La Piscine

L’été était caniculaire. Ma copine travaillait depuis quelques mois et n’avait pas eu droit à des congés. Je m’étais donc résolu à rester avec elle, mais les journées étaient longues, et ennuyeuses. Je profitais de mon temps libre et j’allais régulièrement chez mon père, qui, lui,
Avait une piscine. Comme il était parti pour l’été dans sa résidence en bord de mer, j’avais libre accès à sa maison, pour peu que j’entretienne ladite piscine. Nous en profitions largement, , mon amie, et moi, et organisions des soirées barbecue, chaque week-end, avec des amis.
Les plus proches de ces amis connaissaient mon père et avaient un accès réservé à la piscine, bien qu’ils n’en fassent pas usage.
Ce jour là, après avoir effectué quelques menus travaux dans mon jardin, la température avoisinant les 35°, je décida is d’aller piquer une tête. J’attrapai une serviette et un slip de bain et 10 minutes plus tard, je me garai dans la cour devant la maison paternelle.
Je contournai la maison, et découvris avec surprise qu’il y avait déjà quelqu’un. Sofia, une, était étendue sur un des transat, semblant dormir.
Je m’approchai, en faisant un peu de bruit, pour ne pas la surprendre. Elle tourna la tête, ses lunettes de soleil orientées vers moi, et esquissa un sourire, en me reconnaissant.
En m’approchant, je la détaillais du regard. Elle était longue et brune, la peau déjà hâlée, les seins menus mais fermes, pointant vers le ciel, et portait pour tout vêtement un mini slip tenu par deux ficelles nouées sur ses hanches. Elle se releva en position assise, et me tendit sa joue, après avoir enlevé ses verres solaire. Je me penchai vers elle, et l’embrassai sur les deux joues.
-« Hello Sofia, toi aussi tu viens profiter de la piscine, par cette chaleur. »
- « Oui, je m’ennuie à la maison, et Geoffrey, travaille sans arrêt, cet été, alors, je viens ici parfaire mon bronzage, avec un bon bouquin, » me dit elle en montrant du doigt un pavé
d’un auteur à la mode.


Une ambiance particulière s’était installée. Bien sur, j’avais déjà vu Sofia, seins nus, lors de nos soirées, mais c’était la première fois que nous étions seuls et aussi peu vétus. Dire qu’elle me faisait de l’effet, aurait été en dessous de la vérité, mais elle était mariée, et j’ignorais si la réciproque était vraie.
Pour couper court, je partis me changer, et quand je revins, me jetai à l’eau, ce qui calma un peu mes ardeurs. Après avoir nagé un moment, je sortis de l’eau et vint m’allonger sur le transat mitoyen à celui de Sofia. Je me laissais aller à la caresse du soleil qui séchait ma peau, et finis par m’endormir.
A mon réveil, Sofia était assise sur le bord de son transat.
Je me redressai et me tournai face à elle.
- « Je commence à peler », dit elle, en enlevant de ses seins de petits morceaux de peau séchée.
Ses petits seins, bien bruns, étaient pointés vers moi, et une goutte de sueur, cheminait dans le sillon, entre ces deux proéminences. Elle alla tremper ses mains dans l’eau, et massa les globes avec ses doigts humides, provoquant une érection immédiate de ses tétons. J’avais la bouche sêche et un début d’érection commençait à déformer mon maillot, tandis qu’elle continuait, machinalement, à caresser ses seins.
Je plongeais dans l’onde pour garder une contenance décente.
- « Tu devrais te baigner, ça te rafraichirait, » glissai-je
- « Oui, je sais, mais j’ai horreur de garder un maillot mouillé sur moi. ; ça m’oblige à me changer à chaque fois. »
- « Tu sais, » lui dis-je tout en nageant, « Tant qu’il n’y a personne, tu peux te baigner nue, Ma mère ne met quasiment jamais de maillot, sauf quand il y a du monde. »
- « Oui, elle me l’a dit, mais j’ai toujours peur d’être surprise ».
- « Ici, le passage est très rare, surtout en juillet, où la plupart de nos amis sont en vacances. »
- « Oui, mais tu es là. »
- « C’est vrai. Je t’avoue, que la plupart du temps, je me baigne nu aussi.
Je n’ai mis un maillot que parce-que tu es là. »
- « Oh ! ne te sens pas géné pour moi. »
- « Tu serais plus à l’aise si je l’enlevais ? »
- « C’est surtout que je me vois mal enlever mon maillot alors que tu gardes le tien. »
- « Ok, » dis-je, et joignant le geste à la parole, j’enlève mon maillot que je dépose sur la margelle. Sofia se lève alors, dépose ses ray-ban, et détache les cordons de son slip, qui chute à ses pieds, dévoilant un charmant buisson triangulaire, qui pointe vers une fente dépourvue de pilosité. Elle ne plonge pas, comme je l’aurais pensé, mais se dirige vers l’échelle en inox, qu’elle descend en me tournant le dos, son cul ferme dégageant à chaque échelon, un abricot qui doit réserver des trésors de jus.
Cette entrée dans l’eau a un effet immédiat sur mon membre qui se redresse fièrement. La jolie brune s’avance vers moi, les tétons durcis affleurant la surface. Ayant capté mon regard, elle explique :
- « L’eau est un peu fraiche »
- « Et ça provoque des réactions », lui dis-je sans me priver pour mater ses seins.
Je me rapproche d’elle, et viens poser ma main sur sa poitrine, en commençant à masser doucement ses deux masses, titillant les tétons durs et longs, tels deux capuchons.
- « Un petit massage devrait les réchauffer, » glissai-je, sans m’interrompre.
- « Je ne suis pas la seule à avoir des réactions intempestives », sourit elle en lorgnant sur mon sexe en érection, « évites de nager sur le dos « .
- « Tu veux parler de ça ? « questionnai-je, en me serrant contre elle, afin qu’elle ne puisse ignorer mon état.
- « Précisément », dit elle en s’écartant. Sa main passe entre nous et vient attr l’objet en question. Elle entreprend un mouvement coulissant le long de ma hampe, et vient englober mes bourses de ses doigts en corolle, les agaçant du bout des ongles.
Tandis qu’elle entretien mon état, je la repousse le long du bord. Mes mains longent son dos et ses fesses, pour venir se cramponner sous ces dernières et la soulever.
Ses jambes écartées remontent le long de mon corps, et son sexe vient buter contre le mien.
Sa main n’a pas laché mon sexe et elle le guide jusqu’à sa vulve déjà ouverte. Une fois mon gland engagé, elle resserre ses jambes autour de moi, et se laisse retomber, s’empalant sans effort sur ma queue, qui après la fraicheur de l’eau, investit avec bonheur cet étui torride. En quelques va-et-vient, elle atteint l’orgasme dans une plainte joyeuse. Elle se détache de moi, et se dirige vers l’échelle pour sortir.
Je la suis et l’att par la taille, au moment où elle monte
- « Hé, où vas tu comme ça ? Je n’ai pas fini. »
Je la tire en arrière, et alors qu’elle a les jambes écartées, je m’introduis d’un coup. Elle se tient aux barreaux de l’échelle, mais je la cramponne fermement aux cuisses, et m’enfonce puissamment au fond de sa chatte dans une levrette effrenée. Je la laboure à grands coups de reins, et je la sens fondre, petit à petit. Bientôt c’est elle qui vient au devant de mes coups de boutoir, haletant son plaisir sans retenue, jusqu’à jouir avec un long cri. Je la laisse regagner son transat. Est-ce la fraicheur de l’eau ? je n’ai toujours pas joui. Je sors de l’eau, la queue comme un étendard, et vais m’allonger sur le dos, certain que ça va passer.
Le soleil réchauffe ma peau, mais voilà que je sens quelques gouttes d’eau froide sur mon bas ventre. J’entrouvre les yeux pour voir Sofia se pencher sur moi, et sa bouche venir absorber mon gland, avant de coulisser sur mon sceptre. A genoux sur le sol, elle se sert de ses lèvres, de sa langue, pour faire monter mon excitation. Elle vient lécher mes bourses avant de tenter de m’engloutir complètement, son nez venant fouiner dans mon pubis. Ses mains voyagent sur mon corps, autour de mon pubis, sur mes couilles, mon périnée, et un doigt vient caresser mon anus, pendant qu’elle me pompe de plus en plus vite. Je sens le plaisir monter en moi. Mon sexe tendu à l’extrème, gonfle et elle suçote mon gland .
Puis elle calle sa langue sous le frein et se met à aller et venir à toute vitesse. Je sens l’explosion venir. Elle prend la première giclé dans la bouche, et en sort ma bite qu’elle continue à branler tandis que plusieurs autres jets s’en vont sur son visage, et ses seins. Ma queue, son jus laché, commence à se rétracter, mais elle la reprend en bouche et finit d’éponger ce qu’il me reste de semence. Après quoi, elle se lève pour aller se rincer à la douche extérieure.
Elle vient se rallonger sur le transat avec ce commentaire
- « Je ne pouvais pas te laisser dans cet état. »
- « Hmm, merci, » dis-je somnolent
Après une courte sieste réparatrice, la morsure du soleil se fait sentir, et je replonge dans l’eau rafraichissante. Sofia est en train de se passer de la crème solaire. Elle me demande de lui en étaler sur le dos, ce que je fais aussitôt. Après avoir protégé ses épaules et son dos, je descends vers ses fesses, qui n’ont aucune marque de bronzage, preuve qu’elle ne met pas si souvent de maillot. Je masse ensuite longuement ses cuisses, ses mollets et ses pieds, les couvrant largement de l’onguent protecteur. Je rebouche le tube de crème quand je m’aperçois que Sofia, a ouvert ses jambes, me laissant admirer son abricot entrouvert. Je ne peux m’empècher de caresser l’intérieur, si doux, de ses cuisses, et de remonter, pour glisser deux doigts dans son sexe qui les absorbe avec bonheur et humidité. Les cuisses s’écartent un peu plus. Je fais ressortir mes doigts et longe le sillon, jusqu’à son anus, dans lequel mon majeur humecté entre sans hésitation. Mon index le rejoint bientôt, et j’introduis les deux doigts. La belle, tend son cul en arrière et vient au devant de cette pénétration.
- « Viens maintenant, tu en as envie », m’engage t’elle.
J’enjambe son transat, et saisis sa taille que je remonte. Mes doigts sont remplacés par ma queue qui vient s’appuyer sur l’anneau froncé. J’appuie, et mon gland vient tendre la chair en l’écartant. Sofia pousse un peu en arrière et je franchis la barrière du sphincter. Je m’avance dans ses entrailles pendant qu’elle geint doucement. Je la lime doucement, et ses cris de douleur se transforment rapidement en gémissement de plaisir. Je sens le conduit brûlant autour de mon sexe et l’anneau du sphincter qui le serre à chaque passage, comme pour en extirper le plus de jus possible. J’accélère le mouvement et mon pubis vient claquer avec force sur ses fesses. Entre les claquements de nos corps qui se percutent, Les cris rauques que nous poussons et le clapotis de nos fluides, heureusement que les voisins sont éloignés.
La belle, secouée de toutes parts, les seins dansants sous elle, écarte ses fesses en une offrande ultime.
- « Viens dans mon cul, remplis moi ! » Hurle t’elle dans un dernier élan, pendant que j’inonde son intestin dans un râle ponctué de secousses.
Je m’extrais de son anus, et me dirige vers la douche en plein air. Après une minute, elle me rejoint, et nous nous caressons doucement sous l’eau qui ruisselle. Je m’attarde sur ses tétons durcis, ses seins fermes à la chair de poule, mais je ne suis pas assez en forme pour remettre ça tout de suite. Sofia, le comprend et repart se livrer aux caresses du soleil sur son transat. Je l’imite rapidement. L’air est chaud et sec, et l’eau s’évapore très vite, laissant nos peaux brûlantes.
Je n’attends pas trop pour retourner me rafraichir dans l’eau, à 28°. Quand je me tourne vers Sofia, je la découvre habillée. En un tournemain elle a passé une robe et des nu-pieds.
-« Je dois y aller, me dit elle. Je viendrai peut-être demain après-midi. »
Elle monte les escaliers menant à la terrasse, et disparaît au coin de la maison après m’avoir fait un signe de la main.
* * * * * * * *

Le soleil baissait sur l’horizon, et la chaleur devenait enfin supportable. Je somnolais sur mon transat quand le claquement de talons aiguilles sur les dalles me fit tourner la tête.
Vétue d’une courte jupe blanche et évasée, d’un Top à motifs blancs et orangés boutonné sur le devant, Véronique foulait la terrasse de sa démarche énergique en s’approchant de Moi. Véronique c’est ma compagne. Nous sommes ensemble depuis de nombreuses années, et elle ne fait toujours pas ses 35 ans. Elle est blonde et pétillante, avec une peau couleur caramel, de longues jambes parfaitement galbées. Elle est intelligente et n’a pas sa langue dans sa poche.
- « Salut mon biquet, » s’exclame t’elle en se penchant pour déposer un bisou sur mes lèvres. « Je me doutais que tu étais ici. Tu ne peux pas savoir la chaleur au bureau : c’était l’enfer. Il faut vraiment que je me rafraichisse. »
Tout en me parlant, elle a déboutonné son top, et s’en débarrasse prestement, laissant jaillir une poitrine, haute, bien que pas énorme et uniformément bronzée.La jupe et le tanga chutent , et elle se retrouve nue dans ses escarpins ouverts. L’occasion pour moi d’apprécier encore une fois, sa cambrure exceptionnelle, ses fesses hautes, rondes et musclées, et, quand elle se tourne vers moi, le triangle d’or, soigneusement taillé, au dessus de sa fente, bien dégagée. Les chaussures sont vite abandonnées, et elle se dirige vers la douche. Sous le jet, elle minaude et pousse des cris d’orfraie.
- « Ouh là, elle est fraiche. Aahhh c’est froid dans le dos. »
Elle s’échappe du jet et se dirige vers le bassin, et plonge. Après quelques brasses elle refait surface et m’interpelle.
- « Allez, gros faineant, vient te baigner avec moi. »
- « J’ai déjà nagé, un bon moment. »
- « Mais qui te parle de nager. Je n’ai pas de maillot … »
Je me lève, et me rends compte que j’ai oublié de remettre mon slip de bain. Tant pis.
Tandis que je m’approche de la piscine
- « Hé mais, monsieur est à poil aussi ! »
Sans attendre, je plonge pour la rejoindre. Elle ne tarde pas à se coller à moi.
- « Humm, mais tu as prémédité ton coup. Dit elle en nouant ses bras autour de mon cou, se collant contre moi. »
Mes mains viennent naturellement se poser sur sa taille, et descendent sur ses fesses, la plaquant contre moi.
- « Oh, mais tu es armé ! serait-ce un revolver que je sens là ? »
Sa main se faufile entre nous et empoigne l’objet du délit.
- « Mais c’est qu’il a l’air chargé », dit elle espiègle en commençant à me masturber. « C’est que ça me donnerait des idées !, Mais je te préviens, il fait beaucoup trop chaud, et je n’ai pas envie de suer comme un bœuf. »
- « Pourquoi m’allumer, alors , si on ne fait rien ? »
- « Qui a dit çà ? On est pas bien là ? »
Pendant cette discussion, elle à habilement su me redonner la forme, et, c’est un mat glorieux qui navigue maintenant entre deux eaux. Elle empoigne ma taille avec force et s’enfonce dans l’eau, face à moi. Sa bouche vient absorber mon gland, et sa tête commence à monter et descendre sur mon mandrin, la caresse chaude de sa langue venant contraster avec la fraicheur de l’eau. Elle reste un bon moment en apnée, et mon envie grandit entre ses lèvres. Elle remonte, essoufflée mais joyeuse, et entreprend, de nouer ses jambes autour de moi. Elle se soulève suspendue à mon cou et vient s’empaler sur mon membre érigé. La sensation est unique. Tantot le chaud écrin, dans lequel je coulisse sans peine, et tantot, le passage « à l’extérieur », qui rafraichit et fait redescendre la tension. Après quelques minutes, nous nous séparons et Véronique se dirige vers l’extrémité du bassin.
Elle s’asseoit sur une des marches et écarte les jambes pour que je m’y immisce et vienne la pénétrer. Les coudes sur les degrés supérieurs, elle reçoit mon assaut avec un ronronnement de Chatte. Après mes exploits de l’après midi, je ne suis pas prêt à venir , et je peux la tamponner longuement, lui donnant un premier orgasme. Elle se rend vite compte que je n’ai pas débandé, Elle se retourne alors et se positionne à quatres pattes, son petit postérieur, dépassant à peine de la surface. Je ne me fais pas prier, et je viens butiner son abricot déjà ouvert. Je pousse ma langue dans sa chatte, et viens lécher son clitoris.
Elle pousse son cul vers moi , et je lui enfonce deux puis trois doigts que j’agite dans sa vulve.
_ « Hummm, je suis chaude, tes doigts ne suffiront pas. »
Le message est on ne peut plus clair. Je viens remplacer mes doigts par mon chibre bien tendu. Elle est trempée. Je la prends par les hanches et la pistonne énergiquement, dans le clapot de la piscine. Elle glisse une de ses mains entre ses jambes pour caresser mes bourses. Elle gémit de plus en plus fort. J’introduis mon index dans son fondement et accompagne avec, le mouvement de notre copulation. Les gémissements se transforment en râles ; Son petit trou m’absorbe si bien que j’y ajoute mon majeur. Là investie devant et derrière, elle entame son chemin vers une autre jouissance. Bringuebalés par cet ouragan de désir qui nous emporte, nous ne somme plus que deux bêtes en rut qui cherchent leur plaisir. Mes cris se joignent à ses ràles, mes halètements rythment ses gémissements, mon tysonnier est en feu et s’en va secouer la braise dans son antre pour faire jaillir la flamme.
- « Waow, c’était quelque chose ! » me dit elle après que j’ai déposé un baiser sur sa nuque.
Nous achevons de monter les marches pour sortir du bain, et nous dirigeons vers les transats, quand Véronique s’arrète.
- « Tu as dû bien en profiter cet après-midi »
- « Bof, » réponds-je, « j’ai nagé, je me suis bronzé. Ah, Sofia est passée se baigner aussi. »
Je pense habile de ne pas mentir sur ce point, car ladite Sofia, bonne copine de Véronique, pourrait lui en parler.
- « Et, elle est bonne ma copiné ? »
- « Je ne vois pas ce que tu v… « (en me retournant, je vois que Véronique, tient à la main, le mini-slip de bain de Sofia.
- « Tu sais, elle a voulu se changer », dis-je en cherchant une échappatoire
- « Elle t’a fait le coup du maillot mouillé ? »
- « Mais, comment… »
- « Ne cherche pas, elle faisait ça déjà au collège. Ce qu’elle adorait, c’était se faire enculer. »
- « Mais Véro, je t’assure… »
- « Comme c’est un plaisir que je te refuse, j’espère que tu l’as bien défoncée. »
- Je la dévisage stupéfait.
- « Je ne suis plus une oie blanche, tu sais, mais j’ai aussi mes limites. Je sais que les mecs ont du mal à résister quand une jolie nana leur fait du rentre dedans. Alors, je vais essayer d’oublier cette incartade, mais pense bien que moi aussi, un de ces jours, je peux être tentée par un autre que toi. Est-ce que je résisterai ? On ne peut savoir. Rien que d’y penser, je suis toute chose. »
Effectivement, étendue sur sa chaise longue, elle a glissé sa main entre ses cuisses, et ses doigts titillent son clito. Je suis beaucoup moins sur de moi, maintenant.

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