Isa, Moi Et Des Jeunes
Depuis quelques temps, nous allions régulièrement, avec Isabelle rendre visite à sa mère. Elle habitait en appartement dans la barre dimmeuble où avait grandi Isa. Des problèmes de santé nous amené à lui rendre des visites de plus en plus fréquentes.
Immanquablement, à chaque fois que nous arrivions il y avait, dans les escaliers, un « comité daccueil » qui nous attendaient ! Trois ou quatre jeunes types dont le plus vieux, une petite frappe brune, ne devait pas avoir plus de dix-neuf ou vingt ans.
Etalaient sur les marches, ils ne se poussaient pas et nous devions les enjamber pour pouvoir continuer notre chemin.
Ainsi placé, ils ne se gênaient pas pour mater sous la jupe de ma femme, tout en faisant commentaires et sifflets.
Isabelle mexpliqua quelle les connaissait depuis des années et que ça nétait que des gamins pas méchants.
- Vu comment il te regarde cest plus des mômes ! »
- quest- ce que tu veux dire ?
- Si tu les allumes encore, ils vont te sauter dessus!
- ça te ferait plaisir ?
- de les voir avec toi ? pourquoi pas ?
En redescendant après la visite, ils étaient toujours là, en repassant devant eux on eut droit à un « houah cest encore mieux que tout à lheure ! » Je compris en montant en voiture, quand Isabelle sortit sa culotte de son sac à main.
- Tu as raison ! cest plus des gamins !
On en était resté là jusquau jour où la mère dIsa fut hospitalisée pour des examens, la corvée daller nourrir les oiseaux et le chat nous incomba. Ne pouvons accompagner Isabelle, elle se rendit seule à lappartement plus sexy que jamais. Jupe courtes et talons hauts, chemisier légèrement transparent. Quand je lui fis remarquer que son absence de soutien-gorge allait les rendre dingues elle me répondit : « tu veux les voir soccuper de moi ? Cest loccasion, je vais les mettre en condition, à plus tard ! »
En rentrant Isabelle mexpliqua comment cela cétait passé :
- Ils étaient là comme dhabitude à mon arrivée, jai eu droit à des sifflets dadmiration et des commentaires flatteurs quand je me suis penchée pour ramasser mes clefs « accidentellement » tombées !
- du genre ?
- Genre : avec des airbags comme ça on ne craint pas les accidents ou on doit en avoir plein les mains, tu vois ! et tu y as eu droit aussi dailleurs !
- Comment ça ?
- Christophe le brun, ma dit que tu ne devais être quune pédale, sil avait une meuf comme moi il laisserait personne me mater comme ça, il se ferait respecter lui et quil avait des copains qui pourraient soccuper de toi.
- Tu lui as répondu ?
- Oui quand je lui ai dit que jallais voir ça, il ma dit que jallais pas être déçu non plus !
- Ah bon !
- En partant jai précisé quon allait revenir dans deux jours, ça te va ?
Deux jours plus tard, on prit la route pour lappartement de ma belle-mère en début daprès-midi, moi avec un peu dappréhension quand même et Isa joyeuse et courte vêtue dune robe légère à fleurs de ses hauts talons, un string pour tout sous-vêtements. Au pied de limmeuble, ils étaient au rendez-vous, Christophe et trois copains à lui : deux jeunes que javais déjà vu et un autre de type marocain, grand et un peu enveloppé
Isabelle leur demanda un coup de main pour porter les provisions que nous avions apporté en vue du retour de sa mère. Sans problème ils semparèrent des sacs et grimpèrent à la suite dIsa dans les escaliers jusquà lappartement.
A la porte, ma femme les invita à rentrer. Ils ne se firent pas priés et investirent la cuisine et le salon tout en pelotant Isa au passage. Elle leur proposa un verre pour les remercier mais Christophe lui répondit : « cest pas dun verre quon a envie tu sais bien pourquoi on ait montés ! »
-Tu as raison, dit Isabelle en sapprochant de lui. Il la saisit par les bras et fourra sa langue dans la bouche de ma femme pendant quun de ses copains passé derrière elle pour la débarrasser de sa robe, en un rien de temps elle se retrouva en string et talons hauts dans le salon sa mère.
Le marocain, Saïd, restait à côté de moi me pris par les épaules pour me faire asseoir dans le fauteuil de ma belle-mère. Il me dit « tu bouges pas et tu profites du spectacle, tu vas voir ils vont bien soccuper delle ! »
Effectivement isabelle avait maintenant une queue dans chaque main pendant que Christophe soccupait de sa chatte et de sa bouche. « Putain elle est trempée ta femme, depuis le temps quelle nous excite elle va prendre chère ! » me lança Christophe.
Les regardant la faire se mettre à genoux pour quelle les suce à tour de rôle, je ne pus pas mempêcher de me caresser à travers mon pantalon.
Absorbait par laction je ne métais pas aperçu quà côté de moi, Saïd avait baissé son jogging et se caressait. Cest quand il a posé sa main sur ma tête que jai vu son chibre épais et presque noir.
« Ça texcite hein? De la voir sucer mes potes, me dit-il, He bien maintenant cest toi qui va me sucer ! »
Ne me laissant pas le choix il me prit par les cheveux et dirigea sa bite vers ma bouche. Ouvrant grand ma bouche javalais sa queue, elle me distendait les joues, un moment je crus . Il faisait des allers-retours jusquau fond de ma gorge, se branlant dans ma bouche comme ses copains faisaient avec ma femme.
Christophe dit à Isa : « tu vois que cest une grosse pédale, Saïd va bien soccuper de lui, allez allonge toi sur la table, salope on va tenfiler tous les trois ! »
« Tu as raison cest vrai quil aime ça cette pédale », lui répondit Isabelle en se levant pour sallonger sur la table en merisier de la salle à manger. Jambes relevaient, cuisses bien écartaient elle attendait le premier qui allait lui passer dessus, ce fut Christophe. Frottant à peine sa queue devant lentrée de la chatte il la pénétra brutalement, ses va et vient faisaient glisser ma femme sur la table.
Saïd retira sa queue de ma bouche et mordonna de me mettre à poil, ce que je fis sans discuter. Il me fit mettre à califourchon sur le fauteuil pendant quIsabelle jouissait sous les coups de bite des trois autres.
Tout en minsultant en marocain, Saïd me dit « lève ton cul petite pute je vais tenculer devant ta chienne ! »
Se frottant contre mon petit trou il me tapait sur les fesses avant de commençait à me prendre, je nen pouvais plus, javais envie quil enfonce en moi sa grosse queue.
Sur la table Isabelle me regardait déjà couverte du sperme de Christophe.
Saïd mencula brutalement en me tenant pas les hanches, je ne pus mempêcher de crier.
De son côté Isabelle nétait pas en reste, les deux autres copains de Christophe lui avaient rempli la chatte de sperme. Allongée sur la table, elle sapprêtait à descendre quand Christophe dit « ne bouge pas, ta pédale va nettoyer tout ça, on voudrait salir ! ».
Saïd me pris par les épaules et mamena jusquà la table et me fit mettre à genoux devant le sexe de ma femme dégoulinant de foutre.
« Allez lèche la maintenant ! hurla Christophe en menfonçant la tête entre les cuisses dIsa.
Je me mis à lécher le sperme de ces jeunes mecs qui venaient de remplir ma femme, ça dégoulinait sur la table tant il y en avait.
« Allez nettoie bien dit Christophe en se rapprochant de moi, il en reste ! » Je léchais la table quand je vis la bite de Christophe se plaçait à lentrée de la chatte dIsa, « met la dedans me dit-il ! » je pris sa queue et la mis dans la chatte dIsa, il recommença à la baiser pendant que javais la tête à quelques centimètres de sa queue, quand il ressorti sa bite, recouverte de cyprine et de foutre, il me lenfonça dans la gorge avant de jouir. Javalai tout.
Ils repartirent tous les quatre en nous donnant rendez-vous quand on voulait, ils avaient dautres copains qui voudraient bien profiter dun couple de putes comme nous. Je navais jamais a bu autant de foutre auparavant et Isabelle était aux anges, se faire baiser en toute liberté avec moi lui plaisait de plus en plus.
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