Albert Fait Une Pause Avec Un Collègue Routier

Encore une fois mon pote Albert le routier m’a confié ce qu’il qualifie de sa dernière histoire. Je crois que c’est vos commentaires et vos mails qui le font fouiller dans sa mémoire alors continuez à nous écrire. Je rentre une nouvelle fois dans le corps d’Albert en utilisant le « Je », bonne lecture.

Nous sommes en juin, le temps commence à être vraiment agréable. Je fais régulièrement des pauses pour acheter à boire, pisser un coup et pourquoi pas rechercher une belle bite ou des belles fesses pour passer un bon moment à deux.
Il est 20h15, je commence à avoir faim et être fatigué alors je m’arrête sur une aire d’autoroute pour casser la croute dans un resto-route. J’ai déjà eu beaucoup de mal à trouver une place pour garer mon camion mais là je tourne depuis un moment avec mon plateau dans les mains sans trouver de place.
Je vois un beau blond au cheveux frisés avec des yeux bleus océan et la peau mate, je dirai une trentaine d’années. Il porte un t-shirt, qui met encore plus ses yeux en valeur, et en m’approchant je vois que lui aussi est en short. Je me dirige vers sa table et lui demande si je peux m’assoir avec lui, il accepte avec un grand sourire.
Nous discutons tout en mangeant, il s’appelle Jerome, il a 32 ans et vient de Bretagne. Comme moi il est routier et célibataire. Apres avoir fini de manger je lui offre un cafe à la machine et nous sortons le boire dehors pour profiter de la douceur de la fin de journée.
Nous passons par son camion, car il a besoin de récupérer un truc dans sa cabine puis il se dirige vers un petit bois derrière le parking, je le suis sans me poser de questions par contre j’en profite pour bien mater son cul rebondi et que j’espère ferme. Même s’il m’a parlé de son ex avec qui il a faillit se marier (à l’époque le mariage n’était pas pour tous!), ses regards sur mon corps ne me font pas douter un instant que lui aussi aime la bite.

Nous continuons à discuter sur nos différents voyages et stop tout en nous baladant dans le bois quand on entend des bruits de branches cassées, Jerome m’att par le bras et me dit en chuchotant:
« Je me suis déjà baladé dans ce bois et j’y ai vu des mecs baiser ensemble ».

Je lui dit que pas de soucis pour moi et que ça peut être même excitant et je lui propose d’avancer sans faire trop de bruit. Un peu plus loin on voit un mec adossé contre un arbre avec un autre à genoux devant lui qui le suce avec gourmandise. Nous admirons tous les deux ce spectacle depuis deux trois minutes quand le mec adossé à l’arbre se met à râler, celui à genoux sort le sexe qui est dans sa bouche. Il le branle tout en posant sa langue sur le frein du mec et rapidement sa bouche et son visage se recouvre de sperme.
Alors que le mec se rhabille nous continuons notre chemin et à peine 20 mètres plus loin un mec entièrement nu est penché en avant alors qu’un autre qui a son pantalon et son slip aux pieds lui laboure le cul. Alors que nous sommes tous les deux obnubilé par ce spectacle, je recule mon bras et je pose ma main sur son paquet, lui aussi bande! J’ai l’impression que sa queue est plus grosse que la mienne.
Je continue à le caresser à travers son short alors qu’avec ma main de libre j’ouvre ma ceinture et je glisse ma main dans mon slip pour sortir ma queue. J’ai très envie de le déshabiller entièrement du coup je le tire par le bras et nous nous éloignons un peu.

Quelques mètres plus loin je le plaque contre un arbre et je me penche vers lui pour lui rouler une pelle tout en le caressant sous son t-shirt. Je profite d’un moment où nos lèvres se séparent pour lui retirer son haut et le mien. Nos lèvres se recollent et nos mains repartent à la découverte du corps de l’autre. Je m’occupe pendant un moment de ses tétons.
Je descend mes mains vers son short que je déboutonne. Je glisse ma main à l’intérieur, il ne porte pas de slip alors j’ai directement accès à son sexe que je sens bien gonflé et très veinés. Ma main passe de sa tige à ses couilles alors que celles de Jerome son sur mes fesses. Nous nous pelotons depuis un moment tout en nous embrassant, un de ses doigts et sur ma rondelle et sa queue coulisse dans ma main.
Bien que son doigt me fait beaucoup de bien je me met à genoux et je fais tomber son short au sol. Son sexe me bondi au nez, il est vraiment très veinés ce qui rend sa queue encore plus large (je pense presque 6 cm) et elle aussi plus longue que la mienne (je suis déjà à 17 cm), donc une magnifique bite. Je lèche du bout de la langue son gland et son frein un moment avant de le sucer goulument. Je fais aller et venir mes lèvres et ma langue le long de sa bite tout en lui caressant les couilles quand rapidement ma bouche se remplie de son sperme que j’avale instinctivement.
Une fois que je l’ai entièrement vidé je me relève et je lui roule une bonne pelle au goût de son jus. Sa langue danse avec la mienne alors que ses mains font tomber mon short et mon slip à mes pieds. Il me branle la queue que j’ai déjà bien dur.
Quand nos bouches s’abandonnent, Jerome se met à genoux et gobe directement ma queue. J’att ses cheveux bouclés pour donner le rythme à ses allers retours quand je remarque 2 mecs nous mate tout en se branlant. Je referme les yeux pour profiter au maximum de cette pipe, j’écarte bien les jambes pour lui donner libre accès à mes couilles et mon cul. Je sens immédiatement sa main me malaxer les bourses quand une autre main, qui ne peut pas être celle de Jerome me caresse les fesses puis un doigt s’aventure dans ma raie.
Je me fais sucer depuis 10 bonnes minutes et j’ai 2 doigts dans le cul depuis 5 minutes quand je n’arrive plus à me retenir. Je plaque le visage de Jerome contre mon pubis et je lui balance directement dans la bouche 5 gros jets de sperme, les doigts de l’inconnu contre ma prostate m’ont bien motivé.

Pendant que nous nous rhabillons malgré la faible lumière nous remarquons qu’il y a maintenant 5 mecs autour de nous qui se sucent ou baisent. Nous quittons les lieux bien vidé. Jerome me propose de le suivre dans son camion et je monte avec plaisir.
Dans sa cabine il y a plein de magasines porno pour hétéros et homos, une fois assis je ne peux m’empêcher dans feuilleter un en me disant que la soirée ne fait que commencer…