Lexi 6 - Un Garçon À Mon Goût

Je suis réaffecté en France depuis quelques jours. Mon aventure avec David s’était révélée assez platonique. De rares fois, nous avions pu nous laisser aller à nos envies et à nos désirs. Les moments étaient rares car l’intimité quasi-inexistante. Difficile dans ce contexte de laisser nos sens s’exalter et s’épanouir. Nous avions dû nous contenter de fugaces accolades qui nous laissaient finalement un goût d’inassouvis.
Pour le moment, je suis attablé à la terrasse d‘un bar parisien. L’air du printemps encore frais fait tressaillir mon épiderme encore demandeur des chaleurs africaines.
Je rêve à tout et à rien, sans attention particulière pour mon environnement jusqu’à je me sente comme observé. Mes sens se mettent en alerte … Rapidement j’identifie la source de mon éveil en la personne d’un jeune homme placé légèrement sur ma droite à une table en retrait. Il a l’air appétissant, entre 18 et 20 ans, certainement guère plus. Une érection me grimpe au pantalon immédiatement. Ce qui est normal vu le sevrage de sexe qui me caractérise ces dernières années.

Sans hésiter, je me lève pour me rendre aux toilette en prenant soin de passer devant le jeune homme en question. Bingo, son regard taille rapidement ma barguette déjà bien gonflée. Je vois ses pommettes rosir immédiatement et un bref coup d’œil venir sur mon visage qui lui sourit franchement. Je continue vers les toilettes où je m’installe devant l’urinoir à une bonne cinquantaine de centimètres de distance pour que quiconque entre dans les wc puisse bien voir ma verge en érection.

Le jouvenceau tarde à oser venir. Je finis par me dire que je vais éjaculer là d’excitation s’il tarde trop. Ou s’il n’ose pas. Je suis tellement sevré que l’excitation monte toute seule !

Enfin, la porte des wc s’ouvre … pour laisser passer un vieux monsieur. Cela ci jette un regard distrait à ma queue, balance la tête horizontalement tout en douceur en marmonnant « ce n’est pas pour moi j’espère ! ».

Le pépère en a visiblement vu d‘autres dans sa longue vie et ne semble guère porté sur la queue des autres ! De toute façon, son âge n’inspire pas ma libido !
A peine a -t-il quitté le wc que la porte s’ouvre à nouveau. Je vois le museau du jeune homme lancer un regard timide dans les lieux. Puis presque subrepticement, il se faufile à mes côtés. Ses doigts tremblent d’excitation, d’émotion ou de peur, toujours est-il qu’il n’en finit pas de se battre avec les boutons de braguette. Finalement je me penche vers lui en lui tout en murmurant l’oreille un « laisse, je vais t’aider », je le déboutonne avec dextérité pour en sortir une belle petite bite de 17 – 18 cm. Il est bien raide. Ma main se glisse sous ses bourses qu’elle soupèse : deux belles couilles bien pleines se laissent palper, soupeser, malaxer. Très vite il gémit de plaisir et de crainte de se faire surprendre.
Je lui lâche les couilles pour lui peloter els fesses qu’il a bien rondes et fermes. Je pointe mon majeur à travers la toile de son pantalon à l’endroit de son anus « tu as un endroit où aller si tu en veux ? ». Il fait « oui » de la tête, presque de façon frénétique … il va jouir sur place si cela continue. Je ne suis pas le seul à crier famine de sexe ! Du menton, je lui fais signe de sortir des wc etd e remonter en terrasse.
Lorsque je rejoins ma place, je constate qu’il est toujours là et qu’il a réglé sa consommation. J’en fais autant et quitte les lieux. Un bref regard dans la vitrine me renvoi l’image du jeune homme qui fait de même. Excellent !
Lorsqu’il se porte à ma hauteur, je lui demande « tu as une piaule ou un endroit au calme ? ». Une voix d’ado en fin de mue me fais écho « j’ai ma chambre d’étudiant là-bas, il ne faut pas entrer en même temps sinon la concierge risque de se douter de quelque chose. Je vais rentrer en premier et vous venez dans un quart d’heure, vous dites que c’est pour Sylvain au troisième ».
Je réfléchis rapidement puis lui lâche « d’accord. Mais quand j’arrive, tu es nu sur ton lit, je te veux les fesses bien ouvertes, prêt à te faire enculer. Ça te dit ? ». Un « oui monsieur » remplit de trémolos d’excitation me confirment que le garçon n’attend que d’être rempli par le cul.
A l’heure dite, je me présente sur les lieux. Pas de trace de la concierge. Je file au troisième ou je trouve une porte marquée « Sylvain ». L’heure de vérité approche. Après avoir frappé deux coups pour le principe, je pousse la porte. Entre, la referme et me tournant vers l’intérieur de la pièce, je découvre je jeune mec à quatre pattes sur la table, les fesses maintenues ouvertes par ses deux mains. Il me présente ainsi un joli trou du cul qui me parait assez neuf … mais pas vraiment vierge. Quelques petites plissures laissent supposer quelques passages …
J’en profite pour souffler sur son joli trou. Je le hume. Il est propre. Toujours sur son trou, je lâche un souffle chaud … il frétille du cul. En fait, cela lui provoque un chatouillement léger particulièrement excitant dans une telle circonstance. Je passe une main entre ses jambes et lui flatte le ventre qu’il a plat et bien musclé. Je prolonge mon exploration jusqu’à ses tétons que j’excite en les pinçant. Ce faisant, mon visage et devant sa raie. Vu sa propreté anale, je glisse une langue baveuse sur son trou, je le salive, le lèche. La peau de ses bourses gonfle, ses couilles grossissent au fur et à mesure que je l’excite. Enfin, je fais le tour de la table et lui présente ma bite devant la bouche. D’autorité je lui enfourne. Il est malhabile mais soucieux de faire au mieux. Je guide son travail buccal et lui maintenant la tête. Petit à petit, il trouve son rythme. Ma queue va maintenant au fond de sa gorges. Je lui fais faire des mouvement long et lent sur toute la longueur de ma bite.
Cela fait maintenant plus de vingt minute qu’il travaille. Je le sens fatiguer. Sa mâchoire se tétanise de plus en plus souvent. Me penchant en avant, mon buste se trouve au-dessus de son corps, face à lui, je profite d’un dernier voyage au fond de sa gorge pour lui donner une bonne claque sur les fesses qui lui pousse ma queue au plus profond de ses possibilités buccales. Il s’en étrangle et vivement, il se retire. Je le sens prêt à se rebeller, à refuser d’aller plus loin. Solidement, je lui empoigne les épaules, le redresse et glisse ma langue dans la bouche. Je le sens hésiter, comme cherchant un moyen de se mettre en retrait. Puis sous l’effet des sensations et du plaisir que lui procure ma langue enlacée à la sienne, je perçois son abandon.
Tendrement je lui murmure à l’oreille « je vais te mettre maintenant, tu t’es déjà fait déflorer le cul ou tu t’es amusé avec tes doigts ? » Dans un souffle je comprends « doigts ». « Remets-toi en position pour me recevoir ». Volontairement, j’emploie le mode autoritaire, je sens que le jeune aime cela. Docilement, il se remet à quatre pattes et s’ouvre des deux mains. Ma langue repart à l’exploration de son fondement. Un quasi puceau du cul, c’est toujours une perle à goûter longuement avant de consommer ! Mon travail préparatoire dure un long moment. Volontairement, je me prive de l’ouvrir avec les doigts. Je l’amène à se détendre jusqu’à ce qu’il soit suffisamment prêt pour me recevoir.

C’est alors que ma bite se place devant son anneau et pousse sans avertir. Il lâche un cri de surprise et de douleur. Le gland est entré d’un coup, presque sans résistance. Mais maintenant, je sens ses sphincters se contracter. Je reste immobile. Le bout de ma queue distant son orifice annal. Je flatte sa croupe, caresse ses reins. Toujours sans lui pousser ma verge dans les entrailles, je lui saisi délicatement les tétons et les doucement par des petits pincements. Je les sens maintenant réagir sous mes doigts. Petit à petit, l’étreinte annale qui enserre ma verge jusqu’après le gland se relâche. Lui saisissant la tête par les cheveux, je la ramène en arrière vers moi « A toi de jouer maintenant, tu y vas à ton rythme mais tu te la carre dans le cul complétement ». J’ai compris que mon langage vulgaire excite autant le garçon de bonne famille que la sodomie proprement dit.
Par petit à coup, il s’emploie à s’empaler sur mon nœud. Après quelques minutes, il est à fond. Je profite de la glace d’armoire face à nous pour savourer les grimaces de douleurs qui ponctue ses efforts sur son visage. Je me retire document « recommence ». De nouveau il s ‘empale par petits à coups. « Tu aimes ? ». Un souffle me lâche un « oui » à peine audible. On dure ainsi une bonne heure. Lorsque je me retire complétement, j’observe son anneau qui est bien ouvert, et rougi sur les bords.
« Je n’en peux plus, je vais m’évanouir », mon jeune amant est exténué. Je le saisi donc aux épaules, le redresse vigoureusement et le pénètre ainsi d’un coup. En même temps, je branle sa verge avec vigueur. En quelques aller-retour vigoureux je lui lâche la purée dans le cul au moment où il inonde son torse de son sperme.
Nous nous écroulons l’un sur l’autre, ma bite encore dans sa grotte et nous sombrons dans un profond sommeil réparateur. Nous reprendrons nos esprit une bonne heure plus tard. Nos sexes respectifs ont repris des dimensions plus « quotidiennes », repus du plaisir que nous avons si longtemps à laisser éclater.