Le Cours Finit Bien (1)

Bonjour à toutes et à tous. Ceci est ma première histoire. Merci d’avance pour vos avis (style, scénario etc…) et bonne lecture.

Une dernière semaine… C’est tout ce qu’il reste avant les vacances de Noël. Actuellement en dernière année d’école de commerce, je commence à saturer des cours. Dans six mois je serai diplômé, et j’ai hâte de commencer ce qui s’apparente à une nouvelle vie. Ne vous y trompez pas, j’adore la vie étudiante et le peu de contraintes qui vont avec. Mais j’attends avec impatience le futur.

En tout cas pour l’instant, je suis en cours. Depuis le début de la semaine, il s’agit du même, avec la même prof : négociation internationale. Il s’agit de la matière principale de mon master, et de ce que je veux faire par la suite justement. Il n’empêche que mon intérêt est proche à ce moment-là du néant, et que la seule chose qui m’empêche de m’occuper avec mon téléphone et ses applications… c’est la prof ! Depuis ces deux premiers jours de cours avec elle, je ne peux m’empêcher de fantasmer sur elle et de passer mon cours à la déshabiller du regard.

Pas très grande (sûrement pas plus d’1m60), elle est perchée sur ses petits talons. Et c’est mon péché mignon, je trouve qu’il n’y a rien de plus beau chez une femme que ses jambes et ses pieds. Les siennes sont parfaitement dessinées, simplement protégées par des collants noirs transparents. Sa tenue est complétée par une jupe arrivant au bas du genoux, ainsi qu’une veste de tailleur foncée. Ses cheveux brun coupé mi courts tombent sur sa petite paire de lunettes, ce qui la rend encore plus canon. Et pour achever le tout, le cours étant en anglais, son petit accent français la rendait encore plus sexy. Bref, elle pouvait raconter ce qu’elle voulait, je ne la quittais que rarement des yeux. Malheureusement, pour moi, cela resterait uniquement un fantasme. Non pas que je n’ai aucun atout au contraire. Grand (1m85) et brun, je possède un certain charme.

Pas particulièrement musclé, je m’efforce tout de même de m’entretenir. Non c’était surtout qu’il s’agissait de ma prof, et que pour moi elle était tout simplement inaccessible.

Le cours se termine enfin, mais ses derniers mots m’interpellent :
- Et retenez bien ce que je vous ai dit pour votre partiel, c’est extrêmement important !
Oups, ça m’apprendra à ne pas écouter… J’attends donc que les autres élèves quittent la salle pour aller la voir :
- Excusez-moi madame, mais je n’ai pas bien compris pour la partiel.
- Tiens Antoine… ça ne m’étonne guère, vu le peu d’attention que vous sembliez porter à mes propos. Malheureusement, je ne peux rien vous dire de plus, voyez avez ceux qui ont écoutés.
Grillé… Ce petit ton ne me plait guère mais diable ce qu’il peut être excitant. Elle se retourne et marche pour aller à on bureau, quand son talon semble glisser et sa cheville tourner.
- AAHH
Cri de douleur bien sûr. Je m’empresse d’aller la relever, fais passer son bras par-dessus mes épaules et la guide vers son bureau, afin de la faire s’asseoir.
- Ça va madame ?
- Oui oui, j’ai juste mal à la cheville. Merci d’être resté m’aider et excusez-moi de vous avoir parlé comme cela, je ne vais pas très fort et j’ai parfois du mal à me reconnaître.
Je ne lui en veux pas, d’ailleurs sa chute m’a permis de la porter, et d’apprécier un premier contact avec elle.
- Essayez de tourner un peu votre pied pour voir.
- AIE. Non ça fait mal, ce doit être une entorse. Vous pouvez me masser la cheville Antoine ? Afin de la chauffer un peu pour faire passer la douleur.
Je me fige un bref instant, je n’en crois pas mes oreilles. Bien sûr je m’exécute après l’avoir fait répéter, afin d’avoir sa ferme approbation. Moi, grand fan de jambes et de pieds, j’allais pouvoir réaliser un fantasme, qui plus est avec ma prof. Je m’en voulais d’être excité par la situation, alors qu’elle avait mal et qu’elle n’imaginait sûrement rien de plus.

Je prends donc une chaise que j’installe devant la sienne avant de m’assoir dessus. Je prends sa jambe, la dépose sur mon genou, et commence délicatement a frotter sa cheville afin d’atténuer la douleur. Mais ce n’est pas pratique et me prof s’en rend compte.
- Antoine, enlevez ma chaussure, ce sera plus simple et plus efficace.
J’ai du mal à le croire. Je défais donc la petite boucle de ses talons, laissant la chaussure tomber à terre et reprend durant quelques minutes. Le silence est un peu gênant, rapidement brisé par ma prof.
- Merci beaucoup Antoine, ça me fait beaucoup de bien. Mais j’ai l’impression que la douleur s’étend à l’ensemble du pied… Est-ce que cela vous dérangerait de…
Elle ne finit pas sa phrase, sûrement par gène. Moi je suis bien évidemment aux anges, et je n’hésite pas bien longtemps. Ce qui commençait par une simple manipulation de sa cheville se transforme désormais ne ce qui s’apparente à un massage des pieds très sensuels. J’ai du mal à contenir mon excitation, et je sens que je vais bientôt être à l’étroit dans mon pantalon. Ma prof semble le remarquer, mais change rapidement son regard de direction.
- Je m’excuse, vous voilà obligé de rester, à tenter de soulager ma douleur.
- Ne vous excusez pas, c’est un plaisir.
Et m**** ça m’a échappé. Etrangement, je la vois me sourire.
- En plus avec ma chaussure enlevée, vous ne devez pas appréciez l’odeur environnante.
- Pourquoi dites-vous cela madame ? Je ne sens rien.
- Vous ne devez pas être assez proche alors…
Encore une fois je n’en crois pas mes oreilles… Si ça n’est pas une invitation… Je prends mon courage à deux mains et rapproche son pied de mon visage. Je commence à sentir sensuellement son pied, tandis qu’une délicieuses odeur se repend dans mes narines.
- On sent effectivement quelque chose madame, mais rien des désagréable, au contraire.
J’en profite pour déposer quelques baisers sur l’objet de mes fantasmes, et sa réaction ne se fait pas attendre.
Alors que je m‘attendais plus à une claque, elle enlève sa seconde chaussure avant de faire lentement remonter son pied le long de ma jambe, puis de le poser sur mon entrecuisse et de caresser mon sexe au travers du pantalon. Cette fois pas de doutes possibles sur ses intentions, ce qui finit d’achever une formidable érection sous son pied. Après quelques instants ainsi, je pose sa jambe délicatement, m’approche d’elle et commence à l’embrasser passionnément. Loin de rester passive, elle me rend mon baiser et nos langues commencent à se mélanger sensuellement. Cet instant dont je rêvais se déroule enfin. Je passe délicatement ma main dans ses cheveux, puis sur son visage. Elle sent terriblement bon. Je commence ensuite à parcourir le reste de son corps, débutant par sa poitrine, gardée par un léger soutien-gorge en dentelles noir. J’ai vite fait de l’enlever, afin de titiller avec mes doigts ses petits seins, fièrement dressés. Sa poitrine n’a rien d’extraordinaire, mais je la trouve superbe et je ne peux m’empêcher d’aller jouer avec ses tétons en les mordillant et en les léchant, délaissant ainsi ses douces lèvres. Ses mains aussi parcours mon corps, et ses caresses sur mon torse font parcourir en moi de très agréables frissons. Son souffle s’accélère dans mon cou, ce qui traduit très certainement une excitation grandissante.
J’en profite pour la soulever et l’allonger sur son bureau. Je la débarrasse de sa jupe, et commence à caresser son intimité à travers la dentelle noire de son petit shorty. Elle se redresse rapidement afin de faire tomber mon pantalon et mon boxer. Ma queue se dresse fièrement devant elle, longue de 18 cm et plutôt large. Pour la première fois depuis plusieurs minutes, elle brise le silence.
- Toi et moi, on va bien s’amuser…
Avant que je ne puisse répliquer, elle fonce sur ma tige et gobe mon gland en lui prodiguant un traitement des plus agréables. Elle le suce, puis le titille avec sa langue durant quelques instants, avant d’enfoncer ma queue plus profondément dans sa bouche.
J’ai déjà eu quelques expériences, mais elle me fait très clairement la meilleure pipe de ma vie. D’habitude assez endurant, il ne me faut que quelques minutes avant de lui dire d’arrêter, sentant la sève monter rapidement. Elle stoppe ainsi ses merveilles, s’essuyant le coin des lèvres. Qu’est-ce qu’elle est sexy…
- A mon tour !
Je lui ôte son shorty puis ses collants, révélant ainsi ses jambes magnifiques. J’en profite pour les caresser et déposer des légers baisers dessus, avant de me pencher sur son intimité, qui luit de son excitation. Je m’applique à la lécher afin de lui donner autant de plaisir qu’elle vient de le faire. Ses gémissements m’indique qu’elle apprécie. J’en profite donc pour insérer deux doigts en elle, la faisant ainsi se cambrer. Après quelques instants, je décide de tenter un peu plus, et décide de descendre ma langue afin de lui lécher sa petite rosette, toute claire et attirante. Elle ne proteste pas et j’alterne ainsi entre ses deux petits trous durant quelques minutes, pour son plus grand plaisir.
- Prends-moi, je n’en peux plus.
Il ne m’en fallait pas plus. Je la fais se relever, puis se pencher en avant, accoudée sur son bureau. Ses petites fesses sont tendues vers moi, cette vision est parfaite. J’en profite quelques secondes, avant de saisir ma queue et de l’enfoncer progressivement en elle. Je veux que ce moment dure le plus longtemps possible. Une fois bien au fond d’elle, je me fige quelques instants, puis commence un lent va et vient. Elle est si accueillante, ma queue est bien au chaud, comme dans un paradis. Elle gémit de plus en plus, et sa voix m’excite d’avantage, si c’est possible. Je décide d’accélérer un peu le tempo, mais je la sens rapidement gênée par sa cheville. Je la retourne et la met sur le dos sur son bureau, avant de reprendre mes allers-retours en elle, en accélérant toujours progressivement. Elle est si belle… son regard me fais fondre, et nous nous observons les yeux dans les yeux pendant que je la prends sur le bureau.
Au bout de quelques minutes, elle rend ce moment encore plus magique.
- Encules-moi s’il-te-plait. Vas y doucement, je ne l’ai jamais fait mais tu m’excites tellement.
Moi, simple petit élève, je n’aurais jamais imaginé ça… Surtout que moi non plus, je n’ai jamais fait ça. Je me retire de ma prof et retourne plonger ma langue dans ses magnifiques petites fesses, afin de lubrifier sa petite rondelle. Moi qui n’avais jamais expérimenté ça, je dois avouer que j’y prend énormément de plaisir. Au fut et à mesure, je tente d’insérer un doigt tout doucement. Je crache dessus afin d’aider la progression, puis commence de petits va et vient. Ma prof couine de plaisir et semble donc apprécier. J’en profite pour y entre un deuxième afin d’élargir ce magnifique petit trou. Ne tenant plus, je me relève et présente mon gland. Je pousse très délicatement, mais elle est très serrée. Je lui demande de se détendre et j’en profite pour lui caresser les fesses, afin de lui procurer quelques frissons. Au bout de quelque instants, mon gland force l’entrée : le plus dur est fait. Je m’enfonce cm par cm, mais je la sens crispée et j’ai l’impression de lui faire mal. Je ressors donc et en profite pour retourner dans son vagin, afin de lubrifier ma queue. Puis, je retente l’expérience et réussi finalement à m’insérer complètement entre ses fesses. Quel bonheur ! Ma queue est toute serrée, et les sensations sont extraordinaires. Petit à petit, je commence mes allers retours, et ses plaintes se transforment en gémissements de plaisir
- Hmm c’est tellement bon de te sentir au plus profond de moi
- Madame vous avez un cul magnifique et si accueillant
- Ne t’arrêtes pas, contin… aahh oui !
Comme elle semble préparée, j’accélère progressivement le rythme pour finir par la pilonner littéralement. Rapidement, elle semble exploser et atteint l’orgasme. Je ne pensais pas que c’était possible de jouir du cul !
Quelques minutes après, c’est moi qui suit proche d’en finir. Je la préviens
- Remplis-moi le cul, vas-y !
Elle n’a pas besoin de le répéter deux fois. En quelques coups de reins, je déverse plusieurs giclées de sperme dans ses entrailles. Elle s’écarte aussitôt pour s’agenouiller et me nettoyer la queue avec un air gourmand. Je suis aux anges, tout simplement.
- Merci Antoine, vous pouvez disposer. On se voit demain.
Oh que oui, j’ai déjà hâte. D’ailleurs, a son regard, j’en déduis qu’elle aussi.

Une suite ? J’ai déjà quelques idées.

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