Affaires D'Hommes (3)

Chapitre 3 - Une fois que Sandra fut dans la position de soumission parfaite, le colosse noir sortit sa queue de son pantalon de costume coûteux. La caméra recadra les deux personnages et le prêtre acquit la certitude que l'homme était bien André.
Le prêtre se dressa d'un bond, mais la carrure du black le dissuada de tenter quoi que ce soit. Il se rassit en maugréant, au moins ce mouvement d'humeur lui avait permis de positionner son sexe de manière plus confortable. Il était consterné et dégoûté et regardait Sandra attendant de se faire souiller le vagin par ce noir cruel et dominateur.
Sachant pertinemment que la débauche pécheresse de la jeune femme était filmée pour que le prêtre puisse la voir, combiné au fait qu'il jouissait de dominer et d'humilier cruellement la jeune femme, André agrippa sa puissante hampe noire et la plaça à l'entrée de la chatte humide de Sandra, puis, grimaçant de détermination, il se planta en elle, ne lui montrant aucune tendresse.
« Ooh mon dieu, ta queue est si grosse et si dure! Ooh, s'il te plait, soit gentil, c'est douloureux, Ooh, mon dieu !! C'est si énorme dans ma petite chatte ... Ooh! Ooh!»
« Ferme ta gueule, sale pute, ta chatte a gobé ma bite avant et elle peut l'avaler maintenant ... Là maintenant, tout est rentré. Oh mon dieu, comme c'est serré dans ta petite chatte. Oui, salope, prends ça, toute la bite de Papa dans ton petit con serré, sale pute ... Oui, oui, prends tout, je veux t'entendre crier, putain de chienne vicieuse ...»
« Ooh! Oui, oui, c'est si bon ... Ta bite épaisse, Papa, quelle sensation dans ma chatte si étroite. Tu vas si profond !! Baise-moi fort, pilonne ma chatte plus fort, Papa !!! Tringle ta petite chienne, n'arrête pas de me baiser, Ooh mon dieu oui, c'est ça, travaille ton doigt profond dans mon trou du cul !! plante ta bite bien profond dans ma chatte étroite, donne-moi tout, Papa !! accélère! Ooh! Ooh! Ooh ...»
Déchaîné, André baisait violemment la jeune épouse infidèle.

Il agrippa sa belle et longue chevelure blonde et tira sa tête en arrière en l'empalant cruellement. Il se retirait presque totalement, laissant juste son gland dans le vagin, et la plantait d'un violent coup de rein au plus profond de son ventre. La scène entière avait l'air presque surréaliste avec un colosse noir mature baisant sauvagement son trophée, la superbe et respectée épouse blanche du prêtre. Et tandis qu'il la baisait sans pitié, ses seins fermes balançaient de tous les côtés en réponse à la sauvagerie de son attaque dans sa chatte humide et à la rude fessée qu'il infligeait à ses fesses fermes et blanches.
La bouche grande ouverte, haletante, gémissante, elle l'encourageait à plus de brutalité « Oui, oui, frappe mon cul plus fort, Papa ... fais-moi mal !!!» face à la puissance de son énorme arbre noir qui la pilonne « Oh mon dieu, j'adore comme tu me baises !! Personne ne m'a jamais baisée comme ça !! Tu es si grand dans ma chatte, ne t'arrête pas, Papa, oui, oui, OUI !!!!!!! ...»
La détermination et la joie cruelle d'André se lisait dans son regard, il éprouvait une immense fierté à détruire cette femme de notable qui le snobait auparavant. C'était maintenant au tour du caméraman de venir tourmenter la jeune femme. « Sandra, ma chérie, dis-nous combien tu aimes être niquée par ce vieil homme noir qui pourrait être ton père? Et quelle sensation éprouves-tu quand sa grosse bite noire dilate ta mignonne petite chatte blanche si serrée?»
Sandra, le regard vide, bouche ouverte, léchant ses lèvres, gémissante et haletante comme une chienne, semblait incapable de prononcer une phrase cohérente, tellement elle était ravagée par le martèlement féroce d'André.
Cependant, elle réussit à crier: « Ooh, oui, je suis désolée, je sais que c'est mal, mais j'aime ça, j'ai besoin de ça … cette énorme queue noire qui défonce ma chatte. Oh, mon Dieu, pardonnez-moi ... Je jouiiis, je jouiiis, Ooh mon dieu !! ...»
Et, pendant que sur l'écran Sandra jouissait bruyamment, André questionna: « Mon père, appréciez-vous la performance de cette douce jeune femme, et que ressentez-vous en la voyant se faire tringler aussi durement par un sale nègre?»
« Je ne sais plus .
.. regardez-la … je ne peux y croire ... ma propre femme ... un autre homme ... un nègre ... la baiser si brutalement ... et elle aime ... tout ce qu'il lui fait subir ... elle est si belle ... si perversement belle ... un noir ... posséder une femme blanche de cette façon ... son jouet ... si distinguée ... ma femme ... Oh, Seigneur ...»
A l'écran, la caméra avait changé d'angle pour montrer le zob d'André s'enfonçant dans Sandra. En vue de dessus, planant au-dessus de son joli cul blanc, on voyait l'énorme pieu d'ébène entrer et sortir de la chatte trempée. L'effet érotique était décuplé par les sons provenant du couple en rut. Les bruits de piston humide, les halètements, les cris, tout le chant d'amour d'un couple qui s’abandonne à la passion. C'était si délicieusement grivois.
La caméra changea encore d'angle, montrant le visage en sueur d'André, concentré et déterminé.
«Veux-tu ta part?» Questionnant le caméraman. «Nique cette chienne avec moi, elle va prendre son pied ...»
« Je peux, vraiment?» s'étonna le caméraman.
« Bien sûr, tu peux ... baise-lui la bouche, et si elle veut pas, on s'en fout, hé? du moment qu'on s'amuse … allez, place-toi devant elle et force cette pute à sucer ta bite ... et filme bien sa bouche pendant qu'elle te suce ...»
Ils parlaient devant Sandra, ne demandant pas son consentement, pour l'humilier et la dégrader davantage. Ils la traitaient comme une bête, comme leur propriété, un morceau de viande, un objet dont on dispose à volonté. A cet instant, elle a réalisé ce qu'elle était devenue, un jouet appartenant à son Papa noir, sa seule obsession désormais était le plaisir de cet homme, tout faire pour satisfaire le moindre de ses désirs, et cette pensée la fit jouir.
Le caméraman se positionna devant Sandra penchée vers l'entrejambe. Pour se soutenir, elle avait une main sur la hanche du caméraman et l'autre ouvrait sa braguette. Les mains du caméraman étaient occupées à triturer la poitrine de Sandra.
Sandra ouvrit la braguette et sortit la bite. Une bite blanche! Quelle surprise pour le prêtre décontenancé par la tournure des événements.
« Oh putain, oui! Comme elle suce bien, cette chienne!» grogna le caméraman. L'image trembla un peu en changeant de main, le caméraman passant le relais à André. le prêtre était impatient de connaître l'identité du salaud qui se faisait sucer par sa tendre épouse. On croirait qu'André avait eu la même idée depuis qu'il est resté peu de temps à filmer Sandra en train de sucer la bite du caméraman, et l'objectif commença une lente ascension.
Malgré un visage altéré par le plaisir, il émanait de cet homme beaucoup de classe. Il avait les cheveux gris, un bel homme, et son cou était orné d'un collier blanc. Un collier porté par les prêtres. C'était un homme d'église. Mais le plus choquant pour le prêtre, ce n'était pas que cet homme âgé et distingué soit un prêtre, non, ce n'était un prêtre ordinaire, non, cet homme était le beau-père de Sandra, le père du prêtre.
« Ah, non, ce n'est pas possible!» cria-t-il, horrifié et dégoûté. Son propre père, haletant dans un ravissement absolu, regardant sa belle-fille sucer avidement sa queue, elle-même niquée brutalement par un colosse noir dominant.
Le prêtre regardait incrédule l'homme qui l'avait éduqué, qui prêchait la morale, la justice, les liens sacrés du mariage, les enseignements de la Bible et la parole du Seigneur, cet homme qui était son propre père, son modèle, se faire sucer la bite par la jeune épouse de son fils. Le salaud! Participer activement à cette orgie, assister au viol de sa belle-fille par ce nègre dépravé, et y prendre son plaisir dans la bouche de cette jeune épouse infidèle! Mais, même au comble du dégoût et de l'indignation, le prêtre ne pouvait détacher ses yeux de l'écran, le pantalon déformé par une douloureuse érection à la vue de sa jeune femme, le vagin distendu par un énorme chibre noir, suçant bruyamment la bite offerte.
André, voyant le désarroi de le prêtre, se tourna vers lui et lui asséna le coup de grâce:
« Imbécile, ton père a compris rapidement que cette jeune chienne blanche ne pouvait éprouver de véritable satisfaction sexuelle sans la souffrance d'être durement baisée et dominée par un homme noir.
Quand il m'a raconté ce qu'elle lui avait appris en confession sur ses fantasmes avec plusieurs hommes noirs dominants et plus âgés, ses frustrations de jeune femme insatisfaite par un mari incompétent, je l'ai rassuré sur mon savoir-faire pour aider sa belle-fille a obtenir une sexualité épanouie. Il savait que tu ne pourrais jamais la satisfaire de la manière dont elle avait besoin d'être satisfaite. Pense seulement à ce généreux cadeau. Pour un homme, soucieux du bonheur de sa belle-fille, lui donner en cadeau une grosse bite noire afin qu'elle puisse remplir son rôle et devenir une vraie salope? Eh bien, y a-t-il un plus grand don qu'un homme puisse faire à une jeune femme si désirable?» André s'amusait avec arrogance de la déroute du prêtre, maintenant humilié et détruit.
À l'écran, le père était au bout du voyage. Clairement, il manquait d'endurance et la bouche pulpeuse de cette belle jeune femme avait fait son œuvre. En plus, André avait augmenté son rythme, prenant un plaisir pervers a défoncer la chatte humide de cette putain, la fessant à tour de bras. Le vieil homme a saisi sa chevelure blonde, a sa queue dans cette bouche accueillante en criant: « Oui! Prends tout, salope, prends tout ...»
Déclenchant par mimétisme la charge d'André dans le vagin de la femelle: «Ooh, prends-ça sale pute, prends mon sperme noir dans ta chatte de femme mariée ... Ooh oui, tiens, prends tout … Ooh!»
André savourait le visage décomposé du prêtre, il savait maintenant qu'il obtiendrait facilement son soutien inconditionnel pour son projet. Et les yeux hagards du prêtre étaient fixés sur l'écran, regardant sa ravissante jeune femme, souriante, le visage plein de trainées de sperme, se retourner vers son amant qui s'était assis par-terre, épuisé, se pencher sur lui afin de nettoyer avec sa langue les traces de leurs ébats sur le chibre noir de son tourmenteur. Elle avait l'air si radieuse, prosternée devant son maître, suçant bruyamment l'objet de sa convoitise. En effet, elle était extrêmement satisfaite de recevoir tant de maltraitance et de cruauté de part et d'autre … Comme elle ronronnait amoureusement sur son arbre d'ébène, Sandra regarda André et chuchota, «Oh Papa, ta belle bite noire, Papa a un goût si doux après avoir été enterrée si profondément dans ma chatte et je suis tellement étonnée qu'elle soit encore si raide après que tu m'aies baisée si merveilleusement.»
André souriait en la regardant lui caresser amoureusement les couilles de sa blanche main, celle avec l'alliance en diamant, il lui sourit méchamment et dit: « C'est encore raide parce que je n'en ai pas fini avec toi, ma petite chienne blanche. Il y a un trou que je n'ai pas encore niqué aujourd'hui. Sais-tu ce qui va t'arriver, petite pute?»
« Oh oui Papa, je pense que je peux deviner ce qui va m'arriver!»
« D'accord, alors, montre-moi ton trou du cul, sale petite chienne blanche? »
Obéissante, Sandra se promena à quatre pattes autour de son amant noir, les reins cambrés, écartant les fesses, faisant saillir sa croupe rebondie. Puis elle s'installa docilement, la joue posée au sol, les jambes écartées, présentant son cul blanc et ferme en l'air, prête pour la sodomie.
André, ravi, questionna: «Qu'est-ce que tu veux de moi, ma chienne salope?»
« ÇA, Papa » posant ses mains magnifiquement manucurées sur ses fesses, qu'elle écarta au maximum, offrant son beau rectum à la vue de son chéri.
Poursuivant l'éducation de la jeune femme, André insista: « dis-moi ce que tu veux de moi.»
« Je voudrais que tu mettes ton gros arbre noir dans mon petit cul serré et que tu le défonces comme tu l'as fait pour ma chatte. Je voudrais avoir mon petit cul rempli par ta grosse bite, et que tu me fourres jusqu'à que tu décharges au fond de mes entrailles. Je veux être ta chienne, Papa. Je veux que tu m'encules à fond!»
André regarda méchamment la superbe jeune femme blonde prosternée, mais ne pouvait se résoudre à enfoncer vicieusement son énorme bite noire au fond de cette petite bague anale bien serrée si vite. Il devait auparavant poursuivre avec la maltraitance et l'humiliation de la jeune femme. André a déclaré de façon péremptoire:
« Eh bien, ma belle chienne salope, si c'est ce que tu veux, il va falloir me supplier pour l'obtenir» et lui claqua le cul très fort pour maintenir sa femelle servile.
Avec chaleur, Sandra a répondu, enthousiaste: «Oh, Papa, s'il te plaît, prends-moi le cul ! Je veux sentir ton énorme mandrin noir au fond de mon étroit trou du cul blanc, encore et encore. Je promets d'essayer d'en prendre autant que possible, et si je ne peux pas tout prendre, je veux que tu me défonce la rondelle, Papa ... Ooh, s'il-te-plaît !!! Casse-moi le cul, je serai une si bonne petite fille pour toi, si douce et si soumise. » Sandra enfonça alors des doigts, en particulier celui avec sa bague de mariage en diamant, dans la raie des fesses, et écarta encore plus largement son orifice anal comme une offrande d'une martyre soumise à son maître, ce noir dominateur, brutal, et sans cœur.
Évidemment, voir le prêtre effondré devant ce spectacle de dépravation, le rendait d'autant plus plaisant pour André, et il attendait la suite avec délectation.
Voir sa disciple se prosterner ainsi devant lui et formuler cette offre délicieusement charmante, convainquit André de passer à l'action. Il s'accroupit entre les jambes largement écartées de Sandra, cracha sur son orifice anal, sur ses doigts, et commença à doigter l'ouverture offerte. Sandra répondait à ses attouchements par des gémissements d'extase et ne contrôlait que difficilement les mouvements de son bassin, appelant son amant à la pénétrer sans attendre. André savait que l'attente fait partie du plaisir, aussi prenait-il son temps, empoignant son manche rigide pour le frotter tout au long de sa chatte détrempée, lubrifiant son gland avec le jus de la fille. Un gémissement guttural s'échappant en continu des lèvres de Sandra, André comprit qu'il ne devait plus tarder, crachant une dernière fois sur son trou du cul, il présenta son gland contre l'orifice anal serré, et puis, dans le but d'infliger davantage de souffrances et d'humiliations à la jeune femme, d'une seule poussée, bien rectiligne, il enfonça la tête de son énorme pieu dans le trou du cul accueillant de la belle blonde.
Complètement écœuré par ce spectacle, le prêtre souhaitait que cela dure peu de temps, malheureusement pour lui, il ne connaissait pas l'endurance d'André, car l'agression anale brutale contre sa jeune femme dura longtemps.
Et, pour finir de lui déchirer le cœur, le prêtre a dû endurer les plaintes et les vociférations de sa femme, encourageant son amant: « baise-moi le cul, Papa, plus fort, fais-moi jouir! … Ooh, mon Dieu, ton gros bâton noir, Papa, se sent si bien dans mon cul blanc étroit … Oh mon Dieu, je n'ai jamais été aussi bien remplie avant … élargi-moi l'anus, Papa, s'il te plaît ... je peux te sentir bien dur dans mon ventre … tu m'ouvres en deux … Oui, Papa, baise-moi, Papa, claque-moi les fesses plus fort, Papa ... je suis ta petite garce blanche, Papa … je suis ta petite pute … je suis ta petite chienne … Oh Papa merci, personne ne m'a jamais fait jouir aussi fort par le cul … !»
Après plusieurs orgasmes de la femelle, André a décidé de passer à autre chose et s'est retiré du trou du cul béant de la jeune femme.
« Tu sais ce qui t'attends maintenant, salope blanche?»
« J'aimerais bien finir le travail avec ma bouche, sucer et lécher ta grande et belle bite noire jusqu'à ce qu'elle soit bien propre et recevoir ton jet de sperme chaud sur mon blanc visage, Papa. »
Léchant ses lèvres, elle regardait avec amour André caresser son énorme queue, attendant qu'il lui intime l'ordre d'agir.
« Bien, vas-y, chérie!» grogna-t-il. Bien qu'il aimait la soumission absolue de Sandra à ses perversions sexuelles sans limites, c'était toujours aussi étonnant pour lui qu'elle se soit avérée être une courtisane aussi enthousiaste et passionnée dans sa dépravation déviante.
Dévotement, Sandra s'accroupit docilement entre ses jambes écartées et saisissant son outil d'ébène massif de sa blanche main, elle le caressa avec dévouement, couvrant le gland violacé de doux baisers, caressant le frein avec la pointe de sa langue, rendant hommage à la bête qui, quelques instants auparavant, était si profondément enfouie dans ses entrailles. Embrasser, caresser, lécher le monstre noir, faire en sorte que chaque centimètre reçoive son attention douce et aimante. Sans lâcher le manche rigide, elle dirigea sa bouche vers les couilles, léchant, aspirant, suçant les boules noires pleines de sperme jusqu'à ce qu'elles soient brillantes de salive. Obsédée par le plaisir de son amant noir despotique, elle s'avilissait pour lui plaire et continuer à être son jouet sexuel. André se pencha en arrière, son gros corps lourd transpirant abondamment, avec arrogance et avec suffisance, tandis que la magnifique jeune femme blonde le servait avec tant d'enthousiasme et de soumission. Comprenant sans qu'on lui demande, elle se fraya un chemin jusqu'à sa raie culière, léchant, lapant tout du long, jusqu'à venir enfoncer sa langue dans le trou du cul noir et le lécher consciencieusement, comme la souillon salope qu'elle était devenue. Elle avait vu des actrices dans des vidéos pornos interraciales lécher le cul des noirs. Dans ces films, les hommes noirs devenaient passionnés lorsque les femmes blanches faisaient cela pour eux. En plus, l'arôme viril et musqué émanant de ses fesses l'enivrait. Elle cherchait le regard d'André, espérant son approbation pour cet acte dégradant et obscène. Au lieu de cela, André, se penchant en avant, agrippa les cheveux à l'arrière de sa tête, et appuya le visage de Sandra dans ses fesses en criant: «Oh, putain de chienne, bouffe mon trou du cul noir. Voilà, mets ta petite langue rose dans mon trou qui pue, sale pute! Lèche le cul noir de Papa, sale putain de salope blanche !! »
Sandra leva ses magnifiques yeux bleus vers son amant noir, et lui répondit docilement « Oui Papa, je ferai tout ce que tu demandes parce que je veux être une bonne petite fille blanche soumise pour toi» puis, plongeant son blanc visage entre les fesses noires, elle enfonça sa langue profondément dans l'anus avec une ferveur passionnée. Les bruits de succion humide étaient agrémentés par ses gémissements sensuels pendant qu'elle dévorait ses fesses comme une possédée. Le prêtre a également dû supporter de l'entendre murmurer des commentaires répugnants tels que: «Ton cul a si bon goût et son parfum m'enivre, Papa ... J'adore lécher ton trou du cul ... Aime-tu quand une petite fille blanche te lèche le cul, Papa?» Après plusieurs minutes de léchage extrêmement enthousiaste, elle repassa du côté face pour lécher à nouveau sa bite et ses couilles. Il se pencha doucement pour lui tapoter le haut de la tête, comme on le fait pour féliciter un jeune , et dit:
« Suce bien partout, sale pute blanche! Gobe mon arbre, je veux te voir t' dessus.»
Sa bouche voltigeait sur le gland et elle l'ouvrit aussi large que possible, à s'en faire crisser les articulations. Elle pensait qu'avec son mari, elle n'aurait jamais besoin de faire un tel effort. Elle l'a engloutit, faisant coulisser sa bouche chaude et humide sur la longueur de l'arbre puissant. Enfin, son destin de putain amoureuse de la bite noire était en train de se réaliser.
Sandra levait ses magnifiques yeux bleus vers le regard d'André, quêtant son approbation. Il pouvait voir qu'elle était désireuse de lui plaire, désireuse de le baiser avec sa bouche et désireuse de l'amour de son Papa. Mais il n'était pas prêt à lui accorder sa bénédiction pour son apprentissage rapide de l'art de la fellation. Lui saisissant la tête à deux mains, agrippant sa tignasse blonde, il commencé à baiser sa bouche à grands coups de rein.
« Oh, ouais, comme ça, suce ma bite, sale pute, bouffe ça et étouffe-toi avec, putain de sale chienne blanche !!!»
Sandra, à quatre pattes, avec juste ses bas, son porte-jarretelles et ses talons, la bouche violée brutalement par la grosse bite noire, insultée, se sentait exaltée. Assez exaltée pour tenter d'engloutir, avec beaucoup de détermination, l'arbre entier dans sa bouche. Lorsque toute la longueur du pénis noir fut au fond de sa gorge de jeune mariée, son nez était pressé contre les poils pubiens. Les larmes ont commencé à couler sur son visage pendant que la sensation de bâillonnement devenait étouffante. Ses grands yeux bleus restaient fixés dans les yeux d'André, quêtant son estime pour cet exploit.
Cependant, pour André, la jeune chienne qui luttait désespérément pour lui faire plaisir ne faisait qu'alimenter son besoin dépravé de la maltraiter, tandis qu'il maintenait son visage plaqué contre son pubis. Bientôt, André, en transe, retira sa bite de la bouche accueillante pour lâcher de longs jets de sperme partout sur le visage magnifique de la jeune femme. «Ooh, je jouis, tiens, prends ça, sale pute, prends tout dans ta gueule, belle salope blanche, chienne.»
A ce moment-là, d'elle-même, Sandra s'empara de son manche noir et se barbouilla le visage de sperme, tout en miaulant doucement comme un minou content. Elle lui murmura adroitement:
« Ooh, merci Papa, j'aime comme tu m'étouffes avec ta grosse bite dans ma gorge, et que tu tires ta charge chaude sur mon visage de salope blanche. J'adore quand tu me traites comme ta salope, ta petite chienne blanche. Ooh, merci beaucoup Papa ...»
Alors qu'elle continuait à caresser doucement sa queue et à lécher les restes de sa crème précieuse, elle demanda timidement:
« Papa, accepteras-tu de venir chez moi m'apprendre des choses perverses et obscènes? Si tu le souhaites, je mettrai ma lingerie en dentelle noire que tu aimes tant, et je ferai tout pour te plaire avec humilité. Je ferai tout ce que tu voudras Papa ... TOUT! … Oh, Papa, j'ai vraiment besoin que tu me dresses en me punissant sévèrement. Je te demande pardon pour avoir dit que tu m'avais violée quand je t'ai offert mon premier anal. Je n'avais jamais laissé quelqu'un d'autre me faire ça auparavant et j'avais un peu peur, mais quand je t'ai supplié de le faire et que tu as ta grosse bite noire dans mon petit trou du cul serré, j'ai compris à ce moment-là que je ne pourrais plus jamais te refuser quoi que ce soit. Quand tu m'obliges à accomplir ces actes sales et dégradants, cela m’exalte complètement et me donne envie de me soumettre à tous tes caprices … Quand tu viendras chez moi, je voudrais que tu me baises extrêmement fort pour faire de moi ta chienne. Je te supplie de me punir sévèrement. J'aime quand tu me tires les cheveux et que tu me fesses très fort. Mais j'aime par-dessus tout sentir ta grosse bite noire, Papa, remplir et élargir mes trous de salope. Acceptes-tu de me traiter comme ta chienne, Papa ... s'il-te-plaît !!»
En entendant les suppliques horrifiantes et gémissantes de sa jeune femme lascive et perverse, le prêtre signa à contrecœur l'accord qui permettra à André de démarrer son projet et, espérait-il, de ne jamais permettre à quiconque de voir sa femme s'accoquiner avec ce bâtard noir despotique et extrêmement cruel.

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