Groupe De Vacances 47

GROUPE DE VACANCES 47
Ep 47 : UN BON PASTEUR


Je rentrais dans ma chambre un peu plus tard et je veillais tard pour rédiger mon discours. Je n'avais pas joui mais j'avais passé un bon moment avec Régis et j'y repensais toute la soirée. Le pasteur voulait un discours fanatique, il ne portait même pas le dispositif … Il voulait pourtant l'imposer … Il ne devait pas s'amuser tous les soirs avec sa femme … Je me demande même s'il s'amusait autant que moi … Au niveau sexuel je veux dire ! Probablement pas.

Selon lui, la masturbation c'est dégradant ...
Le sexe, c'est sale …
L'homosexualité c'est criminel …
Le sexe c'est exclusivement un moyen de reproduction …

De toutes évidence, il rejette les plaisirs du corps. Il doit refuser la jouissance et cherche à l'interdire aux autres. Je me disais qu'il risquait de ne pas aimer ce je j'avais à dire. Je me souvenais de ce que Joss m'avait dit … Je n'avais aucun engagement avec ce pasteur … J'étais libre et responsable, seul responsable de mes propos et totalement libre.

Je remettais de l'ordre dans mes idées et passais une bonne nuit pleine de rêves de caresses dans lesquels un barman adorable me prenait dans toutes les positions …

Le lendemain, Régis n'assurait pas le service, il ne reprenait que l'après midi. Ce enfoiré aurait pu me prévenir, nous aurions dormis ensemble … Pendant que mes camarades s'amusaient dans la piscine, je travaillais à mon discours. Chaque fois que je regardais mon frère je pouvais constater qu'on ne décelait rien. Sa PK était totalement invisible, même avec un maillot de bain. C'est très exactement ce qu'on avait voulu faire. Bob aurait pu en porter un, le résultat aurait été le même … Sauf peut être que dans ce cas il n'aurait pas eu les légères réactions qu'il semblait avoir. Mais là peut être que je fantasmais …

Je ne parlais presque pas pendant le repas, j'étais déjà dans mon discours.

Un peu tendu, comment le public allait-il réagir ? El le 'bon' pasteur … Bon on peut imaginer que lui il ne serait pas content … Mais ça c'est pas grave !

Si moi je ne disais rien et restait particulièrement calme, ce n'était pas le cas de mon petit frère... Il faisait le mariole, se faisait remarqué …

… Tu veux pas que je témoigne pendant ton discours dis Jérémy ? …
… Tu vas leur parler de moi ? …
… Tu sais Jérémy tu pourrais leur dire que toute la famille est convenable …
… Je pense que je serais un bon exemple si tu parles du truc …

Moi : Et de ton petit copain qui a une grosse queue et qui lui ne porte pas ? Je sais pas si tu serais un bon exemple …

Un court instant j'avais oublié que Bob … Il avait pris des couleurs …

Luc : C'est malin, maintenant il est tout rouge !
Moi : Bob … Mais quand vas-tu perdre cette drôle d'habitude de virer au rouge dès que qu'on te dit quelque chose de …
Bob : C'est pas ma faute ! Je ne le fais pas exprès !
Luc : En tout cas je confirme, il a une grosse bite !
Bob : Mais … Luc …
Moi : Alors là c'est pas moi, j'ai rien dit là !
Bob : Vous n'allez pas vous y mettre tous les deux, c'est comme avec Justine, ton avocate Djé … Elle me fait ça à chaque fois qu'elle me voit.
Moi : Et elle te fais quoi Justine exactement ?
Bob : Elle fait comme vous en ce moment, elle m'embête !
Moi : C'est parce qu'elle t'aime bien !
Bob : Ouai, mais moi je préférais qu'elle m'aime un peu moins bien !

On terminait le repas et on se préparait pour partir. Je confiais les clés à Bob, il avait repris ses couleurs … Enfin je veux dire ses couleurs normales … Il ne nous fallait pas longtemps pour arriver à la salle de conférence ... On était reçus par un groupe d'étudiants de mon âge. Le pasteur n'était pas arrivé, il faut dire qu'on était très en avance. Rapidement on faisait connaissance. Le plus grand Dominique, il faisait une tête de plus que moi, semblait être le responsable, c'est lui qui donnait les consignes et qui avait les clés.
Il me faisait entrer, et tout en discutant me faisait visiter les coulisses. Rapidement on se tutoyait.

Dominique : Tu as visité la salle ?
Moi : Oui, c'est pas mal ! On m'a dit que tout était fourni, sono …
Dominique : Tout est fourni, la salle est livrée clé en main, prêtée gracieusement par une paroissienne !

On entrait dans le sujet …

Dominique : Dis moi Djé, ton truc tu le portes vraiment tout le temps ?
Moi : Bein oui ! Tout le temps !
Dominique : Moi ça me fait peur, le pasteur il voudrait qu'on en porte tous un … Même les plus jeunes …
Moi : Tu en penses quoi toi ?
Dominique : Et bien moi, j'ai pas vraiment envie. El pour les plus jeunes … Je ne sais pas, au début il parlait d'un âge de quinze ans, puis de quatorze, maintenant il nous dit douze ans et moins même si on veut le croire !
Moi : Dès le début de puberté pour les garçons !
Dominique : Dès que le gamin a sa première érection !
Moi : Je ne sais pas si c'est vraiment sain … En fait, je suis convaincu que ce n'est pas sain du tout !
Dominique : C'est un fanatique !
Moi : C'est l'impression qu'il m'a fait !
Dominique : Tu me montres ton truc ?

Nous étions arrivé dans un endroit discret ou on ne risquait pas d'être surpris aussi sans aucune hésitation je baissais mon pantalon. Les yeux lui ressortaient de la tête et ne pouvait plus détourner son regard. Rapidement il posait un main sur son entre-jambe, mal à l'aise. J'y devinais une bosse qui grossissait et qui semblait le gêner.

Moi : Tu me montres ta bite ?

Il relevait les yeux, visiblement surpris par ma question. Puis tout en me regardant droit dans les yeux il ouvrait sa braguette et sortait sa queue. Il bandait ferme, c'était un beau morceau, j'approchais ma main, il n'essayait pas de l'écarter. Je lui caressait la queue qui durcissait en plus et se redressait complètement, je me penchais et la prenait dans ma bouche.
La pression de ma queue se manifestait dans mas PK.

Au début il ne semblait pas réagir, il n'osait plus bouger, il gardait les bras raides sur les côtés de son corps. Puis, petit à petit je sentais une main qui me caressait les cheveux, une deuxième main. Il me caressait la nuque, appuyait légèrement ma tête vers lui, il avançais instinctivement son bassin avec des mouvements lents et réguliers, moins lents mais toujours aussi réguliers, quelques mouvements violents et rapides qu'il retenait aussitôt.

Je glissais une main entre ses cuisses et le tirais vers moi, j'avalais alors sa queue sur toutes sa longueur, c'était un beau morceau mais j'avais vu pire. Il respirait fort, je levais les yeux vers le haut, il avait penché sa tête en arrière et gémissait de plaisir. Ses mains me retenaient fermement la tête et me tiraient vers lui de plus en plus fermement. Je ne résistais pas, bien au contraire c'est moi qui imprimais le mouvement, et j'accélérais. Il ne faisait que me suivre, j'opposais une résistance, il s'arrêtait … Je recommençais il reprenait doucement puis plus rapide, plus fermement et par moment il semblait se lâcher et avait un mouvement violent, je recevais alors sa queue au fond de la gorge, et poussais une gloussement qui semblait le ramener à un mouvement plus calme.

Je lui caressais les cuisses, il me caressait le visage, passait ses mains sur mes joues, revenait sur les cheveux puis sur la nuque, quelques mouvements rapides et fermes en retenant ma tête et il reprenait des mouvements doux, lents et réguliers. Ma bite était à sa pression maximum, ma PK se retrouvait soudainement toute petite, j'étais à l'étroit. C'était sans douleur mais j'avais envie de me tripoter, de me branler … Je ne portait même pas ma main à mon sexe, c'était inutile ! Il n'y avait aucun espoir pour moi !

Ses mouvements devenaient plus amples, toujours lents mais réguliers et amples. Il retirait sa queue entièrement de ma bouche, je reprenais mon souffle et il me l'enfonçait de nouveau entièrement jusqu'au fond de la gorge en un mouvement lent, ample mais décidé.
Il arrivait au font de ma gorge et terminait alors par une mouvement violent écrasant son bas ventre contre mon visage, violent et rapide, un peu comme une convulsion qui lui aurait échappé. Il se retirait, il gémissait fort maintenant, il revenait à la charge et terminait de nouveau par un coup de rein encore plus violent, il se retirait rapidement pour revenir aussitôt sans plus se retenir alors. Je recevais de nouveau sa queue dans ma gorge avec un violent coup de rein, il maintenait la pression, appuyait sur ma tête de toutes ses forces, je tentais de me dégager, il me retenait, il ne voulait pas lâcher. Il respirait fort, il gémissait, il allait éjaculer, je ne pouvais plus respirer, je tentais de nouveau de me dégager, il me relâchait et se retirait.

Sa respiration restait forte, il continuait à gémir, il me laissait reprendre mon souffle et d'un mouvement frénétique m'enfonçait de nouveau sa queue jusqu'au fond de la gorge, me retenait, je l'entendais gémir, râler de plaisir et je recevait une giclée de sperme dans ma gorge, puis quelques autres, il tremblait, se crispait, me retenait de toutes ses forces, j'encaissais, j'avalais, tous ses muscles se détendaient, il me relâchait.

Il se retirait, je lui suçais alors la queue en même temps lui arrachais quelques gémissements supplémentaires, je levais les yeux vers son visage, il me regardait, il me souriait … Un large sourire de satisfaction. Il ne disait rien, on s'essuyait, on réajustait nos pantalons et sans avoir besoin de se concerter on s'assurait que l'autre était parfaitement présentable.

Moi : C'était la première fois pour toi ?
Dominique : Non … Et pour toi non plus j'ai l'impression !

Je lui répondais par un sourire …

Dominique : Si le pasteur savait ça !
Moi : S'il venait à l'apprendre je lui dirais seulement que c'est toi qui m'a débauché !
Dominique : Tu es comme ça toi !
Moi : C'est moi qui porte le bazar aussi c'est moi qui suis dans la morale … Et toc !
Dominique : Tu es gonflé toi !
Moi : Tu n'as qu'a en porter un toi aussi … !
Dominique : Moi je préfère que ce soit mon copain qui le porte !
Moi : Je vois le genre !
Dominique : Les mecs qui porte une truc comme ça, ils sont chauds !
Moi : Monsieur a de l'expérience !
Dominique : Non mais c'est ce qui se dit !
Moi : Je te confirme !

On se regardait et on éclatait de rire. J'étais frustré, deux mecs en deux jours et aucun n'avait touché à mon cul, dans ma cage il y avait une pression à tout casser et j'avais le feu au cul comme jamais. Il fallait mieux que je ne m'assois pas sur un banc en bois au risque d'y mettre le feu moi …

Tranquillement, sans se presser nous revenions à la salle de conférence, les portes étaient ouvertes, il n'y avait personne. Dehors il faisait beau Luc, Bob et nos deux hôtes prenaient le soleil … Une voiture approchait et soudainement nos trois camarades se levaient, ajustaient leurs vêtements … Le 'bon' pasteur arrivait … Mon frère et son copain étaient vautrés dans l'herbe et ne bronchaient pas …

Le pasteur sortait de sa voiture les trois garçons venaient le saluer …

Eux : Mon révérand, vous allez bien ?
Le pasteur : Très bien les garçons, notre ami Djé est arrivé je vois ! Vous l'avez reçu comme il convient j'espère.

Voyant Luc et Bob …

Le pasteur : Mais qu'est-ce que c'est que ça. Non mais ça va pas vous là bas ! Vous voulez que je vous aide à vous mettre à poil ? Si vous ne vous rhabillez pas tout de suite je vous préviens j'appelle la police …

Ils étaient torse nue ! Se retournant vers moi …

Le pasteur : Vous voyez ce que je veux dire ! Cette graine de canaille, ces branleurs, ils se croient tout permis, si on les laisse faire bientôt il vont se balader à poil … Ils seraient capable de se masturber en public ou même de copuler …
Moi : Je vous présente mon frère Luc et un ami Bob. Et je ne pense pas qu'ils se livrent ou se livreraient à ce genre d’exhibition ( sur un ton sec ) !
Le pasteur : Euh … Oui … Bien sûr … Jeunes gens, ce n'est pas si grave mais si vous pouviez vous habiller … s'il .v . plai..

Il semblait avoir du mal à terminer sa phrase … '' S'il vous plaît '' …

Le pasteur : Enfin nous sommes sur une terre sainte ici … Dans un lieu de culte ici ...
Moi : Moi j'aurais dit qu'on était dans un ancien cinéma !

Il me jetais un regard de travers … Mais sans être un spécialiste en architecture je maintiens … C'était un cinéma ! Ce monsieur m'avait fait une très mauvaise impression au premier contacte mais là, je le trouvais vraiment antipathique et très désagréable ... Mes deux compagnons arrivaient vers moi, ils avaient tout entendu, et après avoir passé un T-shirt il ne cachaient pas leur mécontentement … Bob était un peu rouge mais là c'était le soleil !

Ils fronçaient tous les deux les sourcils, ils n'étaient pas content de ce qu'il venaient d'entendre, ils s'approchaient de moi … Luc me glissait à l'oreille …

Luc : Démolis le, casse lui sa baraque à cette espèce de taré !
Bob : C'est vraiment un enculé ce type, démolis lui ses arguments à la con, j'aimerais qu'il se fasse baisé bien à fond ce …
Moi : Mais Bob … Comment tu parles ?
Bob : Ouai mais là j'ai de bonnes raisons … Racaille … Branleur … Il n'est même pas capable de dire '' S'il vous plaît '' …
Moi : Tu as raison Bob ! ...

Finalement s'il était rouge Bob, c'était peut être pas le soleil, c'était pas non plus la confusion comme ça lui arrive si souvent … Juste une grosse colère !

Les spectateurs qui devaient assister à la conférence commençaient à arriver, c'étaient des scolaires pour le plus grand nombre, il y avait aussi quelques étudiants ainsi que des parents d'élèves. C'est à peut près à ce moment que je recevais un mail de la nouvelle société '' La PK Compagnie '', on m'informait qu'une équipe de deux journalistes d'une chaîne locale demanderait à faire un reportage. Le mail me décrivait l'équipe et m'expliquait en même temps qu'il s'agissait de deux journalistes qui travaillaient pour une chaîne appartenant à Mr Le Conte ( mince alors il n'avait pas que des journaux celui-là …), libre à moi d'accepter bien sûr, il était convenu qu'ils ne filmeraient pas les spectateurs …

Le pasteur avait prévu de faire aussi quelques affaire, il avait commandé à la société Le Chateau plusieurs de ces lots que j'avais un an plus tôt quand cette mode avait commencé. Il avait apparemment un lot important et il espérait en vendre … Je passais voir d'un peu plus prêt, de quoi il s'agissait. Les prix étaient affichés … Je convulsais … Je connaissais les prix de l'an dernier, et là ils avaient sacrément augmenté … Ils avaient presque doublé ! Je faisais l'andouille …

Moi : Dites moi … Révérant … Vous savez mois je suis en contact avec le fabriquant et je n'ai pas payé le dispositif que je porte, aucun d'entre nous ici d'ailleurs, on n'a jamais abordé ce point de détail et j'en suis heureux, je ne savais pas que c'était aussi cher …
Le pasteur : Je les ai eu à un bon prix pourtant, et je peux vous assurer que le prix est tout à fait raisonnable. Je ne gagne pratiquement rien sur la vente que j'espère faire, je peux vous l'assurer !
Moi : Mais je n'en doute pas, je vous fais entièrement confiance, je me dis seulement que j'ai eu de la chance de ne pas le payer … Vous l'avez commandé directement au Château ?
Le pasteur : C'est le seul moyen de l'avoir à un prix aussi raisonnable …

Je retrouvais Luc …

Moi : Dis moi Luc, tu as travaillé à la comptabilité au Château ?
Luc : Oui, ne dis rien à Bob mais il y avait un comptable absolument craquant …
Moi : Et tu as conclu ?
Luc : Djé ! … ( d'un ton agacé )
Moi : C'est pas ça le problème mais tu pourrais te renseigner discrètement sur ce bonhomme … Il aurait fait une commende directement au Château, je voudrais aussi connaître les prix appliqués aux particuliers sur le marcher.
Luc : Pas de problème, un coup de téléphone et Didier me dira tout ça en quelques instants.
Moi : Un coup de téléphone et Didier …
Luc : Oui c'est exactement ça …
Moi : Un bon coup ce Didier ?
Luc : Djé ! Là tu exagères ! ( toujours très agacé )

Mon frère me faisait rire mais lui au moins il ne devenait pas tout rouge quand je lui faisait ce genre de taquinerie …

Le pasteur me présentait à tous les participants, chacun prenait place, les plus jeunes n'avaient pas tous l'air à leur aise. Chez les plus âgés on pouvait deviner à leur expression plus de curiosité qu'autre chose. D'autres ne cachaient pas une certaine inquiétude … Quelques uns semblaient … Intéressés ? Le couple de journalistes arrivait, ils demandaient à me voir, dans un premier temps le pasteur les refoulaient mais les voyant j'intervenais et donnais mon accord. Je ne vous cacherais pas que le pasteur était très mécontent mais il n'osait pas s'opposer à ma décision ! Je me disais que … Après tout puisque ces deux journalistes étaient des alliés leur présence pourrait toujours être utile.

Je n'avais pas quitté mon ordinateur portable, dedans il y avait toutes mes notes et mon discours. Dans la salle tous les sièges étaient occupés, le pasteur avait même fait payé l'entrée, pas très cher, le prix d'une entrée au cinéma et on était justement dans une salle de cinéma … Il était déjà sur l'estrade et faisait des essais micro.

Le silence se faisait enfin, le pasteur commençait une petite présentation. Luc passait derrière moi et me glissait un papier dans la main. Le pasteur avait bien acheté les lots multi-tailles mais en solde, depuis la sortie des nouveaux modèles que nous avions mis au point Antoine et moi les anciens étaient soldés. Notre pasteur se faisait une marge astronomique, il faisait payer l'entrée à une conférence dont le conférencier n'était pas payé, et la salle de conférence lui était prêtée gracieusement !

Je n'étais pas vraiment satisfait par tout ce que j'avais appris au moment ou je montais au micro. Ce lascar n'était pas seulement radin ! ...


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