Sylvia 2

Je connaissais Sylvia depuis longtemps, enfin , je croyais la connaître.
Nous avions eu quelques expériences sexuelles assez torrides, mais on était simplement restés amis, on se voyait quand même souvent, quand il y avait des manifestations.
J'avais fait la rencontre d'une jeune fille plutôt du genre prude et timide, Annette, je l'avais présentée à Sylvia qui l'avait embrassée et nous avions passé la soirée ensemble au cours d'un banquet d'association.
Durant la soirée, j'avais observé un curieux manège entre les deux femmes c'était troublant et j'avais fini par en causer à Sylvia en particulier.

Elle m'avais dit tout simplement, "Annette crève d'envie de coucher avec moi, et j'aimerais bien ça."
J'étais un peu surpris, je ne croyais pas qu'Annette puisse être lesbienne, et je croyais bien connaître Sylvia qui était une franche salope et qui se tapait tout ce qui passait à sa portée, mais c'était la première fois qu'elle avouait des penchants lesbiens..

Quelques jours ont passé, j'avais un appartement en ville et Annette vivait avec moi depuis quelque temps, nous faisons l'amour bien sagement, pas très souvent, position du missionnaire, quelques caresses mais c'était tout, c'était surtout sentimental, j'étais (une fois de plus) amoureux.

Un après-midie, la sonnerie de la porte d'entrée retentit, c'était Sylvia, toujours pimpante, habillée d'une robe d'été et visiblement sans soutien-gorge, mais comme elle n'avait quasiment pas de poitrine, seuls ses tétons érigés par le frottement du tissu léger étaient bien visibles.

Annette lisait dans le canapé et Sylvia est venu la rejoindre, nous avons discuté un moment, puis je me suis levé pour faire du thé.
Quand je suis revenu avec les tasses et la théière, j'ai vu que les deux femmes se tenaient la main et la tête d'Annette reposait maintenant sur l'épaule de Sylvia, qui avait donc raison..
Nous avons bu le thé et je décidai de m'éclipser un moment, sous le prétexte de laver les tasses, je pris mon temps.

Quand je revins un bon quart d'heure plus tard, les deux femmes s'embrassaient en pleine bouche et la main de Sylvia bougeait sous la jupe d'Annette qui semblait être consentante, je pris le parti de m'asseoir et de contempler le spectacle, Sylvia me fit un petit clin d'oeil, et continua son exploration.

La jupette d'Annette vola dans la pièce ainsi que son chemisier, Sylvia pétrissait les seins lourds sans libérer la bouche d'Annette, puis s'intéressa à ses tétons qu'elle emboucha l'un après l'autre.
Annette gémissait doucement, les yeux fermés, elle appréciait la caresse.
Sylvia retira la culotte blanche en coton d'Annette et me la jeta au visage en riant, j'en profitai pour y fourrer mon nez, elle était humide et sentait bon la chatte en émoi, mon sexe fit un bond dans mon caleçon..

Sylvia écarta les cuisses d'Annette qui se laissa faire docilement, puis enfouit sa tête entre les cuisses offertes, Annette gémit de plus en plus fort et tenait la tête de Sylvia, qui lui bouffait la chatte goulument.
Experte, Sylvia la fit jouir rapidement, elle me regarda malicieusement, visiblement fière d'elle-même, puis elle prit les lèvres d'Annette pour lui faire connaître le goût de son petit minou.

Ce fut au tour d'Annette de s'intéresser à la chatte de Sylvia qui devait être dans un état pas racontable, mais elle n'avait pas encore assez d'expérience et Sylvia que je connaissais bien apprécia mais se contenta de simuler, sans vraiment jouir.

Les deux filles finirent par s'endormir, tendrement serrées l'une contre l'autre.

J'avais assisté à tout cela sans broncher et j'avais une gaule d'enfer, je me masturbais doucement et Sylvia s'en aperçut, elle se dégagea prudemment pour ne pas réveiller Annette puis vint prendre mon membre en bouche, elle constata très vite que j'étais au bord de l'explosion, alors elle m'enjamba et enfourna mon sexe d'un seul coup dans sa chatte trempée, en moins de deux minutes, je jouissais au fond de son ventre.
Elle s'essuya avec un mouchoir, essuya aussi mon sexe qui commençait à se ratatiner puis elle partit après m'avoir accordé un baiser, sa bouche sentait toujours la chatte d'Annette.

Annette dormit un bon moment, je suis sorti faire quelques courses.
Quand je suis revenu, elle sanglotait doucement sur le canapé, elle me dit qu'elle avait honte, je lui répondis que ce n'était pas grave, que ce n'était qu'une expérience sexuelle, qu'il y en aurait d'autres et qu'elle finirait par découvrir sa vraie sexualité comme ça..

Nous sommes restés ensemble quelques jours encore, j'ai essayé de lui faire minette plusieurs fois, mais le coeur n'y était pas, je n'étais pas maladroit mais elle bloquait, il lui fallait une femme, et je n'ai jamais plus réussi à la faire jouir.
Nous avons rompu peu de temps après, je crois que c'était moi le plus malheureux, j'appris qu'elle avait revu Sylvia et était repartie chez ses parents.

Beaucoup plus tard, j'ai appris qu'Annette était entrée dans les ordres, j'ai pensé en souriant que son petit minou devait faire des ravages dans le couvent....