Le Grand Tournoi De Lutte (Part. Ii - Final)

Tous mes muscles se relâchent. Damien me prend au cou et m'embrasse dans un élan d'orgueil avant de me lancer :

- Allez, sans rancune. Tu t'es bien débrouillé.

Tu parles.
On se relève, et Fred se retire pour "délibérer". Délibérer sur quoi ? C'est évident, il a gagné.
Quelques instants plus tard, il revient et nous installe debout, côte à côte, face au public. Il tient à la main les contrat que nous avons signés.

- Messieurs, j'ai l'honneur de vous annoncer que notre grand tournoi touche à sa fin. J'ai l'honneur de vous annoncer que le grand vainquer de notre Grand Tournoi de Lutte est... Roulement de tambours s'il vous plait...

Il lève mon bras en triomphe tout en lançant :

- Eh oui ! C'est ... !

Stupéfait, je jette un regard ébahi à Fred. Puis à Damien, qui semble aussi surpris que moi. Est-ce que je me suis mieux débrouillé que je ne pensais ? Ou bien est-ce simplement du favoritisme ?
Les réactions ne tardent pas à se faire entendre. Au lieu de m'acclamer en vainqueur, les mecs du public me huent. Ils crient au favoritisme. Ils commencent même à scander le nom de Damien.
Fred tente de les contenir :

- Allons les gars, vous connaissez le règlement : le verdict de l'arbitre est incontestable. Et l'arbitre, c'est moi !

Loin de se calmer, la clameur redouble :

- Tricheur !
- Y a du favoritisme !
- C'est n'importe quoi ! C'est évident que Damien a gagné, et de loin !

Bien malgré moi, je suis obligé de me rendre à l'évidence : ils ont raison. La victoire de Damien est totale, et je ne comprends pas la décision de Fred. Je me penche vers Fred et lui susurre :

- Tu sais Fred... Ça m'embête vraiment de l'admettre, mais je pense qu'ils ont raison...

Fred me dévisage un instant, interloqué.

- T'as envie de te faire prendre à ce point ?! me lance t-il
- C'est pas ça Fred, mais je pense qu'ils ont raison : Damien m'a mis une déculottée.

.. Je veux pas gagner de façon malhonnête, tu sais.
- Bon, bon.

Fred relève la tête vers les mecs du public :

- Messieurs, c'est une grande première ici au ****** ** ****, le jugement a changé ! C'est donc Damien qui est le grand vainqueur de notre Grand Tournoi !

Les mecs balancent :

- Ah quand même !
- J'ai eu peur !

L'un d'eux plaisante :

- Sans blague !

Fred calme les ardeurs et déclare :

- ..., tu connais le règlement, tu l'as signé. D'après la clause n°4 du contrat, tu dois donc être à l'entière disposition de Damien, il pourra faire de toi ce qu'il voudra. Messieurs je vous laisse aller vous doucher, je pense que vous en aurez besoin.

Je baisse les yeux et suis Damien qui m'escorte jusqu'à la douche. Je me rassure : je préfère perdre honnêtement plutôt que de gagner sachant que je ne le mérite pas.
Damien me met une main au cul et me dit :

- Je suis fier de toi. J'avoue que j'admire ta franchise sur ce coup-là. Ou bien peut-être que tu avais juste très envie que je te prenne ?

Je rougis et me tourne vers lui :

- C'est pas ça, arrête... Mais...
- Allez, économise ta salive. Si ça peut te rassurer, tu t'es bien débrouillé.

C'est Damien qui me lave, sous les regards lubrique de la petite dizaine de mecs qui ont, bizarrement, tous décidé de se laver en même temps que nous.
Il me frotte énergiquement, n'oubliant pas un seul centimètre de ma peau.
Tout à coup, il fait tomber le savon. Classique.

- Ben alors, tu ramasses pas le savon ?

Bien sûr que si, j'ai pas le choix. Il aurait pu tout simplement me demander de me baisser, ç'aurait été plus simple, de toute façon je dois lui obéir.
Il profite du fait que je sois baissé pour m'écarter les fesses. Je m'attends à ce qu'il me pénètre directement. Pourtant, il n'en fait rien. Il me caresse le cul, le palpe, me titille le trou et m'enfile un doigt.


- Alors les gars, vous êtes jaloux ? C'est MON trophée ! lance t-il aux mecs qui matent, certains se branlent.

J'aimerais leur dire d'arrêter ça tout de suite, que c'est humiliant pour moi, mais je sais que je n'ai pas voix au chapitre. Pas ce soir. C’est lui qui a gagné. Il a tous les droits.
Il veut profiter de sa victoire. Il veut profiter de moi. Faire durer le plaisir. Savourer.
Une fois la douche finie, on retourne dans la salle où avait lieu l'affrontement. Au passage, Damien att un collier en cuir dans une des salles équipées qui font office de donjon. Sans surprise, les mecs qui étaient là aux douches nous suivent.
Fred est là, il tend à Damien mon contrat d'inscription, me lance un regard compatissant, et retourne s'occuper du bar.
Damien lève le contrat pour le montrer aux mecs qui sont là.

- Vous avez vu ça ? Ça, ça veut dire que je suis le vainqueur ! Et ça veut dire que ce mec-là, il est à moi pour la soirée ! Je peux en faire ce que je veux !

Les mecs l'acclament. Il se tourne vers moi.

- Allez, je vais te mettre ce collier. C'est le collier du vaincu, et tu le garderas tout la soirée, tant que tu seras ma récompense. Comme ça tout le monde saura que c'est toi le grand perdant du Grand Tournoi, le looser.

Il me met le collier, et le serre autour de mon coup, puis s'adresse aux mecs :

- Vous voulez en profiter ? Allez-y !

Je lui jette un regard interloqué. Il a le droit de faire ça ?! Il répond à ma question sans même que je ne l'aie posée :

- Eh oui ! C'est marqué là, je peux disposer de toi comme-je-veux !

Puis il se tourne vers les mecs qui commencent déjà à s'approcher de moi :

- Par contre je vous préviens, vous vous contentez de toucher ! Y en a pas un qui le baise, c'est mon privilège de vainqueur ça. Et ne me l'abîmez pas, il est sous ma responsabilité.

Très vite je suis encerclé.
On commence à me toucher, à me caresser, à me pincer, à me gifler, à me fesser.
Chacun y va de sa participation, chacun selon ses goûts. Certains mecs sont très tendres, d'autres plus entreprenants, voire même violents.
Bientôt je suis pris dans un véritable maelstrom de muscles bandés, de bouches excitées, de mains aventureuses.
Je ne peux faire autrement que de me laisser aller : on me tient les bras, ou bien ils sont coincés entre deux morceaux de chair bouillante, impossible de savoir.
Panique. Pourtant, l’excitation monte, mes tétons durcissent. En musique de fond, il y a le rire satisfait de Damien qui contemple la scène. Il rit car il sait que ce n'est qu'un avant goût, et que c'est lui qui profitera du clou du spectacle. On m'enfile des doigts dans le cul, dans la bouche, on me pince, on me griffe, on me fesse.
Tout à coup, je sens un gland pointer sur mon anus. Damien a dû le voir car il lance aussi sec :

- Ça suffit les gars ! C'est à mon tour maintenant.

Aussi sec, tous les mecs s'écartent pour retourner regarder de loin.
Je suis à genoux, et Damien debout. Il s'approche lentement de moi, jusqu'à ce que son énorme bite soit juste devant mon visage. Il me regarde de haut, et je baisse les yeux.

- Maintenant tu vas me sucer.

Je murmure :

- D'accord.

Il me prend à la gorge et me force à lever les yeux vers lui :

- Pardon ? Tu veux que je te rappelle pourquoi t'es là ?

Je ne dis rien, honteux.

- C'est parce que t'as perdu. T'as compris ? Je t'ai écrasé ! Alors maintenant quand je te parlerai, tu répondras "Oui Vainqueur", c'est pigé, vaincu ?

- Oui Vainqueur. Désolé.

- J'aime mieux ça.

Sur ces mots il me lâche la gorge, et me présente à nouveau sa bite sous le nez.
Timidement, je la prends à une main, et commence à la branler en embrassant son gland avec la bouche. Une main ne suffit pas, je mets les deux, et même comme ça, c'est un peu juste tant il est bien pourvu.

Au fur et à mesure qu'elle durcit je prends peur. Je ne serai jamais capable de prendre ça en moi. C'est beaucoup trop gros.
Je commence à lui lécher le gland. Tendrement. Langoureusement. Je l'embrasse aussi de temps à autres.
Puis, il semble perdre patience. Il me prend la tête, et force son sexe dans ma bouche.
Tant que son gland est dans ma bouche, je m'efforce de le polir avec ma langue. Mais très vite, il s'aventure plus loin, dans ma gorge.
Même avec toute la bonne volonté du monde, je m'étrangle presque dessus.
La salive commence à perler au coin de ma bouche, puis à couler sur mon torse. Impossible de déglutir, son sexe bloque tout mouvement des muscles de ma gorge. Damien lance :

- Alors comme ça tu voulais me baiser en trichant, hein ?!

Mais c'est faux ! Ce n'est pas moi ! Je tente de protester, de lui dire qu'il se trompe, mais ma bouche est pleine, et les mots sortent déformés.
Il éclate de rire :

- Je comprends rien à ce que tu dis !

Pendant ce temps, les autres mecs continuent à se branler plus loin. Certains ont déjà joui et s'en vont, d'autres arrivent, ceux qui étaient déjà là leur expliquent la situation. Pour eux, l'ambiance est bon . Ce n'est pas eux qui servent de "récompense."
Finalement, Damien en a marre. Il se retire de ma gorge et me laisse à genoux, à moitié en train de tousser, haletant et le torse couvert de salive.

- J'ai une idée ! Tu vas me lécher les pieds pendant que je prépare ton joli petit cul pour le bouquet final !

Sur ces mots il pose son pied devant moi. J'hésite un instant. Je le regarde sans vraiment comprendre.

- Allez t'attends quoi, perdant !

Résigné, je baisse les yeux et pose ma bouche sur le dessus de son pied pour l'embrasser.
Pendant ce temps, Damien s'est emparé d'un tube de lubrifiant et s'en est badigeonné la main droite. Il m'écarte les fesses et commence à me doigter le cul, lentement, doucement. Je suis envahi d'une sensation de chaleur. C'est trop bon...
Ça dure un long moment comme ça. Il doit être habitué à bien préparer les mecs avant de les prendre... En même temps, vue la taille de son engin...
Lorsqu'il estime que je suis suffisamment ouvert, il m'ordonne d'embrasser une dernière fois son pied pendant qu'il s'enduit la bite de lubrifiant. Puis il se place derrière moi, à genoux devant mon cul cambré, tendu.
Il se branle un peu, puis pose ses deux énormes paluches sur mes fesses pour les écarter. C'est hallucinant, ses mains font la taille de mes fesses. Il les prend à pleines mains et les serre fermement, presque trop.
Soudain, son gland se pose contre mon trou. Je tressaille d'excitation. Il m'arrache un petit gémissement.
- Aaaah, alors maintenant tu couines ?
Il me caresse l'anus du bout de son gland. De temps en temps, il tente une petite poussée contre ce dernier, mais sans jamais pénétrer vraiment.
Face contre terre, je suis électrisé. Je commence à me dire que je suis heureux d'avoir perdu, d'être à lui.
Je n'en peux plus, je veux qu'il me prenne ! Sauvagement !
Je ne suis plus maître de moi-même, je marmonne dans un soupir :

- Pitié, prends-moi.

Il éclate de rire, et avec lui tous les mecs qui sont encore là.

- Vous entendez ça les mecs ? Il me supplie de le prendre ! On dirait bien que notre petit perdant est aussi un passif averti !

- Eh ben vas-y ! Il attend que ça ! Prends-le Damien !

Chaque poussée de son gland contre mon trou se fait plus forte, plus insistante. Pourtant, il n'est toujours pas décidé à m'empaler.

- Pas tout de suite ! D'abord, je veux l'entendre dire que ce n'est qu'un tricheur.
- Mais je n'ai...
- Alors ? J'attends ?

C'est trop, j'en peux plus. Je ferai tout ce qu'il veut. Je lui dirai tout ce qu'il veut entendre, pourvu qu'il me prenne !

- D'accord, d'accord ! C'est moi ! J'ai triché ! Je suis qu'un sale tricheur... Je suis désolé... Pardonne-moi !

Tout le monde éclate de rire.

- Eh ben voilà ! Tu vois, c'était pas si compliqué !

Puis il se tourne vers les mecs :

- Allez les gars, tous avec moi : "Tricheur ! Tricheur !"

Tous les mecs scandent avec lui, le poing levé, en riant.
Puis, enfin, je sens son gland pousser plus fort contre mon trou. De plus en plus fort. Jusqu'à passer la porte. Il est en moi, ça m'arrache un gémissement fébrile, aigu.
Ils s'enfonce en moi, lentement, très lentement. Et ça commence à me faire mal.
Bordel, sa bite est vraiment énorme. Chaque centimètre enfoncé me paraît comme cent.
Je veux lui dire d'arrêter, de ralentir, de se retirer, mais les mots ne sortent pas. De ma bouche ne sortent que des gémissement lascifs qui lui laissent entendre que je prend mon pied. Et c'est vrai : malgré la douleur, je prends mon pied.
Peu à peu, la douleur s'estompe. Damien est entièrement en moi désormais. Il amorce le retrait. Tout aussi lentement.
Puis il recommence à rentrer. Puis il accélère. Puis encore. Et encore.
Ça y est, il m'encule pour de bon. Ses mains sont agrippées sur mes fesses. Il les serre fort. De temps en temps, il ponctue ses grands coups de reins d'une fessée.
Je gémis, couine, soupire.
C'est trop bon.
Je ne vois plus les autres mecs. Je ne vois plus rien. Il n'y a plus que cette énorme bite en moi. La bite de Damien. Ce sexe gigantesque qui va et vient toujours plus vite en moi.
Je suis heureux d'avoir perdu. Heureux d'avoir perdu contre Damien. Heureux d'être à sa disposition, d'être sa récompense, sa chose. Je suis comblé, dans tous les sens tu terme.
Il me fait culbuter sous ses coups de reins. Après un effort incommensurable, les seuls mots qui parviennent à sortir de ma bouche sont :

- C'est si bon !

C'est trop. Tout en moi brûle. Je suis en train de jouir par le cul !
Ma bouche articule des paroles insensées qui suscitent des rires tout autour de moi. Ces rires parviennent comme étouffés à mes oreilles.
Pourtant, Damien continue. Il accélère la cadence. La jouissance me fait contracter les fesses, enserrant un peu plus fort son sexe en moi. Il semble apprécié car il redouble de vitesse dans ses assauts.
Soudain, en parfaite adéquation avec cette jouissance anale qui secoue chaque muscle de mon corps, Damien pousse un râle viril.
Son sexe en moi convulse, ce sont les canaux qui vont pomper le sperme dans ses couilles pour le cracher dans mon cul.
Les jets partent avec une puissance incroyable. Et il s’enchaînent. Encore et encore. Sa bite semble ne jamais devoir s'arrêter de cracher son sperme chaud.
Je sens vaguement comme des fessées sur mon cul, mais la douleur ne m'atteint plus. Elle ne peut surpasser la jouissance qui me secoue.
Quand il a fini de remplir mon cul de sa semence, Damien s'étale sur moi, et nous tombons tous deux allongés. Il ne s'est pas retiré de mon cul. Il me garde empalé.
Nous restons comme ça un petit moment, alors qu'il ne se retire et me fasse signe d'aller à la douche.
Encore tout sonné, je balbutie :

- Merci...

Il me sourit en retour.


Damien ne m'a pas rebaisé de la soirée ce jour-là. Cependant, j'ai dû rester à sa disposition, comme un domestique.
Il me disait d'aller lui chercher à boire, de le sucer, de montrer mon cul aux mecs avec qui il parlait. Et ça me plaisait. J'aimais ça.
Aujourd'hui encore, on se croise assez souvent au ******* ** ****, et à chaque fois on passe un long moment ensemble. Je me remet avec délectation dans le rôle du perdant, de sa récompense dont il a le droit de disposer comme bon lui semble.

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