Sur Le Chemin Du Retour

Sur le chemin du retour

Chères Lectrices, Chers Lecteurs,

Voici la suite de mon premier récit, ma vie de couple étudiant. Sauf grande exception, chaque “escapade” se fait sur un coup de tête.

Je suis en couple depuis maintenant 02 mois, et j’apprécie énormément ma nouvelle compagne, tant sur le plan physique (1.65-1.70m, une cinquantaine de kilos toute mouillée, 85B, des fesses toutes rondes entretenues par du sport de manière pluri-hebdomadaire, des cheveux châtains, et un regard marron-vert, très intense) que sur le plan moral (elle est major de promo, nous discutons d’autres choses que du programme TV).

J’avais le choix du logement maintenant, j’ai donc opté pour le salon-chambre de Madame, plutôt que ma minuscule chambre d’étudiant en cité universitaire. Comment peut on vivre dans 07 m2 ?????
Nous commencions à être complices et cela se ressentait dans les moments intimes. J’ai profité d’avoir une petite amie ouverte d’esprit pour découvrir de nouvelles choses. J’en fais aujourd’hui amende honorable, j’ai souvent utilisé le “ah tu ne connais pas ça toi?” pour que le champ des possibles s’élargisse. Et ça marchait…..

Nous voici donc en soirée universitaire, toujours à BREST. L’ambiance est très festive, nous nous promenons de bars en bars, puis rencontrons des amis, au grand point de ralliement étudiant à l’époque.
La soirée se passe, et nous décidons de rentrer. Il doit être 03h00 environ.
Nous avons environ 20 à 30 minutes de marche pour rejoindre son appartement. Sur le trajet, nous longeons la fac de lettres, puis un grand stade, peu éclairé. Il nous a fallu un seul regard, sans aucune parole pour décider d’un “détour”.
Nous traversons le stade en courant, et allons au fond sous les arbres, là où les réverbères n’éclairent que de manière indirecte (j’ai constaté qu’ils ont été coupé depuis….)
Nous sommes essoufflés, nous regardons avec des yeux gourmands, et ce petit flottement apporte une réelle électricité dans l’air.

Madame, en me fixant droit dans les yeux, jette sa veste par terre, baisse sèchement son pantalon et son string, et prend appui sur un arbre, en se cambrant à la limite de l’indécence. Elle est en débardeur, le pantalon à mi-cuisses…..

Je m’agenouille derrière elle pour la lécher. Son odeur est enivrante, son goût terriblement bon, et elle a cette aptitude à être trempée en un clin d’oeil. Je m’applique autant que faire se peut pour lui lécher sa chatte. Son clitoris difficilement atteignable dans cette position. J’en profite aussi pour jouer avec son oeillet, c’est très agréable. Je le lèche délicatement, elle gémit, la caresse est nouvelle pour elle. Je retourne sur sa chatte, et sa cambrure forme presque un angle à 90 degrés. Je tente d’insérer un doigt à l’arrière, elle me dit d’une voix terriblement excitée “il y a beaucoup de nouveautés pour moi ce soir”. Je comprends alors son message.

Ma concentration retourne alors sur son intimité. Je la retourne, la caresse sans ménagement, tous les deux debout. Je l’embrasse à pleine bouche en même temps pour lui faire goûter son jus. Elle jouit en me mordant la langue. Elle est un peu groggy, je la fais s’accroupir, et elle me suce les jambes écartées.

Sa technique a bien évolué, et elle met beaucoup de salive (j’adoooore), et devient de plus en plus gourmande. C’est vraiment agréable, surtout lorsque sa langue, douce au possible, vient passer délicatement sur mes testicules. Elle a compris qu’une langue en pointe n’est pas la plus agréable, et lorsqu’elle s’applique à avoir la langue la plus large possible, c’est magique. Ses va-et-vients se font de plus en plus rapides, et je suis sur le point de céder.
Elle me dit alors de sa voix douce, et la bouche pleine, “c’est perturbant, j’ai l’herbe qui me chatouille en dessous”. (On ne peut pas l’inventer, ça…)

Nous rigolons, elle se cambre à nouveau contre l’arbre décrit tout précédemment, et je m’enfonce en elle. Elle ne gémit plus, manifeste son état de béatitude.
Je laisse envoler mon côté gentleman pour la pilonner sévèrement. Je me sens défaillir, et me retire, un peu précipitamment certes, pour jouir sur ses fesses. Il n’y en avait pas des litres, mais assez pour tacher son pantalon.

Elle s'assit alors dans l’herbe pour enlever le maximum de sperme. Une envie pressante s’est fait sentir. Elle urine alors dans l’herbe. Elle reprend ses esprits assez vite, et dit :
”Mais tu me regardes?! Je suis en train de faire pipi, là! Si tu continues je te fais dessus!”
Ma major de promo se lache! Je lui souris, fais mine de lui tourner le dos, avant de me retourner vers elle et la fixer. Elle sourit, sachant que je ne cèderai pas. A cause de sa remarque, de surcroit.
Au moment de se rhabiller, mon regard est captivé par le sien, intense! Elle vient m’embrasser à pleine bouche. Et me sourit à nouveau.
Lorsque nous sommes sortis de notre “cachette”, au niveau de la piscine, avenue foch, un homme qui passait par là nous a demandé du feu. A ce moment, madame lui tourne le dos en cherchant du regard quelque chose qui n’existe pas.
“Oh mais votre veste est sale, mademoiselle, vous avez de la terre plein le dos…”
Elle ne s’est pas démonté, lui a répondu d’un hochement de tête accompagné d’un grand sourire. Je lui ai tendu mon briquet, et, d’un air entendu, nous a répondu “Merci messieurs dames”.
Nous sommes rentrés tranquillement avec un sentiment mutuel d’accomplissement. Et c’est bon!

Je reste bien évidemment ouvert à tous vos commentaires.
Bien à vous,

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