Echange Des Corps (1)

Philippe était démoralisé et fatigué d'aller bosser tous les jours pendant que sa femme restait à la maison. Il rentrait usé et déprimé, et quand il s'en plaignait, elle lui rétorquait que sa journée avait été bien plus difficile. Évidemment, l'homme ne pouvait comprendre que rester à la maison, ne pas avoir de patron, ne pas endurer les autres employés, etc., pouvait être aussi pénible.
« Ma femme envoie les s à l'école, alors elle est peinarde toute la journée et peut s'organiser comme elle veut.»
Il aurait aimé que sa femme, Sheila, voit ce qu'il endurait et, ce soir-là, il priait:
« Seigneur, je vais travailler tous les jours, je bosse pendant 8 heures avec des cons pendant que ma femme se la coule douce à la maison. J'aimerais qu'elle sache ce que je subis, alors s'il vous plaît Seigneur, créez un échange temporaire de nos deux corps, juste une journée, qu'elle se rende compte.»
Bien sûr, Phil n'émettait qu'un souhait en formulant cette prière. Bien sûr, c'était impossible qu'une chose pareille se produise. Mais Dieu, avec sa perspicacité sans limite, a exaucé le souhait de Phil.

Le lendemain matin, Phil s'est réveillé dans le corps de Sheila. Il s'est réveillé avec tous les instincts et les connaissances dont il avait besoin pour remplir les obligations d'être une femme et une mère. Se réveiller la première était l'une d'entre elles. Sous les couvertures, Phil explorait ses seins et sa chatte.
Il se tourna vers la personne à côté de lui, le dos tourné. Cela ressemblait un homme, mais Phil ne pouvait pas être sûr. Est-ce Sheila dans mon corps? Phil tendit la main pour s'en assurer. C'était le corps d'un homme à coup sûr!
Avec un pénis qu'il saisit délicatement, qui lui semblait familier. Phil connaissait cette bite, il la tripotait depuis des années, mais c'était la première fois qu'il la manipulait accrochée à un autre corps. C'était sa bite, c'était son corps, mais c'était Sheila qui était dedans.

Que ressent-elle en moi? Phil voulait tester son nouveau corps, mais il n'avait pas le temps. Phil se leva et apprit à s'asseoir pour faire pipi puis s'essuyer. Puis il réveilla Sheila et lui prépara son petit-déjeuner.
Sheila semblait ne pas réaliser qu'elle avait changé de corps. Si le Seigneur était celui qui a réalisé cela, alors il avait donné à Sherry les connaissances dont elle avait besoin pour occuper le corps de Phil et ignorer le changement. C'était peinard. Phil aurait l'expérience et Sheila ne se souviendrait de rien. Phil a réveillé les s, les a habillés pour l'école et leur a préparé le petit déjeuner.
Pendant tout ce temps où Phil exécutait les corvées routinières, son esprit était obnubilé par une question, qu'est-ce qu'il pouvait faire avec ce corps. Il donna à Sheila le baiser habituel du bout des lèvres qu'il recevait quotidiennement et regarda Sheila partir dans son corps.
Puis il a rangé le déjeuner des s, les a conduits à l'école, est rentré à la maison; ramassé le linge sale, faire la lessive, s'est occupé de payer les factures d'électricité et de téléphone, fait les courses, est rentré à la maison et rangé les courses. Ouf, quelle matinée!
La matinée s'achevait et il se précipita pour faire les lits, aspirer, dépoussiérer et balayer le sol de la cuisine. Ayant effectué le plus gros du travail, Phil s'assit pour se restaurer. Il était presque treize heures, et il ne lui restait que deux heures trente avant de devoir se rendre à l'école pour aller chercher les s.
« Zut, pensa Phil. Ce n'est pas ce que j'espérais. Moins de trois heures de libre. Qu'ai-je fais de cette journée. Je suis dans le corps de Sheila depuis ce matin, le temps passe trop vite, et je n'ai pas eu le temps d'en profiter!»

Explorer le corps de sa femme, de l'intérieur.

Maintenant il y avait plusieurs aspects du corps féminin qu'il voulait connaître, seulement cette fois il voulait comprendre quel effet ressent-on de l'intérieur. Par exemple les seins. Dénudant sa poitrine, il les caressa. Bof, il n'y a pas beaucoup d'émotions là-dedans. Triturer les seins aurait dû être une sensation forte, et les tétons devenir raides, mais peut-être que c'est mieux si c'est quelqu'un d'autre qui le fait.
Bizarre, il était là, jouant avec les seins de sa femme, mais la sensation qu'il ressentait était un peu décevante. Il baissa sa culotte et s'attaqua au vagin. Sheila lui avait fait la surprise de le raser pour la première fois l'autre jour.
C'est un peu mieux. Oui, c'est agréable au toucher. Là, en pinçant le clitoris, c'est bien. Il combina le tripotage des seins et du clito. Insérait un doigt puis deux dans sa chatte. Ouais, pas mal, mais pas de quoi faire des folies.
En plus, pas facile de combiner les mouvements. Les doigts à l'intérieur de la chatte faisant des allers-retours. Presser le clito. Caresser les seins. Il avait besoin de tordre son poignet. Ouais, pas d'hésitation, c'est sûrement mieux si c'est quelqu'un d'autre qui le fait.
C'était nouveau, stimulant, Phil accélérait la cadence. Il pensait atteindre l'orgasme en continuant. Si cela faisait du bien, comment se fait-il que Sheila, dans ce corps, soit aussi peu excitée? Puis il a réalisé que, pour sa femme, toutes ces sensations qu'il éprouvait étaient de l'histoire ancienne.
Phil avait l'habitude d'utiliser un fantasme pour atteindre l'orgasme. Même quand il faisait l'amour à Sheila. Mais maintenant il était désorienté. L'un de ses fantasmes préférés avec Sheila était de se raconter qu'il était un étranger, qu'il possédait sa femme pour la première fois, et qu'elle jouissait vraiment fort. Mais maintenant, dans le corps de Sheila, il ne parvenait pas à trouver un fantasme. Difficile de fantasmer d'être un autre homme parce qu'il était un homme. Phil ne savait pas ce qu'on ressentait lorsqu'un pénis s'insérait dans ta chatte, donc utiliser son imagination était hors de question.
Debout, Phil enleva la culotte de Sheila. Il s'assit à nouveau sur le canapé et écarta les jambes, exposant sa chatte au contact de l'air frais de la pièce, caressant ses lèvres, et trouvant la sensation agréable. Pas de pénétration, pas de frottement entre deux surfaces, Phil ne savait pas s'il devait imaginer avoir un pénis dans sa chatte, ou encore être l'homme qui pénètre. Phil décida qu'il allait devoir se contenter de ça. La sonnerie du téléphone interrompit sa rêverie. Merde, juste au moment où il commençait à tenir les prémices de quelque chose. Un coup d’œil à la montre de Sheila. Je dois récupérer les s dans moins de deux heures.

L'appel qui change sa vie.

« Bonjour, Sheila, est-ce qu'on peut parler en sécurité?»
Le cœur de Phil a raté un battement. C'était la voix d'un voisin, Fred. Le ton de la voix était furtif et sournois comme si le voisin et sa femme ... Phil n'hésita pas une seconde avant de répondre par un "Oui". Il voulait voir ce qui pouvait se tramer entre eux.
« Maud est en visite chez sa mère jusqu'à ce soir donc j'ai mon après-midi, puisque tes s sont à l'école, c'est une bonne occasion pour nous de batifoler un peu si tu disposes de quelques minutes.»
Phil a été bouleversé, et pourtant en même temps un frémissement a traversé son corps. Il posa ses doigts sur le clitoris de Sheila et commença à le masser doucement.
Parfait timing. À l'improviste, inattendu, Phil se voyait offrir l'opportunité de savoir ce que c'est que d'être pénétrée! Oserais-je? Cela implique de laisser son cher voisin Fred avoir une connaissance charnelle du corps de sa femme, mais elle ne s'en souviendrait pas. Phil pourrait découvrir le plaisir d'être une femme, Sheila ne le saurait pas. Il suffit de le dire à Fred avant qu'ils ne commencent, et une fois fini, Fred ne devra plus jamais la déranger, un coup et c'est tout.
Sans prendre le temps de réfléchir, Phil décida d'y aller, mais il devait d'abord connaître la relation entre Fred et Sheila.
«Qu'est-ce que tu as en tête, il reste moins de deux heures avant que je doive aller chercher les s.»
Fred a rigolé. « Qu'est-ce que j'ai en tête, t'es marrante, je sais ce que tu aimes, alors je vais te le faire, si tu acceptes que je vienne maintenant?»
Le cœur de Phil s'est serré. Sheila était intime avec Fred. Il a surmonté sa déception pour ne pas hurler. Après tout, il est Sheila maintenant, pas Phil.
« Amènes-toi.»
« Je suis là dans une minute, bébé, garde-le moi au chaud ...»
Phil essuya ses larmes coulant sur ses joues, il était surpris de cette émotivité. Sa femme le trompait. Son cœur se brisait à la pensée de Sheila et Fred, mais il ressentait aussi une sensation d'extrême excitation quand à la découverte du plaisir féminin. C'est certain, Fred est à ranger dans la catégorie des beaux gosses, grand, la peau mate et l’œil sombre, Fred peut avoir toutes les femmes qu'il veut, et il avait baisé Sheila !»
Phil a couru pour faire ce que Sheila ferait, parce qu'elle l'a fait pour lui. Il se lava la chatte et se brossa les dents. Il aurait volontiers enfilé quelque chose de sexy, mais il n'avait pas de temps. Sur une impulsion, il enfila une paire de chaussures à talons roses de Sheila.
« Fred aimera ça, mais est-ce que je peux y entrer?»
Phil a essayé de marcher avec les talons et a décidé que ça valait le coup d'essayer.
Puis l'idée lui est venue. Et si Fred veux m'embrasser? Dégueulasse, mais Phil est dans le corps de Sheila. Si Fred le fait, Phil devra le faire, mais le minimum. Ce qu'il veut connaître, c'est quel effet ça fait de se prendre une bite dans la chatte? Même si c'est la chatte de Sheila, mais il le sentira et se souviendra des sensations.
Un coup discret à la porte. Fred. Phil lui a ouvert. Fred s'est glissé à l'intérieur et Phil inspecta instinctivement autour de lui pour voir si des voisins regardaient. Quand Phil a fermé la porte, Fred l'a immédiatement pris dans ses bras.
« Bébé, je suis en manque, ça fait plusieurs jours que je ne t'ai pas tenu dans mes bras. On va au lit tout de suite?»
Bien, Phil a sa réponse. Fred et Sheila ont déjà baisé ensemble. Plus aucun scrupule d'utiliser le corps de sa femme pour connaître la sensation d'être pénétrée par un pénis.
C'était une occasion unique pour Phil de voir à quoi cela ressemblait, oui, je baise aujourd'hui avec Fred, je verrai plus tard pour confronter Sheila et arrêter cette affaire.
Phil conduisit Fred dans le couloir en direction de la chambre parentale.
« Tu as une drôle de démarche?» demanda Fred.
« Oui, c'est ces chaussures. J'essaie de les casser.» Phil a ouvert la porte de la chambre.
« Garde-les pendant qu'on baise. Ce sera plus sexy, bébé» Phil commença à entrer dans la chambre.
« Tu veux baiser ici?» Fred a eu l'air surpris. « Tu n'as jamais voulu le faire dans le lit conjugal, les autres fois c'était le canapé ou la chambre d'amis.»
Phil a immédiatement changé d'avis: « T'as raison. Je ne sais pas ce que j'ai aujourd'hui. Viens dans la chambre d'amis.»
Phil conduisit Fred dans la chambre d'amis et commença à retirer sa blouse.
« Bébé, tu n'attends pas que je te l'enlève?»
Phil réalisa que Sheila et Fred devaient avoir un rituel qu'ils exécutaient.
« Non, nous n'avons pas beaucoup de temps, je suis aussi excitée que toi et je veux aller à l'essentiel.»
« Ouais, bébé, moi aussi, je suis vraiment exalté quand tu es toute anxieuse au sujet de ma bite.»
Fred a immédiatement enlevé sa chemise et débouclé sa ceinture. Sheila s'inquiète pour sa bite? Pourquoi?
Fred regardait Sheila/Phil se déshabiller: « Merde bébé! T'as rasé ta chatte comme je te l'avais demandé. Super!»
« Oui, chéri, juste pour toi.»
« Fais voir!»
Phil écarta les jambes et Fred passa deux doigts sous puis dans sa fente. L'intense sensation de plaisir faillit le renverser. Ça lui faisait vraiment du bien!
Phil gémit quand Fred a commencé à caresser la fente rasée de Sheila, pinçant le clitoris, puis a enfoncé un doigt dans la chatte. « Oh merde. Putain, ce type me fait planer.»
Puis il regarda le renflement dans le boxer de Fred. « Zut! Il a mit quoi, là-dedans?»
Fred commença à retirer son pantalon. Il avait la peau mate ou un très beau bronzage. Quand il a retiré son boxer, Phil a découvert la bête. Pas encore en érection, à mi-chemin, une bite beaucoup plus longue et plus épaisse que celle de Fred. Il a compris d'un coup l'anxiété de Sheila en découvrant le monstre. D'ailleurs, il ne pouvait détacher son regard. Fred a ri: « Je prends toujours mon pied de la façon dont tu regardes ma bite quand le pantalon descend ... Tu aimes vraiment mon sexe, n'est-ce pas?»
Il pouvait à peine parler. Son esprit tournoyait. Il répondit positivement. Phil ne pouvait s'empêcher de regarder le pénis de Fred plus encore que Sheila ne l'avait fait. Chauffé par la fascination évidente de sa conquête, il continué à grandir. Au fur et à mesure qu'il se redressait, le prépuce glissa du gland sans que Fred ne le touche de ses mains.
L'ensemble était maintenant en état de marche, prêt à fonctionner. Le gland était beaucoup plus gros que le tronc, qui était déjà bien épais. Phil éprouvait de l'amertume, de la jalousie et de la frustration en apprenant que Fred avait baisé Sheila avec cette bite colossale. A la tristesse d'être cocu, s'ajoutait l'inquiétude de savoir ce que Sheila pensait de la comparaison entre les deux. Un beau gosse, bien monté et lui, Phil, son mari. Et combien de fois ce braquemart avait-il labouré les chairs de sa femme? Il ressentait une extrême jalousie à la pensée que sa charmante petite "fidèle" femme pouvait être vraiment salope avec ce sexe qui pointait maintenant en direction du chemin qui lui était familier.

Son premier baiser avec un homme.

Fred s'approcha de Phil et l'entoura de ses bras. Il pressa ses lèvres sur celles de Phil, et il dut faire un effort de volonté pour permettre à ses lèvres de s'ouvrir et d'accepter la langue de Fred dans sa bouche. Phil sentait cette bite dure se presser contre son ventre, il la saisit dans sa main avec envie et enroula ses doigts autour de l'objet de sa convoitise. Phil caressait la bite d'un autre homme pour la première fois.
« Waouh, si seulement je pouvais avoir une bite comme ça. A quoi pense Sheila quand elle fait l'amour avec moi après l'avoir fait avec Fred et sa grosse bite? Voudrait-elle que ma bite soit aussi grosse que celle-ci? Est-ce qu'elle fait des comparaisons dans ses fantasmes?»
A nouveau, Fred glissa son doigt dans la chatte humide, et quand Phil ouvrit ses jambes plus larges, il sentit une langueur envahir son corps. Oh putain, quand un homme tripote ma chatte, quel pied! Quand Fred le souleva de terre comme s'il n'était pas plus lourd qu'une plume, Phil faillit paniquer, puis il se détendit. C'est ça être une femme. Le mâle dominant prend les choses en main. Son baiser devint plus voluptueux pendant qu'il caressait le corps de Phil. Phil appréciait son étreinte, et câlinait sa queue chaude avec délice. Étonné, Phil s'est rendu compte qu'il gémissait de plaisir.
Fred était au maximum de l'excitation en portant sa conquête au lit. Phil, pour sa part, souhaitait étrangement être dominé par cet homme. Phil se sentait faible et alangui dans les bras de cet homme qui le déposait avec facilité et douceur sur le lit. Phil leva les yeux vers le pénis majestueux. Sa première pensée était: «Il est trop grand, il va me blesser.» Mais ensuite Phil se souvint que le vagin de Sheila avait déjà été pénétré par ce pénis, et que ce ne serait sûrement pas difficile de le prendre.
Phil avait hâte maintenant que cet homme prenne possession de son corps, pénètre sa chatte ruisselante, sentir sa chaleur, éjacule au fond de son ventre. Oui, ça sera plus facile d'accepter cela que ce qu'il imaginait avant. Mais au lieu de ramper entre les jambes ouvertes vers la chatte offerte, Fred s'allongea sur le lit à son côté. Ils s'embrassèrent, Fred caressait ses seins et sa chatte tandis qu'il cajolait le pénis épais de Fred. Phil soupesa aussi les boules remplies de sperme qui allaient bientôt tirer une grosse décharge dans sa chatte.
Et puis la demande est venue: « Suce-moi un peu, bébé, j'adore comme tu fais ça.»
Sucer une bite? Phil n'était pas gay. Pourtant, il était censé sucer la grosse bite de Fred. Comment Phil pouvait-il faire ça? Bien sûr, il était dans le corps de Sheila, personne ne le saurait jamais. Peut-être il pourrait essayer, juste un peu. Phil enroula sa main autour de la base du puissant poteau. Il l'a étudié de près, intensément. C'était énorme, comparé à la petite main de sa femme.
Phil caressa le prépuce de haut en bas. Bon sang, ce gland semble vraiment charnu. Il se demanda quelle sensation aura-t-il dans sa chatte. C'est alors que Phil a réalisé qu'il commençait à penser comme une femme. Oui, que va faire cette chose dans ma chatte? Mais d'abord, j'ai besoin de le sucer.
Sentiment étrange. Sheila avait baisé avec cet homme avant, elle l'avait sucé et avait été pénétrée par cette grosse bite que Phil tripotait maintenant. Sheila connaissait tout cela, les sensations, le plaisir, l'abandon. Mais Phil n'en avait aucun souvenir. Il avait toutes les connaissances dont il avait besoin pour remplacer Sheila quand il s'agissait d'être une mère et une épouse, mais c'était la limite de ses connaissances sur ce que Sheila faisait.