Groupe De Vacances 46
GROUPE DE VACANCES 46
Ep 46 : UN AIR DE VACANCES
J'avais fait un bon placement, les deux appartements me rapporteraient largement plus de mille DI par mois, c'était plus que le budget initial que j'avais seulement deux ans plus tôt
Je conservais toujours la possibilité de revendre un appartement si nécessaire. On ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve. Je prenais bien sûr Luc à ma charge financièrement, nos parents tenaient absolument à me verser suffisamment d'argent pour ses frais mais comme vous l'avez constaté j'étais pleins au as, je lui en reversais donc un partie en argent de poche et plaçais le reste sur un compte épargne
Il faut savoir rester prévoyant
Tout le monde était contant et Luc est un garçon adorable et tout à fait raisonnable il ne me posait aucun problème. Un peu bourrique quand il s'y met mais c'est son plus gros défaut.
Il restait encore plus d'une dizaine de jours avant la fin des vacances. Je recevais un message d'un pasteur d'une de ces églises moralisatrice qui se référait souvent à moi dans ses prêches. Le bon pasteur m'invitait à venir faire une conférence
Il n'avait bien sûr pas les moyens de me loger, ni de me rétribuer
Moi ( dans ma tête ) : Tiens donc, ces mouvements religieux sont toujours aussi radins
Quand on s'imagine qu'ils sont exonérés dimpôts
Pfff !
J'y voyais là une opportunité
Je téléphonais à Justine !
Moi : Bonjour, Jérémy Brosso pourrais-je parler à Justine ?
Alicia ( La secrétaire ) : Mais enfin monsieur Brosso Mme Justine ne peut pas prendre des gens que nous ne connaissons pas au téléphone
Désirez-vous prendre un rendez vous
Moi : Alicia ! Tu ne me reconnais pas ? Mais enfin, j'ai fait un stage dans vos bureaux il n'y a que quelques mois ! Enfin
Djé ! Tu ne te souviens pas ?
Alicia : Djé ! Mais c'est toi ? Pourquoi tu ne le dis pas tout de suite ? Tu t'appelles Jérémy ? .
Alicia est une fille adorable mais je saute une partie de la discussion pour en arriver au vif du sujet
Alicia : Mais c'est que je ne peux pas te passer Justine, elle est actuellement en réunion
Mais tu sais, tu n'as pas besoin d'elle
Tu passes quand tu veux
Tu signes le document et c'est tout
Je suis là moi !
Moi : Mais de quoi tu parles ?
Alicia : Enfin je parle du contrat, et ton copain Antoine il passe quand il veux lui aussi
Ceci dit, les jeunes, ne traînez pas c'est tout de même une grosse somme
Moi : Je ne comprends rien à ce que tu me racontes
Je voulais juste parler à Justine pour lui demander un conseil
Alicia : Je me disais aussi que tu étais rapide
Je ne l'ai envoyé qu'il y a quelques instants ce message
Bon je t'explique
C'est simple, c'est encore un versement sur vos droits d'auteurs à toi et à Antoine
Une jolie petite somme de deux cent cinquante mille
Chacun
Alors tu appelle pour autre chose
Moi : C'est une jolie somme, c'est Antoine qui va être content
Mais moi je voulais juste un conseil
Alicia : Tu veux que je te passe Joss ?
Moi : Oui
S'il est libre
Finalement je discutait avec Joss, il est avocat lui aussi. Selon lui, c'était une bonne chose que le religieux ne me donne aucune rétribution
En effet de ce fait je n'avais aucun engagement avec lui
Je serai donc totalement libre de mes propos
On prenait des nouvelles, il me parlait de ce nouveau versement
Je lui parlais de ma voiture
La même que Justine
Joss : Tu as aimé conduire cette voiture toi !
Un peu plus tard alors que je me préparais à partir pour faire la conférence Antoine arrivait.
Antoine : Tu as reçu le message de Justine ?
Moi : Message de Justine ? Non ! Et elle nous raconte quoi ?
Je luis expliquait .
Antoine : C'est une bonne saison ça, on est riche
Tu as placé ton argent ou toi ?
Moi : Dans l'immobilier !
Antoine : C'est une idée ça ! Je vais peut être faire pareil !
Luc n'avait pas l'intention de me laisser partir seul
Un voyage ! Il voulait en faire partie
On logerait à l'hôtel
Alors pas question de louper ça.
Luc : Je t'avais dit de voyager léger
On ne va pas faire de camping, on sera à l'hôtel
Bob : Mais j'ai pas pris grand chose
Moi : ( je n'avait pas tout entendu ) Tiens Bob tu vas faire du camping ?
Luc : Bein non, il ne va pas faire de camping justement, il vient avec nous !
Moi : Il vient avec nous ?
Luc : Bein oui ! On est en vacance !
Moi : Et tu n'aurais pas oublié de me prévenir ?
Luc : Je te l'avais pas dit ? ( avec une toute petite voix )
Je levais les yeux au plafond .
Moi : Mais quelle bourrique !
Antoine rigolait dans son coin, Charles aussi et pendant qu'il débarrassait Bob
Bob : Je ne voudrais pas déranger ! Si ça pose un problème
Luc : Mais non ça ne pose aucun problème !
Ça ne pose aucun problème dis Jérémy ?
Moi : Tu es le bienvenu Bob ! Ça ne pose aucun problème !
Après un rapide passage au cabinet de Justine on prenait la route. Je conduisais, Bob s'était installé à l'arrière, Luc était au téléphone et réservait des chambre dans un hôtel
Pendant le trajet je recevais deux nouvelles demandes de conférence par d'autres groupe religieux
On y arrivait, depuis des mois ces groupes utilisaient mon image pour leurs propagandes, le jour de la mise au point arrivait
Moi : Luc, j'aimerais que tu te renseigne sur les salles dans lesquelles les conférences doivent avoir lieu
Dans le cas ou il y aurait des annulations il faudrait les louer immédiatement et confirmer la conférence
Luc : Toi tu es en train de comploter quelques chose !
Moi : J'ai une petite idée dans ma tête !
Au bout d'une heure je m'arrêtais
Je descendais de la voiture et m'installant à l'arrière
Moi : On m'a dit que tu venais d'avoir ton permis Bob
Vas y montre nous ce que tu sais faire !
Bob : Mais, je ne sais pas, je viens juste d'avoir mon permis et ta voiture est
neuve
je ne voudrais pas
Moi : Si tu viens d'avoir ton permis c'est que tu sais conduire
Moi je vais me reposer un peu
Tu n'as qu'à suivre le GPS ! Réveillez moi quand on sera arrivé !
Il conduisait très bien finalement, et il était tout content en fin de compte ! On roulait tranquillement et c'est vers la fin de l'après midi on arrivait à l'hôtel que Luc avait réservé.
Le réceptionniste : Bonjour, c'est vous qui avec loué deux chambres ?
Vous êtes trois !
Luc : Oui, mais le big boss est radin et il tient absolument à avoir une chambre pour lui tout seul ! Nous on est obligé de se serrer
Moi : Ne l'écoutez pas ! Mon jeune secrétaire n'est pas très doué dans son nouveau travail
Le recep : Il n'y a qu'un lit dans la chambre
Luc : On va faire avec
Pas trop le choix
Je sais c'est pas une vie
Moi : Si tu continues Luc je t'oblige à prendre une chambre pour toi tout seul !
Luc : Ok ! Je dis plus rien !
Il ne rajoutait plus rien et montait s'installer avec son copain dans leur chambre. Le bon pasteur me téléphonait, je fixais un rendez-vous pour visiter la salle ou la conférence aurait lieu. C'était une grande salle qui appartenait à une riche paroissienne qui la louait pour des spectacles. La sono, les sièges, tout était fourni avec.
Le pasteur : Je suis très heureux de vous rencontrer Djé ! Vous ne pouvez pas savoir comment il est difficile d'inculquer à ces
branleurs ( prenant un ton méprisant )
des notions d'hygiène physique et mentale ces gamins ne pensent qu'à se tripoter et voir un exemple comme vous est réconfortant
Moi : Branleurs
C'est vraiment un problème à leur âge ? Ils ont quel âge au fait ?
Le pasteur : Ils vont avoir quinze ans pour les plus vieux, et je peux vous garantir qu'ils n'ont pas la moitié de vos qualités !
Moi : Il ne faut pas être si sévère. Ils sont très jeunes ! Au fait je suppose que vous êtes vous même porteur ?
Le pasteur : Moi ! Mais vous n'y pensez pas ! Je suis marié, je n'ai d'ailleurs jamais porté ce genre de truc ! C'est bon pour les branleurs !
Heu !
Sans vouloir vous offenser ! Pour vous bien sûr, la situation est différente
Moi : Ma mission sera donc de leur parler
Le pasteur : ( me coupant la parole ) De les mettre en garde contre la dégradation de la masturbation , c'est bestial ! De les avertir des dangers des tentations qu'ils peuvent avoir à leur âge, l'homosexualité est criminel et dégoûtant ! De les encourager à prendre de bonnes habitudes, le travail et le sport ! Le sexe, ce sera plus tard quand ils seront mariés, et uniquement pour la reproduction
Pour autre chose c'est sale !
On se saluait
En revenant à l'hôtel j'étais perplexe
Ce religieux ne me paraissait pas vraiment sympathique
Il ne portait pas le dispositif voulait tout de même l'imposer ! Je n'étais là que pour assurer la propagande
Dans ma tête je commençais à rédiger ma conférence
Je retrouvais Luc et Bob à une table à côté de la piscine.
Plus tard on passait à table, la discussion était vive
Bob : Tu m'as dit qu'il ne fallait pas porter ce truc si tu ne le voulais pas ! Que tu ne voulais contraindre personne et demain tu vas faire une conférence
Tu vas leur dire quoi au juste ?
Luc : Il va leur dire que même si tu porte une PK tu peux te faire plaisir avec un petit copain bien monté qui te défonce le cul !
Bob : Tu n'es pas sérieux Luc
Luc : Moi ! Je ne suis pas sérieux ? J'ai pas dix huit ans et je suis porteur ! Et je ne suis pas sérieux ! Mais moi aussi je suis un exemple
Si on ne rentre pas trop dans les détails !
Moi : Oui mais tu as aussi un petit copain bien monté qui te défonce le cul régulièrement !
Et vlan ! J'avais oublié que Bob pouvait changer de couleur très facilement
Ou alors c'était peut être parce qu'il s'était rendu compte que le barman avait entendu
Enfin ça faisait longtemps que je ne l'avait pas vu devenir tout rouge de confusion
Le barman ne cachait pas un large sourire amusé.
On traînait encore un moment en terrasse après le repas, la température était agréable
Luc et Bob allaient se coucher et je restais à travailler sur mon discours. Le barman venait vers moi
Le Barman : Vous désirez quelque chose ?
Moi : Non ça va tout est parfait.
Le B : Vous êtes le célèbre étudiant sportif
Djé ?
Moi : Oui
Célèbre
Je ne sais pas !
Le B : Oh si vous êtes célèbre
De nombreux pasteurs vous prennent en exemple
Chasteté
Abstinence
Austérité
Refus du confort matériel
Travail
Honnêteté
Loyauté
Moi : Eh bien on en dit des choses sur moi
C'est un peu exagéré tout ça !
Le B : Vous n'êtes pas le fanatique qu'on nous décrit ?
Il s'asseyait à côté de moi.
Moi : Non je ne suis pas fanatique
On me parlait souvent de mon fanatisme
Enfin les personnes qui ne me connaissaient pas, ceux qui étaient proches et même plus ou moins proches ne me parlaient jamais de fanatisme. Mais quand je rencontrais des gens qui ne me connaissaient que par l'image que les moralisateurs donnaient de moi, ils me prenaient tous pour un fanatique ...
Moi : Pour ce qui est du
Travail, Honnêteté, Loyauté
Je ne dis pas. Ce sont des valeurs qu'il faut savoir défendre. Pour ce qui est du
Refus du confort matériel ... Vous avez vu ma voiture ? Je vis dans un appartement de grand standing et j'ai un domestique à ma disposition
Le B : Et pour ce qui est du
Plaisir
?
Moi : Le
Plaisir
J'ai rien contre bien au contraire
La discussion continuait encore un moment. Les questions habituelles, je rectifiait les faits. Il se rapprochait de plus en plus de moi. Son genou venait à toucher le mien, je ne bougeais pas. Il m'avouait qu'il ne portait pas
'' Ce truc bizarre ''
Comme il disait. Qu'il ne connaissait personne dans ses proches qui en portait
Il ne cachait pas une certaine curiosité sur le truc. Il posait sa main sur mon genou, je posais ma main sur la sienne
Le B : Pas ici ! Viens, j'ai une chambre juste à côté, personne ne nous dérangera !
Je le suivais. On passait derrière le bâtiment destiné à l'intendance. Il était logé dans un petit appartement, pas très grand mais il y était tranquille, et c'était confortable.
Il me prenait dans ses bras et doucement, presque timidement m'embrassait. Aussitôt je lenlaçait également et lui rendait ses baisers. C'était une tendre, il était plein de douceur, plein de tendresse. J'aime bien ça moi aussi. On se caressait mutuellement et on s'embrassait, sur les lèvres, dans le coup, il me donnait quelques baisers d'une grande douceur sur les paupières, je fermais les yeux et je m'abandonnait totalement à cette douceur. C'était ce que j'appelle une surprise, une très bonne surprise.
Doucement je déboutonnais sa chemise en commençant pas le haut. Doucement je glissait un baiser sur le haut de son torse, à chaque bouton
Il penchait la tête en arrière et fermait les yeux, lui aussi s'abandonnait à ma douceur. On partageait un moment de grande tendresse. Il faisait sauter quelques bouton de ma chemise y glissait une main et me caressait le torse. Je penchais la tête sur le côté et en réponse lui donnais de très doux et très tendre baiser dans le coup.
Les caresses réciproques devenaient plus fortes, toujours aussi douces mais plus insistantes
Les chemises étaient désormais ouvertes et déjà commençaient à tomber
On était torses nues
Je le prenais fermement dans mes bras, il me le rendait. Sa main se glissait désormais sous ma ceinture, dans mon dos et me caressait le haut des fesses, un doigt se glissait entre mes fesses. Je lui ouvrais sa ceinture, son pantalon et lui baissait la braguette. Il me laissait faire.
Son pantalon tombais sur ses pieds, je me penchais alors et passait doucement ma langue sur son gland, il bandait déjà fermement. Je bandais aussi mais rien de dépassait. La pression qui s'exerçait contre ma cage était intense. J'appréciais cette frustration tant le dispositif était confortable
C'était une douce, ferme, intense pression qui s'exerçait sur ma queue. Aucune douleur, aucune gène ne se manifestaient
Sa queue était douce et il gémissait quand ma langue passait sur le dessus de son gland, il sursautait quand elle lui caressait le frein, il se crispait quand sa bite s'introduisait dans ma bouche. Je le sentais se contracter, se tendre. Sa main se refermait sur mon épaule, son autre main me caressait la nuque.
Il n'exerçait aucune pression sur ma tête. Je sentais qu'il se retenait, de peur sans doute d'être trop violant. Il me caressait l'arrière de ma tête, par moment je sentais une pression, il tirait ma tête vers lui puis il relâchait. Je passais alors mes mains derrière ses cuisses, tout en haut des cuisses, et le tirais alors fermement vers moi. J'avalais sa queue jusqu'à la garde. Il retirait ses mains, ne me touchait plus et me laissait faire en poussant un long gémissement de plaisir
Il m'encourageait, il balançait son bassin d'avant en arrière. Je relevais les yeux, il regardait vers moi avec un large sourire de satisfaction. Il avait les bras qui pendaient le long de son corps. J'attrapais ses mains et les posais de chaque côté de ma tête, il comprenait et commençait alors à me caresser les cheveux puis à appuyer sur ma tête. Quand il avançait son bassin il tirait alors ma tête vers lui et quand il reculait son bassin il écartait alors ma tête. Je me retirais, me léchait les lèvres, lui faisait un grand sourire puis reprenait avec encore plus de vigueur ...
Les mouvements devenaient plus réguliers, plus rapide, plus amples. Ses gémissements également. Je me retirais régulièrement, reprenais mon souffle et y retournais. Sa queue entrait et ressortait de ma gorge avec douceur, de plus en plus vite. Il gémissait de plus en plus fort. Je le sentais qui se contractait
Un mouvement violent du bassin, comme une convulsion. Un mouvement plus ferme de ses mains, il attirait alors ma tête avec fermeté. Son souffle devenait fort, violent, il râlait, il gueulait de plaisir
Je recevais une grosse giclée de sperme dans la bouche, elle était aussitôt suivie par une seconde giclée tout aussi importante puis de quelques autres moins importantes. Je continuait à lui sucer la queue, il se tordait, se tortillait, je le retenais, il essayait de se dégager, je le retenais et c'est en riant qu'il me disait d'arrêter
Je le relâchait, il se retirait en riant, il commençait déjà à débander. Je me léchais les lèvres, il me souriait, je lui rendais son sourire et je me relevais. Il me prenait alors dans ses bras et me donnais un baiser d'une extrême douceur sur l'épaule, juste à la base du coup, ça me chatouillait et me provoquait quelques frissons
Lui : Heureux d'avoir fait ta connaissance Djé !
Moi : Moi aussi
Euh
?
Lui : Régis
On se laissait tomber sur son lit, il ne me lâchait pas. Moi non plus je ne le lâchait pas
Régis : Alors comme ça
Tu es venu faire une conférence sur l'abstinence
?
Moi : Je ne sais pas si je vais aborder le sujet !
Régis : La chasteté alors ?
Moi : En tout cas c'est ce que voudrait ce bon pasteur !
Régis : Ils nous parlent toujours de la même chose !
Moi : Oui mais
Ils ne portent pas tous ce truc
Eux !
Régis : Comment ça ?
Je lui racontait la rencontre avec le bon pasteur
Régis : Et il nous fait la morale en nous disant qu'il faut porter ce genre de truc
Moi : Eh oui, le fanatique
C'est pas moi !
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