Les Routiers Sont Sympas (8)
LES ROUTIERS SONT SYMPAS
(8)
Elle aime tout ce qui est français.
Je suis "coincé" en Allemagne pendant deux jours. À la fin des fêtes de Carnaval, les deux derniers jours (lundi et mardi) sont fériés et chômés. Frédérike, lune des employées du destinataire des marchandises, menseigne ou se trouve un grand parking avec Cest une fille allemande pur sang, très sympathique. Elle est grande, blonde, yeux bleus, bien proportionnée, avec ce quil faut là où il faut. Elle a encore quelques traces de maquillage sur le visage. Elle me dit avoir vingt-trois ans... Dans le cadre de la construction économique européenne, elle a appris le français pour être interprète à la disposition des entreprises. Pour cela, elle a passé deux ans en France. Elle connaît bien nos us et coutumes. Me sachant seul, elle-même abandonnée par son copain parti faire la fête dans les bars, elle a décidé de venir me tenir compagnie. Elle navait pas souvent loccasion de parler français. Avec Frédérike, installés, chacun sur son siège, dans la cabine de mon camion, nous terminons cette fin d'après-midi, mouvementée, en discutant. Nous comparons nos différentes façons de vivre, en général, dans nos pays respectifs. Cest ainsi que jai appris quen Allemagne on ne drague pas... La séduction classique à la française reste incomprise des Allemands. En Allemagne, les rapports entre hommes et femmes ne connaissent pas l'entre-deux : il y a le sexe d'un côté, et l'amour (le mariage) de l'autre. Pour une nuit, ou pour la vie. Le flirt à la française est considéré comme une perte de temps, voire, pire, comme un mensonge. Bien sûr. il y a toujours des exceptions et des contre-exceptions. Il ne faut pas généraliser ! Mais draguer revient souvent à se présenter sous son meilleur jour. Et cest là que ça bloque
À tel point quen allemand, « Séduire » se dit « verführen », littéralement « induire en erreur ». Rien que dans le langage, le flirt na rien de très naturel
Lallemand est une langue qui possède un mot et un concept pour tout : pas de place pour les sous-entendus (et puis cest aussi la langue qui est utilisée pour dresser les ours, alors cest tout dire !).
La femme allemande a toujours été mise en avant en tant que mère plutôt quen tant quamante et femme. Lallemande doit être dévouée envers sa famille.
Les femmes qui confient leur à la crèche ou à une baby-sitter sont nommées des « Rabenmutter » (mères corbeaux). Elles sont vues comme des mères ingrates qui ont choisi lindépendance et leur carrière plutôt que délever leur .
Il faut donc dire quen Allemagne : il y a un moment bien précis pour draguer, cela sera à partir de vingt-trois heure / minuit, en soirée, après que quelques bières aient pu détendre latmosphère. Un point, cest tout !.
Dans la rue ? Jamais, Oh grand jamais !
En Allemagne, on ne siffle pas une fille, aussi attirante soit-elle, dans la rue comme cela peut arriver souvent en France
Les allemands sont timides. Il faut dire que leur timidité à parfois du bon ! En boîte et dans les transports, on nembêtera jamais une fille ! Et même si cela arrive, un refus sec les fera partir en courant (les mecs, pas les filles).
Plus nous parlons, plus je trouve mon interlocutrice séduisante, voire attirante. Mon intuition du matin est confirmée. Mais, après tout ce quelle vient de mapprendre, je nose pas trop draguer, en paroles ou en gestes...
Le temps passe... Le jour décline... Il fait de plus en plus sombre... Le calme est revenu dans les rues... Il commence à faire frais dans la cabine... Je mets le moteur en route pour avoir un peu de chauffage...
Quand la température est devenue plus clémente, Frédérike ne manifestant pas son intention de partir, je lui propose :
« Il se fait tard, je commence à avoir une petite faim... Tu viens, je tinvite à manger...
Merci, cest gentil... Le soir, je ne mange pas beaucoup...
Moi non plu,,, deux ufs sur le plat à la cantine, ça te va ?
Bien sur ! Ce sera avec plaisir...
Il faut que je te dise aussi... Comme jen ai la possibilité, je voudrai bien prendre une douche avant de manger.
Je viens avec toi... Je voudrai au moins me laver la figure... »
Dans un petit sac, jai mes affaires de toilette. Je vérifie que tout y est, nous nous habillons chaudement et nous partons.
À la réception, cest Frédérike, en allemand, qui passe la commande de deux ufs pour chacun. Elle demande à faire un brin de toilette avant de manger. La réceptionniste acquiesce et nous propose une cabine de douche commune pour un deutschemark.
La dite cabine comporte, à lentrée, un coin pour se déshabiller avec lavabo, séparé dune demi cloison de la douche. Jhésite un peu à me mettre à poil. Frédérike, voyant mon embarras, me met à laise en me disant, avec un petit sourire :
« Tu peux te mettre nu... Ça ne me gène pas...
Merci... »
Lui tournant le dos, vite fait, jenlève mes habits et me précipite sous la douche. Après mêtre mouillé, je commençe à me savonner quand je sens une présence derrière moi. Tournant la tête, je vois Frédérike, nue, qui entre sous le jet deau. Je reste figé détonnement. Elle me sourit. Sans gène, elle me prend le gant et la savonnette des mains. Elle me frotter le dos. Cette partie du corps couverte de mousse, elle me fait faire demi tour. Je me retrouve face à elle,à quelques centimètres d'intervalle. Mon regard se porte sur sa poitrine aux seins bien ronds et généreux. Puis il descend sur son ventre plat pour se poser sur sa toison pubienne.
Cest une vrai blonde.
Aussitôt, ma verge se met au garde à vous devant ce corps splendide.
Mon premier geste est de tendre les bras, attr Frédérike par les épaules pour lattirer contre moi.
Elle se raidit, résiste et me dit :
« Tess,,, Tess,,, On se douche dabord... »
Je ninsiste pas... On finit de se laver, on s'essuie, on se rhabille, on passe à table...
Le repas fini, nous rejoignons le camion. Pendant le trajet, je prends Frédérike par la main. Elle ne se dérobe pas.
On sarrête de marcher, je la regarde dans les yeux. Elle me rend le même regard...
Japproche ma bouche de la sienne. Elle entrouvre ses lèvres...
Nous nous embrassons longuement, fougueusement, serrés dans les bras lun de lautre...
Arrivés dans le cabine, portes verrouillées, rideaux tirés, vêtements chauds quittés, nous nous embrassons encore tout en lui caressant le dos. Passant par-dessus ses épaules, mes mains saventurent dans son décolleté en défaisant les boutons. Elle se laisse faire...
Je fais glisser son chemisier le long de ses bras et lui enlève. Elle se laisse faire...
Je trouve l'agrafe de son soutien-gorge, je la décroche. Elle se laisse faire...
Ses seins, ronds, à la peau laiteuse, se raidissent. Les mamelons semblent me défier...
Par petits baisers, en léchant, ma bouche descend vers ces pointes brunes. Lune après lautre, je les prends entre mes lèvres, les suçote, les agace avec ma langue. Je les sens se raidir et durcir.
Frédérike reste impassible...
Je lui prends une main et la pose sur la boucle de ma ceinture et lui murmure à loreille :
« Déshabille-moi...
Je nai jamais fait... Je ne sais pas faire - me souffle-t-elle.
Ce nest pas difficile... Ose... Enlève-moi mon T-shirt et caresse-moi le torse. »
Si elle me sort le T-shirt facilement, par manque de pratique, ses caresses sont plutôt maladroites. Dune main, je la guide, lautre soccupe toujours de sa poitrine.
« Ça te fait plaisir ?
Ouiiii, Jaime...
Continue à caresser... Fais-moi aussi des petites bises partout... Fais comme moi... Ne tétonne de rien...
Laisse-toi aller... Pense à ton plaisir... »
Ces mots lui sont chuchotés à loreille... Elle apprend vite...
Au fur et à mesure, ses caresses sont plus douces, plus osées... Elle commence à me faire des bisous un peu partout, sur les lèvres, les yeux, les épaules, ma poitrine.
Elle est toujours vêtue de sa jupe de carnaval. Cest un vêtement en grosse toile, aux couleurs chamarrées qui lui descend jusquà mi-mollet. En lui caressant le dos, je trouve la tirette de la fermeture Éclair qui la retient. Je la fais descendre. La jupe chute sur ses chevilles. Elle porte un jean dessous. Lui faisant lever un pied après lautre, pour les faire sortir du cercle de tissu, jen profite pour la déchausser.
Je défais la ceinture qui retient son pantalon. Passant un pouce à lintérieur, de chaque côté, je le fais descendre. Elle a une culotte blanche en coton, le devant auréolé dune tache de liquide... Elle mouille...
Imitant mes gestes, Frédérike fait descendre mon pantalon. Je ne peux pas cacher la grosseur de mon sexe qui remonte vers mon ventre, à travers le slip. Voyant cela, elle a un petit geste de recul...
« Nai pas peur... Ça ne va pas te mordre...
Je sais... Mais cest gros...
Cest le slip qui donne cette impression... Donne-moi ta main... »
Lui prenant la main, je la fais passer par-dessus lélastique et la lui fais refermer sur mon membre.
« Cest bien ce que je disais, cest gros et long...
Je ny peux rien... Cest la nature qui me la faite comme ça... Je peux te dire que les filles apprécient...
Je nen doute pas...
Découvre-là... Baisse le slip.... »
Elle exécute la manuvre. Ainsi libérée, ma verge se tend vers le bas ventre de Frédérike à quelques centimètres. Dun geste rapide, je fais descendre sa culotte... Sa toison, couleur de blé mûr, est toute imbibée de cyprine. Jy pose une main dessus et je caresse en douceur cette vulve ainsi offerte. Elle apprécie... Ses jambes flageolent, jai l'impression quelle va tomber... Je latt pour la faire assoir sur le bord de la couchette... Je pose mes mains sur ses cuisses et les caresse en remontant jusquà la fourche... Passant de chaque côté de sa vulve, je redescends jusquaux genoux en les faisant écarter... Cette position moffre une vue totale sur son entrejambe ouvert.
Dune légère poussée sur sa poitrine, je la fais allonger.
Je me penche, dépose quelques bisous sur son ventre, son pubis, entre ses grandes lèvres et la chair de ses cuisses, sur sa toison en aspirant sa mouille.
Remontant mes mains de chaque côté de sa fente, jen écarte les bords...
Jembrasse cette bouche aux lèvres charnues et gonflées... Jy enfonce ma langue de toute sa longueur, jusquau plus profond de ce gouffre damour.
Frédérike accuse le coup. Jentends sa respiration qui saccélère, sa gorge qui commence à râler. Je sens des frémissements dans ses jambes.
Avec ma langue, jaspire le maximum de nectar pour men délecter. Je noublie pas de titiller son bouton sensible qui gonfle et sallonge. Gardant une bonne lampée de son foutre dans ma bouche, je remonte jusquà la sienne pour lui faire gouter en échangeant un long baiser fougueux. Elle avale...
Je décide de faire une pause...
« Alors, comment tu trouves ton jus ?
Je connais, quand je me donne du plaisir, je me lèche les doigts...
Tu te donnes du plaisir seule ? Jamais un garçon ou un homme ne ta fait ça ?
Jamais... Quand on veut saccoupler, cest quon a envie. On sembrasse sur la bouche, on se touche un peu le sexe... Nous, les filles, on mouille. Pour ne pas avoir de bébés, les garçons mettent un préservatif et ils nous rentrent dedans. Ils pompent jusquà ce quils envoient leur sperma (sperme).
Et puis... Cest fini ?
Oui... On sembrasse un peu et on se sépare pour aller nous nettoyer...
Cest bien triste... Quel plaisir vous avez, vous les filles ?
Ça nous fait du bien... Pas autant quavec nos doigts ou un faux sexe en caoutchouc...
En fait, vous baisez, vous ne faîtes pas lamour...
Cest ce quon dit... Je sais que vous, les Français, hommes ou femmes, vous trouvez un grand plaisir à vous accoupler...
Chez nous, ce sont les animaux qui saccouplent. Les humains font lamour. Bien sur, il y en a qui baisent comme des bêtes, cest parce quils sont bêtes... Ce que je tai fait jusquà maintenant, cétait bon ? Tu as aimé ?...
Oui beaucoup... Je ne savais pas quon pouvait se lécher là me montrant sa vulve.
Tu ne sais pas que, pendant que les garçons lèchent la fille, les filles lèchent et sucent les garçons...
Mais cest sale...
Pas plus que quand on s'embrasse sur la bouche... En plus, on sest douchés... Tu vas voir... »
Je la fais allonger à plat dos sur la couchette, jambes écartées. « Tiens, mets ce coussin sous ta tête si tu veux voir ce que je vais te faire... Détends-toi... Laisses-toi aller... Laisse-moi faire... »
Je mallonge à côté delle, tête bèche, en position du soixante-neuf.
Je recommence à caresser son entrejambe,au-dessus de sa vulve, dabord du plat de la main, en douceur, puis en appuyant à chaque passage. La cyprine sourdait en un ruissellement continu. Jen ai plein les doigts... Petit à petit, jappuie avec mon majeur qui ne tarde pas à faire écarter ses lèvres intimes.
En arrivant en haut, mon doigt vient butter contre son clitoris. Il en fait deux fois le tour avant de redescendre dans les profondeurs de sa grotte damour. Un tel traitement fait gonfler son bouton sensible qui sort de sous son capuchon. Japproche ma bouche et laspire entre mes lèvres. Le tenant ainsi prisonnier, je le titille du bout de la langue.
Les gémissements de Frédérike ne tardent pas à revenir. Je rythme mes caresses sur sa respiration qui est de plus en plus rapide et courte.
Soudain cest un cri venu du tréfonds de son être. Son corps se cambre et se tord. Il tremble de partout... Cest un orgasme puissant qui lui fait quitter les réalités terrestres pour la faire planer dans un ciel féérique et paradisiaque.
Je sais que son clitoris est devenu trop sensible. Dune bonne aspiration, je me remplis la bouche de sa jouissance. Je me tourne pour être à son coté quand elle reprendra ses esprits. Cette attente dure quelques minutes. Jai toujours deux doigts qui sagitent doucement dans son minou. Quand elle ouvre les yeux, elle me sourit, je plaque ma bouche contre la sienne pour partager sa liqueur. Je comprends quelle apprécie par son sourire.
« Merci me dit-elle dans un souffle.
Tu nas jamais connu ça ?...
Non jamais... Jamais je naurais pensé avoir tant de plaisir, tant de bonheur...
Attends, ce nest pas fini... Cest toi maintenant qui va me donner du plaisir...
Je nai plu de force... Je suis complètement vidée, sans énergie...
On va attendre un peu... Ça va revenir... »
Nous nous serrons lun contre lautre, nous nous embrassons vigoureusement, langoureusement.
Je lui prends une main et la guide vers mon braquemart resté bien raide. Je lui fais saisir et lui fais faire des mouvements masturbatoires. Elle me regarde en souriant et me demande :
« Je fais bien ?...
Oui, tu manques un peu de pratique, mais tu apprends vite. Tu me fais du bien... Continues... »
Doucement, je me mets à plat sur le dos. De mes mains, je guide Frédérique pour la faire venir entre mes jambes. Elle me fait face. Elle na pas arrêté de me branler...
« Tu me fais du bien... Regarde comme elle a grossi... Embrasse le bout... Suce là... Imagines-toi que cest une glace... Caresses-moi les deux boules quil y a dessous... »
Elle hésite un instant, puis elle me prend le gland entre ses lèvres, le lèche, lembrasse. Je pose une main sur sa tête et jappuie doucement. Elle comprend mon intention. Écartant les dents et serrant les lèvres, elle senfonce mon chibre jusquau fond de la gorge puis remonte... Elle comprend vite... Elle apprend vite...elle continue à me masturber avec sa bouche tout en me caressant les testicules avec ses mains.
Je sais que cette action est particulièrement pénible, surtout quand on na pas lhabitude.
Je larrête, la fais mettre à califourchon par dessus de mon bassin. Dans cette position, elle a son sexe contre le mien. Je prends ma bitte, je la fais aller et venir entre ses lèvres en appuyant de plus en plus. En passant au-dessus de son clito, je fais quelques cercles. Elle ne tarde pas à mouiller.
Jarrête et je lui dis :
« À toi maintenant... Continues... Fais-toi plaisir... Et quand tu veux, fais-la rentrer dans ton vagin...
Cest bon !... Ça me fait beaucoup de plaisir... Mais je ne veux pas de bébé... - me dit-elle dun air inquiet.
Jai ce quil faut... »
En tête de la couchette, il y a un petit vide-poche avec quelques préservatifs en réserve. Jen att un que je tends à Frédérike. Elle me remercie par un sourire qui veut en dire long sur ce qui va se passer. Dune main, elle accélère les frottements de mon gland dans sa chatte, de lautre, elle se masse le bourgeon jusquà ce quil pointe son nez. Elle marque une brève pause, dun geste rapide, elle déchire létui du préservatif, le pose sur le bout de ma biroute, le déroule sur toute la longueur. Reprenant la chose en main, elle la présente à lentrée de son vagin et, doucement, effectue une descente de son bassin pour bien sempaler sur ce pieu de chair. Arrivée au fond, elle commence des mouvements de haut en bas, davant en arrière. Mon phallus prends encore du volume. Sa grotte semble se resserrer. Labondance de sa mouille facilite le glissement. Jentends son plaisir monter à travers sa respiration de plus en plus rapide, les râle de sa gorge vont crescendo...
Je me retiens le plus possible... Sa chatte devient si serrée que je vais partir...
Je la préviens... Elle accélère ses mouvements... Je nen peux plu...
Dans un duo parfait, nous laissons sexprimer notre jouissance...
Elle se cabre, se raidit, simmobilise tendue comme un arc. Ma tige est si profondément enfoncée que je la sens buter contre son utérus. Mes couilles sont comprimées sur son périnée. Ses râles de plaisir deviennent un long rugissement... De mon côté, jai le cur qui s'emballe. Je ne respire plu, j'halène, je suffoque. Je vide toute ma semence en longues giclées en poussant des hans entre chacune.
La tension accumulée en ces quelques secondes se dissipe lentement.
Frédérike se laisse aller de tout son long sur mon corps. Sa poitrine contre la mienne. Ses mamelons sont encore durs, ses seins toujours fermes. Mon chibre, toujours enfoncé dans sa chatte, se ramollit doucement.
Cette position facilite léchange de tendres baisers langoureux, voluptueux.
« Tu as aimé ?
Oh - oui Beaucoup... Jamais je naurai pensé avoir autant de plaisir... Tant de bonheur...
Cest dommage... Vous, en Allemagne, vous ne savez pas faire lamour...
Cest pour ça, que moi, jaime la France et tout ce qui est français...
Frédérike, tu sais que notre rencontre sera sans suite...
Je sais... Cest uniquement pour le plaisir ... Mais ce soir jaime UN Français...»
Sur ces dernières paroles, nous nous endormons... Il est presque minuit...
Épilogue : Toujours nus, nous nous sommes réveillés vers dix heures. Ce jour étant toujours férié, nous avons le temps... En attendant midi, nous avons discuté sur différents sujets concernant la sexualité, comment en obtenir le maximum de plaisir.
Après avoir pris une douche, après le déjeuner, après une sieste denviron une paire dheures, nous avons mis en pratique quelques positions, quelques gestes, plus érotiques les uns que les autres. Je lui ai appris à jouir dans la position dite « en levrette ». Elle a particulièrement apprécié...
Nous avons jouis chacun notre tour ou ensemble.
En fin de journée, Frédérike a revêtus ses habits carnavalesques. Elle est partie après un dernier baiser profondément sensuel, avec quelques larmes dans les yeux et plein de rêves dans la tête...
De retour à lentreprise, quand on me demandait, dun ton ironique, si javais passé un bon moment pendant ce voyage, je répondais : « Bof, rien de bien folichon... »
Petikokin
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