipper ou bien au billard
.
Je ne pouvais pas leur dire queffectivement, je jouais au billard tous les soirs, mais pas avec les mêmes boules et pas avec les mêmes queues. Je répondais par de vagues excuses, leur disant souvent que jadorais le bateau et la mer, que jaimais my balader, un peu partout.
On devait quitter Syracuse ce soir-là, pour rejoindre Naples dans la matinée, en passant par le détroit de Messine, mais surtout, nous devions longer lile du Stromboli, avec son volcan toujours en activité.
Même crevé, épuisé par tant daccouplements, pour rien au monde je ne voulais manquer ça, et jespérais bien assister à une éruption en direct. Je me suis rendu sur le Pont supérieur, en haut de la passerelle, normalement interdite au public, mais que Saïd mavait montrée. Je savais que je ne risquais rien si jétais surpris
les mâles me connaissaient
Non ?
Accoudé à la balustrade, jai vu apparaitre lile sous mes yeux, avec une rougeur à son sommet. Quelle chance
Il me semblait quune éruption était sur le point de se produire
Cette lave, ce feu, cette explosion prête à surgir me faisait penser à tant dautres éruptions
!!!
Tout absorbé devant le spectacle sublime qui se déroulait devant mes yeux, jai dun coup ressenti une présence derrière moi et une main se poser sur mon épaule
Patrick
« Je savais que tu étais là, que tu nallais certes pas manquer ça
»
Il ma serré contre lui, ma embrassé dun baiser violent
le premier aussi fort
et ma retourné vers cette magie, cette merveille de la nature quest un volcan, qui explose, avec des jets qui fusent très haut, pour tomber et retomber sur les pentes de cette montagne, en coulées épaisses, dun rouge si brillant
Quelle Féerie
!!! Jen étais subjugué
.
Sa main était posée sur mes fesses, les malaxant, les triturant, ses doigts savançant vers ce puits qui avait déjà donné tant de plaisir. Il sest positionné derrière moi, descendant mon bermuda, et dune formidable poussée, son membre ma possédé, dun coup, en entier
23cm et dune largeur hors du commun (ça, jai pu le mesurer plus tard, ce qui était son problème dailleurs, sa largeur
) ont pris possession de moi, me fouillant, cherchant à senfoncer au plus profond de moi, pendant que Patrick me tenait la tête pour que je contemple le Stromboli en totale éruption
Et cette éruption était devant mes yeux et en moi aussi... Quand la dernière coulée de lave est sortie du cratère, lautre coulée de lave sest déversée en moi
Jamais Patrick navait joui autant, dun sperme chaud, aussi bouillant que ce magma qui sortait du Stromboli
Nous sommes restés encore une bonne heure à contempler la fin de léruption
cétait si beau
Je me sentais si bien à savourer cette merveille de la nature, devant mes yeux et dans moi, blotti dans les bras de mon mec, de mon homme, mais aussi, de mon Mac
Je savais ce quil attendait de moi
Il ma repris encore une fois
son appétit semblait insatiable et il ma raccompagné jusquà ma cabine
« Tu es à moi maintenant
Je te veux ma femelle soumise, jai de gros besoins, et tu le sais... Mais je veux aussi que tu tapines pour moi
Un Max
. Les arabes de Las Planas ont trop besoin dune pute comme toi, ils ont trop peur dengrosser une nana
Avec la chatte que tu as maintenant, ce serait dommage de ne pas leur en faire profiter, non ? »
Il devait être plus de 2 heures du matin quand jai enfin rejoint ma cabine, après un autre baiser fougueux, en espérant fort que mes collocs dormiraient à poings fermés. Jétais tellement épuisé que je nai jeté quun regard vers la porte de la salle de douche
Je puais le foutre, le mâle, lodeur de Patrick collait à ma peau, mais je navais pas le courage de me passer sous leau
De toute façon, la cabine était emplie de ce « subtil arôme » de fauve que dégagent 4 ados aux hormones en ébullition, le jus de couilles nen étant pas exclus
.
Joccupais une des deux couchettes du bas, et je me suis affalé sur mon lit, sans prendre la peine de me déshabiller et savourant ce repos, la chatte bien endolorie après tout ce quelle avait subi, mes rétines imprégnées du spectacle du Stromboli, et mes narines emplies des effluves de mon homme
Dieu quil sentait fort le mâle, ses phéromones saccrochaient à ma peau quand ses poils se frottaient partout sur moi, Dieu quil était velu... !!!
Je commençais à sombrer dans un demi sommeil bien mérité quand en tournant la tête, jai vu Sylvain, allongé sur la couchette en face de moi qui branlait sa bite, de fort bonne taille, en me regardant droit dans les yeux
Je le connaissais un peu, il était en Maths, mais il avait conservé lOption Anglais Ren, et nous étions en cours ensemble 2 heures par semaine.
Nous nétions pas particulièrement amis, mais jappréciais quand même de le reluquer de temps en temps, discrètement, beau métis né de père antillais et de mère métro, et habitant dans notre quartier, pas très loin de chez Patrick, il me semblait.
Lespace entre nous étant plus que restreint, et tout en continuant à branler sa queue, moins grosse que celle de Patrick, mais de fort beau calibre quand même, il sest approché de moi pour me parler à voix basse
« Tu pues le foutre Michel, tu pues le mâle
Je suis persuadé que tu tes fait défoncer à mort sur ce bateau
. Et je suis sur que tu en crevais denvie depuis longtemps
cest ça non ? »
Jétais désemparé, je venais de me faire griller par Sylvain, que jaimais bien mais dont je ne pouvais absolument pas savoir quelle réaction il pouvait avoir. Cest vrai que je puais le foutre et lhomme, il métait impossible de le renier
Jattendais passivement sa réaction
Elle fut très simple
sa bite sest approchée de ma bouche
« Suce et après, je vais tembrocher
!!! Une de plus ou de moins, ça ne te pose pas de problème, je pense ? » Avec un sourire bien ironique et un regard aux yeux noirs, perçants.
Je devais plus baiser gratis, Patrick lavait exigé, mais là, je ne voulais pas que Sylvain nous cause des ennuis, je lui expliquerai ça. Pas question que Sylvain puisse se douter que je lui appartenais
Malgré ma fatigue et tous ces accouplements, jétais devenu une pute, jai obéi
Heureusement les 2 autres dormaient quand il ma retourné, mise à 4 pattes sur mon lit, pour enfoncer son membre brulant dans moi, ma chatte bien lubrifiée la accueilli sans problème
à 2 reprises
Je comprenais, maintenant, ce que, être une putain voulait dire
Ecarter les cuisses sur demande, appartenir à son Mac, lui rapporter un max et ce que le protéger voulaient dire
Nous allions rentrer à Nice dans 2 jours, les vacances commençaient et jétais libre pour me donner totalement à mon Mâle, mes parents bossant, javais une relative liberté, mais qui sarrêtait à la nuit
.
Jétais sure que Patrick me trouverait une solution pour être disponible le plus possible pour lui et pour les autres hommes
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