Soumission En Vacances
Cette histoire mélange fiction et réalité, une (grosse) touche de fantasme dans un contexte familier.
Je messaye à cet exercice décriture après plusieurs années de lectures intensives sur ce site donc soyez indulgent, on est toujours un peu maladroit pour sa première fois.
Dabord, quelques éléments de contexte : je suis en couple avec Pauline depuis plusieurs années. Un appartement à deux, des jobs stables, un emprunt à rembourser, des amis pour faire la fête, une routine sympa quoi. Sympa, mais parfois trop
routinière.
Côté vie sexuelle, pas à se plaindre. La fréquence est moindre que ce que je souhaiterais, peut-être un peu classique, mais rien de rédhibitoire. Nos ébats se résument à des parties de jambes en lair deux à trois fois par mois, lumières éteintes, avec un panel de position peu varié mais plein de passion !
Une fois ce contexte planté, quelques mots sur moi : je mesure 1m75 pour 70kg, figure plutôt athlétique, sans être un Apollon je pense avoir un coté séduisant et mon historique à tendance à le confirmer.
Depuis mon éveil sexuel, jai un penchant pour la domination et la soumission. Je vois une relation sexuelle comme un rapport de force. Non correction. Il nest pas question de force. Un rapport de domination tout simplement, un des acteurs confie la totalité du contrôle à lautre qui le teste, le pousse dans ses limites, le récompense, le puni aussi
Je suis donc passionné par le bondage, le Femdom, le BDSM, lutilisation de jouet divers et variés et alimente mes fantasmes par un florilège de vidéos, de photos et de récits.
Depuis des années, je ne fais vivre ce penchant que dans mon esprit et dans mes plaisirs solitaires qui sont, je dois le dire, plus que fréquent.
Bref, tout ça nous amène à notre histoire.
Nous étions parti une semaine avec un couple dami au début du mois de juillet dans le sud de la France. Grace à la boite de ma copine, nous avons pu louer une grande maison avec jardin, piscine et surtout jacuzzi.
Après avoir réparti les chambres entre nous, nous sommes allés faire quelques courses pour le barbecue du soir. Quelques légumes et grillade, mais surtout du vin, de la bière et de quoi faire assez de margarita pour un régiment.
Chacun a ensuite vaqué à ses occupations jusquau soir, ou nous nous sommes préparés pour le barbecue. Pauline et Léa sattaque à la découpe des légumes, moi et Pierre à la descente de la bière. Je vous épargnerais le récit du repas : il était bon, il était arrosé, lambiance était super.
Cest donc un peu éméché quon décide de sinstaller tous les 4 dans le jacuzzi pour finir la soirée dans les bulles. La lumière étant plus que tamisée et les remous cachant la majorité immergée de nos corps, moi et Pierre décidons de la jouer confort et enlevons tous les deux notre maillot de bain. Après une hésitation, Léa fait de même mais Pauline, assez timide, préfère ne pas jouer le jeu.
La soirée continuant, je me retrouve dans un coin du jacuzzi à discuter avec Léa, pendant que Pauline et Pierre font la même chose de leurs côtés :
- « Je vois que ça se passe toujours aussi bien entre vous deux ! » entame Léa ;
- Ouai, je dois avouer quon sest plutôt pas mal trouvé ! On est pas toujours en phase et au même rythme sur tout mais on se complète bien.
- Vous êtes en décalage sur quoi par exemple ? » elle me dit sur un air plein de sous-entendu ;
- « Bhin coté sexe cest pas toujours ce qui se fait de plus osé, tu vois ce que je veux dire ?
- Un peu
tu peux préciser ? »
Sans rentrer dans le détail bien entendu, je lui raconte que niveau sexe je suis plutôt du genre ouvert à tout tant que tout le monde joue le jeu, là ou Pauline est du genre plus classique. Léa me demande ce que jentends par là et, sous le coup de margarita et de lambiance assez ouverte, je déballe un peu tout : les ébats un peu plats, pas assez fréquents à mon goût, labsence de gestes spontanés de sa part et mon envie de piment et de sensation forte
- « Elle est pas du genre à faire ça ? » me dit-elle avec un sourire taquin, avant de prendre ma bite dans sa main.
Sans préavis, avec Pauline et Pierre à 1m, mais caché par les bulles, elle commence à jouer un peu avec lair de rien. Lalcool aidant, je me prends au jeu. Cest rien de méchant, on samuse. Je passe mon bras autour de ses épaules et pose ma main sur son sein. Je pose mon autre main sur sa cuisse.
Là-dessus, on reprend la discussion à 4, mais en continuant à se toucher sous leau : elle qui joue avec mon sexe, moi qui caresse sa cuisse.
- « Je connaissais pas ta copine Fabrice mais elle est vraiment cool, je crois que je vais te la piquer ! » me dis Pierre en rigolant ;
- « pas de soucis » répond Léa, « je le récupère moi ! quand ils dorment tous on se retrouve sur les transat Fabrice »
Et on rigole tous, et on se re-sert une xième margarita. Après ça, Léa et moi nous échangeons des regards complices mais limitons les attouchements, même si chaque passage à proximité lun de lautre vient avec son lot de caresse dans des zones immergées.
Après quelques heures de ce traitement, tout le monde décide daller se coucher pour mieux profiter de la journée du lendemain.
Pauline et moi retournons dans notre chambre, ou nous nous nous endormons rapidement chacun de notre côté. Ou plutôt elle, moi je suis encore trop excité par ce qui sétait passé pendant la soirée.
Pour me calmer et mieux sombrer, je décide daller mallonger dans un transat à lextérieur. Après 15 minutes à prendre lair frais, je commence presque à somnoler en à envisager de retourner me coucher.
- « Je me demandais si tu viendrais vraiment »
Je me retrouve pour découvrir Léa, en nuisette sexy, un sourire un peu moqueur sur le visage.
- « À vrai dire je ny avait même plus pensé » je lui dit un peu gêné, « jétais juste descendu prendre lair !
- Oui cest ça prend moi pour une idiote
»
Toujours le même sourire.
- « Tu pouvais pas tempêcher de penser à tout à lheure avoue !
- Oui bon OK, impossible de mendormir
javais limpression davoir encore ta main sur ma bite, voilà.
- Bien, on avance
enlève moi ce boxer pour commencer.
- Heu attends on va peut-être se calmer » je lui dit un peu gêné, « y a des gens quon voudrait pas blessé qui sont pas loin
- Écoutes » dit-elle en sinstallant sur un fauteuil, « on blesse personne, je sais que ça ne dérange pas Pierre tant que mes sentiments sont uniquement pour lui et Pauline lui a plus ou moins dit que ça pourrait être son cas si besoin tout à lheure
alors tu te lèves, tu viens devant moi et tu enlèves ton boxer ou tu remontes te coucher tout de suite. »
Un peu hypnotisé, je me lève, jenlève mon boxer et je me tiens droit un peu gêner devant elle qui me jauge.
- « He bin voilà on y arrive
» dit-elle.
Avant de mempoigner la bite. Sans serrer, mais pas délicatement non plus.
- « Cest à ça que tu pensais ? »
- « Oui mad
» je minterromps au milieu de ma réponse.
Dépassé par les évènements, je me retrouvais dans un de ces fantasmes que javais depuis longtemps.
- « Quoi tu allais mappeler comment ? madame ? maitresse ? » elle me dit dun air amusé. « Ça te plais ce genre de chose, la soumission ?
-
- Réponds » elle serre un peu sa main ;
- « oui, ça mexcite vachement. Jai jamais vraiment pratiqué mais jen ai toujours eu envie.
-
- « dis quelque chose Léa, jai un peu honte là.
- Tais-toi, je réfléchis. »
Le silence qui suivi fut long. Très long. Pour moi jentends, en réalité il ne dura que quelques secondes.
- « ok voilà ce quon va faire : déjà, tu mappelles pas Léa. Ce soir, cest maîtresse, sinon
» et elle sert un petit peu la main ce qui eut leffet de me tendre et donc me comprimer encore un peu plus. « Ensuite, tu vas me préparer une liste de tes fantasmes. Ça peut être une description, des photos, des vidéos, je veux tout. A partir de là javiserais. »
Jétais complètement perdu
Mais quest ce qui était en train de se passer au juste ? Elle réfléchissait à nouveau.
- « Enfin ça, ce sera à partir de demain. Je veux ta liste dans la journée, débrouille-toi pour trouver le temps. Pour ce soir, je crois quon a eu assez de révélation. Mets-toi à genou. »
Le carrelage du bord de la piscine était froid mais jobéissais.
Elle se leva, rentra dans la maison et me laissa comme ça. 1 minute. Puis 2. Au bout de 5, la tension était redescendue et, soyons honnête, je me sentais con. Mais alors bien con.
Je me relevais quand je lentendis arriver :
- « je tai pas donné un ordre ?! à genou !
- Pardon maitresse » lexcitation était revenue aussi vite quelle était partie.
- « oui tu fais bien de texcuser
on décidera plus tard de la manière dont on fonctionne, mais ça restera pas toujours impuni ce genre dattitude. Bon, mets tes mains dans le dos. »
Je vis quelle avait ramené deux ceintures en cuir de sa chambre, ainsi quune petite écharpe en soie. Elle utilisa la première ceinture pour mattacher les mains dans le dos puis la seconde pour les attacher à mes chevilles. « Comme ça tu seras pas tenté de te lever » elle me dit. Puis lécharpe me banda les yeux et elle sassit à nouveau sur le fauteuil devant moi.
- « Maintenant, fais-moi jouir » avant de me prendre la tête et de la guider entre ses cuisses.
Je mappliquais autant que possible, embrassant le coin de ses cuisses, léchant ses lèvres intimes, suçotant son clito
je lentendis respirer de plus en plus fort, puis commencer à gémir. Jenfonçais mon visage le plus possible entre ses cuisses, mais ça ne semblait jamais être assez. Elle mappuyait la tête contre son intimité mempêchant temporairement de respirer. Puis, les 2 jambes sur mes épaules, elle savança sur son fauteuil pour relever les cuisses au maximum. Je saisis le message et me mis à la lécher en intégralité : son clito, sa chatte, son petit trou
Elle gémissait de plus en plus fort.
Dun coup, elle descendit ses jambes de mes épaules et vient les regrouper sur mon sexe, en position de lotus. Puis elle commença à les monter et les descendre, me branlant tout doucement puis de plus en plus vite.
- « Je te préviens » elle me dit en gémissant mais avec un air autoritaire, « si tu éjacules sans mon autorisation je ten fais baver ! »
Je savais que je ne tiendrais pas longtemps. Pas avec ses mouvements, pas le nez dans son intimité, pas avec cette autorité, pas privé de mes sens comme je létais.
Je me retins. Je me battais. Jentendais ses gémissements sintensifier donc je tenais. Jusquà ce que je ne puisse plus.
- « Maitresse est-ce que jmmmfff
»
Elle me serait la tête entre ses cuisses pour mempêcher de parler.
- « je ne tentends pas articule
» gémit-elle.
Je pouvais presque lentendre sourire. Je me débattis pour me dégager mais avec les mains attachées dans le dos et aux chevilles comme ça je ne pouvais rien faire. Et, sentant que je ne tenais plus, elle me mit en apnée dans sa chatte et accéléra le mouvement de ses pieds.
Jai essayé de tenir, mais sans effet. Jai joui. Comme jamais. Jen ai même crié, étouffé dans son intimité. Je crois que cest mon cri dans sa chatte qui la fait basculée, dans un long gémissement.
Mais cétait trop tard.
Elle menleva le bandeau, me caressa le visage tout doucement en me regardant dans les yeux et en souriant.
- « pardon maitresse »
- Cest pas grave
- Je suis vraiment désolé
- Non, pas encore
mais tu le seras bientôt.
Nouveau sourire, plus appuyé. Presque bienveillant.
- « Mais cest assez pour ce soir. La suite demain. Reposes-toi bien, tu vas en avoir besoin. Et noublies pas ta liste
»
La suite à venir
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