La Promenade Du Chien ...

- Non, reste chéri tu tousse encore, ce ne serait pas prudent de prendre froid, je me charge de sortir le chien
- Je n’aime pas ce parc quand il fait noir, sois prudente
- Titus me défendra !
- Tu parles ce caniche n’est bon qu’a défendre sa gamelle !
Malade depuis une semaine, c’est Camille ma femme qui s’occupe de sortir le chien afin qu’il fasse ses besoins pour la nuit, d’habitude récalcitrante a cette besogne elle y a pris goût au point de rester plus longtemps qu’il ne le faut, à mon avis ce n’est pas normal, surtout qu’à ma connaissance elle n’a sous son manteau qu’un vêtement a mi-chemin entre la chemise de nuit classique et la nuisette et un slip , du moins j’espère …
Une demi-heure plus tard Camille remonte, les cheveux en broussaille, les joues rosies, un regard voilé que je lui connais bien dans certaines circonstances … pleinement satisfaite comme lorsqu’elle vient de jouir, aussi j’ai décidé de tirer discrètement cette histoire au clair, dans la nuit je me suis levé pour aller fouiller la panière à linge sale, j’y ai trouvé son slip au fond maculé de trainées douteuses qui sentaient fortement le sperme encore fluide, le lendemain Camille m’a à nouveau proposer d’aller sortir Titus
- Merci chérie je ne me sens pas la force de sortir, prend ton temps je vais préparer le repas
- Merci Florent, en ce moment ce maudit animal prend tout son temps pour faire ses besoins
- Couvre toi il ne fait pas chaud
- Il me fait courir ça me réchauffe
Sitôt la porte refermée j’enfile mon pardessus et descend au rez-de-chaussée, je rase les murs et me dirige vers le parc où tous les chiens du quartier font leurs besoins, dissimulé d’arbres en arbres je cherche ma femme, je reconnais les aboiements de notre animal et ceux d’un autre chien... elle est là, en compagnie de notre voisin qui attache son berger allemand a un banc, Titus est déjà entravé à l’autre extrémité , ils se grognent l’un a l’autre, soudain sous mes yeux effarés, Alex, le voisin enlace immédiatement Camille qui ne le repousse pas, le couple recule pour s’adosser à un grand chêne situé dans l’obscurité, visage contre visage les amants doivent d’embrasser a pleine bouche, le manteau ouvert, Camille gémit , pour voir plus de détails je me déplace, prenant garde comme dans les histoires de chasses à ne pas être dans le vent afin que Titus ne me flaire pas et aboie a tout-va
Ma femme appuyée au tronc est offerte, jambes écartées, un bras de Didier est passé entre, j’imagine qu’il fouille la chatte certainement en eaux, Camille dénoue ses bras d’autour du cou de l’homme pour s’affairer à défaire le pantalon qui tombe sur les genoux… elle semble empoigner le sexe tendu et le diriger entre ses cuisses, mon cœur se serre de désappointement et en même temps soulagé d’avoir découvert la triste vérité, Didier plie les genoux quelques secondes avant de se redresser en poussant un râle de plaisir
- Tu n’as pas de culotte ce soir ? prend ça dans la chatte salope !
- Hhaaaaaaaaaoooouuuuuiiiiiiii baise moi !
- Chuuuuutttt, tu vas nous faire repérer, lève une jambe que je puisse t’embrocher à fond
- Tu me fais du bien Didier
- Ton mec ne se doute de rien ?
- Pense-tu il est trop amoureux de moi pour douter de ma fidélité ! vas-y fais-moi décoller rapidement je ne peux pas rester longtemps
- Un de ces jours je te baiserais toute une demi-journée dans mon lit conjugal
- Ta femme non plus ne se méfie pas ?
- Avec notre môme et son boulot elle n’as pas le temps ! prend ça dans ta choune de chaudasse !
- Ooouuuuuuiiiiii tape dans ma moule, ça vient … ça vieeeeeeeeennnnnnnnt !!!
- Aaaahhhhhhhhhhhhhh je décharge déjà bordel
Le mal est fait, une fois de plus l’adultère est consommé, je rentre dare-dare pour accueillir Camille sourire aux lèvres …
- Alors ? Titus s’est encore fait prier pour faire se besoins ?
- C’est embêtant, si ça persiste il faudra le faire examiner par le veto
- Je vais mieux, je vais m’en occuper
- Si tu veux nous pouvons inverser les rôles, tu déposes Jérémie à l’école le matin, c’est sur ta route, et moi je sors Titus le soir ?
- Ah ? faut voir … je ne suis pas contre
Soudainement une idée a germé dans mon esprit … Jérémie va a la même école que la fille de ce conard, je vais essayer de nouer un lien avec Candice, sa femme, la sonder afin de voir si elle est au courant des escapades nocturnes de son mari
Belle femme en l’occurrence, ce qui ne gâte rien pour diriger son bureau de courtier en assurance, où justement nous somment clients, le contact sera plus aisé
- Bonjour madame D.

excusez-moi de vous importuner mais j’aurais aimé vous parler
- De contrat ?
- Oui et non, puis-je avoir un rendez-vous ?
- Je peux vous recevoir de suite suivez-moi
Dix minutes plus tard je m’assois dans le fauteuil confortable face à cette femme au décolleté qui pousse à signer n’importe quel document
- Alors ? je vous écoute monsieur V.
- Eh bien voilà ce que j’ai à vous dire n’est pas facile à entendre …
- Précisez …
- Il s’agit de votre mari …
- Ne m’en dites pas plus, c’est votre femme qui promène son votre chien le soir ?
- Exactement
- Et elle rentre la petite culotte souillée ?
- Comment avez-vous deviné ?
- Alex ne prend même pas la précaution et le tact de s’essuyer le sexe après avoir tiré un coup, aussi c’est le slip qui prend tout et c’est moi qui lave ses cochonneries le lendemain
- Quel goujat …
- Ceci dit que puis-je pour vous ?
- Eh bien je pensais …que vous auriez envie de vous venger
- Ce n’est pas l’envie qui me manque … mais trouver qui ? où ? … je suis désolée pour vous monsieur V.
- Appelez-moi Florent
- A bientôt Florent ?
- A bientôt madame
ZUT ! ZUT ! ET MERDE ! ça a complètement raté, je n’ai pas été assez convaincant, mais le lendemain devant l’école …
- Bonjour Florent
- Bonjour madame
- Ohhh vous avez l’air déçu ?
- Moi ? pas du tout
- Je suis ravie de vous voir, figurez-vous que j’ai réfléchi à votre idée de vengeance et vous avez raison je dois trouver l’homme qui lavera cet affront
- Bonne chance …
- Vous devriez m’accompagner à mon cabinet, j’ai un contrat à vous faire signer
- Mais je n’ai pas besoin d’assurance supplémentaire ?
- Ne soyez pas bougon, suivez-moi sans tarder
- Si vous y tenez …
Je me retrouve assis a la même place qu’hier, le décolleté est encore plus avenant, ses yeux pétillent comme ceux d’une gamine qui va faire une bonne blague
- Comme je vous disais je cherche un homme qui aura des doigts et une langue très agile ainsi qu’un ‘stylo’ qui ne sera jamais vide car il aura un avenant au contrat à signer tous les jours, et vous ? quelles qualités devraient avoir la femme qui vous vengera ?
- Eeeeuuuuuuuhhh … elle devra avoir les lèvres pulpeuses bien dessinées au gloss rose afin de déposer de nombreux cercles sur ce fameux stylo, une vallée très étroite sur la poitrine afin d’essuyer ce stylo après usage
- C’est tout ?
- Elle devra aussi avoir une grotte très étroite et très plissée afin de faciliter la vidange de ce fameux stylo
- Je crois que nous pourrions faire affaire
- Avant je veux vérifier chaque clauses de ce contrat
- je vois ce que vous insinuez et je trouve cette exigence tout à fait légitime …
Sans ajouter un mot la femme pousse d’un revers de main une pile de dossiers qui encombre un coin du bureau et viens face à moi, bien enfoncé dans le fauteuil, y poser une fesse ce qui a pour effet de dévoiler et d’écarter ses cuisses gainées de dim-up entre lesquelles j’aperçois un mince triangle rouge, un sourire énigmatique aux lèvres, soutenant mon regard commence à dépatter et faire glisser son corsage sur ses épaules
- Je suis prête pour l’expertise
- Merci Candice …
je me lève et viens me camper devant elle, mes mains tremblantes se posent sur les bonnet que je qualifierais de quatre-vingt-dix B bien remplis, elle soupire et bombe le torse lorsque les bonnets repoussés libèrent les seins, je me penche pour aspirer un téton, ma main ainsi libérée file entre les cuisses soyeuses, le string est enfondu, je lisse la mouille de haut en bas avant de passer mes doigts dans l’aine brulante , les lèvres sont aussi lissent que son genou, je m’enfonce dans le vagin jusqu’à la dernière phalange, Candice s’accroche à mon cou en geignant
- Prends moi là, maintenant, baise moi, vengeons-nous de ces deux imbéciles
- Assied toi sur l’accoudoir du fauteuil je vais te trousser autant de fois qu’ils le méritent !

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