Une Rencontre Fortuite.

Ceci est une histoire qui m'est arrivée il y quelques jours. Nous sommes en juin 2021 et c'est la braderie en ville. Comme il fait chaud, je décide d'aller y faire un tour au matin, les matchs de foot n'étant diffusés qu'après-midi.
Il est 11 h 00 et il commence à y avoir du monde dans la rue commerçante. Je promène et de temps en temps, je m'arrête à la recherche de fringues en promotion. J'en fais plusieurs avant de trouver une affaire dans un hard discount du textile. C'est un magasin tellement petit qu'il n'y à pas de cabine d'essayage et je suis sceptique quant à la taille, mais aussi au style. Je suis vraiment hésitant et malgré les avis favorables du commerçant, j'hésite encore et il le remarque. Pas à court d'idée, il se tourne vers une cliente et lui demande de me donner son avis. On se regarde, elle est jolie dans sa robe fuseau beige d'autant qu'elle a de belles formes. C'est une brune de plus ou moins 45 ans et d'environ 1,70 mètre, des jambes allongées par de hauts talons, un ventre plat, une poitrine 85C à vue d’œil. Une peau bronzée, mais pas ridée par le soleil et une beauté naturelle. Alors qu'elle tente de se faire une idée de ce que donnerait l'ensemble que j'ai choisi, je remarque, sans le vouloir, qu'elle semble ne pas porter de sous-vêtements.
« Monsieur... Monsieur... »
« Oh... Oui... excusez-moi ! »
« Je crois sincèrement que vous ne devriez pas associer ces couleurs. »
Pas de chance pour le vendeur, mais peu importe, il a déjà trouvé une autre proie.
« Je m'en doutais, je n'ai jamais été doué dans ce domaine. »
Je lui répondais, mais pas moyen de détourner mon regard de sa poitrine, il me semble que je devine des bretelles d'un soutien, mais je crois aussi distinguer ses tétons à travers le tissu de sa robe. Je ne suis pas discret du tout et elle le remarque.
« Excusez-moi, que regardez-vous ? Je vous sens distrait ! »
Inutile pour moi de nier l'évidence et je dois lui avouer l'objet de mes interrogations.

Même si je n'aime pas aborder ce genre de sujet avec une inconnue et de plus en public, j'ai aussi un franc parlé qui m'a déjà valu quelques problèmes.
« Je suis franchement désolé, madame. Je dois vous avoué que je me pose une question. »
Elle aussi semble avoir un franc parlé, car elle me répondit avec la même franchise.
« Je crois que cette question concerne ma poitrine. Vous vous demandez si j'ai un soutien sous ma robe ! »
« Heu... oui, c'est bien cela. Ne voyez en cela rien de sexuelle, c'est juste que je me demande toujours pourquoi de jolies femmes telles que vous s'évertuent soit à cacher ce qu'elles ont de plus beau ou pourquoi elles se plaignent quand elle les expose et que dès lors on les regarde ? »
« Et bien je n'en fais pas partie. Non, je ne porte pas de sous-vêtements, ni soutien, ni culotte si vous voulez savoir. Et non je ne suis pas choquée quand on me regarde, du moment que l'on me respecte. »
« Je vous remercie d'avoir répondu si aimablement à mon interrogation. »
« C'est tout naturel, vous avez été franc et poli. Je n'avais aucune raison de me montrer choquée ou agressée. »
C'était une inconnue, mais ce bref échange avait été cordial et sans trop y réfléchir, je lui proposais de prendre un verre.
« Je ne voudrais pas paraître cavalier, mais puis-je vous inviter à prendre un verre en ma compagnie. Afin de se désaltérer et de soutenir nos cafetiers qui vienne que sortir d'une période si difficile avec la Covid. »
« Je dois avouer que ce n'est pas mon habitude... »
« Mais ne vous sentez pas obligée ! »
« ... ce n'est pas mon habitude, mais proposé si aimablement, je ne peux pas refuser. »
« Ou voulez-vous aller ? Faites votre choix. »
Elle proposa une terrasse un peu plus loin et posant délicatement ma main dans le creux de ses reins, je l'invitais à passer devant. « Vous avez toutes les qualités, Monsieur. Franc, aimable, courtois et galant. Je ne pouvais pas mieux tomber.
»
Elle me précéda le temps de sortir du magasin et attendit que je revienne à sa hauteur avant de se diriger vers une table libre. »
« Ici, cela vous convient ? »
« Le choix aux dames, surtout quand elles sont aussi jolies que vous. »
Elle sourit légèrement et j'ai tiré la chaise pour qu'elle s’asseye avant de prendre place en face d'elle.
« Comme je vous le disais, ce n'est pas mon habitude d'accepter une telle invitation d'un inconnu, ne vous faites pas de fausses idées. »
« Je comprends !... et n'ayez crainte, ce n'est as mon habitude proposer cela dans la rue à une inconnue. Mais si vous le permettez, j'aimerais me présenter et aussi nous ne seront plus de réels inconnus ! »
« Très bonne idée. » Dit-elle en retirant son masque.
Je fis de même, puisque nous étions assis à table, nous pouvions nous en défaire. Elle avait un très joli visage et ne faisait pas son âge.
« Je me présente Patrick X et je trouve que vous avez un très joli sourire »
« Vous ne cesserez pas d'être un flatteur. Moi, c'est Carole et je propose que l'on se tutoie, ce sera plus convivial. »
« C'est avec plaisir. »
Et c'est à ce moment que le serveur apparu pour prendre notre commande.
« Que voulez... pardon... que veux-tu boire ? »
« Quelque chose de frais ! Une sangria. »
« Très bonne idée, je prendrais la même chose. »
Alors que nous attendions nos boissons, nous avons continué naturellement notre conversation qui bien qu'ayant un certain côté sexuel, n'était pas indécent. À savoir l'hypocrisie de certaines femmes, qui s'habillant de façon presque indécente criant au pervers dès qu'un homme posait les yeux sur elle, mais aussi de l'attitude et des paroles déplacées de certains hommes dès qu'une femme montrait un bout de peau. Nous avions le même point de vue sur de nombreuses choses, sauf sur la proportion de femme ne portant pas de soutien ou même de sous-vêtements. Cette conversation dura un bon moment et je nous recommandais une seconde sangria.
Notre point vue sur le dernier sujet semblait totalement opposé. Mais la situation étant maintenant beaucoup plus détendue, elle me proposa de venir m'asseoir à côté d'elle pour que nous regardions les passantes et essayons de compter les sans et avec soutien. C'était un jeu et nous nous en amusions beaucoup allant parfois jusqu'à éclater de rire à la vue du style de certaines.
Tout cela fit passer le temps plus vite que l'on ne l'aurait imaginé et il était déjà presque 13 h 00. J'allais prendre congé, ne voulant pas accaparer son temps. Mais elle me retint et proposa que, vu l'heure, nous mangions un morceau ici au lieu de chacun aller de son côté. Autant profiter d'une bonne compagnie ajouta-t-elle. Et c'est avec plaisir que je l'invitais. Je repris ma place face à elle et alors que nous terminons notre repas, je regardais encore sa poitrine, mais cette fois parce que je trouvais excitant que les deux petites bosses déformant le tissu de sa robe étaient ses tétons. Et à vue d’œil, ils devaient être bien durs.
Encore une fois, elle le remarqua et loin de s'en plaindre, elle dit :
« Je vois que tu n'es soit toujours pas convaincu que je n'ai pas de soutien, soit que ma poitrine ne te laisse pas indifférent. »
Je me devais de continuer d'être honnête avec elle, je répondis donc :
« Cette fois, je l'avoue ce serais plutôt la seconde option. » Et là, j'ai remarqué qu'elle esquissa un petit sourire, un peu flattée par cette franchise.
Encore une fois, nous n'avons pas vu le temps passer, nous étions déjà bien avancé dans l'après-midi. Elle regarda sa montre et alors que je lui avais dit ma ferveur pour le foot, elle s'excusa de m'avoir retenu, le match des Belges avait déjà commencé. Je lui dis que je passais une excellente journée et que je ne formalisais pas parce que je manquais un match. Je regarderai le résumé au soir. Elle s'excusa quand même encore une fois et alors que nous allions nous séparer, elle me dit :
« Je ne voudrais pas que tu te fasses de fausses idées, mais j'habite à cent mètres d'ici, si tu veux, je t'invite à venir voir la deuxième mi-temps chez moi ! »
Je remarquais qu'elle était qu'elle était gênée de m'avoir fait une telle proposition et elle allait ajouter quelque chose quand je lui répondis :
« J'en serai ravi Carole, mais à une condition ! Tu regardes avec moi.
»
« Elle semble rassurée de ne pas avoir dû justifier sa demande et accepta. J'ai payé l'addition et nous sommes parti. Alors que nous allions arriver chez elle, nous sommes passés devant une échoppe qui vendait des articles pour les fans de foot. J'en ai profité pour lui acheter un maillot de l'équipe de Belgique et je l'ai mise au défi de le porter pour les quelques dizaines de mètres à faire avant d'être chez elle.
Elle accepta. Elle avait une drôle d'allure, car j'avais pris un maillot beaucoup trop grand pour elle. Elle flottait dedans et sa robe qui lui arrivait juste au-dessus des genoux, n'était presque plus visible. Nous sommes arrivés chez elle alors que la première mi-temps se terminait. Elle m'invita à m'installer dans le divan le temps qu'elle aille nous chercher quelques collations. Le match allait reprendre quand elle est revenue avec un plateau de chips et deux bières. Elle s'assis à côté de moi avec les genoux et les pieds sur le divan. Nous regardions le match depuis quelques minutes quand lorsqu'elle se pencha pour prendre sa bière, j'ai remarqué qu'elle avait enlevé sa robe et ne portait plus que le Maillot que je lui avais acheté. J'avoue avoir été troublé, ne sachant pas quoi penser. Elle se remit en place et alors que sa jambe touchait ma cuisse, j'ai posé ma main sur son mollet. Elle ne réagit pas, mais comme je ne voulais pas la regarder, je ne savais pas quelle autre réaction, elle avait. Cela faisait presque dix minutes que ma main était sur son mollet et depuis elle n'avait plus bougé. Le match était pourtant palpitant, mais moi non plus je ne voulais pas retirer ma main. Ce n'est que lorsque qu'un but fut marqué que j'ai sauté de joie et dans
mon élan, j'ai pris sa tête entre mes mains et l'ai embrassée.
Il ne me fallut que quelques secondes pour me rendre compte de ce qui se passait et d'un bond, je me suis relevé. Effrayé de sa probable réaction, je m'excusais de ce manque de maîtrise, alors qu'elle n'avait pas bougé et me regardait avec un large sourire.
« Ne t'inquiète pas Patrick. »
Et c'est alors en la regardant dans son ensemble que j'ai remarqué qu'elle avait le maillot relevé sur sa taille. Je ne pus plus prononcer un mot. Ces jambes nues étaient magnifique et elle me souriait.
« Je me demandais quand tu allais t'en rendre compte. » Me dit-elle.
Elle se leva et s'approcha de moi pour à son tour prendre mon visage entre ses mains et m'embrasser. Cette fois, je ne m'enfuis pas, je lui rendis son baiser. Le match n'avait plus aucune importance et c'est quand nous fûmes à bout de souffle que nos lèvres se séparèrent.
Elle se recula, me prit les mains et dit :
« C'est une chose de faite et si maintenant on regardait la fin de ce match ? »
Je repris place et elle enleva le maillot pour le jeter dans un fauteuil. Elle était debout à côté de moi, nue, en plus de ce que je savais d'elle, je découvrais maintenant sa poitrine ferme, son corps entièrement bronzé et un sexe lisse, épilé et luisant.
« Comme cela, tu pourras te concentrer sur le match et tu ne demanderas plus ce que je porte sous mes vêtements. »
Ça, c'est sûr je savais qu'elle ne portait rien, mais de là à être plus concentré, ce n'était pas certain. D'autant qu'elle se coucha posant sa tête sur mes cuisses. Elle n'allait pas tarder à se rendre compte qu'elle ne me laissait pas indifférent.
Je ne pus d’ailleurs me retenir de passer une main dans ses cheveux et de l'autre lui caresser délicatement l'épaule. Ce match me sembla mettre une éternité à se terminer. Et quand le coup de sifflet final retenti, ce n'est pas la victoire qui m’intéressait, mais ce qui allait se passer maintenant entre Carole et moi.
Elle se leva, remit le maillot et regardant mon entre-jambe, me dit :
« Je crois que tu as envie de rester encore un peu chez moi. J'en serais moi aussi contente. Veux-tu rester pour souper ? »
« J'en serais heureux. »
Nous nous sommes à nouveau embrassé et elle m'emmena dans la cuisine, je l'ai aidée à préparer le repas tout en en profitant pour de temps en temps glisser ma main sur ses fesses à demi découverte. Elle me laissait faire profitait de chaque occasion pour se frotter à moi, accentuant à chaque fois mon excitation. Nous avons prit un bon repas et malgré la situation, nous avons discuté de choses et d'autres nous dévoilant l'un à l'autre. La conversation dériva de temps en temps vers des sujets plus intimes, mais cela était dû à la très bonne bouteille de vin qu'elle avait ouverte. Mais tout resta très convenable. Le repas terminer, aucun de nous n'osait réellement aborder du comment allait se passer la fin de soirée.
Mais je ne pouvais pas laisser passer cette occasion. Je lui demandai donc :
« Excuse-moi Carole, ton vin était très bon, peut-être même un peu trop. Je ne crois pas que je sois en mesure de reprendre le volant. Je crois que je vais devoir appeler un taxi. »
Et ce fut un silence... avant qu'elle réponde :
« Tu crois, si tu veux, tu peux aussi passer la nuit ici !? »
« C'est aussi une idée, je crois que je vais accepter ! »
Il était maintenant évident pour nous deux quelle tournure prendrait la soirée et la nuit.
« Je crois alors que je vais aller prendre une douche et me mettre à mon aise. Veux-tu m'accompagner ? » Me dit-elle.
C'est elle qui prenait les initiatives et je la laissais faire, ne voulant pas la brusquer.
« Ok, mais je n'ai pas de pyjama. » Ai-je dit hypocritement.
Elle ne me répondit pas et m'emmena à sa suite dans la salle de bain. Elle n'avait pas de douche, mais une très grande baignoire à remous. Alors que le bain coulait, elle ôta son maillot et attendit que j'ai finis d'en faire de même. Nous étions nus et je pouvais voir ses seins tendus, ses tétons durs et sa chatte trempée par l'excitation. Elle ne pouvait avoir aucun doute puisque ma bite était tendue et gonflée par la même impatience de rencontrer son corps. Je me suis approché d'elle et l'ai prise dans mes bras. Je l'ai serré contre moi, sentant ses seins presser ma poitrine et glissant mon sexe entre ses cuisses. Elle tendit ses lèvres pour m'embrasser. Je l'ai ensuite entraînée dans le bain, la faisant s'asseoir entre mes jambes, son dos contre mon torse. Je passais mes bras autour d'elle, posant mes mains sur ses seins. Mes doigts partirent à la rencontre de ses tétons et quand ils les trouvèrent, j'ai commencé à les faire rouler entre mes pouces et mes index. Elle, avait ses mains posées sur mas cuisses et devait sentir mon sexe pressé entre nos deux corps.
Elle se laissa allé au plaisir qui montait en elle et commença à gémir sous mes caresses. La sentant se laisser faire, j'utilisais une main pour aller explorer son entre jambe. Mes caresses ne furent qu'elle désire que j'aille plus loin. Je baladais mes doigts sur ses cuisses, sur son pubis et de temps en temps, j'effleurais son clito. À chaque fois, elle réagissait comme pour m'encourager à aller plus loin. Toutes ses caresses eurent raison d'elle quand elle eut son premier orgasme.
C'est alors qu'elle reprit l'initiative et se retournant elle me prit le sexe d'une main et de l'autre me poussait pour que je m'asseye sur le bord de la baignoire. Ainsi installé, elle s'agenouilla entre mes jambes et tout en massant mon sexe d'une main, elle approcha ses lèvres et déposa un baiser sur mon gland. Elle était à l’affût de chacune de mes réactions et ne me quitta plus des yeux alors qu'elle engloutissait ma bite en bouche. Elle accompagna alors sa main d'un mouvement de va-et-vient enroulant à chaque fois qu'elle pouvait sa langue autour de mon gland. Je la laissais faire tant elle paraissait experte dans la fellation et son regard cherchant constamment le mien provoquait aussi une certaine excitation. Elle s'y prenait si bien que je sentis que j'allais jouir après seulement une dizaine de minutes. Je la prévins, mais elle continua et lorsque je vidais mes couilles, ce fût dans sa bouche et elle n'eut aucune difficulté à tout avaler. Nous nous sommes ensuite lavé mutuellement et l'eau n'étant pas l'endroit le plus agréable pour une pénétration. Sorti du bain, elle s’appuya sur le bord me présentant ses fesses. Probablement attendait-elle que je la prenne en levrette, mais je n'en fis rien. Je m’agenouillai, lui écarta les cuisses et les fesses, avant de plonger ma langue à la rencontre de sa fente. Je la léchai depuis son anus jusqu'à son clito. Elle fût surprise dans un premier temps, mais elle aimait tant qu'elle me facilita l'accès en posant une jambe sur le rebord de la baignoire. J'en profitai pour aventurer ma langue dans sa chatte tel un minisexe. Elle gémissait à nouveau et avait de plus en plus de difficulté à rester debout, si bien qu'elle m’arrêta et m'emmena dans la chambre où elle se coucha sur le lit, écartant les jambes et m'invitant en disant :
« J'aime ta langue, vas-y bouffe-moi la chatte... suce-moi clito… ! »
Je m'activais pour lui procurer du plaisir et je sentais que j'y parvenais petit à petit, quand elle changea de position et me retournant elle se mit sur moi et tout en m'offrant sa chatte, me suça la bite. Ce 69 dura encore un bon moment chacun de nous jouant avec l'autre pour retarder le plus possible l'orgasme suivant. Ce ne fût que quand nous avons senti être en synchronisation que nous nous sommes laissé aller et avons joui ensemble. Elle m'aspergeait le visage de quelques petits jets de cyprine et moi vidant dans sa bouche le peu de foutre qu'il me restait en réserve.
Alors qu'elle m'avait nettoyée la bite, elle est venue se coucher sur moi et m'a embrassé profitant de la situation pour lécher son jus répandu sur mon visage.
Nous avons alors prit une pause, le temps de se déclarer notre amour.
« Patrick, je crois que je t'aime. Peut-être pas comme une folle, mais suffisamment pour vouloir me donner à toi et continuer à le faire par la suite ! »
« Carole, je crois aussi que je t'aime, j'ai aussi envie de toi. Si tu le veux j'aimerai aussi que l'on continue à se voir. »
Il ne fallut pas plus de temps pour que notre attirance mutuelle nous réunisse. « Prends-moi, je n'en peux plus d'attendre... je veux te sentir en moi... je veux que ta bite fasse jouir. »
Elle s'offrait à moi et j'allais en profiter. Je lui ai écarté les cuisses, m'avançant de plus en plus vers son intimité pour finir par inexorablement glisser ma bite dans sa chatte. D'abord doucement et lentement pour petit à petit augmenter la cadence et la violence de mes coups de butoir. Excitée comme elle l'était, il ne fallut pas longtemps pour qu'un orgasme la transperce. Mais j'ai continué tant que j'ai pu et ce fut plusieurs orgasmes qui la firent chavirer. Le dernier lui faisant perdre tout contrôle d'elle-même. Ses yeux se révulsèrent, ses membres s'agitèrent dans tous les sens son corps se cambra et son sexe se contractant autour du mien, si bien qu'elle me fit jouir et même si la quantité de sperme était insignifiante, ce fut mon plus bel orgasme.
Épuise, nous nous sommes endormi l'un contre l'autre et le lendemain, nous avons prit plaisir à rejouer cette première journée tout en connaissant la finalité.
Pour le moment, nous passons régulièrement du temps ensemble et projetons de faire quelques expériences sexuelles un peu plus pimentées.


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!