Collection Zone Rouge. Voyage En Italie (2/2)

Me sauvant de chez moi pour échapper à mon père qui me tyrannise, je suis sur la route avec ma valise faisant du stop, j’ai la chance de voir arriver le voisin de mes parents, homme d’une trentaine d’années ayant une classe folle.
Il s’appelle Pedro, mais depuis qu’il est notre voisin sa discrétion fait que nous le connaissons peu.
Nous le voyons passer dans sa voiture de sport sans jamais lui avoir parlé.
Il m’emmène en Italie, passé la frontière, il souhaite se reposer et nous prend deux chambres dans un hôtel de haut luxe.
Resto, le lendemain matin, il profite de la venue de la soubrette pour venir près de moi comme si de rien n’était et rapidement, je vais me trouver sous lui sa verge dans le vagin qui me dépucelle.
Trois jours de rêve avec le dernier soir une coupe de champagne qui semble faire basculer ma vie, car je me retrouve nue attachée à un lit.
Devant moi un homme avec une cagoule, loin d’être Pedro, la peur monte en moi.

• Où est Pedro ?
• Pedro t’a vendue, c’est un rabatteur de jeunes filles godiches, comme toi, mais très jolies qui vont nous faire gagner un maximum de pognon.
• Libérez-moi, sinon je vais appeler la police.

L’homme a une cravache dans les mains, il me single les seins, je hurle de douleur.

• Je suis là pour te dresser, faire de toi une pute docile, si tu rechignes, tu vas te trouver dans un lieu où les filles reviennent rarement indemnes, tu veux essayer ?
• Je veux simplement rentrer chez moi, ce que vous me proposez est ignoble.
• Accepte de me sucer sinon dès ce soir, il t’en cuira.
• Mettez-moi votre bite dans la bouche que je vous l’arrache avec mes dents.

Nouveau hurlement de ma part quand la cravache s’abat sur ma chatte qui est exposée sans aucune défense.

• C’est décidé, ce soir, tu vas ramasser.

Mon tortionnaire me quitte, me laissant dans le noir, je tire sur mes liens, essayant de me libérer jusqu’à ce que la lumière se rallume et qu’un homme entre sa queue à la main, il se couche sur moi se frotte, je lui crache au visage, mais il arrive à entrer en moi, autant mon corps avec Pedro réagissait positivement autant là, cette bite me brûle.


Quelques allées et retours et il éjacule en moi.
Je pense que la punition est terminée, mais c’est mal connaître mon bourreau qui fait entrer un deuxième homme qui se masturbe en me regardant sur mon lit de douleur avant de prendre la place et de me pénétrer pour une deuxième passe, car à partir de ce moment, je comprends que je suis devenue leur pute.
Deux, trois à partir de dix, j’arrête de compter, c’est le moment ou mon bourreau revient toujours avec sa cagoule sur la tête et une serviette à la main qu’il me passe simplement dans mon entrejambe me faisant hurler, car ma chatte est irritée comme jamais elle ne l’a été.
De dix, je reçois en moi dix bites de plus tombant presque dans les pommes.
Tous ces hommes doivent travailler sur un chantier loin de leur famille, ils viennent se vider les couilles dans ma chatte.

• Dite leurs d’arrêtés, je serais docile, je ferais tout ce que vous voulez, donnez-moi votre verge, je vais vous la sucer.

Vingt à trente, je suis ailleurs persuadé que ma dernière heure est venue quand mon bourreau revient me détache me fait monter dans une maison où il me conduit prendre une douche.
J’essaye de passer mes doigts dans mon vagin pour faire sortir tout ce sperme qui y reste, avec Pedro, il avait une capote et je prenais la pilule persuadée qu’un jour, je trouverais le prince charmant.
Où est passé mon sac où la plaquette est placée, je suis sans protection ?
La douche terminée, il me fait entrer dans une chambre où la fenêtre est murée, j’y retrouve ma valise avec mes pilules, me rassurant de risquer de me trouver enceinte, les hommes qui m’ont massacré m’ont pris sans capote.
Pendant trois jours, je me repose sans voir quiconque, la faim me tenaille jusqu’à ce que la porte s’ouvre et que mon geôlier me conduise dans la cuisine où des pâtes, m’attendent.

• Tu te souviens Pedro nous a dit qu’il t’avait appris à sucer, il t’a dit que dans le futur, tu en sucerais des centaines, te faisant croire que ce serait dans l’absolu, ce soir tu es de sortie nous t’emmenons gagner notre croûte avec ta bouche.

• Je serais sage, mais plus tous ces hommes comme l’autre jour, je serais attentive à tous vos désirs.

Ils sont deux à me faire sortir de la maison, toujours nue, ils roulent sans que je puisse voir, car ils me font monter dans une camionnette sans fenêtre, surtout que par sécurité, ils m’ont mis un bandeau sur les yeux.
La camionnette s’arrête, ou suis-je, que va-t-il encore m’arriver, ou est ma famille, quelle conne d’avoir voulu quitter mon petit papa chéri, là où nous entrons j’entends de la musique, ils me font pénétrer dans une pièce d’un mètre carré, je vois de la lumière sortant de trous.

• Quand un client passe sa bite, tu le masturbes et tu le suces en avalant bien le sperme, dès qu’une verge a éjaculé, tu attaques la suivante, aucun retard, car sinon on te ramène dans ta cave et l’on fait revenir le car d’ouvrier pour qu’ils s’occupent de toi, ils auront même le droit de te sodomiser.
• Je vais le faire, vous serez satisfaite de moi, je serais une gentille pute pour vous servir.

Comme dans la cave, les bites défilent dans ma bouche, combien de litres de sperme mon estomac ingurgite-t-il, impossible de le dire, j’ai des hauts le cœur, mais je tiens le coup jusqu’au moment où la musique s’arrête et ou je suis ramenée dans la camionnette jusqu’à la chambre ou je m’écroule sur mon lit m’endormant comme une masse.

• Fais-moi voir si tu es docile, suce !

C’est l’homme à la cagoule qui vient de me réveiller, qui s’avance la bite en main, je le suce en vrai pro du sexe qu’ils m’ont fait devenir jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche une nouvelle fois, quand Pedro me promettait des centaines de bites, il avait raison.

• C’est bien, tu suces divinement, tu vas pouvoir aller dans une de nos maisons où tu satisferas les clients, tu partiras pour la Suisse dans quelques jours, mais avant on va te faire voir ce qu’il t’arriverait, s’il te prenait l’envie de vouloir te tirer.

Suis-moi, tu montes dans une chambre à l’étage.
On a un nouvel arrivage de plombiers polonais qui ont besoin d’une pute pour les soulager, nous les avons autorisés à te sodomiser.
• Pourquoi tant de haine, je suis docile, je vous ai sucé et je suis prêt à recommencer si vous le désirez, mais surtout pas un car ?
• Ne te tracasse pas, les ouvriers vont te passer dessus pour que tu sois bien en tête, que ce serait tous les soirs que tu t’en prendrais autant si tu avais la mauvaise idée de nous doubler.

J’ai eu beau supplier, j’ai vu rentrer un par un chaque occupant du car, j’avais déjà fait le parcours une première fois, la douleur et l’état de ma chatte étaient incroyablement douloureux, mais à la sortie, j’avais l’espoir de devenir une petite pute bien tranquille à Genève.
Plusieurs ont défoncé mon anus qui est devenu aussi douloureux que ma chatte, ils sont forts pour faire entrer leurs besoins dans la tête des filles comme moi qui ai préféré quitter ma famille que de vivre une vie morne comme celle de maman.
J’ai une pensée pour elle, mais tout de suite, c’est Pedro qui vient à mon esprit, je n’ose poser la question, est-il retourné chez lui mes parents ont-ils fait le rapprochement avec ma disparition et son absence de plusieurs jours.
Ces pensées me permettent d’attendre que le dernier de ces mâles vienne s’assouvir, quelque plaisir, peuvent-ils avoir à défoncer une fille entièrement inerte, je l’ignore et préfère l’ignorer, en plus de mon corps, je refuse de leur donner mon cerveau.
Qui m’a reconduit dans ma chambre, je ne sais, mais pendant trois jours comme la dernière fois voyant le jour et la nuit à travers les volets disjoints, mais sans plus, car je suis dans montre.

• Prépare tes affaires, on te transfert, n’oublie pas la leçon, je te rappelle que si tu es une gagneuse récalcitrante, tu reviens définitivement à l’abattage.

Je suis prête quand je suis emmenée dans la cuisine du pavillon, un autre homme cagoulé est là avec à sa disposition tout ce qu’il faut pour me coiffer et maquiller, pour la première fois depuis que Pedro m’a , je me vois dans la glace qui est devant moi, je remarque que mes traits ont changé après toutes les épreuves que mes bourreaux mon fait enduré.

J’étais une , je suis une femme, j’ai fini de rêver, comme le bébé qui a voulu jouer à la grande fille alors que c’est du lait qui sortait de mon nez.

Une fois préparé physiquement, je retourne dans la chambre où comme par magie des vêtements à mes mesures sont là, entre le maquillage et la tenue que j’enfile, il m’est impossible d’ignorer ce qu’ils ont fait de moi, une prostituée.
Comme l’autre fois, je monte dans une voiture aux vitres opaque et après des heures roulant à grande vitesse, j’arrive au lieu de ma destination, la patronne du bar à pute me voit arriver me jaugeant comme le ferait un maquignon.

• On t’a mis au parfum si tu essayes de te barrer, Olga montre sa chambre à ta copine, ici, tu t’appelleras Jenny, ça ira bien avec tes boucles blondes, tu devrais plaire, la dernière blonde faisait un tabac.

La dénommée Olga me fait faire le tour du propriétaire, je prends place devant le bar ou un thé froid m’est servi.
Cinq minutes après, un homme entre, je vais écarter les cuisses pour ma première passe en femme un peu plus libre de mes mouvements que dans la cave du centre de dressage.
Le premier soir comme Anaïs l’a dit, je monte à l’étage, douze fois avec deux suppléments pour sodomie, six des mecs me baisent et enlèvent leur capote finissant dans ma bouche,
Je reste trois mois à Genève, un jour sans que je sois prévenu, c’est en Espagne que je suis conduite, je comprends que je suis tombée dans un réseau international où les filles travaillent.
Autres pays, mais même travail, un mec entre dans le bar regarde le cheptel nous reluquant comme si nous étions du bétail.
Un temps plus tard, c’est en Hongrie que je suis envoyée en plus des clients du soir dans le bar strip où il faut que nous nous trémoussions debout sur le bar simplement recouvert d’un string.
Dans la journée, c’est dans des studios que l’on m’emmène pour tourner des scènes de films porno, depuis que je me suis fait dépuceler, les mecs m’ont baisé individuellement, là, j’apprends à faire des doubles pénétrations, doubles vaginales et deux fois en double anal.
Deux bites dans mon petit trou, le soir dans le bordel où je travaille, quand je me faisais mettre par l’anus, c’était un jeu d’ pour que mon client entre en moi.
Après la Hongrie, je vais dans un éros centrer en Allemagne, ce qu’il y a de bien, c’est qu’après ce tour d’Europe, je suis calée dans les langues de ces pays.

Les patronnes des bordels après cinq ans de jambes écartées me faisant confiance, je peux sortir en ville avec un petit pécule, à Berlin, je vois un sex-shop, je vois des CD avec des titres en langue allemande « La jolie blonde se fait défoncer » « La jolie blonde et ses quatre queues » je me vois sur la jaquette des CD.
C’est en Allemagne que je rencontre un homme qui semble m’apprécier, car il vient toutes les semaines pendant deux mois, un jour la maquerelle m’appelle dans son bureau.

• Jennifer, tu reconnais ton client, il vient de te racheter à nos patrons, tu pars avec lui, les bordels, s'est terminé.
• J’ai bien compris, je suis libre, fini les risques d’abattage, vous verrez, vous aurez une fille docile, mais pourquoi moi ?
• Viens, je vais tout t’expliquer, si je t’ai acheté à tes souteneurs, c’est pour mon fils, il est puceau à vingt-quatre ans et sérieusement demeuré, tu seras chargée d’en faire un homme, vous allez vous marier, tu lui feras rapidement un .
Tu auras deux chances pour que l’un d’eux soit un garçon, si tu me fais des pisseuses, tu serviras à mes cars d’ouvriers Polonais qui travaillent sur mes chantiers, croise les doigts.

Mes galères sont-elles vraiment terminées ?

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