Sarah 4
Je sirotais tranquillement ma bière, assis à une table du bar en face de ma fac. Je ressortais d'un partiel, et étais épuisé. Un bon verre, une bonne musique, une ambiance sympa, cétait de ça dont javais besoin. Je commençai juste à oublier mon partiel et à me détendre, lorsque jentendis une voix féminine dans mon dos.
« Salut ! Tu bois pour oublier lexam ? »
Je me retournai, et cétait Sarah. En ce chaud mois de mai, elle portai un t-shirt aux manches longues. Pour une fois, elle ne portait pas de chignons, et laissait ses longs cheveux châtains tomber en cascade autour delle. Elle était vraiment belle comme ça.
« Salut, toi. Ouais javoue que ça me ferait du bien. »
Elle eut un petit rire, et sassit en face de moi.
« Je te comprends. Sérieux cétait quoi ce sujet de merde ? »
« Je suis presque sûr, que ça a jamais été au programme ça. »
« Tes sûr davoir bossé suffisamment aussi ? lança-t-elle en souriant. »
« Évidemment. »
« Jai limpression que tas plus passé de temps dans un lit à besogner de belles étudiantes, que chez toi à réviser. »
« Nimporte quoi. En plus, finalement jai pas couché avec tant détudiantes que ça. »
« Ah oui ? »
« Non. A part toi, Francesca, et Eva, personne. Et jai pas couché avec toi et Francesca depuis Octobre. »
Un serveur vint prendre notre commande, interrompant notre discussion. Sarah commanda un repas complet, et me lança :
« Ça te dit pas de rester manger avec moi ? »
« Jhabite pas ici, moi, je dois prendre le train pour rentrer. »
Elle me saisit la main, par-dessus la table.
« Allez ! Reste avec moi sil te plaît. »
Quelque chose dans son regard, me convainquit daccepter. Je pris commande, et le serveur après avoir tout noté, séloigna. Sarah qui me tenait toujours la main, la lâcha.
« Ça fait une éternité que jai pas baisée, lança-t-elle, comme si de rien nétait. »
Je tâchai davoir lair indifférent.
« Ah ouais ? »
« Ouais, Francesca et moi on a décidé de pas baiser tant que lautre est dans sa chambre, sinon ça crée des conflits. »
Sarah et Francesca, une de nos amies étudiantes, habitaient toutes les deux dans une chambre étudiante voisine. Si bien que quand lune senvoyait en lair, lautre lentendait, et ça créait des frustrations et des conflits. Je métais retrouvé au coeur de cette querelle de voisinage
pour mon plus grand bonheur.
« Du coup tu baises jamais chez toi ? »
« Si, mais jattends que Francesca soit pas là, ou quelle ait un plan cul elle aussi. Et vu quelle est souvent dans sa chambre et quelle drague pas beaucoup
je baise pas autant que je le voudrais. Là jai rien fait depuis un mois. »
Nos yeux se croisèrent, chacun de nous sut parfaitement où cette discussion allait mener.
« Donc ici, tes en chasse ? Tu cherches un mec pour combler tes désirs ? »
« Exactement. »
« Bah alors ne toccupe pas de moi, vas-y, cherche ta proie. »
Elle me sourit.
« Je lai déjà trouvée
»
Dix minutes plus tard, la porte de sa chambre souvrait à la volée. Sarah et moi entrâmes, enlacés, nous embrassant furieusement. Je poussai Sarah contre le mur, et me collai à elle, tout en continuant à lembrasser. Elle mattira contre elle, me tenant par la nuque, jusquà ce quelle me repousse contre la porte encore grande ouverte, et me retire mon t-shirt avec fièvre, dévoilant mon corps musclé. Je la repoussai à lintérieur de sa chambre étudiante, claquant la porte derrière moi. Je la saisis par les hanches, la soulevai jusquau lit, et la jetai dessus. Elle sy étala avec un petit soupir dexcitation. Je retirai mon jean et caleçon, tandis quelle se déshabillait totalement, se retrouvant nue en un rien de temps.
Elle poussa un petit cri lorsque mon engin entra en elle, et lorsque je me mis à aller et venir, la tenant fermement plaquée contre le matelas, je sentis tout son corps trembler de bien être. Jaccélérai le rythme, elle se mit à gémir avec force, tout en se débattant pour échapper à mon contrôle. Mais impitoyable, je renforçai mon étreinte, et accélérai le rythme, la baisant avec plus de force, faisant tanguer son lit, et transformant ses gémissements en cris. Je la maintenais bien, aussi je pensais pouvoir garder le contrôle facilement. Mais Sarah était pleine de ressources. Elle se dégagea et me tirant par les cheveux, tout enroulant ses jambes autour de mes hanches, elle parvint à me renverser. Elle reprit ainsi le dessus, et se mit à me baiser en andromaque, me chevauchant avec force. Le plaisir fut immédiatement très intense, se déversant en vagues brûlantes en moi, me vrillant le cerveau délicieusement. Je tentai de la renverser, de diminuer la vitesse de ses coups de reins en la tenant par les hanches, mais rien à faire, elle résistait et me baisait de plus en plus vite, me clouant sur place à force de plaisir. Plus le temps passait, et plus Sarah devenait sauvage et sûre delle. Elle me baisait toujours aussi bien, et me griffait le torse en prime, me souriant même dun air moqueur. Cependant, lorsquelle glissa un doigt dans ma bouche, pour que je le suce, elle commit une erreur. Je lui mordis le doigt, pas trop fort, juste assez pour quelle soit surprise. Jen profitai alors pour la renverser.
Bien décidé à remettre les pendules à lheure, je la retournai, et la mis à quatre pattes. Il était temps de faire parler la levrette. Je la pénétrai, et elle frissonna. Je me mis à aller et venir, la percutant avec force, et elle poussa des petits cris si excitants que ça faillit me faire jouir. Jaccélérai le rythme, et lui claquai ses fesses bien rebondies, et elle souffla « oouuuui baise moi ! » Je la saisis alors par les cheveux, lui tirai la tête en arrière, et me mis à aller si vite et si fort, que tout son corps se raidit, comme sur le point dexploser, alors que mon sexe emplissait toute son intimité et en cognait le fond délicieusement.
On resta un moment, essoufflés sur le lit. Sarah était visiblement comblée. Elle se tourna vers moi et lança :
« Cétait vraiment délicieux ! Par contre je suis pleine de sueur, je vais me doucher. »
Elle alla dans la salle de bain. Je pris mon portable, et envoya un SMS à mes parents pour leur dire que je ne rentrerai pas ce soir. Puis, jhésitai quelques secondes
et me précipitai à la salle de bain. Sarah venait à peine dentrer dans la douche, que jouvris avec force, avant de ly rejoindre. Elle se tenait sous le jet deau de la douche, totalement nue, les cheveux trempés en arrière, le corps ruisselant deau. Elle était tellement sexy que je bandai aussitôt. Je mapprochai delle, et la saisissant par les hanches, lattirai contre moi.
« Je me demandai si taurais assez dénergie pour me rejoindre
susurra-t-elle. »
« Je te laisse en juger
»
Je la retournai, et la plaquai de face contre la paroi de la douche. Puis japprochai mon sexe tendu de son intimité, lui faisant sentir ma raideur. Elle en gémit dexcitation. Chaud bouillant moi aussi, je la pénétrai avec délice, et me mis à la baiser en levrette. Je commençai doucement, menfonçant progressivement en elle, allant à un rythme mesuré. Le plaisir montait progressivement, tandis que leau chaude nous aspergeait, augmentant sensiblement notre excitation. Puis, de plus en plus, jaccélérai le rythme, la culbutant avec plus de force, allant plus loin en elle. Le plaisir augmenta brusquement, pour Sarah comme pour moi. Elle commença à gémir, et tortilla ses belles petites fesses, augmentant encore le plaisir que jéprouvais en la baisant.
Ivres de plaisir, on se doucha, et on alla se coucher, tellement sonnés et comblés quon échangea à peine trois mots. On se coucha, et on sendormit aussitôt.
Le lendemain, nous eûmes une mauvaise surprise : il était 8h 45, le partiel commençait à 9h ! Épuises par notre partie de jambes en lair de la veille, nous avions trop dormi. Nous nous habillâmes en hâte, et déjeunâmes à peine. Heureusement que Sarah habitait à côté de lamphi, nous pûmes y arriver à temps.
Ce nouveau partiel fut long, et assez difficile. A 13h, je lavais enfin fini, et allais déjeuner. Je ne retrouvai pas Sarah, et ça me déçut un peu, jaurais bien aimé lui parler après notre nuit de folie. A 14h, javais un nouveau partiel, jy allai, et passai lexamen du mieux que je pus. Quand ce fut fini, je me dirigeai vers la gare, pour rentrer chez moi. Mais alors que jétais dans la rue, à mi-chemin entre ma fac et la gare, une voix me héla :
« Tu fais quoi ? »
Sarah me rattrapait. Je remarquai alors que sa tenue était plus sexy que la veille : toujours le même jean serré en bas, mais en guise de haut, elle portait un débardeur au décolleté large, qui mettait bien en valeur son 95C. Elle éveilla aussitôt mon intérêt.
« Tu rentres chez toi ? reprit-elle. »
« Ouais. Pourquoi ? »
« Bah
je me serais bien envoyée en lair avec toi, cette nuit. »
« Quoi ? Encore ? »
« Bah ouais. »
« Désolé, mais je vais rentrer chez moi. »
Elle me saisit par la ceinture de mon jean, et mattira contre elle.
« Tes sûr ? souffla-t-elle. »
Je tâchai de maîtriser mon excitation, et répondis :
« A la réflexion, je serais bien partant pour te sauter encore
»
Elle eut un sourire ravi, et on se dirigea vers sa chambre universitaire. En chemin, je prévins mes parents par SMS que je ne rentrerai pas ce soir.
Comme la veille, la porte de la chambre de Sarah souvrit à la volée. La belle étudiante fut précipitée en avant, et plaquée de face contre le mur par votre serviteur. Je vins derrière elle, et me pressai contre son fessier, appréciant sa rondeur et sa fermeté. Jembrassai ensuite Sarah dans la nuque, me délectant de ses soupirs de plaisir. Elle se retourna, et me poussa contre le mur den face, avant de venir se mettre à genoux devant moi, et de me retirer mon pantalon, puis mon caleçon. Mon sexe libéré, se dressa, tendu et prêt pour la suite. Sarah me le prit en main, et se mit à me branler, dabord doucement, puis avec de plus en plus dentrain, le pressant avec passion, accentuant son geste au niveau du gland, me faisant un bien fou. Elle navait pas fini cependant, et prit mon sexe en bouche, pour démarrer une délicieuse fellation. Elle enchaîna les va-et-viens avec sa bouche, pompant mon sexe avec énergie, jouant de sa langue pour marracher des cris, tout en me massant les boules. Cétait si bon, que je chancelai sur mes pieds, et poussai des gémissements incontrôlés. Sarah me fit vivre un véritable délice pendant un long moment, suçant léchant et branlant mon sexe si bien, que je manquai de jouir au moins trois fois. Quand elle estima en avoir fait assez, elle se redressa, sourire coquin aux lèvres.
Elle me tira par mon jean, et mentraîna jusquà sa chambre. Jétais pressé de passer à la suite. Elle me jeta sur le lit, et se déshabilla devant moi, retirant son débardeur, puis son soutif, avant de se débarrasser de son jean et shorty. Elle me laissa ladmirer nue quelques secondes, avant de soudainement venir sur moi, et de sempaler sur mon sexe tendu. Nous poussâmes tous les deux un cri de plaisir.
Elle me mit deux ou trois coups de reins bien sauvages, qui me firent crier de plaisir. Puis elle me retira mon t-shirt, et passa ses ongles sur mon corps musclé, me faisant frissonner. Un sourire satisfait aux lèvres, elle démarra une puissante chevauchée, allant en avant en arrière, sempalant sur ma queue avec passion. A chacun de ses coups de reins, mon sexe allait loin en elle, cognant le fond de son intimité, et me faisant vibrer de plaisir. Sarah gémissait de plus en plus fort, à mesure que le rythme de ses assauts accélérait, et elle devenait de plus en plus sauvage, me griffant et me claquant comme une folle. Je tentai bien de me débattre, mais avec une telle furie, ce nétait pas facile. Jessayais de lattr par les hanches ou les mains pour pouvoir la renverser, mais cest elle qui mattrapait par les poignets, et accentuait ses coups de reins pour me tenir tranquille. Je cherchais à donner des coups de reins par en dessous, mais elle me surclassait aisément, en allant plus vite. Mes rébellions de plus en plus faibles lui tirèrent un sourire narquois, alors que ses coups de reins à elle devenaient de plus en plus forts. Le plaisir coulait en moi, de plus en plus intense, et voir Sarah se déchaîner comme ça était hyper excitant. Ses cheveux en bataille, tombant en crinière tout autour de son visage lui donnaient un air de sauvageonne, son corps de rêve sagitait dans tous les sens, surtout sa poitrine qui se secouait. Je finis par me laisser aller, et profitai de me faire baiser ainsi. Jadmirai Sarah en plein effort, tout en profitant du plaisir quelle me procurait en me baisant si bien. Je sentais bien que je ne pourrais pas tenir plus longtemps, et lorsquelle accéléra une dernière fois, soulevant son corps magnifiquement, je ne pus que craquer et explosai dans un merveilleux orgasme, me déversant en elle, tandis quelle jouissait aussi.
On sécroula sur le lit, essoufflés, épuisés et ravis. On ne tarda pas à sendormir, côte à côte. Pendant la nuit, je me réveillai cependant, ayant trop chaud pour dormir. Je me levai et allai le plus discrètement possible boire un verre deau. Quand je me remis au lit cependant, je réveillai Sarah sans faire exprès.
« Tu dors pas ? Demanda-t-elle. »
« Désolé, je voulais pas te réveiller. »
« Oh cest pas grave, je sais comment te fatiguer
»
Elle se colla contre moi et membrassa délicieusement. Je lui rendis son baiser, et sentis Puis, elle me plaqua contre le matelas, et vint au-dessus de moi. Elle sempala sur moi, avec un petit cri, et commença à me chevaucher me baisant en se déhanchant de gauche à droite comme une danseuse. Des frissons me parcoururent le corps, pendant que Sarah commençait à gémir doucement. Elle accéléra progressivement le rythme de ses va-et-vient, son visage tordu par des grimace incroyablement sexy. Lorsquelle fit un mouvement de hanche particulièrement fort, elle rejeta la tête en arrière en poussant un petit cri. Jen profitai pour reprendre le dessus, la saisissant par les hanches et la plaquant contre le matelas. Elle se débattit, mais lorsque je la pris en missionnaire, allant directement à un rythme élevé, elle se mit à gémir, et se laissa faire. Je la pris par les mains, et accentuai la puissance de mes assauts, la culbutant contre le matelas avec force. Sarah se mit à gémir, et membrassa lépaule pendant que je la prenais avec de plus en plus de vigueur. Je lui donnai un coup de reins particulièrement fort, et avec un gémissement dextase, elle me mordit lépaule. Surpris, je me reculai.
« Eh ! Doucement avec les dents ! »
Elle me sourit.
« Alors doucement avec tes reins, mon beau. »
« Tadores ça. »
« Ouais
et toi aussi, tadores quand je te mords
»
Je la saisis par le menton, et lui envoyai un nouveau coup de rein, lui arrachant un grand cri. Je recommençai, encore et encore, la faisant chavirer. Sarah menserra avec ses jambes, mattirant plus près delle, et je ny prêtai pas attention, accélérant le rythme. Le plaisir devenait si fort, que je ne pensais plus quà une seule chose : la baiser le plus fort et le plus vite possible. Sarah profita de mon manque dattention, et me renversa. Toujours empalée sur moi, elle me sourit et me lança : « prépare toi beau gosse, je vais te rendre la monnaie de ta pièce ». Elle tint parole : elle se mit à me baiser en andromaque, allant si vite et si fort que jen fus ballotté davant en arrière. De brûlantes vagues de plaisir me submergèrent, et je poussai de grands cris. Plaisir et fatigue formaient un cocktail terrible, qui môtait toute envie de continuer à lutter : Sarah me baisait tellement bien, autant se laisser aller ! Elle gémissait de plus en plus fort, tout en me regardant dun air moqueur, tandis que ses coups de reins diaboliques me faisaient inexorablement monter au septième ciel. Lorsquelle se mit à bondir sur mon sexe, allant de haut en bas avec fougue, je me sentis chavirer tant cétait bon, et serrai les dents pour contenir autant que possible la vague de plaisir qui me submergeait. Sentant que jétais sur le point de craquer, Sarah accentua ses efforts, alla plus vite, et me percuta avec plus de force, jusquà ce que je craque, et que jexplose dans un nouvel orgasme, qui me donna limpression de mévanouir tant cétait bon. Sarah poussa un grand cri lorsquelle jouit à son tour, et essoufflée, tomba sur son lit.
« Cétait, géant souffla-t-elle. »
« Ouais, répondis-je hors dhaleine. »
On ne tarda pas à se rendormir. Le lendemain, nous nous réveillâmes à temps cette fois-ci. Sarah avait en effet pensé à son réveil. On se prépara tranquillement, et comme je fus prêt le premier, cest moi qui sortis avant elle. Lorsquelle me rejoignit dehors, jeus un petit frisson : elle était vraiment habillée de façon sexy. Elle avait en haut le même débardeur quhier, toujours aussi sexy, mais cette fois-ci, elle ne portait pas un jean, mais un mini-short, qui dévoilait largement ses belles jambes, et moulait son fessier dune façon presque indécente.
« Tu vas y aller comme ça ? lui demandai-je. »
« Bah ouais pourquoi pas ? »
« Tu vas déconcentrer tout le monde
»
« Les autres je men fiche : y a quun seul mec à qui je veux faire vraiment tourner la tête
»
Elle me fit un petit sourire, pour appuyer ses propos, et se mit en marche vers la fac. Elle avait une démarche lascive, qui mettait bien en valeur son postérieur. Je poussai un léger grognement : la journée avait à peine commencé que jétais déjà excité à fond. Je rattrapai Sarah. On discuta de choses et dautres, tout allait bien, jusquà ce quelle me lance :
« Cétait excellent cette nuit ! »
« Oh oui ! »
« Je tai vraiment baisé comme je le voulais
tas pris un sacré coup de soumission mon pauvre. »
Je lui jetai un regard noir.
« Tu me cherches ? »
Elle me répondit par un sourire moqueur.
« Oui. »
On arrivait devant lamphi où devait se dérouler lexamen. Je navais pas le temps de punir sa prétention. Chacun des élèves se plaça devant sa copie, et pendant plus dune heure, je dus mefforcer de ne pas penser à Sarah. Seulement, cétait plus facile à dire quà faire : régulièrement, je levais les yeux et croisais son regard, et alors elle me lançait un sourire coquin qui avait le don de méchauffer. Cétait dur de se concentrer ! En même temps, je remarquai que je nétais pas le seul à avoir du mal à madonner à mon travail : les examinateurs, censés nous surveiller, négligeaient complètement leur travail. Ils bavardaient entre eux, et cest à peine si ils faisaient attention à ce que leur conversation ne dérange pas les élèves en plein examen. On sentait vraiment que cétait le dernier examen de lannée. Jenvisageai vaguement de profiter de la situation : vu leur vigilance, ça maurait été très facile de prendre mon portable et daller voir sur internet pour maider à composer mon sujet
Mais je me ravisai : tricher cétait pas mon style. En revanche, une demi-heure après avoir eu cette vilaine, pensée, il men vint une autre, beaucoup plus redoutable, et beaucoup plus tentante
Une fois encore, mes yeux sétaient égarés vers Sarah, et je métais perdu dans la contemplation de ses bras dénudés, de sa peau finement bronzée par le soleil printanier, de sa nuque, largement découverte, vu quelle était coiffée de son habituel chignon, et bien sûr, de son décolleté
Lorsque nos yeux sétaient croisés, il métait soudain venu une pensée affreusement tentante : puisque les examinateurs nous surveillaient comme des manches, pourquoi ne pas en profiter pour séclipser tous les deux, et soulager nos envies de sexe intense ?
Je fis signe à Sarah, tâchant de lui faire comprendre ce que je voulais. Ses yeux saggrandirent lorsquelle saisit le message, mais avec un sourire aguicheur, elle fit signe quelle était daccord. Elle se retira la première, discrètement. Quelques minutes plus tard, je fis de même, bougeant lentement, me dirigeant hors de lamphi à une allure descargot, nosant pas respirer. Bien sûr, on avait le droit de quitter lamphi pendant lexamen pour aller aux toilettes. Théoriquement, on devait demander la permission, mais si on le faisait sans, ce nétait pas non plus la fin du monde. En revanche, si quelquun était déjà parti aux toilettes, on devait attendre quil revienne
Si les examinateurs avaient été attentifs à leur travail, ils auraient vu Sarah partir la première, et mauraient dit de rester. Mais on risquait encore plus gros : si on nous surprenait ensemble dans les toilettes, on pourrait croire que nous trichions, et alors là, ça serait notre fête
Et dailleurs, si on découvrait ce que nous faisions vraiment, ça ne serait guère mieux. Baiser dans la fac est déjà interdit, alors en plein examen
Mais quimporte : le désir était trop grand, à la seule idée de devoir attendre jusquau soir pour me faire Sarah, javais limpression de mourir de frustration.
Je la vis entrer dans des toilettes. Après avoir vérifié que personne ne nous voyait, je la suivis. Un seul cabinet était fermé, jen déduisis que Sarah était dedans. Jouvris la porte, et entrai à lintérieur. Sarah maccueillit en me saisissant par le t-shirt, et me plaquant contre le mur, un sourire aux lèvres. Elle membrassa suavement, et je lui rendis son baiser, mes mains sélançant vers son fessier, que je massais avec vigueur et enthousiasme. Notre baiser sintensifia, je goûtais à ses lèvres, me sentant de plus en plus comblé dans mes désirs. On se sépara, haletants, et excités.
« On risque gros, tes au courant ? »
« On a le choix ? répliquai-je. »
Comme moi, elle était essoufflée, le visage légèrement rougissant, et elle tremblait de désir. Il était évident quon avait dépassé depuis longtemps le point de non-retour.
« Non, souffla-t-elle. »
Je la repoussai, et la plaquai contre le mur den face, et elle poussa un petit gémissement dexcitation. Nous navions pas énormément de temps, alors je passai tout de suite aux choses sérieuses. Je la soulevai, et lui retirai son mini-short et son shorty, et elle me débarrassa de mon pantalon et caleçon. Avec vigueur, je la pénétrai, et me mis à la baiser contre le mur. Toujours anxieux à lidée quon nous découvre, jallai très vite, lui infligeant de puissants coups de reins qui la faisaient sautiller entre mes bras, et la culbutaient contre le mur. Elle se mit à gémir, de plus en plus fort, et je la bâillonnai avec une main, pour ne pas quon nous entende. Cétait extrêmement excitant de la prendre ainsi, je tremblais littéralement de plaisir et dexcitation. Sarah enroula ses jambes autour de moi, et mattira contre elle. Ravi de cette idée, jécrasai mon corps contre le sien, et lui donnai des coups de reins moins rapides, mais plus puissants, et qui allaient plus loin en elle. Je la sentais frémir de tout son être à chaque fois que mon sexe allait cogner le fond de son intimité, et ça me rendait dingue. Je lui lâchai la bouche, pour venir lembrasser le plus sensuellement possible. En même temps, je lui administrai plusieurs coups de reins particulièrement puissants, si bien que notre baiser fut un peu désordonné.
On se sépara, et je la posai au sol. Elle voulut me pousser en arrière, mais je la retins, et la retournai, avant de la plaquer de face contre le mur.
« Je tavais prévenu, dis-je, je vais te faire payer ce que tu mas fait cette nuit
»
Elle eut un petit frisson dexcitation
mais je sentais un peu dangoisse aussi. Et elle avait raison : bien décidé à me venger, je la sodomisai, enfonçant non sans quelque difficulté mon sexe dans son cul. Elle poussa un grand cri, je la bâillonnai à nouveau, et démarrai des va-et-vient, dabord lents, histoire quelle ait pas trop mal, puis de plus en plus rapidement, quand je sentis que le plaisir avait pris le pas sur la douleur chez elle. Jallai vite et fort en elle, vibrant de plaisir en sentant mon sexe coulisser à lintérieur de son petit cul si étroit. En même temps, je lui massai les seins avec vigueur à travers son débardeur, les malaxant de ma main libre, savourant leur fermeté. Sarah se tortillait, et poussait des gémissements étouffés de plus en plus répétés. Elle secouait ses fesses, mordillait la main qui tenait sa bouche, se démenait comme une sauvage, sans parvenir à se libérer de létreinte de mes bras puissants, qui la tenaient contre moi, tandis quencore et encore, ma queue la limait avec force. Lorsque je sentis lorgasme approcher, jaccélérai lallure, entamant le sprint final. Cela mit fin aux rébellions de Sarah, qui neut dautre choix que de se laisser aller, et de subir mes assauts de plus en plus violents. Après une série de puissants coups de reins, je finis par jouir dans un orgasme merveilleux, me déversant dans son cul. Elle me rejoignit bien vite, jouissant à son tour.
On se rhabilla vite fait. Puis chacun de nous retourna lun après lautre à lamphi. Sarah y alla la première, jattendis cinq minutes avant dy aller à mon tour. Les élèves continuaient de composer, les surveillants continuaient de néglier leur boulot. Sarah et moi échangeâmes un regard
et je lui adressai un sourire moqueur. Elle navait que ce quelle méritait. Elle eut un air vaguement agacé, et se remit à son travail.
A la fin de la journée, jétais fatigué mais heureux : enfin en vacances ! Et je savais exactement comment je comptais fêter ça. Je retrouvai Sarah, et lui dis :
« Hey ! Alors, comment
»
« La ferme, me coupa-t-elle. »
Je restai interdit.
« Quoi ? »
Elle me saisit par le t-shirt et approcha mon visage du sien.
« On retourne chez moi, et je te fais ta fête. »
Jeus un petit frisson, tandis quelle me prit par la main et mentraînai dun pas résolu vers les logements étudiants. On entra dans sa chambre en trombe, elle me tenait toujours par la main et mattirait vers le lit. Je claquai la porte derrière nous, et la tirai vers moi. Je lenlaçai, et lui dis dun ton autoritaire :
« Ne cherche pas à faire ta dominante, je vais faire de toi ce que je veux, et tu vas te laisser faire comme une gentille petite fille. Cest clair ? »
Elle eut un sourire ironique.
« Mais oui, bien sûr
. »
Elle me saisit la bite à travers le pantalon, et serra fort. Je poussai un grognement de douleur, tandis quelle me tira en avant, et je me jeta non pas sur son lit, mais sur une chaise à bascule, posée non loin de là. Je my écroulai, et fus un moment ballotté par le mouvement de la chaise. Sourire coquin aux lèvres, Sarah sapprocha de moi. Jeus la brève impression dêtre une sorte de lapin pris au piège par une lionne
Sauf que la lionne en question était incroyablement sexy, dans son débardeur et mini-short sexy. Ses yeux brillaient dexcitation, et je nen pus plus dattendre. Je me redressai dun coup, bien décidé à la prendre sur le champ, mais elle me repoussa direct, et je meffondrai à nouveau sur la chaise. Elle se déshabilla, me faisant un vrai strip tease sexy, retirant le haut, plus son short, puis ses sous-vêtements, avec une certaine lenteur, me laissant admirer toujours plus son corps de rêve.
« Déshabille-toi, mordonna-t-elle. »
Je naimais pas trop recevoir des ordres et y obéir, mais je ne comptais pas rester habillé de toutes les façons. Toujours assis sur ma chaise, je retirai mon jean mon caleçon et mon t-shirt. Sarah vint sur moi, me tourna le dos, et sempala sur mon sexe tendu. Elle démarra aussitôt de puissants va-et-vient, se déhanchant de gauche à droite ou allant davant en arrière. Elle se servait du mouvement de la chaise à bascule pour me donner des coups de reins plus amples et plus délicieux que dhabitude. Elle détacha ses cheveux, et les laissa tomber en cascade tout autour delle, et comme je la voyais de dos, je fus aux premières loges. De manière générale, la vu quelle offrait de dos était merveilleuse, de par ses hanches qui sactivaient encore et encore, et de par son fessier qui se secouait juste sous mon nez. Ballotté sur sa chaise, je prenais mon pied comme rarement, poussant des cris, tout en massant ses fesses si rondes. Sarah se mit à bondir sur ma queue, et je lâchai de grands cris, tandis quelle me chevauchait avec toujours plus de vigueur. Elle se tourna vers moi, et me lança un sourire moqueur, ce fut la goutte deau qui me fit déborder.
Je me redressai dun coup, et la poussai jusque sur son lit, où elle sécroula à quatre pattes. Je vins derrière elle, et la saisis par les hanches, avant de la prendre en levrette. Je la baisai puissamment, reprenant le contrôle sur elle, et la faisant gémir de la plus délicieuse des façons. Elle voulut se débattre, mais jaccentuai mes assauts, et la saisis par les cheveux pour la calmer. Ca fonctionna parfaitement, elle poussa des cris de plaisir, et dut se laisser faire, subissant mes assauts, le corps crispé par le plaisir que je lui apportais. Moi je serrai les dents pour tâcher de contenir lorgasme, et ce nétait vraiment pas facile, car à chaque coup de rein, je tremblais dextase, et voir Sarah à quatre pattes, se tortiller et gémir était incroyablement excitant. Néanmoins, je réussis à me contenir, et à prolonger cette fantastique séance de pilonnage.
Mais je ne me méfiai pas assez : Sarah parvint à se dégager, et me poussa en arrière. Avant que jaie eu le temps de dire ouf, elle me jeta à nouveau sur sa chaise à bascule. Elle vint sur moi, et se mit à me chevaucher en andromaque, allant davant en arrière, me maintenant plaqué contre le dossier en me tenant par les épaules. Ses va-et-vient saccéléraient, la chaise se basculait en suivant leur rythme, et le plaisir augmentait encore et encore, tandis quelle me baisait. Je me débattis, cherchai à reprendre le dessus, mais entre ses mains qui me tenaient les épaules, et ses coups de reins qui me culbutaient sur sa chaise, je narrivais pas à grand-chose. Sarah en prit conscience, et se mit à se déhancher, faisant comme une danse du ventre tout en me regardant droit dans les yeux, un sourire moqueur aux lèvres.
« Avoue, tu aimes subir ce que je te fais ! »
Elle fit un mouvement de hanche bien appuyé, ma queue senfonça loin en elle et je poussai un cri.
« Pas du tout, répliquai-je de mauvaise foi, je mennuie là
»
Elle eut un sourire narquois, et enchaîna deux autre coups de hanche, tout aussi bien appuyés. Je poussai un grand cri, et me sentis vibrer de la tête aux pieds. Sarah me fixa dun air de défi, et refit son mouvement de hanche, encore et encore, les enchaînant sans répit. A chaque fois, on poussait un grand cri, et on sapprochait inexorablement de lorgasme. Sarah me mettait au défi de lui résister, et je faisais de mon mieux, mais elle bougeait trop bien et avec le mouvement de la chaise à bascule, cétait indescriptible. A chaque coup, cétait un feu dartifice. Je pus résister quelques minutes, le temps que Sarah ait le corps en sueur, et le visage déformé par le plaisir à force de me baiser aussi bien. Mais elle arborait surtout un air triomphant : elle me baisait à sa guise et elle savait bien que tôt ou tard, je finirai par craquer sous ses assauts. Je soutenais son regard, et tâchais de tenir le plus longtemps possible. Sarah continuait son implacable danse du ventre, me fixant avec larrogance de celle qui sait bien quelle va gagner au final. Et cest ce qui arriva. Elle me donna un énième coup de rein, qui fit monter en moi le plaisir à un niveau dangereux. Avant que je naie pu le contenir, elle enchaîna avec un autre mouvement de hanche, et je craquai, explosant de jouissance, me déversant en elle. Elle me donna deux autres coups, prolongeant ma jouissance, jusquà ce quelle ait son orgasme à son tour.
Sarah se releva. Elle était essoufflée, mais visiblement heureuse.
« Tas pris cher sur ce coup là
ça tapprendra lhumilité jespère. »
Je me relevai, vexé, mais trop sonné pour répliquer. Je mallongeai sur son lit, désireux de mendormir après cette baise magnifique. Mais Sarah ne lentendait pas de cette oreille. Elle me mit sur le dos, me plaquant contre le matelas, et avant que je ne me remette de ma surprise, elle mattacha avec des menottes cachées dans sa table de nuit.
« Te voilà à ma merci beau gosse ! Notre belle épopée va se conclure par une soumission totale de ta part. »
« Rêve ! Détache moi et tu vas voir qui va soumettre qui
»
Elle se pencha sur moi, sourire moqueur aux lèvres.
« Tas déjà eu ta chance mon beau, et tas perdu. Maintenant, je vais te régler ton compte. »
Elle se pencha sur mon sexe, et doucement, le prit en bouche. Elle commença à me pomper, lentement, prenant possession de mon sexe progressivement, guettant mes réactions, tandis que ses lèvres enserraient doucement ma queue, qui coulissait dans sa bouche. Elle avait beau y aller lentement, cétait néanmoins très bon, car elle savait comment doser la pression de ses lèvres. Si bien que lorsquelle se mit à accélérer, je frémis de plaisir, et lorsquelle alla soudainement à grande vitesse, jouant de sa langue, je me mis à pousser de grands cris, et me démenai sous leffet du plaisir. Sarah mobservait, les yeux brillant de satisfaction, et se remit à aller doucement, suçant mon sexe langoureusement, comme si cétait une glace. Puis elle sarrêta tout à fait, pour ma plus grande frustration.
« Quest-ce que tu fous ? grognai-je. »
« Je vais te rendre dingue, attends. »
Elle saisit mon sexe à pleine main, et se mit à me branler, allant directement à un rythme élevé. Elle savait y faire, et je recommençai bien vite à gémir et à me tortiller. Elle accéléra le rythme, accentuant sa pression au niveau du frein, tout en me massant les boules avec lautre main, me faisant vivre un vrai délice. Le plaisir montait et montait en moi, tandis que Sarah mobservait avec attention. A un moment, elle arrêta tout, et je sentis une terrible frustration me prendre.
« Tu fais quoi ? »
Javais du mal à cacher mon agacement. Sarah sourit et me répondit.
« Attends un peu
»
Elle attendit une vingtaine de secondes, puis dit :
« Fausse alerte, on reprend. »
Elle se remit à me branler, reprenant à un rythme soutenu, et je me remis bien vite à vibrer et à crier de plaisir. Sarah me sourit, et de son autre main me pressa les boules, provoquant une nouvelle décharge de plaisir. Elle accéléra le tempo, avant de soudainement sarrêter de nouveau. Elle attendit à nouveau mais cette fois-ci, le plaisir quelle mavait procuré continuait de bouillonner en moi, et jeus au bout dune vingtaine de secondes, une sorte de faux orgasme. Je me mis à jouir, mais de façon diffuse. Ce nétait pas un orgasme qui comblait entièrement mon désir, cétait au contraire un petit orgasme, qui ne faisait que lentretenir. Je poussai un léger cri, car cétait néanmoins bon, mais je râlai :
« Cest quoi ça ? Jai à peine joui là ! »
Sarah eut un sourire sadique.
« Ten veux plus ? »
« Ouais ! »
« Alors demande moi. »
« Tu veux que je te supplie ? grognai-je. »
« Oh non. Demande moi juste poliment. »
Je fronçai les sourcils. Sarah mobservait avec un sourire confiant, comme si elle savait déjà ce qui allait se passer. Jétais vraiment dans un piètre état : attaché, à sa merci, haletant et brûlant de désir et de frustration. Je dus me résigner.
« Sil te plaît Sarah, tu peux reprendre ? »
Elle eut un sourire, et se remit à me branler. Seulement elle navait pas fini son petit jeu, loin de là. Elle me branla, faisant monter le plaisir, avant dà nouveau tout arrêter, pour me laisser avoir mon faux orgasme. De nouveau frustré je lui demandai de reprendre, et à nouveau elle recommençait. Cétait assez terrible pour moi, car jétais en permanence dans la frustration, mais cétait aussi très bon, car elle me branlait extrêmement bien. Jai peine à ladmettre, mais cétait excellent dêtre ainsi à se merci, davoir mon plaisir littéralement entre ses mains. Cest elle qui contrôlait tout. Au bout dune dizaine de minute de ce traitement, je nen pouvais plus. Après un énième faux orgasme, je mexclamai, criant à moitié :
« Tu peux pas me baiser pour de bon ? Jen peux plus de ce que tu me fais. »
Sarah sourit, et je vis passer dans ses yeux une lueur de triomphe.
« Alors supplie moi beau gosse. »
Je grimaçai. Je navais aucune envie de la supplier, mais je navais pas le choix.
« Je ten supplie. »
« Tu me supplies de quoi, déjà ? »
Je poussai un soupir exaspéré. Elle voulait que je mhumilie jusquau bout.
« Je ten supplie, baise moi. »
Elle sourit, laissant éclater son triomphe.
« Eh bah voilà, cétait pas si dur
»
Elle sempala sur mon sexe, toujours tendu, et avec un air conquérant, se mit à me baiser sauvagement. Elle semblait décidée à en finir, aussi elle alla tout de suite très rapidement, ses hanches percutant les miennes avec violence, tandis quelle me toisait dun air dominateur. En pleine confiance, elle profitait de ce que jétais attaché pour me r, me griffant le torse, me donnant des gifles, tout en me souriant dun air diabolique. Cétait incroyablement bon. Après de longues minutes maintenu en frustration, cette baise sauvage était pile ce dont javais besoin. Evidemment jétais à nouveau dominé par une belle fille, et mon égo en souffrirait plus tard, mais plus tard cétait tellement loin ! En attendant, je profitai à fond de la chevauchée de Sarah, de la sensation de mon sexe ballotté par ses coups de reins, des frissons quelle me procurait quand elle me mettait une claque ou quelle me griffait. Et puis, elle était tellement belle à me chevaucher comme ça, comme une furie son corps de rêve tout en mouvement, ses cheveux et ses seins se secouant, et son sourire diabolique ! Je ne pus tenir plus longtemps, et rendant les armes, jexplosai dans un superbe orgasme que Sarah prolongea encore et encore, manquant de me , jusquà jouir à son tour.
Hors dhaleine, Sarah me détacha. Elle ne dit rien, mais son air satisfait et même comblé en disait long, sur la joie quelle avait de mavoir soumis. Quant à moi, jestimai que cétait là une défaite largement appréciable. On sallongea côté à côte, et paisiblement on sendormit.
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