La Danseuse
Cétait un samedi soir comme bien dautres. Jétais allé en boite de nuit, avec quelques amis. Une discothèque de campagne dans cette région du nord. Lendroit était bourré de monde
Je buvais mon verre accoudé au comptoir quand mon regard fut attiré par une des danseuses qui sagitaient sur la piste. Elle était assez grande, et portait une mini-jupe en cuir qui mettait en valeur ses longues jambes, terminées par des botte, façon cowboy.
En haut, une chemise noire nouée sur son nombril , se tendait sur sa poitrine, dégageant un décolleté profond, ou les gouttes de sueur perlaient sur sa peau. Son visage ovale posé sur un cou gracile, était harmonieux, bien que ce ne fut pas un canon de beauté. Son petit nez et ses pommettes hautes lui donnaient un regard énigmatique, et le bleu de ses yeux se posait régulièrement sur moi, sans marquer dexpression . Ses cheveux noirs étaient mi-longs et ondulaient au rythme de sa danse. Elle dansait, à petits pas, tournoyant de temps en temps sur elle même, ses jambes et semblaient suivre des hanches qui devaient être autonomes, en des poses suggestives, sans jamais perdre le sens du tempo.
Elle était captivante, du moins pour moi, et je me lançais rapidement sur la piste de danse, essayant, de me rapprocher de cette beauté. Les titres senchainent, toujours les mêmes dune semaine sur lautre, les derniers hits. La piste de danse est remplie et chacun sévertue à trouver, le pas, la gestuelle qui étonnera ou fera rire les autres. Face à moi , maintenant, ma danseuse, ondule sensuellement, sans me lacher des yeux. De mon côté, je suis imperméable à tout ce qui nest pas elle. Sous les lumières stroboscopiques, je la détaille, je lapprends, sans vergogne, et ça na pas lair de la géner. On passe à un rock,.
Je lui tends la main. Elle la prend, et, nous dansons ensemble. Je la fais tournoyer, la reçoit dans le creux de mes bras, la relance, en posant ma main sur sa hanche. Elle senroule dans mon bras et vient appuyer son corps contre le mien.
Tout à coup, la lumière séteind, le tempo sarrête, la mélodie se fait sirop. Dans la pénombre nos corps se rejoignent instinctivement pour la série de slows. Là encore, pas question dapproche circonspecte, de distance à respecter. Son corps souple et chaud vient se lover contre le mien, ses mains viennent se nouer autour de mon cou, ses seins orgueilleux défient mon torse au travers du fin tissu du chemisier, ma jambe savance entre les siennes légèrement écartées et fait pression sur son entrejambe, mes mains voyagent de sa nuque à ses fesses et évaluent les contours de cette terre promise, sa tête senfouit au creux de mon épaule, et elle vient murmurer à mon oreille. Cest linstant des premiers mots échangés. La musique est forte, et nous navons pas à chuchoter. Son timbre est chaud, un peu rauque, mais très féminin. Japprends son prénom Inès. Je trouve quil lui va bien. Je lui dis le mien Fabien, en souhaitant que ma voix lui plaise. La voix cest essentiel. Combien de fois ai-je fantasmé sur une fille, qui avait détruit mes rêves sans sen douter, dès quelle avait ouvert la bouche.
Nous tournons ensemble, seuls dans lobscurité, au milieu des couples qui sembrassent, et se caressent. Petit à petit, et sans mot dire, je découvre la courbe de ses hanches, la chaleur de son dos, la finesse de ses attaches, la sensualité de sa nuque, le soyeux de sa chevelure.
Elle nest pas en reste, et ses longs bras nus menserrent. Elle a palpé la dureté de mon dos, mes épaules musclées, senti sous sa joue mes pectoraux, effleuré ma barbe naissante, empoigné mes poignées damour au dessous de mon tee-shirt. Il ny a pas de jeu de séduction, juste une évidence. Nos visages se rapprochent et nos lèvres se trouvent pour un premier baiser. Jaime le goût de ses lèvree, Elles sont pleines, et fruitées. Ma langue vient à la rencontre de la sienne. Elle est pointue, et darde dans ma bouche. Je touche ses dents, jenfonce ma langue au plus profond de sa bouche. Nos souffles et nos salives communient dans un élan irrépressible. Nous mettons fin à ce premier baiser et nous nous regardons, satisfait de cet examen buccal incontournable. Elle revient contre moi, et me couvre le cou de baisers légers. Jembrasse son front, et descend pour prendre à nouveau sa bouche. Elle pince ma lèvre inférieure entre les siennes et tire, avant de me relacher, et de se jeter contre ma bouche avec violence, nos dents sentrechoquant presque. La musique nous porte et nous jouons de longues minutes, nos bouches seulement reliées parfois par nos langues qui sagacent avant de sattirer, nos mains qui se cherchent, qui senlacent et se délacent, pour mieux partir à la découverte de lautre, nos corps qui se frottent mutuellement, captivés par une charge sexuelle presque palpable.
La série de slows se termine.
Nous finissons nos verres et sortons. Dehors la nuit est douce, et le village est animé. Il y a fête. Sans hésiter, Inès me prend par la main.
« Vienss » me dit elle.
Je la suis, et dans une ruelle proche, nous arrivons à sa voiture. Rapidement, elle mouvre la porte passager, et va se mettre au volant. Je lattire à moi et lembrasse de nouveau. Je défais le nud de sa chemise et libère sa poitrine qui palpite sous mes mains. Elle gémit sous lassaut, mais maintient mes mains pour que je ne les enlève pas. Dune main elle actionne le mécanisme de mon siège qui se retrouve en position « couchette, et fait de même avec le sien. Elle glisse ses mains sous mon t-shirt, et me caresse. Je déserte sa bouche pour poser mes baisers sur son cou, sa gorge, et sur ses deux seins, pleins et ronds, que je lèche allègrement.
Après quelques minutes de ce traitement, je fias glisser Ines sur le dos. Je passe mes mains sous ses cuisses, je remonte en retroussant la jupe au passage. Je passe mes mains sous ses fesses et saisis la culotte que je tire vers le bas. Ines se soulève pour maider, mais la jupe naide pas. Je tire plus fort et le tissu cède. Je finis denlever le dessous déchiré et revient planter mes doigts dans sa cavité qui dégouline sur mes doigts. Je me positionne au dessus dInes, et mon gland vient écarter ses grandes lèvres.
« Non, pas maintenant »
trop tard, Mon sexe entier est englouti par sa matrice. Je sens son vagin se serrer convulsivement autour de mon membre, et jentame pénétration ponctuée par les gémissements et les cris dInes
« Ouiii ! Comme ça !, encore ! plus fort ! là, bien au fond !
Ses jambes sont maintenant nouées sur mes reins, et je la besogne avec ferveur. En peu de temps, elle crie sans retenue son plaisir, qui me procure le mien. Nous atteignons rapidement lorgasme, ensemble.. Les sens apaisés, nous restons lun contre lautre, à nous embrasser. Cest Ines qui, la première, refait surface. Elle renoue son chemisier sur son ventre, et sort de la voiture, en tirant un peu sur sa jupe.
« On va faire un tour ? » demande telle.
Je me rajuste et nous voilà partis dans le village. Nous nous dirigeaon, à loreille vers les flons-flons de la fête. Au centre du pays, autour dune place, les manèges se sont installés, ainsi que plusieurs attractions : un stand de tir, une loterie, un marchand de barbe à papa et de sucreries. Nous allons faire un tour sur les auto-tamponeuses, mais la tenue dInes nest pas adaptée. Ses longues jambes sont pliées et ses genoux dépassent de lauto. Chaque choc avant fait remonter sa jupe déjà courte, et nous sommes très vite harcelés par une horde de conducteurs du dimanche qui cherchent à provoquer des collisions frontales, pour avoir la chance de découvrir son minou épilé avec juste une toison en forme de cur, au dessus de la fente.
Nous désertons lattraction en riant, et flânons le long des stands, parmi la foule clairsemée, car il est déjà 1h du matin. Nous nous tenons par la main et échangeons fréquemment des baisers. Nos mains frôlent nos corps. Nous repartons vers sa voiture. Jai passé mon bras autour de sa taille. Profitant de la quiétude des ruelles de ce village, je passe ma main sous sa jupe et caresse ses fesses rebondies et fermes. Elle mattire dans un coin dombre et sadosse à un arbre. Mes doigts trouvent sans peine sa chatte nue sous la jupe et sy enfoncent avec délices. Elle soupire et dégrafe mon pantalon, avant denvoyer ses mains impatientes, saisir mon sexe déjà bandé. De ma main libre, jarrive à dénouer sa chemise, et à memparer dun sein que je presse et malaxe . Sans un mot elle se retourne et sappuie contre lécorce , cambre les reins, et écarte les jambes. Une telle invitation ne peut se refuser. Je trousse la micro jupe sur ses reins, dégageant son cul, et vient remplir sa cavité avec mon mandrin impétueux. Je balance mon bassin contre son fessier dur et souple à la fois, dans un pistonnage, rapide et fort, mes mains cramponnées à ses seins . Elle est tendue vers son plaisir, et soupire, tout en me malaxant les couilles, ou en stimulant son clito dune main, habilement insinuée entre ses jambes. Un nouvel orgasme nous cueille et nous laisse pantelants, contre larbre.
Ines rajuste sa jupe et nous repartons. Cette fois, elle prend le volant et nous quittons le village. Elle doit me raccompagner, car je suis venu avec des amis et nai donc pas de véhicule. Assis à ses côtés, jobserve son visage, le port de tête altier, la courbe de ses seins (elle na pas refermé son chemisier) faiblement éclairés par la lueur du tableau de bord. Je ne peux résister à lenvie de toucher sa poitrine, à faire dresser ses seins. Elle soupire daise mais ne perd pas la route des yeux. Je descends sur son ventre, et contourne du doigt ses abdos bien dessinés. La ceinture de la jupe fait barrage. Quà cela ne tienne, je passe la main dans son dos et ouvre la fermeture éclair qui le retient. Je tire la jupe vers le bas. Inutile de parler. La belle Ines a compris et accède à mon souhait. Elle soulève son bassin, puis ses cuisses. Le vêtement est maintenant à ses genoux. Je le descends vers les chevilles. Elle dégage la jambe gauche, puis soulève son pied droit quelques secondes, qui me suffisent à extraire le morceau de cuir. Elle continue de conduire, nue sur son siège, comme si rien nétait plus normal. Je dégage le chemisier qui ne la couvre plus du tout. Sur quil ne faut pas se faire arrêter !
Heureusement, la région est assez plane, et les longues lignes droites rendent ces opérations un peu moins dangereuses. Mes doigts sinsinuent entre ses cuisses, et vont se perdre dans sa chatte détrempée. Elle avance son bassin sur le bord du siège pour mieux profiter de mes caresses. Nous approchons de notre destination. Elle met son clignotant et tourne dans un petit chemin de terre qui jouxte un bois. Elle cale le moteur, au bout de quelques dizaines de mêtres, et après avoir coupé le contact, se jette sur moi. Mes vêtements senvolent comme par magie, pour séparpiller dans lhabitacle. Ines menjambe et à cheval sur moi, elle saisit mon manche quelle dirige vers son puits damour, avant de se laisser retomber. Mon membre aide se fraie un chemin dans cette housse brûlante, jusquau pubis.
« Je veux te garder en moi toute la nuit. » annonce telle.
« Chez moi, jai un colocataire «
« Restons ici » propose telle « Aime moi toute la nuit. »
Jaccélère mon mouvement de piston. Je la prends aux hanches et la fait monter et descendre sur moi avec des mouvements amples. Son souffle saccélère. Elle a saisi le bout de ses seins quelle fait rouler sous ses doigts.. Mon membre est chaud, et je sens monter en moi une vague de désir. Elle râle de plus en plus fort. Je titille son clito et déclenche un nouvel orgasme.
La passion apaisée, elle se dégage, et vient sallonger contre moi. Elle se rend compte que je nai pas encore joui, et caresse mon sceptre. Je la relève et la fais mettre à quatre pattes. Elle prend la pose et tend son postérieur vers moi. Je magenouille entre ses jambes, et viens me plaquer à elle. Je nai pas à chercher longtemps pour trouver le chemin de sa vulve encore ouverte. Aussitôt je balance les hanches et inscris un mouvement lent mais ample dans sa chatte bien ouverte.
De temps en temps, je ressors de son fourreau pour pointer mon dard un peu plus haut, à lentrée étoilées de son cul, que je lubrifie avec sa mouille. Pendant que je ramone sa cavité, je viens forcer lorifice avec mon doigt humecté. Il senfonce sans problème, et je le fais tourner, pour élargir lentrée. La belle ne proteste pas, concentrée sur son plaisir, et se contente de soupirs approbateurs. Peu a peu , ses gémissements augmentent , et ses hanches viennent à ma rencontre, mincitant à augmenter la cadence. Je sens quelle aime bien me sentir sortir delle et entre à nouveau dans ce gouffre humide prêt à engloutir ma queue, et à en redemander. Les coups de reins se saccadent de plus en plus, jusquà ce quelle se fige alors que je suis abuté en elle, et pousse un râle, en agitant le bassin plusieurs fois autour de mon mandrin.
Je mextrais doucement et , enlevant mon doigt vient présenter mon sexe à la porte de service. Jappuie doucement et, Ines, pousse son cul vers moi. Mon gland distend lanneau rectal, et franchit la porte, lui provoquant quelques cris de douleur. Je propose darrêter, mais elle me dit :
« Continue, cest bon aussi, par là , même si ça fait un peu mal »
Centimètre par centimètre, javance dans son étui étroit, qui semble se distendre autour de mon pieu. Une fois bien planté dans son cul, je commence à limer doucement, ralentissant quand les gémissements deviennent trop forts. La gaine se détend et maccepte de mieux en mieux. Les plaintes se font râles de plaisir. Ines a repris ses mouvements de hanches, et , la suivant, je viens cogner de plus en plus fort contre son fessier, ma queue cherchant, comme mue par une vie propre, à senfoncer de plus en plus profondément. Nos corps sont pris dune danse frénétique, sentrechoquant à toute vitesse, sans retenue. Je sens le plaisir monter en moi et je le dis a Ines, qui, pour réponse, glisse son bras entre nous pour empoigner mes bourses, et les gratter légèrement. Je sens la lave monter en moi irrépressiblement. Elle se met à crier, ou plutôt à hulluler un long son modulé et ininterrompu. Je rejoins son chant sauvage en feulant quand je sens plusieurs décharges me secouer, et mon sperme tapisser ses intestins.
Quelques instants plus tard, je redescends un peu et sors de son cul qui me lâche avec un « plop ». Je veux lui parler, mais me rends compte quelle sest endormie. Je mallonge sur le siège conducteur, et nous recouvre dun plaid, trouvé sur la banquette arrière, après quoi, je ferme les yeux.
Le problème, avec les voitures, cest que pour la plupart, elles nont, ni volets, ni rideaux. Le jour naissant a tôt fait de me réveiller. Ma compagne dun soir, git toujours, endormie, la tête sur ses bras croisés, le visage tourné vers moi avec un sourire mutin, le dos cambré jusquà son postérieur, relevé, les jambes repliées sous elle, en une pose très érotique. Les nuits sont chaudes heureusement, car le plaid a glissé, découvrant cette statue de chair, hommage à lamour que le soleil caresse de ses premiers rayons. Trouvant que le soleil na pas a avoir de privilèges, jeffleure doucement les formes qui se dévoilent en plein jour pour la première fois. Rien na changé. La lumière naffecte pas sa beauté, mais elle le trascende. Sa peau, légèrement dorée, à un grain parfait. Mes doigts suivent ses courbes, sans trouver de défauts. Ses seins pointent légèrement. Le chemin, le long de son dos mentraine vers ses fesses larges, fermes, musclées. Jinsinue ma main entre ses cuisses, et remonte vers son sexe que je trouve humide. Il engloutis deux de mes doigts sans hésiter.
Je les agite en elle avant de les ressortir et de faire émerger son clito. Dans son sommeil, elle soupire. Je réitère lopération et cette fois, la pistonne un peu de mes doigts. Les cuisses sécartent un peu. Mes doigts ressortent trempés et vont naturellement se ficher dans son anus. Un, puis deux sont accueillis avec des soupirs daise. Je commence à alterner les pénétrations digitales dans son cul et sa chatte, et elle gémit de plaisir.
Tout à coup, un mouvement extérieur attire mon il. Je tourne la tête vers larrière de la voiture, et vois, au travers de la vitre, savancer vers moi, une colonne de militaires en treillis, qui tiennent chacun un chien en laisse. Je réalise alors que nous sommes à proximité du regiment cynégétique, et que les chiens doivent être promenés chaque matin.
Trop tard pour sen aller, je me recouche et fais semblant de dormir, pendant que les bidasses longent la carosserie.
Evidemment, ils ne peuvent manquer le spectacle dInes, totalement nue, à genoux, la chatte et le cul ouverts. Lun après lautre, ils ralentissent le long de lauto, et profitent du spectacle. Leur gradé, qi passe en dernier, visualise la situation, et une voix de stentor leur intime :
« On regarde devant, et on reste concentrés »
La troupe séloigne mais le conseil a reveillé Ines, qui tourne vers moi un regard encore ensommeillé.
« Quest-ce qui se passe ? »
« Rien, mais, tu pourras te vanter davoir fait bander un régiment »
« je ne vois pas de quoi tu parles. »
« Ce nest rien , dautant que cest moi qui vais en profiter » lui dis-je, en exhibant une erection matinale prometteuse.
« A moins que ce ne soit moi qui en profites ! » dit elle espiègle en mattirant sur elle.
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