Albert Fait Une Pause Avec Ses Collègues Routiers, Suite

Alors que je sentais ma bite gonflée à nouveau dans mon slip en voyant tous ces corps nus dans les magazines de Jerome, mon imagination fut soudain interrompu par un
« Tu t’es déjà pris une queue dans le cul? » sans aucune gêne je lui répond par la positif. Ils a un long moment de silence avant qu’il me dise que lui aussi, puis plus rien.
Je retourne donc à ma lecture quand plusieurs minutes après il me dit « J’ai très envie de te baiser », je lui que non seulement j’ai très envie qu’il me baise mais aussi que j’ai envie de le baiser par contre je n’ai ni gel ni capote et comme mes entrailles n’ont accueilli personne depuis un moment j’ai peur de le faire sans lubrifiant.
Sans dire un mot il rentre dans la couchette et va fouiller dans un coin, mes yeux ne sont plus fixés sur les revues mais sur son cul qu’il fait bien ressortir. Il se retourne les mains remplies capotes et d’un tube de gel. Je le rejoins dans la couchette et l’embrasse langoureusement. Nous nous déshabillons mutuellement. Nos mains parcourent le corps de l’autre en insistant sur certains endroits qui produisent des gémissements malgré nos lèvres collées.

Il m’allonge sur le dos et alors que ses mains continuent de parcourir mon torse, sa tête se penche sur mon entrejambe. Du bout de la langue il me lèche le gland, dégage mon prépuce et passe à plusieurs reprises sur mon méat comme pour lécher du sperme. Il aspire maintenant entre ses lèvres mon gland ce qui me fait encore plus gonfler le sexe. Ses mains quittent mon torse ma caressent le sexe puis les couilles et s’arrête sur mes fesses alors que la bouche de Jerome est pleine maintenant.
Il continue ses vas et viens le long de ma tige alors que ses doigts se posent sur ma rondelle encore très serrée. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement ou je sens mon oeillet s’ouvrir petit à petit, il soulève mon cul et inverse son travail. Maintenant c’est sa bouche qui s’occupe de mon cul et ses mains cajolent ma bite.

Je sens sa langue me pénétrer doucement alors que deux de ses doigts s’affairent sur mon frein. Puis un doigt vient rejoindre sa langue, c’est trop bon mais moi aussi j’ai envie de jouer avec son corps alors j’att sa tête et l’arrête pour nous placer en 69 mais avec le cul assez relever pour pouvoir se le bouffer ou se le doigter mutuellement.

Jerome est naturellement plus ouvert que moi j’arrive très rapidement à lui rentrer 2 doigts alors que ma bouche s’occupe de son sexe qui commence à couler dans ma bouche. Lui se concentre uniquement sur mon cul, sa bouche continue de m’humidifier mon petit trou et il a un doigt en moins qu’il fait aller de plus en plus loin et profond. Je rentre un troisième doigt que je fais aller et venir avec les deux autres.
Il semble apprécier un peu trop ce traitement car je sens sa queue tressaillir dans ma bouche, il se soulève puis je retire mes doigts les uns après les autres alors que lui continue de me ramoner le cul. Je lui écarte les fesses pour admirer son petit trou bien ouvert et lui crache sur la rondelle.

Immédiatement il se lève prend une capote qu’il ouvre et déroule sur mon sexe tendu et se met à 4 pattes devant moi en écartant ses fesses à deux mains. Je crache à nouveau sur son trou, je place ma queue entre ses deux lobes fessiers et je la fait coulisser grasse à la salive que j’ai laissé. A chaque passage mon gland plastifier bute de plus en plus sur son petit bourrelé anal, jusqu’à ce que je bute tellement que mon gland le pénètre légèrement. Je profite de cette première intrusion pour m’enfoncer doucement en lui jusqu’à faire entièrement rentrer mon gland. Bien qu’il soit assez ouvert, je m’immobilise un peu puis je le pénètre de plus en plus doucement avec des petits allers retours dans ses entrailles.

Une fois que je me suis totalement enfoncé en lui et que mon pubis est collé contre ses fesses, cette fois je ne lui laisse aucun répit et le lime doucement mais avec des mouvements amples.
A chaque mouvement je sens ses chairs de plus en plus détendu du coup j’agrandis l’ampleur de mes mouvements jusqu’à sortir de son cul pour encore mieux y rerentrer. Quand mon gland s’enfonce dans ses entrailles Jerome gémit encore plus fort ce qui m’incite à continuer. Même s’il est bien ouvert j’adore sentir son anneau me serrer la bite à chaque passage. Enfin je le ramone ardemment comme son cul et ses cris le réclament sans oublier de lui donner des fessées à chaque fois que je m’enfonce au plus profond de lui, il en redemande encore et je nous fais plaisir.
Tout ça est trop excitant pour moi et comme je n’ai pas envie de gicler au fond du préservatif je me retire et lui offre mon cul car moi aussi j’ai envie d’être comblé. Jerome commence par me bouffer l’oeillet puis il me doigte jusqu’à ce que mes entrailles soient comblé par 3 de ses doigts. Je lui tend à mon tour une capote parce que j’ai envie d’avoir autre que ses doigts entre mes fesses.
Il fait coulisser son sexe entièrement en moi et se plante tout au fond avant de s’immobiliser, heureusement parce que mon cul à besoin de s’habi à son sexe imposant. Il m’att par les hanches et commence à me ramoner vigoureusement. Rapidement je sens que je mouille du cul ce qui facilite ses allers retours mais rajoute aussi un nouveau bruit à nos ébats qui m’excite encore plus. Je me penche en avant et me cambre encore plus non seulement pour lui dégager encore plus le chemin mais aussi pour glisser mon bras entre mes jambes et lui caresser les couilles et la bite au rythme de ses mouvements en moi.

A chaque fois que son gland touche ma prostate je sens mon sexe se redire encore plus contre mon bras. Ses vas et viens en moi me font monter un plaisir anal intense, je sens ma rosette se contracter autour de sa queue et le plaisir encore plus monter en moi. Je sens maintenant un liquide couler de mon méat sur mon bras, j’ai envie de lécher mon bras mais je préfère continuer à le caresser malgré la position très peu confortable.


Alors que je sens qu’il est aussi excité que moi je lui dit que j’ai envie de son sperme et qu’il me jouisse dans la bouche. Il fait encore quelques mouvements dans mes entrailles, se retire et enlève le plastique qui compresse son beau sexe. Je me retourne et gobe immédiatement sa bite. Je n’ai pas le temps de toucher ses couilles qu’il se place sur le coté en soulevant une jambe et me met dans la même position que lui. Nous nous suçons mutuellement, je lui caresse les couilles et les fesses alors que lui me doigte profondément jusqu’à me titiller la prostate. J’aime tellement ce qu’il me fait et je n’ai pas le temps de le prévenir que je me vide de 4 bonnes giclées dans sa bouche. Il continue de me sucer pour récupérer les dernières gouttes de sperme alors qu’à son tour il se répand dans ma bouche. Je garde la bouche pleine et continue de le sucer pour tout récupérer alors que lui a toujours ma queue en bouche bien qu’elle soit ramollie.
Nous nous écartons l’un de l’autre pour nous rouler des pelles au sperme avant d’avaler goulument le mélange de nos deux jus. Complètement lessivé par nos journées et surtout notre soirée nous nous endormons dans les bras de l’autre dans sa couchette.

Le lendemain je me suis réveillé le premier comme nous étions toujours entièrement nu je me glisse entre ses jambes et commence à le sucer. Il se réveille doucement et une fois que sa queue est raide je l’enferme dans une capote et je m’assoies sur lui. Je me défonce moins même le cul avec le sexe de Jerome alors que lui me branle. Au bout de 10 minutes il me dit qu’il va jouir alors je me soulève doucement pour le faire sortir de mes entrailles. Je colle sa queue à la mienne et je nous masturbe à deux mains.
Il jouit le premier et lorsque ses veines se contractent contre mon sexe je joui à mon tour. D’une main j’étale nos spermes sur mon ventre et mon sexe et avec ma bouche je nettoies sa queue avant de lui rouler une pelle qui à le gout de nos jus.
A son tour il veut me nettoyer la bite mais je ne lui demande de rien faire pour profiter toute la journée de nos odeurs.

Je me suis rhabillé avant que nous allions prendre ensemble un café et que chacun reprenne sa route. Comme il faisait chaud j’ai profité toute la journée de nos odeurs dans la cabine et le soir avant de me doucher je me suis branlé avec l’ivresse de nos odeurs et en pensant à notre nuit.

Malheureusement ma route n’a jamais recroisé celle de Jerome.

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