Je Prépare Ma Belle-Fille Pour Mon Fils 2/2

Lorsque nous somment rentrés le soir Aurore, trop épuisée est allée directement se coucher sans même effacer les traces de son dépucelage torride à l’hôtel, moi-même accaparé par sa mère qui voulait tout savoir sur le déroulement de notre journée et surtout ce qui s’est passé dans l’intimité de notre chambre, je ne veux rien lui cacher
- Aurore était très décontractée, à aucun moment elle n’a repoussé l’échéance, coopératrice jusqu’au bout, réclament même des positions indignes d’une jeune fille novice
- Elle a souffert ?
- Moins que ce que va lui faire subir mon fils
- Parles a Bastien, je parlerais à ma fille demain, pauvre gamine tu as dut la secouer sans ménagement !
- C’est elle qui réclamait de la virilité
- Comment ça s’est passé ? elle t’a …
- Masturbé et sucé ? bien sûr et sans recracher une goutte de foutre, je l’ai bien léchée avant de la prendre afin d’assouplir son petit abricot
- Elle était consciente de ce qui l’attendait ?
- Parfaitement, Aurore a tenu à assister à la pénétration de ma verge centimètres par centimètres, puis, une fois en elle je l’ai laissée travailler, elle promet la gamine ! Bastien va se RE-GA-LER
- Arrête ! ma fille n’est pas une salope !
- Sans doute, mais elle va le devenir rapidement… comme sa maman !
- Je n’ose pas y penser … Fred chéri …. J’aimerais tu demander une faveur
- Accordé d’avance …
- J’aimerais coucher une dernière fois avec ton fils avant de lui confier Aurore, je suis hantée par sa queue, je veux savoir s’il est vraiment compatible avec la petite chatte de ma fille
- Gourmande, va le rejoindre après diner …. Ôte-moi d’un doute ? tu ne voudrais pas expérimenter la sodomie par hasard ?
- Que vas-tu imaginer …
- Je vérifierais dès ton retour dans notre lit !
Réveillée par les geignements peu discrets de sa mère Aurore s’est levée, des valises sous ses yeux trahissent l’effort qu’elle a fourni cet après-midi, certainement partie pour la salle de bain elle me rejoint en string, celui qu’elle avait à l’hôtel, qui n’a pas eu le temps de se salir, je me délasse devant la télé, en robe de chambre sur le canapé, ma queue est encore toute endolorie de l’effort fourni
- C’est ta femme qui brame ainsi ?
- C’est effectivement ta mère qui discute avec Bastien
- J’ai comme l’impression que la discussion a dérapé
- Tu es jalouse ?
- Bastien n’est encore rien pour moi, et puis je t’ai toi !tu viens me frotter le dos Fred ?
- Avec plaisir Aurore, tu n’as pas trop de courbatures ?
- Ça ira mieux après une bonne douche et un gros câlin
- Ta chatounette n’est pas rassasiée ?
- Juste un aller-retour dans la chatte et une bonne pénétration par derrière et je dormirais comme un bébé jusqu'à demain !
- A quelle heure ?
- Tu viendras me réveiller avec ta ‘teuteut’
- Pourquoi pas puisque tu vas t’endormir avec, entre dans la douche Aurore je vais te rincer
- Surtout entre les jambes ça commence à sentir le fauve
- C’est ainsi que la chatte de la femme doit être dégustée
- Alors lave moi avec ta langue …
- Je vais aussi en profiter pour préparer ton anus
- Ça fait autant de bien que par devant ?
- C’est différent mais c à expérimenter
- Lèche-moi ainsi Fred …
- Le cul en l’air ? mmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmm c’est de la provocation …tu es encore bien ouverte
Mes coups de langues alternent entre vagin et anus, ce dernier se déplisse a vue d’œil, j’y insère aisément un pouce tout en léchant le clitoris encore rouge et enflé par des orgasmes, la fille confirme que ça lui fait du bien, ma queue prête à l’emploi se balance lourdement de droite à gauche entre mes cuisses écartées, et si je profitais du ruissellement d’eau pour lubrifier la sodomie ?
- Garde la tête posée au sol je vais te saillir
- Tu me compare à une truie ?
- Excuse-moi mais la vue que tu me donne de ton entrecuisse me fait penser à un animal en chaleur
- Alors couvre moi, monte moi, baise moi bestialement !
- Ma bite va t’ouvrir le cul, mais avant juste un p’tit coup dans la chatte pour lubrifier mon manche… hhhaaaaaaaaaa !
- Wwwwoooouuuuuuhh ! prévient ! j’ai cru que tu m’ouvrais en deux
- A présent retient ton souffle je vais dépuceler ta rondelle
Mon gland pèse sur la cible sur laquelle je viens de déposer de la salive, elle se défripe à vue d’œil, la fille geint mais ne se soustrait pas, le plus délicat de l’opération c’est lorsque mon nœud va passer derrière ses sphincters, plus question de faire marche arrière, autant pousser en avant le plus vite possible pour atténuer la brulure
Dans la chambre de mon fils Faustine répond au cri strident que lance sa fille, les deux femmes se font sodomiser de concert, puis le silence revient, ce ne sont que de gémissements de plaisir qui se font entendre, ma queue est bien comprimée dans ce tunnel secret, le doigt d’Aurore pianote sur son clitoris allant puiser de temps à autre la lubrification nécessaire dans sa moule marécageuse, soudain je reste complètement enfoncé, collé au cul de la jeune fille pour déverser une bonne rasade de foutre chaud entre ses reins
- C’est déjà fini ?
- Je ne suis pas un robot, si tu veux continuer à te faire limer les trous rejoint Bastien, je crois que ta mère est sortie de sa chambre j’entends la douche couler
- J’y vais sans me laver ?
- Dans un quart d’heure il t’aura souillée de nouveau alors inutile de te faire belle
Je rejoins Faustine qui se sèche dans la salle de bain, défigurée par la fatigue, les jambes écartées elle semble avoir de la difficulté à se mouvoir
- Satisfaite ?
- Houlàlà ! je plains ma fille, il ne faut pas qu’il lui fasse subir les mêmes outrages qu’a moi
- Trop tard elle est dans la cage du fauve
- Mais il va l’exploser ?
- T’inquiète, j’ai bien préparé ses deux trous, je viens de la sodomiser
- Vieux vicieux
- Je n’ai fait que mon devoir, tu as bien déniaisé mon fils y’a pas de raison que je ne fasse pas la même chose a Aurore, elle est prête pour passer à la casserole avec une grosse bite, tu ne veux pas me nettoyer le bout avant que nous fassions l’amour ?
- Encore ?
- De toute façon avec le raffut que vont faire les amoureux nous ne pourrons pas fermer l’œil, autant passer le temps agréablement
Un soixante-neuf ardent nous a fait oublier le chahut verbal et peu discret des deux jeunes amoureux, j’ai compris que la première pénétration est ardue, puis les gémissements de plénitude, autant masculin et féminin, leurs ont fait place, ils baisent en parfaite harmonie, j’imagine la queue de mon fils labourer ce tendre vagin et ressens malgré tout un pincement de jalousie, Faustine ne dit rien mais a son relâchement dans l’ardeur à me sucer je sais qu’elle pense la même chose
- Alors ? tu dors ? je ne sens plus tes succions
- Et toi ? ta langue devient fainéante, tu ne sais plus où se trouve mon clitoris ?
- Tu crois qu’ils sont heureux de se retrouver seuls ?
- Je n’entends plus de bruits ils se sont endormis ?
- J’sais pas, j’ai envie de me lover sur ton corps
- Baise moi à la papa, lime lentement mon con endolori j’ai envie de douceurs
- Enfile tes doigts avec ma queue, caresse mon gland ça va me faire jouir dans tes doigts
- Il me manque quelque chose …
- Quoi donc ?
- Une belle bite dans le cul !
- Hélas je n’ai que mes doigts à te proposer
- Met les, c’est toujours ça !
Bien imbriqués nous ondulons de concert, attendant l’orgasme qui devrait nous libérer et nous endormir bien repus …
- PAPA !!
- MAMAN !!
- Les s ? que voulez-vous ?
- Bastien se langui de maman …
- Aurore veut tester une double pénétration …
- Comment faire ?
- Vient me voir aurore et toi Bastien fait ce qu’il te plaît avec Faustine.

..
- Ça veut dire que désormais nous pourrons nous mélanger comme bon nous semble ?
- Tout est permis, sauf l’e évidement