La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1182)
La Marquise esclave (suite de l'épisode précédent N°1181) -
- Va, Mon Amour de chienne !...
Et un instant après, ce fût une série dembrassades, daccolades, de cris de joie, de retrouvailles avec toutes ces personnes qui métaient si chères
Toute la journée se passa comme dans un rêve ! Pouvoir présenter lHomme que jaimais à ma famille me remplit de bonheur. Les conversations allaient bon train. Monsieur le Marquis fut dune grande élégance, dune attitude parfaitement raffinée et très appréciée. Sa courtoisie, son charisme, sa grande culture générale firent sensation et visiblement le Noble conquit très vite lestime et le respect de chaque membre de ma famille
Je restais tout de même quelques secondes interdite quand on me demanda pourquoi je navais pas parlé de Lui plutôt, pourquoi je ne leur avais pas encore amené cet homme qui présentait si bien et qui visiblement me (et leur) convenait parfaitement
pourquoi je me mariais si subitement ? (puisquils nétaient au courant de notre mariage que depuis très récemment !). Mais le Maître, qui mavait autorisée pour loccasion à lappeler par Son prénom Edouard, et à le tutoyer, avait toujours réponse à tout. Toujours avec son charisme naturel, il les conquit tous, les charma tous, encore une fois, trouvant les mots quil fallait afin de répondre à leurs interrogations. Et tous furent unanimes bien avant la fin de la soirée pour trouver que javais eu de la chance de le rencontrer et de pouvoir faire ma vie avec Lui. Quil était même rare de trouver un homme aussi bien élevé, poli, courtois, élégant et dune éloquence et culture prodigieuse sans jamais en faire trop, cétait là une qualité forte du Châtelain, son naturel faisait merveille, il était à la fois jovial quand il le fallait et strict en dautre occasions
Le soir, tard au moment daller se coucher, je fus toute intimidée de Le faire entrer dans ma chambre dadolescente, où rien navait été changé depuis que javais quitté la maison, presque 15 ans auparavant ! Il y avait même encore des posters de boys band ou de séries, dont jétais fan à lépoque, accrochés aux murs ! Le Maître sourit en faisant le tour de ma modeste chambre.
- Hummm ! Excellent attitude, Ma chienne ! Je suis fier de te voir agir exactement comme il le faut, aussi spontanément ! Je pense que tu as eu assez droit à lHomme amoureux pour aujourdhui ! Alors maintenant, tu vas rester immobile, je vais prendre Mon plaisir, comme je lentends, et tu nauras pas le droit à la jouissance. Jai dit !
Il me contourna alors, Son sexe dressé au zénith me pénétra sans préambule dans mon sexe trempé de me retrouver à ma place, la seule qui me convenait
. Javais pu enlever le sperme qui me couvrait les fesses lors dune douche rapide, avant le déjeuner. Mais mon excitation était à son comble. Mais jaimais me retenir de jouir dans la difficulté. Lorgasme, quand il métait accordé, nen était que plus fort ! Le Maître me besogna alors virilement, bestialement. Je sentais quIl était pressé den finir, et je ne Lui servais que de vide-couilles. Mais cela me rendait tellement heureuse de nexister que pour Son plaisir. Et par conséquent, même si elle nétait pas physique, jen éprouvais une incroyable jouissance mentale !
Pour la nuit, Il me remit mon collier et ma laisse, et Il mattacha au pied du lit, tandis que Lui se couchait dans mon ancien lit. Je mendormais le cur tranquille et heureux
Vers le milieu de la nuit, je fus réveillée par des doigts qui simmisçaient en moi, alors que lun deux me masturbait doucement le clitoris. Ma réaction fut immédiate, jécartais largement les cuisses, encore à moitié dans mon sommeil. Mais même dans cet état somnolent, je mouillais rapidement. Le Maître me fit cette fois-ci tendrement lamour, et très vite Il mautorisa à jouir en même temps que Lui. La tension sexuelle accumulée dans la journée était telle, quil me fallut me mordre le bras pour ne pas hurler mon plaisir jouissif.
- Viens Ma belle, pour une fois que nous sommes chez toi, je ne veux pas te priver de ton lit. Viens te rendormir contre moi.
Il maida à me relever et je vins me lover contre Son épaule. La maison se trouvait au milieu des bois en peine campagne. Le terrain était grand, pour une personne seule comme ma maman environ 1100m². Au petit matin, ce fut le chant des oiseaux qui nous réveilla. En ouvrant doucement les volets, nous pûmes apercevoir au fond du terrain un cerf qui longeait la clôture. Cétait une chose qui se produisait fréquemment car elle longeait un chemin très emprunté par les cervidés qui vivaient ici en grand nombre. Je regardais avec nostalgie par la fenêtre quand je sentis le Noble se serrer contre mon dos. Ainsi, je pouvais sentir Sa magnifique verge appuyer entre mes fesses. Il appuya sur mes épaules et je me mis à genoux, prête à me retourner pour Lui offrir une fellation matinale. Mais Il se saisit de mes longs cheveux défaits et mentraina vers mon ancienne chaise de bureau, tout ce quil y avait de plus classique, contrairement à celle qui se trouvait au Château et sur laquelle je devais mempaler pour travailler. Il mordonna de lenjamber et de mempaler par le cul sur Lui. Il maida en lubrifiant de ma mouille abondante mon petit trou et en lélargissant de Ses doigts. Se faire enculer ainsi sur une chaise, un pur délice
- Ne jouis pas Ma salope, je veux que tu gardes ton excitation jusquà cette nuit, notre première « nuit de noces »
Il guidait de Ses mains mes hanches afin que je menfonce un peu plus profondément à chaque va et vient que je faisais au-dessus de Lui, jusquà ce quIl se vide en moi. Nous restâmes un moment ainsi, jusquà ce que ma maman vienne frapper à la porte pour nous annoncer que le petit déjeuner était servi. Le petit déjeuner était magnifiquement copieux, ma maman sétait vraiment démenée pour nous offrir de quoi largement manger. Il nous fallut ensuite nous préparer rapidement pour aller jusquà la mairie afin de faire ce premier et faux mariage.
- Jespère que ma petite surprise te fait plaisir ?
Il ne me laissa pas le temps datteindre le sol pour Le remercier, mais Il me serra dans Ses bras membrassant rapidement.
- Maintenant, il nous faut nous préparer, si nous ne voulons pas être en retard !
Le passage à la mairie fut simple et rapide. Monsieur le Marquis avait demandé à ma sur aînée de me servir de témoin. Et comme mon papa nétait plus là pour me mener à travers les couloirs de la mairie jusque devant le premier adjoint du Maire, Oncle Louis moffrit avec élégance son bras pour le remplacer, ce qui me toucha énormément. Mes amis denfance dont jétais restée proche, grâce au Maître qui me permettait de rester en contact avec eux, étaient là aussi. Tous ceux que jaimais profondément étaient présents pour assister à mon bonheur. Quand la phrase rituelle « Vous pouvez embrasser la mariée » raisonna, je ne pus retenir mes larmes de bonheur. Même si ce mariage nétait pas officiel aux yeux de la loi, pour presque tous ceux qui étaient présents, cétait le cas, et tous nous félicitèrent chaleureusement. Une moisson de dragées et de pétales roses dans une magnifique haie dhonneur purement vanille nous attendait à la sortie de la mairie
Les magnifiques photos de mariage réalisées par un professionnel de la commune furent faites dans le jardin abondamment fleuris de la mairie et le repas de noces qui se passa dans la salle des fêtes communale attenante à la mairie, le repas donc, fut simple mais copieux, comme on en trouve dans nos campagnes. Des tentes avaient été installées dans le jardin pour nous protéger du soleil, et toute la journée se passa entre jeux et danses. Quand lheure du coucher de soleil approcha, le Maître mentraina dans le bois, vers une petite crique.
- Jouis Ma chienne, jouis Ma salope ! Jai envie de tentendre hurler !
Et alors que je laissais échapper un hurlement sauvage, Il me branla frénétiquement le clitoris, tout en continuant Ses coups de boutoirs fermes et puissants, et Il ne tarda pas à me rejoindre dans ma jouissance qui nen finissait pas. Mon orgasme memmena tellement loin, tellement ailleurs que je ne maperçus pas quIl me détachait de larbre pour mallonger sur le sol herbeux. Quand je repris mes esprits, Il était assis sur une pierre au bord de leau et me regardait en souriant.
- Ma chienne, jai anticipé un peu lheure de ta jouissance, mais Je suis Le Maître, et je décide quand, où et comment, Je veux te donner du plaisir ! Et maintenant viens donc, en rampant à Mes pieds. Tu dois encore me nettoyer.
Alors telle une chenille qui se déplace en ondulant, jarrivais jusquà Lui. Après Lui avoir nettoyé toute trace de sécrétion sur Son sexe, Il mordonna de me laver dans la crique, avant de pouvoir me rhabiller. Leau était fraiche mais revigorante et cela me fit du bien. Nous retournâmes ensuite chez moi pour la soi-disant nuit de noce car la coutume veut que les mariés quittent les invités avant eux. Nous devions partir le lendemain. Le Maître qui devinait que jaurai du mal à me séparer de ma famille prétexta être fatigué, et me laissa un long moment, au retour de la famille en pleine nuit, à discuter avec mes surs, jusquau petit matin. Cétait pour cela que, toujours prévenant et attentif à mon bien-être, comme à celui de tous ceux qui Lui appartenaient, Il avait décidé de moffrir cet orgasme nuptial plus tôt dans la journée. Nayant donc pas dormi de la nuit, la seule exigence que je reçus dans lavion qui nous ramenait au Château, fut de me coucher, nue, sur une couverture, et de me reposer, laissant à soumise Keira MDE le devoir de satisfaire les trois Dominants qui, eux étaient frais et dispo.
Ça avait été une magnifique surprise que le Maître avait orchestrée pour moi ! Ce mariage improvisé, ce retour à ma vie vanille, ce moment de ressourcement au pays de mon enfance, mavaient fait un bien fou. Je ne métais pas rendue compte à quel point jen avais besoin ! Dieu que jaimais cet Homme, ce Maître si merveilleux auquel javais limmense chance et bonheur dappartenir !
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!