Femme Révoltée
- Je vous pose donc la question suivante, telle que votre époux l' a posée à mon épouse, mot pour mot, c'est d'une élégance rare, reconnaissez le :
"T'es-tu déjà masturbée devant ton mari ?"
Ma femme a répondu "oui". Ce qui est faux car je n'ai pas eu droit à des provocations excitantes de cette nature Entre époux est-ce normal, je ne sais pas, car cela ne se chante pas sur les toits? Qui répondrait "oui" ? Face à une telle indiscrétion n'importe qui, auteur ou non de la chose, nie sans trembler. Sous prétexte qu'elle aurait à le faire pour ses clients internautes futurs, Claude a demandé à ma frmme de se masturber, sur la table du séjour. Il devenait ainsi le spectateur du web et elle incarnait le rôle de modèle au cours du casting. Le jeu vous semble toujours aussi anodin ? Ma femme en position de salope et votre mari voyeur : Cela ne provoque plus votre hilarité ?
- Claude n"a pas pu demander une chose pareille. Jamais il n'a exigé ça de moi, sa femme. Alors comment aurait-il osé le réclamer d'une étrangère ?
-Vous insinuez que je mens? J'étais présent sans être vu. Que diriez-vous si mon smartphone vous donnait la preuve de son incroyable goujaterie ? Toujours est-il qu'il a eu cette audace.
- N'insistez pas. Je vous crois et je suis navrée d'être l'épouse d'un pareil tordu. Alors?
- Oseriez-vous écarter la ficelle de votre string et vous toucher devant lui ? Il est votre mari, pourquoi en qualité d'épouse refuseriez-vous de lui donner ce plaisir. Mais qu'est-ce qui pourrait vous pousser à vous caresser, à vous pénétrer avec vos doigts jusqu'à l'orgasme devant moi que vous ne connaissez pas ? Arrivée à ce stade vous vous révolteriez de façon normale ? Je comprendrais votre indignation.
Eloïse interroge Claude :
- Tu as osé réclamer ça à sa femme ? Elle l'a fait ? Elle s'est masturbée et s'est fait jouir devant toi ? Et moi je n'en aurais pas le courage devant toi et devant cet homme? Voyons, voilà pourquoi je décide de me masturber ici, maintenant et devant deux hommes.
Claude a eu tort de me défier. Eloïse cette fois a changé d'attitude : révoltée par la méthode qu'elle saisit partiellement, elle se montrera moins farouche avec moi qu'il ne le croyait. Elle n'est pas au bout de ses surprises et elle veut en savoir plus, comme si les détails accumulés renforçaient sa détermination à me favoriser au détriment du mari immobilisé sur son siège. Elle m'interpelle :
- Vous avez bien dit "jusqu'à l'orgasme"? Il faut équilibrer les conduites; ce que votre femme a fait, je dois l'accomplir de la même façon, complètement. Me voilà donc autorisée par la demande éhontée de mon mari à réaliser en public ce dont j'avais honte quand je me faisais jouir avec mes doigts dans le secret de mes draps. Moi, je ne nie pas que j'ai recours à cet ersatz d'amour en raison du peu d'assiduité de mon mari.
Son indignation n'est pas feinte. Elle s'explique par le comportement habituel de ce mari trop souvent défaillant dans son lit parce que trop accaparé par sa chasse aux recrues sans scrupules. Les reproches tombent dru, ma présence rajoute du poivre au récit de cette femme en colère :
- Voilà pourquoi tu es fatigué en permanence mon cochon. Je m'inquiétais pour ta santé, compromise par un excès de travail. Pour moi, pour toi et pour venger ce témoin et sa femme, regarde moi, idiot, je décide d'imiter en tous points ce qu'a été obligée de faire cette malheureuse créature.
Claude a l'audace d'accuser Patricia :
- Je lui ai offert un marché. Elle l'a adopté. Je n'ai recouru à aucune forme de contrainte. Elle a bien voulu se doigter. Elle y a pris son pied, tant mieux pour sa santé ! Ou y a-t-il problème, toutes les femmes se doigtent, pourquoi pas elle ? Pendant toute l' épreuve, j'ai constaté que ce serait une excellente affaire pour mon site.
- Remballe ton baratin infecte et surtout dis-toi que si tu ouvres encore ta grande gueule, je te couperai à ras tes bouclettes et tes accroche-coeur, je te raserai le crâne. Après, si tu l'ouvres encore; je te couperai les couilles. Ferme la et regarde avec quel plaisir j'accomplirai chaque geste. Tu l'as avilie, cet homme sera témoin de mon avilissement. Ce sera une maigre consolation, nous la lui devons. Après quoi j'exigerai de suivre pas à pas les démarches de l'épouse sur ton site en qualité de modèle. A mon tour j'irai m'exhiber. Ce sera ça ou je te ficherai à la porte. Je te rappelle qu'ici tout ou presque m'appartient. Maintenant ne bouge pas et regarde sans dire un mot. Par où faut-il commencer ? je suis prête ?
Elle ne sait pas encore où elle ira. Moi je sais comment nous passerons la journée. Je suggère:
- Claude est trop loin, rapprochons sa chaise de la table où vous allez immoler votre pudeur. Le spectacle de sa femme imitant ses candidates va le désespérer.
D'un bond Eloïse est descendue de son perchoir. A deux nous installons Claude à un mètre de la table.Il ne manquera pas un détail. Sa femme lui fait face, prend appui des deux mains sur le plateau du meuble et y hisse ses fesses de sorte que le nez et les yeux du mari soient à proximité du sexe marqué dans le tissu du string. Pour narguer "le salaud" elle veut connaître mon prénom et me tutoiera si je l'accepte et si je la tutoie aussi.
Un lien étroit s'établit quand on quitte le voussoiement. Eloïse devient la complice de Serge. Les oeillades qui accompagnent ce rapprochement annoncent une suite alléchante. Claude a possédé Patricia, je devine qu'Eloïse voudra s'offrir à moi.
- Pour persuader les femmes candidates à des gains hors normes, Claude les amène à dévoiler leurs charmes de manière prétendûment "professionnelle". Il les impressionne par la répétition fréquente du mot. J'ai suivi le déroulement d'un casting type dans ma maison. Le récit mérite ton attention. En premier il juge une silhouette. Il flatte les formes de la dame. Pour pouvoir mieux apprécier ses talents et ses dons il lui demande de se retirer dans sa chambre pour changer de tenue . Elle devra revenir en soutien gorge et en culotte, si possible en string. Au retour, il pousse des cris d'admiration devant cette sublime créature. Et la voilà dans la tenue où vous vous êtes spontanément mise devant moi.
- N'ai-je pas droit à mon petit compliment, moi aussi ?
- Lorsqu'on est aussi belle que vous, attend-on encore des compliments ? Bien sûr j'aurai besoin de votre aide, alors que vous n'avez plus besoin de flatteries depuis longtemps. Les miennes vous sembleraient intéressées, trop intéressées pour être sincères. Veuillez m'en dispenser bien que vous les méritiez amplement.
- Merci . Votre refus de flatter est un compliment très touchant. Je reprends la pose sur la table. comme cela, talons en bout de plateau, éloignés et laissant une vue directe sur le milieu de mon string. Dis Claude vois-tu le dessin de ma chatte dans mon string. Regarde bien : Je dois me masturber. Ne pourriez-vous... Pendant le démarrage je serais plus à l'aise si toi, Serge, tu ne regardais pas... oh: juste durant la première minute...
- Ce n'est pas ainsi que pratique Claude. Ce qui met du sel dans la masturbation selon le bon apôtre, ce sont moins les gestes que le regard du témoin. La pudeur de l'actrice souffre du malaise engendré par ce regard. Donc tu exécutes. D'ailleurs je compte bien profiter de la situation comme il l'a fait avec ma femme puisque tu m'as choisi comme témoin privilégié.
- Bien, tu tiens à me faire subir cette sensation désagréable. Du moins pourrais-tu m'aider à commencer, me prêter non pas main forte mais un ou deux doigts pour amorcer le mouvement? Là, touche mon con, lance le mouvement.
- Je regrette, ce serait encore échapper à ce vague sentiment de honte ressenti quand on est surpris par l'oeil d'un observateur. Aide-toi de tes doigts,
- Je manquerais à l'esprit de l'exercice si, pour débuter, je glissais ma main sous l'élastique de ma petite culotte ?
- Au contraire, Claude fait procéder de cette façon. Pour débuter ce sera parfait. Bravo !
Eloïse lâche le tétin droit, sa main effleure son nombril profond, atteint l'élastique de son string, se fraye un chemin sous l'obstacle et gonfle le tissude la dernière défense de sa pudeur. de part et d'autre apparaissent hors du string un auriculaire et un pouce.La femme respire un grand coup, me fixe puis ferme ses paupières. La bosse du vêtement s'anime. Unis, les doigts cachés tournent en cercles serrés surle haut du sexe féminin pendant de longues secondes. Je pousse la tête de Claude dans la direction de ces préludes. Il se tait, confus de voir sa propre femme se livrer à cet exercice.
Eloïse ouvre la bouche, elle aspire l'air à grandes bouffées, soulève une paupière et m'aperçoit plongé dans l'observation du mouvement de ses doigts qui descendent sur sa vulve. Certains franchissent le seuil du vagin et vont en frotter les parois. Aussitôt elle cache son regard, sa bouche se déforme.Son haleine devient plus bruyante et ses doigts cachés s'énervent sous le string, remontent harceler le clitoris avant de s'introduire de nouveau dans le sexe. C'est long, j'éprouve une gêne devant ses efforts pour obtenir l'orgasme.
Quelle présence l'empêche de s'envoler vraiment dans la jouissance, la mienne ou celle de son mari. Soudain son torse se dresse, elle me crie:
- Viens, aide-moi, je n'en peux plus et je n'y arrive pas. Arrache mon string et place tes doigts avec les miens. D'abord, déshabille-toi, je te veux.
-Noooooooooon! hurle Claude.
-Ferme la ou je te les coupe, répète la belle.
C'est ce qui me décide à me dépouiller : quelle humiliation pour ce séducteur professionnel ! Je vais tromper Patricia. Elle le mérite ! Je vais honorer une belle femme, une femme en colère. Le string disparaît, je lui cherche une place. Je fais demi tour et me heurte à la femme nue qui a sauté de la table:
- Viens avec moi sur ce tapis épais et moelleux. Fais-moi l'amour.
Elle se laisse tomber devant moi. Elle mène la danse, s'empare à pleines mains de ma verge, la serre, l'embrasse et l'embouche sans attendre. Je suis aspiré, malaxé à l'extérieur, sucé et tourmenté par sa langue tournoyante. J'ai à peine le temps de prendre une forme convenable que la femme en chaleur se couche sur le dos, ouvre le compas de ses jambes, m'attire sur elle et dirige mon sexe vers sa fente béante.
- Viens, prends moi. Je t'appartiens. Oui, pénètre moi. Oh!
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