Je Suis Devenu Accroc

J'avais tout juste 18 ans quand j'ai rencontré Marion. Elle m'a emmenée chez elle, et immédiatement, elle s'est mise à poil. Qu'est-ce qu'elle était belle. Moi, j'étais encore puceau. Ma mère m'interdisait de sortir.
- Tu te déshabille pas ? demanda Marion.
- J'ai pas l'habitude...répondis-je. C'est la première fois.
- Bouges pas, dit-elle. Je m'occupes de tout.
Une fois à poil, elle tourna autour de moi.
- T'es plutôt joli garçon ! dit-elle. Et quel cul ! on dirait une fille ! Mets-toi à genoux !
J'ai obéi. Elle s'est approchée et a écarté ses jambes. Elle m'a pris par les cheveux en disant :
- Mets ta langue dans ma chatte !
Sa moule était trempée. Le goût était un peu salé, mais excitant. Elle gémissait sous la caresse. Soudain, elle poussa un cri. Elle venait de jouir.
Elle passa une main sous mon aisselle et me remit debout. Cette fois, ce fut elle qui se mit à genoux. Elle passa sa langue sous mes couilles et les lècha. Je bandai immédiatement. Sa langue se promena tout autour de ma bite, puis, ouvrant toute grande sa bouche, elle referma ses lèvres sur le manche. Elle lècha la petite fente, m'arrachant un sursaut, puis, à peine quelques secondes après, j'ai lâché mon sperme.
Je suis retombé en arrière, couché sur le sol, un sourire béat éclairant mon visage.
- Vraiment, dit-elle, t'as un cul d'enfer ! Ca t'embêtes si mon frère vient regarder ?
J'étais tellement au 7ème ciel que j'ai accepté.
La semaine d'après, son frère étais là. Il me laissa passer devant lui. Sa main se posa sur mon cul, apprèciant ses rondeurs.
- Marion, t'es la meilleure ! Avec Frédéric, ça va être un feu d'artifice !
Il prit son téléphone et appela le fameux Frédéric.
- Il suces bien ? demanda le frère.

- Cédric, c'est un puceau !
- Un puceau ! s'écria-t-il excité.
Il se tourna vers moi.
- T'as encore jamais baisé ?
- Eh bien quoi...
- Tu vas bouffer deux grosses queues, puis tu les prendra dans ton cul !
Cédric s'approcha de moi.
- Allez, à poil, me dit-il avec un beau sourire.
Je me suis entièrement déshabillé.
- Maintenant, à genoux !
Ce faisant, il ouvrit sa braguette et en sortit un bien beau membre. Il le prit en main, me le tendit et sussura :
- Vas-y suces !
La bite impressionnante glissa entre mes lèvres. Les mains de Cédric se posèrent sur ma nuque et imprimèrent le mouvement. A chaque poussée, la bite plongeait plus loin dans ma gorge. Je l'ai alors sentie qui grossissait. Quand mes lèvres touchèrent les poils du pubis de Cédric, celui-ci se raidit et son sperme coula sur ma langue.
Il se tourna vers sa soeur et lui dit :
- Qu'est-ce que tu dirais si, en attendant Frédéric, on se faisait un sandwich ? Moi dans son cul, et toi où tu veux.
- Pourquoi pas, fit-elle.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Marion se mit à genoux et se pencha en avant. Cédric me prit par la bite et m'approcha d'elle. Il s'agenouilla derrière moi et chuchotta à mon oreille :
- Ensemble ! OK ?
Il posa mon gland sur le petit trou du cul de Marion, et je sentis le sien se poser sur le mien.
- Vas-y, murmura-t-il
J'ai poussé un cri quand le gros engin s'enfonça dans mon cul. Du coup, le mien pénêtra dans le cul de sa soeur.
Sur ces entrefaits, Frédéric arriva. Devant la scène, il plaisanta, du moins c'est ce que j'ai cru,
- Eh ben, j'arrive juste pour la double !
- Eh oui, dit Cédric. Tu vas d'autant plus apprécier, que c'est un puceau !
Frédéric se mit à poil en moins de 30 secondes. Son sexe était encore plus gros que celui de Cédric. Celui-ci venait de se mettre sur le dos. Il tenait sa bite dressée. Marion me prit par la main et me conduisit vers son frère.
- Ecarte les jambes, et asssied-toi sur lui. Les jambes en arrière, le torse sur le sien.
La bite de son frère était toute entière enfoncée dans mon cul. Alors, Frédéric s'approcha et écarta mes jambes. Je sentit son gland se poser sur mon trou. Il me saisit par les hanches, et commença à pousser. Lentement le gros sexe s'enfonça. Frédéric s'allongea sur moi et me prit aux épaules. J'avais mal, mais n'osait pas me plaindre. C'est alors qu'il se mit en mouvement. J'ai hurlé. Juste un instant. L'anus déformé par les deux sexes enfoncés dans mon cul, j'ai éjaculé et râlé de plaisir.
Emerveillés par ma performance, Cédric et Frédéric m'ont organisé d'autres rencontres. Marion, de son côté, s'est acheté un godemiché, et s'est prise au jeu. Désormais, elle aussi possède mon cul. Tous, ils parlent de photos. Bien entendu, ne me reconnaîtront que ceux qui ont visité mon cul.
Là aussi, j'ai voulu solder le problème. Mes prochains suborneurs viendraient masqués.


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