Un Beau Geste
Cette histoire mest arrivée à mes débuts. Je travaillais à laérogare dOrly sud. Un job dété pour me faire un peu dargent. Jétais logé par mon employeur dans un petit hôtel à Athis-Mons, mais je passais aussi pas mal de temps sur Paris. Javais des cousins qui habitaient dans le 17 ème et il nétait pas rare que jaille y passer la soirée ou mes jours de congés.
Cétait un beau jour de juillet, Javais pris le bus pour aller rejoindre Paris et continuer en métro. Je remarquais assez vite une jolie fille, blonde comme les blés, en tailleur bleu marine, avec un chemisier bleu clair qui sévasait sur un décolleté dévoilant une peau dorée à souhait. La jupe, classique sarrétait au dessus du genou, et ses jambes longues et bronzées, se terminaient par des escarpins , bleu marine, assez habillés. Elle avait dédaigné les quelques places assises qui restaient et se tenait debout, dans lallée, à quelques mêtres de moi. Je la trouvais jolie, mais jétais assez timide et nosais pas laborder.
Les arrêts se succédaient, et je craignais de la voir descendre et disparaître à jamais quand la providence me donna un coup de main.
A un arrêt, après la descente de passagers, trois jeunes montèrent dans le bus et savancèrent dans lallée dévisageant les passagers. Bien entendu, ils remarquèrent la jolie demoiselle, et sapprochèrent
« Bonjour Mademoiselle. » dit lun deux. Le plus petit
La fille marmonna un bonjour, et se tourna de trois quart
« Mademoiselle, vous allez où ? » demanda le même gars
« Si vous voulez, on vous accompagne » précisa un deuxième, pendant que le troisième la dévorait des yeux.
La fille ne répondait pas, et semblait les ignorer, mais le premier, lui attrapa le bras, lobligeant à se tourner vers eux.
« ça vous dit dêtre protégée par trois séduisants garçons comme nous ? Allez, soyez sympa ! »
Les passagers, dans lautobus restaient de marbre. Je me dis que sil y avait une chose à tenter cétait maintenant.
Je sortis de ma moche de Jean un plan de Paris que javais avec moi en permanence, et je me faufilai jusquau groupe. Je bousculai un peu lun des trois gars, et mapprochai de la fille avec un sourire.
« ça y est ! jai pu me faire renseigner, chérie, il faut quon descende à Denfert Rochereau, et après, cest le métro. » débitai-je en la prenant par la taille.
La fille tourna la tête vers moi, avec un air incrédule qui se transforma en sourire quand elle vit le clin dil que je lui adressais discrètement.
« Eh, il est avec toi, le mec ? » lança celui qui parlait le plus
La fille se tourna vers lui, et sourit en approuvant de la tête, avant de se tourner vers moi.
« Pourquoi ? Nous avons un problème ici ? Tu connais ces types ? » dis-je en prenant mon air le plus menaçant.
« Non, je ne les connais pas, minou. » reprit elle en jouant le jeu « ils viennent de maborder. »
Je me tournais pour faire face aux trois lascars, qui heureusement nétaient visiblement pas des forces de la nature.
« Oh, ça va !, on pouvait pas savoir quelle était avec toi ! » cracha le plus bavard, et les trois séloignèrent un peu.
Arrivés à Denfert Rochereau, les trois types sévaporèrent parmi la foule du quartier, tandis que la fille et moi, nous dirigions vers lentrée du Métro.
Une fois à lintérieur, elle sarrêta, et se tourna vers moi.
« Chérie ? »
« Euh, oui, je sais,pas terrible, mais je ne connaissais pas ton prénom ? Jai improvisé. »
« En tout cas, merci » me dit elle « je me demandais comment jallais me dépétrer de ces trois là. Et mon prénom cest Claire. »
« Moi cest Steve. » me présentai-je
Nous marchions, nous dirigeant vers les machines à composter les billets. Elle sortit de son sac une carte Orange, quand je marrêtais.
Elle sest retournée vers moi, et a dû comprendre mon hésitation. Elle ma montré le guichet et ma dit :
« Vas y, je tattends. »
Je ne me suis pas fait prier. Pour une fois, javais pris les devants, et réussi à entrer en contacte avec cette jolie fille, mais plus encore, au lieu de se débarrasser de moi, elle mattendait. Jen aurais sauté de joie.
Nous avons pris le métro ensemble et commencé à nous raconter nos vies. En ce début daprès-midi, les rames nétaient pas surchargées. Les stations défilaient, et nous apprenions à nous découvrir. Claire faisait des études de tourisme et travaillait pendant lété chez Air France, comme hôtesse daccueil sur Orly Ouest. Jaurais volontiers passé plus de temps avec elle. Quand elle mannonça quelle descendait à la prochaine station, je me suis rendu compte que je lavais accompagnée, assez loin de ma destination. Elle me quitta en membrassant sur la joue, et disparut sur le quai, après un « à bientôt ! »
Je me suis vite aperçu que ce « à bientôt » risquait fort de ne jamais arriver. Tout ce que javais, cétait un prénom, et le fait quelle était hôtesse à Orly-Ouest. Les jours qui suivirent, jai bien essayé de la retrouver, mais javais sous-estimé la taille de laérogare, et le nombre de comptoirs daccueil. Après avoir trainé mes guêtres dun comptoir à lautre, sans nom de famille, impossible de la retrouver. Je dois préciser quà cette époque le téléphone portable et internet nexistaient pas.
Une semaine, plus tard, jétais dans le bus pour Paris, un peu perdu dans mes pensées quand quelquun vint sasseoir près de moi.
« Salut ! »me dit Claire
Jétais tellement content que je ne trouvais pas grand chose à dire. Elle se pencha vers moi et me claqua deux bises sur les joues.
« Je te lavais dit quon se reverrait ! quand je tai vu dans le bus, je me suis dit que jallais voyager avec toi, ce qui mempècherait de ma faire aborder.
« Ravi de te rendre service » répondis-je, mi figue, mi raisin
« Oh, ne le prends pas mal, je plaisantais. »
« Daccord, quas tu de prévu cet après-midi ? » demandai-je en prenant les choses en main.
« Eh bien, je rentre chez moi ; enfin, chez mes parents. »
« Tu viendrais au ciné avec moi ? » osai-je
« Pourquoi pas, je te dois bien ça. » concéda telle
Nous décidames de changer ditinéraire pour aller sur les champs-élysées. Pendant le trajet jappris quelle avait presque vingt ans, soit trois de plus que moi, et habitait le 16ème arrondissement. Elle faisait des études de tourisme et travaillait comme hôtesse lété pour se faire un peu dargent, et être indépendante. Jétais à la fois étonné et flatté quune fille plus agée sintéresse à moi. Javais dix-sept ans et demi, seulement, et mes expériences en matière de conquètes féminines se limitaient à quelques flirts, parfois poussés, et à une rencontre de vacances qui mavait déniaisé. Le choix des champs élysées nétait pas un hasard. Javais lu quun cinéma diffusait depuis de longues années le film « Emmanuelle » que je navais jamais vu. Claire avait eu lai un peu surprise quand je lui en parlai, mais elle mavoua ne lavoir pas vu non-plus, et accepta mon choix. Comme il fallait sen douter, ce nétait pas un grand cinéma qui proposait ce film, mais une petite salle, a lentrée dune rue adjacente aux champs. Nous entrâmes au début de la séance. La salle était quasiment vide, comme probablement de nombreux cinémas, en plein après-midi de juillet, alors que le soleil était radieux. Par soucis de discrétion, je nous installai sur un des côtés de la salle, à mi hauteur ; dans une rangée de quatre sièges. Quand le film débuta, il y avait une dizaine de personnes dans la salle, dont trois couples, en incluant Claire et moi, et quatre hommes seuls. Personne a proximité de la zone ou nous étions installés.
Rapidement, nous fûmes pris par lambiance érotique du film.
La scène chaude suivante, je passai mon bras par dessus laccoudoir, et posai ma main sur la cuisse de Claire. Je glissai petit à petit vers le haut, et elle écarta les jambes pour me faciliter laccès. Je fus bientôt à sa fourche et caressai son sexe à travers son jean. Jentendais sa respiration sccélérer et je sentis son bassin se soulever à la rencontre de ma main., Je dégraffaiun à un les boutons de son jean, et me faufilai à lintérieur,jusquà effleurer les poils de son pubis. Elle enleva les derniers boutons et écarta le pantalon . Mes doigts sinfiltrèrent sous la culotte humide, et senfouirent dans une fente chaude et largement mouillée. Je longeai le fente et enfonçai mon doigt dans sa cavité, un peu bloqué par le jean. Claire souleva ses hanches et fit glisser le pantalon jusquà mi-cuisse. Jen profitai pour enfoncer davantage mon doigt, et commençai à la masturber doucement.
« Continue, plus vite » mimplora telle à mi-voix.
Je ne me fis pas prier et ajoutai même un deuxième doigt, en accélérant mon mouvement. Elle se mit bientôt à haleter et à projeter son bassin en avant, avant de simmobiliser, mes doigts, en elle jusquà la garde, dans un soupir de plaisir. Elle retomba au fond de son fauteuil, merveilleusement obscène, le sexe ouvert, et les seins offerts. Cette vision ne dura pas. Elle entreprit de se rhabiller prestement, à lexception de son soutien-gorge, qui finit dans son sac à main.. Puis elle vint se blottir contre moi, et me dit
« Tu es doué avec tes mains. Amon tour de te montrer ce que je sais faire »
Une de ses mains vint se poser sur la bosse qui déformait mon pantalon de toile, depuis un bon moment déjà. Elle trouva rapidement le moyen de déboutonner mon pantalon et dabaisser ma braguette. Je faillis crier quand ses doigts empoignèrent ma verge, à travers le slip, puis écartèrent le tissu, laissant mon sexe jaillir comme un diablotin sort de sa boite.
Des mains expertes, coulissèrent le long de ma queue, caressèrent mes testicules. Claire souleva laccoudoir et se pencha sur mon sexe. Elle entoura ses cheveux blonds autour, et les laissa glisser sur mon membre, en un frôlement léger et soyeux qui mexcita au plus haut point. Elle recommença plusieurs fois la manuvre, venant déposer un baiser ou une léchouille sur mon gland à chaque passage. Puis elle absorba mon gland quelle suçota, avant de darder sa langue dans mon méat. Après de douces agaceries autour et sur mon gland, elle memboucha dun coup et menfonça au plus profond de sa gorge à plusieurs reprises, ressortant à chaque fois en tétant mon gland. Elle descendit en léchant mon mandrin et, arrivée à la base, goba mes couilles dune puissante aspiration , ses lèvres jouant avec mes boules à lintérieur de leurs sacs de peau.. Pour finir, elle me serra avec ses lèvres et coulissa de plus en plus vite, jusquà ce que je sente une brûlure vive partir de mon périnée et remonter dans mes couilles puis tout au long de ma queues, qui expulsa ce trop plein de désir ne plusieurs salves, tandis que Claire, continuait de pomper et déglutissait, avalant tout ce que jenvoyais. Elle continua jusquà ce que mon sexe repu, perde sa raideur, et sessuya avec un mouchoir tiré de son sac-à-main.
De nouveau blottie contre moi, elle interrogea
« Tu as aimé ? »
« On aurait dit une vraie pro. Tu fais ça souvent ? »
« En fait une copine ma appris, sur un concombre. Il paraît que les mecs adorent ça. »
« Je te confirme » dis-je à mi-voix « ta copine doit avoir de lexpérience. »
« Oui, sauf que le concombre est plus gros, mais il ne lâche pas autant de jus. Cest la première fois que javale. Jai failli m. »
« Tu sais, si tu naimes pas, ce nest pas une obligation. »
« Je sais, mais si je ne lavais pas fait, tu en aurais mis partout. »
Je souris devant cette réflexion, à la fois terre à terre et un peu policée.
Quand la salle se ralluma, nous étions rhabillées et sortimes en nous tenant la main.
Cest toujours difficile quand on est jeune davoir une relation avec quelquun , pour plusieurs raisons. Dabord, on nest pas autonome en termes de déplacements (pas de permis). On a pas encore de chez soi. Dans mon cas, jétais dans une chambre dhôtel, mais je la partageais avec un autre employé, ET Claire, habitait chez ses parents. Autant dire que rien nétait envisageable de ce côté. Il était bien trop tôt. Nous passâmes donc plusieurs semaines à nous rencontrer pour flirter, à nous caliner, à la limite de la bienséance dans des salles obscure. Je ne me plaignais pas, malgré tout, car au contact de Claire, qui était un peu plus expérimentée que moi, javais limpression denrichir mes connaissances . Contrairement à moi, elle avait eu quelques expériences, et savait parfaitement ce qui faisait grimper les hommes au rideau. Oh, ce nétait pas une allumeuse, ou une fille facile, mais elle était réaliste, et même si son côté fleur bleue lui faisait chercher son idéal, elle nenvisageait pas davancer avant un essai assez long. De même, alors quelle attirait les garçons, comme le miel attire les ours, elle ne se laissait approcher que rarement, et je mesurais ma chance. Une ou deux fois, nous étions allé en discothèque, et elle ne dansait pas exclusivement avec moi, me disant quelle ne voulait pas risquer de passer à côté de « lélu », mais les prétendants se faisaient régulièrement congédier après une danse, surtout sils avaient les mains un peu trop baladeuses.
« Si le gars, te serre contre lui pour que tu sentes bien son désir contre toi, ou si ses mains descendent un peu de ton dos à tes fesses, passe encore » mexpliquait elle « mais quand il commence a vouloir glisser sa main dans ta culotte, ou dans ton soutif, en pleine danse, devant tout le monde, cest un manque de respect que tu ne peux pas accepter. »
Nous étions début Aout. Le temps sétait mis au beau fixe et la température était irrespirable sur Paris. Un mardi alors que je retrouvais Claire dans le bus, elle me dit quon ne pouvait pas aller senfermer avec cette chaleur, et quelle allait me faire découvrir un coin sympa. Elle portait une petite robe blanche, près du corps un peu évasée en bas qui faisait ressortir son bronzage, mettait en valeur ses seins fermes, et ses jambes car la robe sarrêtait au premier tiers de ses cuisses. Des nu-pieds blancs à talons fins complétaient cette tenue,. Nombreux étaient les hommes qui se retournaient sur son passage. Elle memmena découvrir le parc des buttes Chaumont. En cette période de vacances, il était assez peu fréquenté. Nous nous sommes baguenaudés dans les allées jusquà la grotte dans laquelle se déverse la cascade. En marchant sur les pierres plates, nous nous sommes approchés de la chute deau. En quelques instants, la robe blanche de Claire fut trempée et ses seins collaient au tissu. Il en était de même pour mon tee-shirt. Nous sommes ressortis, cherchant un endroit pour nous sécher. Nous avons trouvé un endroit abrité des regards, à lécart des allées, dans une trouée qui laissait passer le soleil. Claire a étendu par terre un plaid, sorti de son sac en paille, et nous nous somme allongés, profitant de la caresse du soleil, les bruits de la ville nous parvenant, étouffés par la végétation. Claire vint sétendre contre moi. Je caressais ses jambes, remontant sa robe, mes doigts explorèrent son sexe libre de tout vêtement.
« Cétait ma surprise » me sussura telle tandis que mes doigts senfonçaient dans sa cavité déjà humide. Elle avait déjà dégraffé mon jean, et libéré mon sexe.
« Laisse moi faire » me dit elle, un sourire aux lèvres.
Elle menfourcha, et sassit sur moi, disposant sa robe en corolle autour delle, puis elle empoigna mon sexe pour le diriger vers sa chatte toute prète, et se laissa descendre sur ma queue avec un gémissement de contentement
« Ah, jen avais envie depuis si longtemps » soupira telle en amorçant un mouvement dascenseur sur ma bite tendue au maximum. Je ne tins pas longtemps et envoyait tout mon désir gicler au fond de son antre, avec un râle.
Elle continuait à sagiter sur moi et je conservais ma raideur. Elle entama des oscillations du bassin, me stimulant de nouveau, tandis que je malmenais ces seins, dont les mamelons auraient pû traverser le tissu de sa robe tellement ils étaient durs. Elle jouit quelques instants plus tard, et me mordit pour ne pas crier. Je nous fis rouler , et , sans plus faire attention à lenvironnement, la besognais en missionnaire. Après un moment, je lui relevais les jambes par dessus mes épaules, pour menfoncer encore plus, chaque aller, scandé par un « han ! » jusquà ce quelle ait un nouvel orgasme, qui provoqua le mien.
Nous restâmes étendus sur lherbe un long moment, à fainéanter, et à nous caresser.
Quand le soleil commença à décliner, nous nous sommes rhabillés et avons fait un tour dans le parc, maintenant quasi désert . Nous sommes montés au petit kiosque qui domine le parc.Là, je la remerciais pour ce cadeau, et lembrassai tendrement.
« Tu resteras quelquun qui a compté pour moi » me dit elle « Dis moi ce que tu veux et je le ferais »
Je décidai prendre cette offre à la rigolade, pour dédramatiser la situation.
« Ok, je peux donc te demander nimporte quoi ? »
Elle hésita une seconde, se demandant où je voulais en venir mais confirma
« Nimporte quoi. »
« Jai envie de faire des photos » dis-je en pensant au petit instamatic dans ma poche.
Elle se recula et sappuya à la balustrade en pierre.
« Daccord » fit elle avec un sourire
Je sortis lappareil et fis quelques clichés, de face, lui faisant prendre des poses suggestives auxquelles elle se prêta. Je lui demandai de baisser les bretelles de sa robe, et de sortir un sein ; ce quelle fit, puis de remonter sa robe, et de découvrir sa fente et son ticket de métro.
Devançant ma requète elle se tourna et fit remonter le tissu, dévoilant son postérieur, aux traces un peu plus blanches que le reste de sa peau bronzée. Puis elle se tourna face à moi, et fit passer sa robe par dessus sa tête. Nue dans ses souliers, elle prit quelques poses, et finit par se retourner, saccoudant au rebord de pierre, les fesses tendue vers moi. Le jeu avait pris une autre tournure, et je posai mon appareil photo pour venir me coller à elle. Je me dévétis et elle sentit mon sexe pointer contre sa chatte. Je menfonçai dun trait et , la tenant bien aux hanches, balançait mon bassin, pendant quelle tendait son arrière train vers moi. Dans la semi-obscurité, nous fimes lamour longuement, et elle cria son bonheur, comme une louve qui hurle à la lune, recevant les dernières gouttes de mon sexe essoré.
Suite à cette journée, nous avons écumé tous les parcs, de Paris et de ses environs. Un week-end, où ses parents étaient partis, Claire me convia chez elle où nous avons fait lamour, dans son lit, sur la table de la cuisine, le canapé du salon, sur le bureau, et même sur le balcon, quatre étages au dessus dune avenue très passante. Avec elle jai découvert, le cunilingus, la fellation et la Sodomie. A la fin de lété, nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir. Ce nest jamais arrivé.
Ce nest pas de ma faute, ni de la sienne. La vie sest chargée de nous séparer ou notre amour nétait pas assez fort. Pourtant, je ne lai jamais oubliée, et jai limpression que si demain, je la rencontrais, jéprouverais la même passion pour cette ravissante jeune femme .
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