Samia - 7 Kristos

Kristos baise rapidement et ses doigts s'enfoncent dans mes fesses. Et, là... je sens venir un super orgasme...
— Aaaaaahhhh... je jou... ouiiiii...
Putain, c'est bon! C'est presque trop fort et trop bon. Il me fait jouir comme Vénus jouissait quand elle se faisait enfiler par Mars, le frère de son mari.
Kristos se retire. Oh! Je me sens toute vide! Je me redresse en chancelant un peu. Kristos me prend contre lui en disant :
— Alors, c'était bon ?
— Oui, merci, Monsieur.
Il me lâche. Je dis à Julien :
— Remets ma culotte, sinon le sperme va couler sur mes jambes. Il se met à genoux et m’obéit. Comme ça, il se rappelle bien sa place.
On rejoint les autres. Un garçon me demande :
— Il t'a montré la carte ?
Ça les fait rire. Je réponds :
— Oui, j'ai adoré ça.
On s'assied autour du feu avec les autres. Je me mets à côté de Kristos. Il me prend par la taille et m'embrasse. Il dit :
— Cette petite est forte pour lire les cartes.
Rires à nouveau. Julien est juste derrière moi. Il ne sait pas où se mettre, au propre comme au figuré. Je me tourne vers lui pour dire :
— Viens t'asseoir ici.
J'écarte les jambes et lui montre le sol entre elles. Il vient aussitôt s'asseoir à mes pieds. Je lui caresse les cheveux en disant :
— Tu as été sage, c'est bien.
Il est entre mes cuisses, tout près de ma culotte très humide du sperme d'un autre. J'adore l'idée. Kristos boit une rasade de bière à la bouteille, puis il me la tend. Je bois et je donne le fond à Julien. Quand il a bu, il tourne la tête pour embrasser ma cuisse, en disant :
— Merci, Samia.
Vous voyez comme il est sage ! Par contre, Kristos a les mains baladeuses.  
Tard dans la nuit, on éteint le feu et tout le monde va se coucher. Kristos me dit :
— Je pars tôt demain, mais je laisserai un mot pour toi à la réception.


Il me prend contre lui et m'embrasse. Je gémis un peu :
— On se reverra, hein ?
— Dans une semaine.
— Sûr ?
Il me donne une claque sur les fesses en disant :
— Oui, je viens de te le dire.
Il rejoint les autres dans un coin du dortoir. Eh, il pourrait quand même dormir avec moi. Bah... je suis crevée. Julien et moi, on se couche sur nos paillasses et je m'endors très vite en serrant les cuisses pour garder son sperme en moi. C'est un réflexe de femelle.
***
Le lendemain, on se réveille tard. Je regarde le coin où Kristos a dormi avec ses amis, ils se sont déjà levés. Je vais quand même voir dans la cour. Ni lui ni ses amis ne sont là. Ils sont partis ! Merde ! Julien m’annonce :
— Samia, je crois que la gamine de l'auberge veut te dire quelque chose.
Ah oui, elle est à une fenêtre et me fait signe du doigt de venir. Plutôt désinvolte, la gamine. On va dans la pièce où elle se trouve. Elle me dit :
— C'est quoi ton nom ?
Elle le sait, puisqu'on a rempli des fiches, hier. Je réponds :
— Samia, mais...
Elle me tend un papier, je lis :
« Ma belle, je serai de retour dans une semaine, appelle Lucie pour dire où tu es. ??????? »
Il veut me revoir ! Je demande à la gamine :
— C'est toi Lucie ?
— Ouais, donne-moi le papier, je vais t'écrire le numéro de téléphone.
Elle écrit et je lui dis :
— Je t'appelle dès qu'on a trouvé un endroit pour dormir pour dire où on est.
— D'accord. C'est 10 F.
Normal... Elle me tient ! Je lui donne en disant :
— Merci d'avance, Lucie.
Je vous ai parlé des deux visages, non ? Kristos me plaît et si je dois me déculotter et payer pour que cette petite garce fasse le message, je le fais !
Julien prend nos sacs et on sort de l'auberge. On se dirige vers le Centre. Je n'ai pas pris de douche et j'ai toujours un peu de sperme de Kristos en moi.
..
On s'arrête dans un café et je commande un petit déjeuner : croissants et café, 50 F. L'argent file.
Ensuite on va jusqu'au panneau "Cap d’Agde" pour faire du stop.
Quelques belles voitures passent sans s'arrêter. Les riches ne prennent pas les auto-stoppeurs. C'est une vieille Peugeot qui nous prend. Le conducteur travaille au Village Naturiste. Il est sympa. On discute un peu du village. Il nous dit que ça donne du boulot à pas mal de gens du coin.
Un quart d'heure plus tard, on arrive dans le grand parking du village. Il y a un panneau avec les dessins d'un appareil photo et d'une caméra barrés en rouge. On doit payer 100 euros d'entrée. Ouch !
Le conducteur de la Peugeot a un abonnement. On entre dans le village et je lui demande :
— On peut se déshabiller ici ?
— Bien sûr.
J'enlève ma robe rouge, qui a besoin d'être lavée, et ma culotte que je ne laverai pas. Le chauffeur de la Peugeot me dit :
— Boudiou ! Que tu es belle.
 Je l'embrasse sur la joue pour le remercier du compliment. Il en profite pour me donner une claque amicale sur les fesses. À tout hasard, je lui demande :
— Vous n'auriez pas une idée de ce qu'on pourrait trouver comme petits boulots ?
— Ici, dans le village naturiste?
— Oui.
— Gaulée comme tu es... ça ne doit pas être difficile.
Il remet la main sur mes fesses. Si ça l'aide à réfléchir, autant le laisser faire. Il me dit :
— Dans la grand-rue qui va vers les plages, il y a un glacier qui s'appelle Miliani. Tu demandes Monsieur Miliani. L'année passée, il a engagé ma petite nièce pour vendre des glaces e il a d'autres affaires, aussi.
— Merci, c'est très gentil.
Dernière claque sur les fesses. Je regarde Julien. Ce petit ahuri a gardé son slip. Je lui dis :
— À poil, petit.
Il l'enlève et on met nos vêtements dans un sac. Nous voilà nus comme Adam et Ève après qu'Ève a croqué la pomme, car on sait que c'est un péché et c'est ce qui me plaît.

Quand je me relis, je me dis qu'on pourrait penser que je parle de moi avec complaisance ou que je suis narcissique et... euh... c'est un peu vrai. J'ai conscience que je suis belle et séduisante... Je ne vais pas me décrire de nouveau en détail. À moins que vous n'insistiez. Oui ? Bon, d'accord ! J'ai une abondante chevelure brune ondulée que j'attache en une queue de cheval... sauvage. J'ai de grands yeux noirs, un petit nez, une bouche charnue naturellement... Dommage que je ne puisse pas me dédoubler et m'embrasser avec passion.
Je continue et j'aurais dû commencer par là : je mesure 1 m 70 et pèse 55 kg. Ma peau est ambrée, comme celle de mes ancêtres venant des Indes. J'ai la taille mince, des seins en poire bien ferme, des fesses bombées, des belles cuisses. Oh Samia, je t'aime ! Mais oui ma chérie, je t'aime aussi.
Pour le dire autrement : je plais et ma description flatteuse est très proche de la vérité.
Je vais aussi décrire Julien, mon esclave gadjo. Il mesure environ 1 m 70 et il est mince, mais avec un petit ventre mou : je l'ai déjà mis au régime ! Ses cheveux sont blond sale, comme on dit en anglais. Il est... banal, pas vraiment beau, pas vraiment laid. On est aussi bien assortis qu'une licorne et un mulet ou une sirène et un cabillaud.
On marche nus au milieu des gens nus. Ils ont l'habitude, mais je sens quand même les regards des hommes sur mes seins, mes fesses et surtout les poils de mon pubis. J'aime ça.
Je constate que beaucoup de femmes sont épilés, ou au moins "toilettées". Moi, j'ai une forêt vierge sur le pubis et entre les cuisses. Enfin, disons une forêt tropicale.
Tout d'abord, il faut trouver un job pour mon gadjo. On va chez le glacier. C'est un bel établissement, où deux serveuses nues servent des glaces à des clients nus, pour la plupart... C'est dingue ! Je demande Monsieur Miliani à une des serveuses. Elle m'indique une porte où il est écrit "Privé" en disant :
— Demandez à la secrétaire.

On y va. Dans le bureau, je dis à une femme habillée :
— Je voudrais voir Monsieur Miliani pour lui...
Elle me coupe, tout en regardant les poils de mon sexe d'un air dégoûté :
— Vous devez téléphoner pour prendre un rendez-vous. Monsieur Miliani est très occupé.
Elle est franchement pas sympa, mais j'essaie quand même de lui dire :
— C'est important.
Elle hausse les épaules et répond en articulant bien :
— Prenez rendez-vous. Maintenant, si vous voulez me laisser, j'ai du travail.
J'hésite entre lui balancer mon poing sur le nez ou renverser sa carafe d'eau sur le clavier de sa machine à écrire électrique. Une tête apparaît au-dessus d'une vitre opaque, séparant le bureau voisin de celui-ci. Un homme nous regarde et me sourit. Il tape sur le carreau, la secrétaire lève la tête et le regarde. Il lui fait signe. Elle me regarde en disant :
— Partez maintenant, je dois aller dans l'autre bureau.
— Je crois que votre patron a envie de nous voir.
Oh qu'elle n'aime pas! Elle se lève et va dans le bureau voisin. Deux minutes, plus tard, elle revient et on dirait qu'elle vient de mordre dans un citron pas mûr! Elle nous annonce :
— Monsieur Miliani va vous recevoir.
Nous entrons dans le bureau. Monsieur Miliani est un gros type au crâne rasé, moustache, polo couleur lavande. Il sent le parfum Infinity et ses mains sont soignées... donc, il est... gay ! Cool, je ne devrai pas le sucer pour avoir le job, par contre c'est peut-être Julien qui devra s'y coller ! Il nous dit :
— Que puis-je pour vous ?
Il regarde avec gourmandise le tout petit "service-trois pièces" de Julien. Il est gay !
Il se lève et tourne autour de nous, C'est surprenant.

A suivre.

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