Collection Zone Rouge. La Comtesse De Forchambeau (10/16)
La révolution vient de frapper le couvent ou le Duc mon premier amant père du jeune Justin qui devait devenir mon époux ma laissé, car il pensait que javais plus de chance cachée au milieu des nones.
Agnès lune delles mapprend les plaisirs féminins, mais je nous sauve de linvasion qui a été fatal à la cafteuse quétait sur Isabelle, que nous avons entendu se faire malmener derrière la porte menant à la terrasse du clocher où par chance nous venions de monter.
Je lai vu repartir avec les autres surs, mais dans une posture qui me fait penser quelle est devenue grâce aux gros sexes qui lont perforé accro au sexe dÉmile ou peut-être de Polo, bref celui des deux qui avait la plus grosse.
Nous avons quitté le couvent dans la nuit pour rejoindre le presbytère dans le village voisin où le curé était le confesseur des surs.
À ce titre, il est devenu lamant de sur Odette, hélas décédé ce soir et cest à ce moment que pour lui succéder la mère supérieure est venue le solliciter.
Jétais surpris, mais aussitôt franchi ma porte, je lai vu défaire ses vêtements, je peux vous dire que sur Odette dans les premiers temps de nos rapports était assez bien foutue, mais le temps avait fait son effet et ma queue sest tendue sans problème quand jai vu sa chatte bien touffue mise à ma disposition.
En tant que mère supérieure, ma maîtresse avait tenu à lui dire le pécher quelle commettait avec moi voulant soulager son âme sentant ses forces décliner, vous pouvez comprendre, une nouvelle fois à lendroit où vous êtes assise que je lai poussé.
Quand jai fini par décharger sans pour autant lui faire atteindre lorgasme sortant ma queue de son fourreau, jai constaté que je venais de la dépuceler.
Incroyable, nous nous sommes toujours toutes fait déflorer avec les cierges.
Vous nous avez cachés cela sur Agnès, je me souviens du nombre de fois où je vous ai demandé si vous aviez péché et vous avez toujours été muette.
Nous comprenions mal le mot « péché » à part le puits aucune rivière dans les alentours du couvent !
Foutez-vous de ma gueule.
Et vous avec lévêque ?
Cest vraie la rivière passe au bas du village, mais il aurait fallu que je fabrique une canne à pêche, mais je navais quun bâton trop court à ma disposition.
Nous éclatons de rire.
Monsieur le curé, mais vous bandez !
Mademoiselle quel mot affreux dans une si jolie bouche.
Ma bouche est jolie, mais votre bite est tendue, Agnès toi qui me demandais ce quune femme ressentait en recevant une verge bandée, met toi nue.
Blanche un curé.
Je soulève sa chemise de nuit.
Curé certes, mais aussi homme et je peux te dire que la révolution permet bien des libertés.
Je me lève, détache ses vêtements montrant sa belle chevelure brune.
Mets-toi sur le lit à quatre pattes, monsieur le curé venez sur le lit la prendre par-derrière dans sa chatte, avec mon amie, vous entrerez comme dans du beurre, elle a un copain, un cierge bien plus gros que votre bite qui est pourtant fort respectable.
Appelé moi Léon, sinon me rappeler qui je suis va me couper mes moyens surtout que je savais que tu étais lamie dOdette et chaque fois que je te confessais ta voix me faisait bander.
Tu as raison mets-toi en levrette.
De quoi parlez-vous Léon, levrette ?
Cest vrai, vous ne connaissez pas grand-chose au sexe, se mettre ç quatre pattes pour une femme et se faire baiser, cest se mettre en levrette.
Ce quil y a de bien avec Léon, cest que les explications sont possibles immédiatement, il se lève la flamberge au vent montée sur le lit se saisit des hanches dAgnès qui lattend et plonge en elle, quelques coups de reins et la belle salope se mettent à rouler du croupion.
Tavais raison un cierge, cest bon, mais le pieu de Léon, cest meilleur, mon ventre va exploser, je comprends que sur Isabelle soit tombée amoureuse de ce mec qui la déflorait.
Viens membrasser.
Aussitôt demandé aussitôt fait, je me dévêts et je monte sur le lit, je me glisse entre les bras dAgnès remontant vers les sexes des deux partenaires, je croise sa paire de seins dont je profite au passage pour les embrasser la faisant glousser.
Le nombril a toute mon attention ou jentre ma langue la faisant se trémousser.
Enfin, jarrive dans un dernier mouvement sur mes fesses à atteindre les deux sexes, je me dépêche de laisser traîner ma langue sur la bite du mâle et les grandes lèvres de la femelle.
Tu aimes, ma salope !
Oui.
Ce simple mot me ravit, car il me fait voir lintensité du moment quelle subit comme cela a été le cas pour moi avec le Duc.
Il est vrai que jai connu mieux avec les deux faux prêtres, mais pour elle cette première est bonne tout de même et surtout au moment où elle baisse la tête et vient me lécher lintérieur du vagin, je coule, elle mouille, elle coule, je mouille.
La position que nous prenons toutes les deux, ressemble à un 6 et un 9 qui est peut-être lancêtre du 69, je suis fière davoir cette pensée la première et qui sait peut-être passer à la postérité.
Quelques coups de reins de Léon au fond du calice de son amante et je vois sortir quelques gouttes de sperme comme si la chatte dAgnès expulsait un trop-plein, je lèche méticuleusement ce fin breuvage et quand il se retire, jai la joie que sa queue men envoie un peu plus que les premières gouttes.
Pour faire bonne mesure, je passe ma langue dans le trou béant que jai devant mes yeux ramenant à ma bouche un maximum de sperme ainsi que sa verge venant à son tour dans ma gorge pour se faire nettoyer.
Je parle de ce qui se passe sous mes yeux alors quen même temps la langue qui caresse ma chatte et surtout mon clitoris me permette de jouir en même temps queux.
Nous nous couchons dans les bras les uns des autres, les jambes tellement imbriquées quà part celle de Léon bien poilus, il est impossible de dire à qui appartient lune ou lautre.
Le jour commence à poindre quand des mouvements m'ouvrent les yeux, à la manière dont le matelas bouge, on baise sur ce lit, cest notre couple qui fornique, elle sur le dos et lui couché dessus, les jambes de ma copine bloquant son amant croisé dans son dos.
Je fais semblant de continuer à dormir, mais sans ne rien perdre de ce bon moment passé par Agnès, les cuisses écartées et labourées une nouvelle fois par de grands coups de bite.
Ils jouissent, je métire comme une chatte.
Bonjour mes amis, je vois que lon samuse sans moi, mais il faut que nous prenions des décisions, la mère supérieure à mon arrivée ma donné une adresse en ville en cas où je sois obligée de quitter le couvent nous nous rendons chez sa sur jumelle qui pourra nous héberger quelque temps.
Il y a combien de kilomètres Léon ?
Un relais de cheval.
Ce qui veut dire.
De relais à relais environ 30 kilomètres, avant il y avait une diligence qui partait du relais près de la mairie, mais je doute quavec ce quil se passe elle fonctionne encore.
Trente kilomètres ont les faire à pied en deux jours.
Avec vos petites chaussures comptez, trois jours.
Nous prendrons plus de risques, mais nous allons essayer en deux.
Avec vos robes blanches et votre foulard sur la tête, vous risquez de vous faire attaquer comme moi pour vous faire dépouiller.
As-tu un couteau ?
Oui, pour couper mon pain et mon lard, pain et lard quils mont tout mangé me laissant un croûton rassit.
Jai une idée, hier avant que ces voleurs viennent me prendre mes soutanes, je suis allée donner lextrême-onction au père Arthur à lautre bout du village, sur mon chemin par deux fois, jai rencontré les premiers paysans qui se réunissaient pour faire connaître leur courroux, chaque fois devant les saintes huiles et leau bénite, ils se sont agenouillés et mont laissé passer en faisant leur signe de croix.
Jai compris, nous nous déplaçons et si on nous pose des questions, nous allons visiter un ou une mourante le curé ayant été attaqué.
Tu as tout compris Blanche, tu es intelligente.
Oui, mais nous sommes des femmes.
Non des nones.
Regarde ce quils leur ont fait au couvent les ont-ils respectés.
Agnès, Léon a raison, il suffit de nous adapter, as-tu de l'huile sainte et de leau bénite ?
Non, elles sont à léglise.
Alors jy vais, je les ramène, on démarre, nous aviserons et sinon hélas nous aurons droit à la charrette.
Je mhabille moi aussi en remettant le voile et la cornette de sur Odette.
Agnès, fait comme moi laisse ici la partie noire de ton costume, il est préférable que nous ayons la même tenue pour éviter les interrogations.
Je vais à léglise distante de quelques mètres sans rencontrer âme qui vit, léglise a été dévastée et dans la sacristie tout a été bousculée.
Léon ma expliqué comment est fait le flacon de métal ou est gardé les huiles saintes, mais rien de ressemblant, les pillards ont dû penser que le métal avait de la valeur et lemporter.
Au sol, il y a une bouteille qui a dû contenir du vin de messe et les burettes en verre sont cassées, ainsi quune petite bouteille elle aussi cassée qui correspond à la description de la bouteille deau bénie.
Bref, jai limpression davoir fait chou blanc quand dans larmoire, je trouve deux étoles violette et rouge, je les emporte et je retourne vers le presbytère.
Léon, tout a disparu même le ciboire, les croix et les bougeoirs métallique, jai juste récupéré deux étoles, Agnès met celle-là, je mets lautre.
Non pas la violette, je préfère la rouge.
Parce que tu crois que lon a le temps de jouer les coquettes.
Je fais le tour des deux-pièces, Léon a un broc deau avec une cuvette, devant une glace, il y a un savon à barbe dans un pot en étain.
Le couteau a disparu certainement emporté par les deux faux prêtes qui mont défoncé, je prends conscience que jai bien fait de me laisser exorciser, car à cette heure, jaurais peut-être la gorge tranchée mon cadavre pourrissant dans la pièce où ils ont abusé de moi, surtout que jai pris beaucoup de plaisir.
Dans la pièce principale dans le petit coin-repas, je trouve une carafe en verre qui va pouvoir faire laffaire.
Je mets de leau dans la carafe et de lhuile pour la lampe dans le pot en étain.
Voilà, on est prête de leau bénite et de lhuile sainte, on peut partir.
Je vais les bénir et vous bénir aussi pour que vous atteignez le but de votre voyage sans encombre.
Attends, on a oublié de te dire une chose hier au soir, Odette ta copine est morte de mort naturelle, cest la seule qui reste au couvent, avec la chaleur cela va rapidement devenir irrespirable, fait ce quil faut pour quelle soit enterrée.
Met la robe noire dAgnès et cherche des vêtements décents et aussi après cela, je serais toi, je changerais de métier, prête avec ce serment de chasteté, cest trop dur pour toi.
Je vais aller à la boulangerie, la boulangère maime bien et cest à son mari que jai administré les derniers sacrements hier, dans létat où il était à cette heure, il a dû rejoindre le ciel, nous avions la même taille, je trouverais bien un pantalon pour aller moccuper dOdette avec quelques fidèles restés hors de ces barbaries.
Il se signe et embrasse sa croix quil a remise layant enlevé hier quand il a forniqué avec nous et nous bénit.
Allez Agnès en route, un long chemin, nous attendons.
À la sortie du village contrôlant tous les mouvements, des paysans sont regroupés.
Où allez-vous mes surs ?
Dans une ferme isolée porter les Saints sacrements à un pauvre vieux qui va mourir, regarder, leau bénite et les huiles saintes, le curé est alité, car il a été attaqué et il nous a confié cette mission, car nous faisons partie de léglise.
Elles doivent aller chez le père Jules, il est au bout à force de picoler, laissez passer, pouvez-vous nous bénir mes surs afin que nous réussissions à choper tous ses nobles qui nous écrasent sous les charges et les impôts.
Agenouillez-vous camarades.
Jai limpression que je viens de voir la naissance de ce que ma descendance, si jen ai une appellera syndicat revendicatif, je vais couler un peu deau sur mes doigts et je les asperge en faisant le signe de croix,
Bonne route mes surs
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