Récit Libertin De Jean - Episode 1 - Découvertes
Je m'appelle Jean, j'ai 21 ans et je suis plutôt pas mal physiquement. J'ai des cheveux châtain clair légèrement bouclés, des yeux foncés, un menton large, un beau sourire et une forme élancée. Malgré cette apparence à mon avantage, je n'ai encore jamais couché avec une fille et même mes conquêtes sont rares car je n'ose pas faire le premier pas et je ne sais pas réagir correctement quand une fille me drague. Je ne sais pas pourquoi mais je suis soudain pris de panique et je dis n'importe quoi, souvent jusqu'à déplaire à la fille qui m'avait jugé attirant.
Pour mes études, j'ai déménagé dans une petite ville où la majorité des gens sont des couples avec s ou des personnes âgés et, soyons honnêtes, si je n'ai pas réussi à perdre mon pucelage quand j'habitais en ville, ça risque d'être encore plus difficile ici. Cependant, je vois que j'accroche souvent le regard des mères de famille mais je me dis que ça doit être pour se changer de la routine et qu'il y a peu de chances qu'elles franchissent un jour le pas. Je sais que moi, je ne le franchirai pas. Le commérage est monnaie courante et je ne vois pas comment une femme d'un âge plus avancé que le mien pourrait venir me draguer dans une ville comme celle-ci.
Le mois de septembre est passé et celui d'octobre vient de débuter avec des températures très douces pour la saison. Je fais mes courses au supermarché quand je vois arriver une femme avec ses deux s que je n'avais pas encore croisé sinon je l'aurai remarquée. Elle a les cheveux un peu plus foncés que moi et des yeux d'un bleu profond. Ce jour-là, elle porte une jupe d'été flottante qui s'arrête au-dessus des genoux. Elle a une belle poitrine qu'on devine sous un petit haut blanc qui laisse voir un peu son ventre. Je suis subjugué par la beauté de cette femme. Son sourire est doux et sa voix l'est tout autant quand elle s'adresse à ses s. Je la détaille, je la trouve superbe et je sens un début d'érection naître. Cela doit faire une minute ou plus que je l'observe quand ses yeux croisent les miens, qu'elle me sourit et que je sens mes joues devenir rouges avant de baisser les yeux.
Une fois chez moi, je m'assois dans le canapé-lit et je sors la carte de ma poche. Elle s'appelle Élise. Elle habite un endroit dans les environs que je ne connais pas. Il y a son numéro de téléphone également. Je tremble en tenant la carte et je ne sais pas quoi faire. Elle me plaît, c'est indéniable mais je ne sais pas quoi faire. Je ne risque pas de l'appeler, je me retrouverais stupide. Je décide d'étancher ma curiosité en cherchant sur internet son domicile. C'est une maison isolée qui semble assez grande. Je vais lui envoyer un sms. Que dois-je écrire ? Mes doigts essayent de se donner de la contenance alors que mon cerveau leur envoie des messages sans suite logique et impossible à écrire. Finalement, après plus d'une heure d'indécision, je me décide à écrire : "Vous êtes très belle". Il se passe encore de longues minutes avant que je me décide à envoyer le message qui est banal mais je ne sais que dire d'autre. Elle m'a sans doute trouvé très maladroit à la caisse et je ne lui plais peut-être déjà plus.
Je ne sais pas quoi répondre. Dois-je vraiment répondre ? Est-ce que cet ordre appelle à une réponse ? Non, je ne crois pas. Je regarde l'horloge, il est déjà près de 18h et je dois prendre une douche si je veux être présentable. Je devrais peut-être aussi me masturber si je ne veux pas jouir juste en la voyant. Mon sexe est à moitié dur depuis que j'ai reçu sa réponse et je n'aurai pas de mal à me faire jouir. Je suis sous la douche, l'eau coule sur mon corps, j'entame de caresser mon sexe doucement en pensant à cette femme et il prend de la vigueur directement. Je l'agite de plus en plus vite et il ne me faut pas longtemps avant de voir plusieurs longs jets de sperme s'écraser contre la paroi vitrée. Cela ne suffit pas vraiment à calmer mon sexe mais les pensées qui suivent s'en charge. Elle ne voudra sans doute pas coucher avec moi le premier soir, elle cherche sans doute un peu de compagnie, elle doit être divorcée. L'heure tourne et je dois encore choisir des habits. Mes sous-vêtements ne sont pas des plus sexy mais il y a un boxer noir que dans lequel je me sens confortable. Je mets le pantalon que j'avais acheté pour le mariage de ma cousine cet été et une chemise bleu clair. J'ajoute un peu de parfum et je suis prêt. Je regarde une dernière fois l'itinéraire avant de monter dans la voiture. Il est 19h30.
Mon cur bat la chamade alors que j'essaie de me concentrer sur la route. Je revois cette femme, ses jambes et sa poitrine, son doux visage et ses yeux profonds. Mon sexe est à nouveau dur. Je ne croise qu'une voiture sur la petite route qui mène à sa maison et je dois m'arrêter pour la laisser passer. Le conducteur, un sexagénaire me remercie et j'ai l'impression que les s assis derrière sont ceux de Élise. Cela voudrait-il dire que nous serons seuls ? Cela m'excite encore plus et je dois redoubler d'efforts pour me concentrer sur la route plutôt que sur mon érection qui est à l'étroit dans mon boxer.
Je me gare après avoir vérifié le nom sur la boîte aux lettres et m'approche de la porte d'entrée. J'ai l'impression que mon cur va sortir de ma poitrine tellement il bat fort. Je sonne, j'ai un peu froid avec seulement ma chemise mais c'est tant mieux car ça calme un peu mes ardeurs. J'entends qu'on s'approche de la porte et là, à ma grande surprise, ce n'est pas Élise mais un homme d'à peu près son âge qui m'ouvre. Je ne sais plus où me mettre, j'essaye de bredouiller quelque chose mais aucun mot ne sort de ma bouche, il me sourit et m'invite à rentrer. L'homme est brun, les cheveux bouclés avec les yeux noirs et il fait à peu près ma taille et à un petit peu d'embonpoint. Je suis décontenancé, j'ai l'impression d'être au mauvais moment, au mauvais endroit. Élise est là, en train dapprêter la table pour trois personnes. Les s sont donc partis et je suis donc invité mais ce n'est sans doute pas ce à quoi je m'attendais. J'essaye de reprendre mes esprits. Tant bien que mal et au bout d'un certain moment, j'arrive à répondre un "bonsoir" aux leurs. Cela dit, le fait de voir un homme m'ouvrir a calmé mes ardeurs.
L'homme se présente, il s'appelle Benjamin. Il m'invite à masseoir dans le canapé et me propose de me servir un apéro. Après avoir énuméré les alcools présents chez lui, je jette mon dévolu sur un kir qui me permettra de garder la tête froide. Il sert la même chose pour sa femme qui nous dit qu'elle nous rejoint dans quelques secondes. Il s'assoit dans un fauteuil et laissant libre pour sa femme la place à côté de moi. Je l'ai aperçue dans une très courte robe noire et j'ai peur que sa présence à mes côtés ne réveille à nouveau les ardeurs dont je m'étais départi. Quand elle arrive dans le salon, elle passe devant moi et ses fesses sont au niveau de mes yeux. Comme prévu, elle s'assoit à côté de moi et cela fait remonter encore plus sa robe le long de ses jambes et je ne pense pas qu'il y ait plus de deux centimètres qui sépare le haut de la robe de son sous-vêtement.
C'est Élise qui nous invite à passer à table et en prend la direction sur ses talons comme pour nous montrer le chemin. Je suis assis seul sur un côté alors que Benjamin et Élise me font face. Alors qu'il me sert un autre verre de blanc, Élise sert les entrées. Je n'ai pas avalé ma première bouchée que je sens un pied remonter le long de ma jambe. Cela m'empêche de manger ou de boire car mes mains tremblent et ma bouche est sèche. J'arrive à prétexter que je dois passer aux toilettes et après avoir reçu les explications concernant la direction à suivre, je m'éclipse. Je ne risque pas de pisser avec l'érection que j'ai dans mon pantalon mais je tamponne mon visage avec de l'eau froide pour me calmer. J'en bois un peu aussi car j'ai le palais excessivement sec. Au bout de cinq minutes, je suis de retour. Ils papotent tout en mangeant et en sirotant leur vin. Le pied ne revient pas le long de ma jambe et j'arrive à me concentrer sur mon repas. Quand Élise se lève pour aller chercher le plat de résistance, je vois ses fesses aller de gauche à droite et je trouve ça beau. Je dois la fixer car Benjamin s'en aperçoit et me dit : "C'est une belle femme ? ". Sans y penser, je réponds oui. Il me dit alors que ça ne le dérange pas que je la regarde, qu'il est même fier que sa femme plaise. Il me sert à nouveau du blanc et trinque à la beauté de sa femme. Je ne sais pas pourquoi mais cela me met un peu plus à l'aise. Le vin y fait sans doute aussi. Élise revient avec du poisson et du riz. Une fois les assiettes terminées, Benjamin propose un dessert mais Élise n'en veut pas et vu le mal que j'ai eu à avaler le reste, je décline aussi. Élise fait remarquer qu'elle n'a pas fait visiter la maison et le couple s'y attelle donc. Nous passons les chambres des s et leur salle de jeu, le bureau de Benjamin qui travaille à la maison et nous arrivons à leur chambre. Le lit est immense et la chambre est décorée. Il y a des petites lumières allumées dans des alcôves et un grand miroir sur un mur. C'est décoré avec beaucoup de goût et Élise me demande si ça me plaît. Je réponds par l'affirmative et elle m'invite à rentrer.
Etant donné qu'ils sont de part et d'autre de la porte, je vais devoir en frôler un ou l'autre pour rentrer. Je me décide à frôler Benjamin pour paraître plus poli. Quelle n'est pas ma surprise de sentir son érection au niveau de ma jambe. Je ne sais plus où me mettre et quoi penser alors que je suis dans leur chambre. Je suis passé, ils sont derrière moi et après ce que j'ai senti, je n'ose pas me retourner. Une main se pose sur le haut de ma cuisse et glisse doucement vers mon sexe. Je baisse les yeux et vois que c'est celle d'Élise. Mon sexe est à moitié dur mais la caresse sans équivoque fait qu'il durcit d'un coup. La main remonte vers ma chemise et une seconde arrive de l'autre côté. Je peux sentir ses tétons quand ils effleurent mon dos. Les mains s'affairent à ouvrir chaque bouton de ma chemise. Le contact de la main chaude d'Élise sur mon buste m'électrise. Je suis tétanisé et mon sexe est bloqué dans mon boxer. Une fois l'ensemble des boutons défaits, elle écarte les pans de ma chemise et l'enlève doucement. Ses mains quittent mon corps en même temps que la chemise, je suis planté là. Elle glisse à mon oreille que si je veux arrêter quelque chose, je dois utiliser le mot "supermarché" sinon, ils continueront. Elle me demande de hocher la tête si j'ai bien compris. Ce que je fais. De même si un d'eux prononce ce mot, je dois m'arrêter de même. Je hoche la tête à nouveau. J'ai bien compris les règles du jeu mais je ne sais pas du tout à quoi m'attendre. Excité comme je suis, je ne pouvais quacquiescer. Des mains touchent à nouveau mon corps au niveau de mon pantalon et longe la ceinture jusque à sa boucle. D'un geste énergique, la ceinture est ouverte et le bouton ne tarde pas à être ouvert également. Je baisse les yeux et la vision confirme ce que je savais. Ce n'est plus Élise mais Benjamin qui s'occupe de moi. Je ne suis pas un pédé. Je vais tout arrêter, ça va trop loin pour une première fois. Benjamin fait une pause car il semble sentir que je suis dans l'hésitation. Je ne dis rien. Il me demande : "Je continue ? ", je hoche la tête en signe d'approbation. Ses mains continuent donc leur travail, elles ouvrent la fermeture éclair et le pantalon tombe sur mes chevilles en révélant l'érection qui est bloquée dans mon boxer. Élise passe devant moi et m'enlève chaussures et chaussettes avant d'enlever totalement le pantalon. Je suis quasiment nu devant un couple de trentenaires qui a l'air d'en connaître un rayon sur le sexe et d'être en plus très cochon. Pour être honnête, ça me fait peur et ça m'excite terriblement. Je n'ai jamais touché une femme mais je n'ai jamais touché un homme non plus. Mon sexe est dur comme jamais et je me sens proche de l'éjaculation sans même que mon sexe a été effleuré de peau à peau. Élise s'est relevée et m'embrasse pendant que son mari me caresse le dos et me fait des petits bisous dans le cou. Il glisse sa main dans mon boxer et prend mon sexe. Je respire très profondément pour ne pas éjaculer mais c'est très difficile. La situation m'a mis au bord de l'orgasme et ça ne me paraît pas possible de redescendre. Il a mis mon sexe dans une position plus confortable pour moi : légèrement sur le côté mais il est toujours dans le boxer. Élise m'invite à me mettre à genou et Benjamin emmène mes mains dans mon dos. Des menottes y sont mises et Élise se dirige vers le lit. Elle m'intime l'ordre de ne pas bouger. Son mari la rejoint bientôt. Ils me regardent tous les deux alors que je suis à genou, les mains liées et avec une érection prête à exploser. Élise me demande : "Combien as-tu eu de partenaires sexuels ?". Je ne sais pas quoi répondre. Si je dis que j'en ai eu, ils verront très vite que ce n'est pas le cas mais si je leur dis la vérité, ils ne vont peut-être pas vouloir continuer. Cette question a au moins pour avantage de réduire drastiquement la taille de mon érection et l'excitation qui va avec. Je n'ai toujours pas répondu quand elle dit : "ça n'est pas grave, on va t'indiquer comment faire". Ils doivent avoir des dons de télépathie car elle a clairement lu dans mes pensées comme l'avait fait Benjamin quelques minutes avant.
Benjamin s'approche d'elle, l'embrasse puis la caresse, d'abord les mains puis les bras puis les épaules. Les mains descendent ensuite le long du dos, passent sur les fesses sans s'attarder et caressent les jambes puis les pieds. Élise me regarde droit dans les yeux avec un air de défi. Je comprends que si je veux m'occuper d'elle faudra que je fasse pareil. Elle détourne ensuite le regard pour s'occuper de son mari. Elle lui retire doucement ses vêtements et caresse la peau. Une fois le pantalon retiré, je vois qu'il porte un string de couleur bleue qui rentre bien dans ses fesses mais qui a vraiment du mal à masquer l'érection de son sexe suite aux caresses qu'il m'a prodigué et celles que sa femme est en train de lui faire. Le spectacle a revigoré mon érection mais je ne suis plus au bord de l'orgasme. Elle joue quelques temps avec le sexe emprisonné puis le libère. Elle enlève totalement le string et se met à quatre pattes pour commencer une fellation. Elle s'est positionné de telle manière que je voie ses fesses et son string, bleu également, qui cache son sexe. Elle doit s'y prendre à merveille si j'en juge par les traits du visage de Benjamin qui se sont crispés. Elle bouge la tête et les mains très vite et je me dis que j'aurais ça par la suite. Cette pensée fait encore monter mon excitation. C'est au tour de Benjamin de me regarder droit dans les yeux. Il invite Élise à arrêter et se dirige vers moi. Il est totalement nu et son sexe pointe dans ma direction. Étant à genoux, je sais que quand il arrivera à mon niveau, son sexe sera au niveau de mon visage. C'est ce qui arrive. Il m'ordonne : "suce". Je ne sais pas si j'ai envie de sucer un homme mais mon corps excité n'est plus en capacité de réfléchir. J'ouvre la bouche et sors ma langue pour établir un premier contact avec le sexe gonflé de désir que me présente Benjamin. Je lèche d'abord pour m'habi puis très vite, j'ai envie de prendre le gland dans ma bouche. Je suce. J'y mets tout mon cur et Benjamin semble apprécier le traitement. J'aperçois de temps à autre Élise qui se caresse les seins sous la robe et même parfois le sexe au travers de son string. Le miroir donne des perspectives que je n'aurai pu avoir. La situation m'excite tellement que je ne me peux plus me retenir et j'éjacule. Je lâche le sexe de ma bouche pour pouvoir crier mon plaisir. Mon boxer est maculé de sperme mais c'est vraiment bon.
Je m'imaginais à tort que je serai libéré une fois mon orgasme venu mais ce n'est pas le cas, ils me regardent en souriant tendrement et se remettent tous les deux sur le lit. Élise lève sa robe doucement pour la passer au-dessus de sa tête et révèle ses seins superbes. Elle n'est plus qu'en string et Benjamin la caresse de par derrière en s'attardant principalement sur les seins et son sexe. Elle agite son corps de plus en plus violemment au rythme des caresses qu'elle reçoit et je peux voir de là où je suis que son string est vraiment mouillé. Benjamin passe une main de chaque côté de ce dernier et le fait glisser le long des belles jambes d'Élise. Elle est totalement épilée et je vois la naissance de son sexe alors qu'elle garde les jambes fermées en les bougeant de gauche à droite. Son mari les ouvre et je découvre son sexe gorgé de plaisir et qui suinte le liquide du désir. Elle descend rapidement une main sur son sexe et commence à se masturber. La seconde malaxe les seins et Benjamin s'approche de moi avec le string dans la main. Il me le met sous le nez et le passe sur mes joues. Il sent bon et est vraiment trempé. Il le loge dans une de mes mains et je le serre. Le spectacle que donne sa femme et le stimulus olfactif n'a pas tardé à réveiller un nouveau début d'érection. Benjamin m'aide à me lever et fait glisser mon boxer le long de mes jambes pendant que sa femme se masturbe en me regardant. Elle a deux sexes gorgés de plaisir devant elle et je peux dire que le mien est un tout petit peu plus imposant que celui de son mari. Il commence à se frotter à moi et nos sexes sont l'un contre l'autre. Cela m'excite énormément et je me dis que j'ai peut-être eu tort de ne jamais participer aux petites caresses qu'il y avait sous la douche après les cours de sport. Il passe derrière moi et me fais des bisous dans le cou tout en me masturbant. Sa femme nous regarde en se caressant aussi. Le sexe de Benjamin frotte désormais contre mon sillon fessier et j'écarte un peu les jambes pour le serrer un peu entre mes fesses. D'une main, j'essaye de le pousser afin qu'il arrive dedans. Je ne veux pas qu'il me pénètre mais qu'il caresse mon anus comme je le fais parfois avec mes doigts quand je me masturbe. Benjamin se positionne un peu plus loin afin de faciliter ma tâche mais ne cesse pas de me masturber. Son sexe est dur contre mon anus et mon sexe est presque douloureux après le premier orgasme mais cette fois, je suis sûr que l'éjaculation arrivera plus tard. Son sexe se fait plus pressant alors qu'il s'approche de moi pour me glisser à l'oreille "Si tu veux que ma femme s'offre à toi, il va falloir que tu t'offres à moi". Il continue de me masturber pendant que je réfléchis. J'ai envie de cette femme qui est excitée devant moi mais j'ai peur d'avoir mal. J'aime les caresses que reçois mon anus. J'aime bien aussi la façon que cet homme à de me masturber et je me dis que je perdrais peut-être quelque chose en refusant. La situation est vraiment excitante et mon anus est déjà bien dilaté par les caresses qui lui ont été prodigué. Je ne dis toujours rien mais je hoche la tête pour faire savoir que je veux bien. Je lui demande quand même de faire très doucement. Il me libère de mes liens et me demande d'apporter mon boxer à Élise. Je m'exécute et dès qu'elle a le tissu taché dans les mains, elle le sent et elle le lèche même en me regardant dans les yeux. Elle m'invite à me mettre à quatre pattes et att un tube de lubrifiant dans une des tables de nuit. Elle le tend à son mari pendant qu'elle m'écarte les fesses. Le liquide est froid mais permet une introduction rapide d'un doigt dans mon anus puis un second arrive. Il les met de telle manière que ça me masse la prostate et je prends beaucoup de plaisir. Au fur et à mesure qu'il tourne, je sens que mon anus se dilate encore plus. Il retire ses doigts et se badigeonne le sexe. Élise tient mes fesses écartées pendant que je serre très fort le string que j'ai gardé dans ma main. Je sens le sexe venir de nouveau caresser mon anus et je le sens me pénétrer lentement. Ce n'est pas désagréable. Millimètre par millimètre, le sexe s'introduit dans mon anus jusqu'à ce que je sente les boules de Benjamin venir heurter les miennes. Élise lâche mes fesses et se positionne sous moi pour me sucer pendant que son mari m'encule. Lentement au début mais de plus en plus vite. C'est vraiment bon. Je sens mon anus bien dilaté qui veut serrer de temps en temps le sexe qui est en lui. Chaque aller-retour masse ma prostate et Élise se donne du mal à me faire du bien. A ce rythme-là, je ne tiendrai pas longtemps. Ils le voient et redouble d'efforts. Benjamin dans mon cul et sa femme sur mon sexe. Mon anus totalement dilaté n'offre plus aucune résistance à la puissante pénétration dont me gratifie Benjamin. Élise bouge une main le long de mon sexe en jouant de mon gland avec ses lèvres et de l'autre main nous caresse les couilles. C'est vraiment bon. Je ne tiens plus. Je vais exploser au moment où je sens le sexe de Benjamin se gonfler encore plus et lâcher sa semence par à-coups dans mon cul. Je jouis quasiment au même moment et Élise avale tout. Cette fois-ci je suis vidé et je ne sais pas si je pourrais avoir ma récompense. Benjamin se retire et je me couche sur le dos.
Élise en profite pour reprendre mon sexe en main et bientôt en bouche. A ma grande surprise, j'ai une nouvelle érection et quand son mari vient l'aider, mon sexe a retrouvé toute sa forme. C'est à la fois douloureux et bon. Deux bouches s'affairent sur mon sexe et c'est vraiment plaisant. Cependant, ça ne dure pas car elle s'empale vite dessus tellement elle est excitée par ce qui vient de se passer. Je ne sais pas quoi faire de mes mains dont une tient toujours le string d'Élise serré et c'est Benjamin qui mène un pouce sur le sexe de sa femme et une main sur les seins. Pendant ce temps, il s'occupe de son autre sein et, j'imagine, de son anus car je sens le dos de sa main toucher mes boules de temps à autre. Les mouvements qu'elle donne à son bassin font que je sens l'ensemble de son vagin autour de mon sexe parfois devant, parfois derrière, parfois à gauche, parfois à droite. Elle serre les muscles de temps en temps et cela me donne un plaisir inimaginable. Je sens son vagin se contracter plus violemment autour de mon sexe, c'est excessivement bon. Je sens également son liquide couler le long de mes testicules. Son mari me dit de frotter le sexe plus fort encore alors qu'il pince violemment le sein qu'il tient. Elle se met à crier son plaisir et à ce moment, je ne suis pas loin d'avoir mon quatrième orgasme. Mon sexe est en feu mais c'est si bon. Elle respire un peu puis recommence sa cavalcade. Je n'en peux plus. Elle jouit de nouveau mais je ne peux plus m'occuper d'elle, je ne suis plus dur qu'à un seul endroit. Tout mon corps est liquide tellement il a été inondé de plaisir. C'est son mari qui prend le relais et je sens qu'il frotte rapidement son clitoris et malaxe ses seins plus durement que je ne le faisais. Cela a pour résultat de lui soutirer un nouvel orgasme qui est suivi de près par le mien. Elle se retire et s'allonge à mes côtés. Son mari s'allonge sur elle est lui fait l'amour. Elle ne bouge plus, elle ne fait quapprécier d'avoir le sexe rempli par celui de son mari qui la prend en lui disant des mots crus. Je m'aventure à lui caresser les seins et le clitoris. Elle essaye de se libérer des mains de Benjamin pour me faire signe d'arrêter mais il me dit de continuer, que si elle veut arrêter, elle connaît le mot. Elle ne dit rien et je continue donc jusqu'à ce qu'elle ait un orgasme en même temps que son mari. Il reste longtemps en elle après avoir éjaculé et quand son sexe ressort, il est tout flasque. Elle sort du lit et se tient droite face à nous. Elle écarte les cuisses et le sperme coule sur le sol. Ils m'invitent à me rhabiller et rentrer chez moi. Je peux garder le string. Benjamin précise : "On a ton numéro".
Dans la voiture, je repense à cette soirée et je me sens plus sûr de moi. Je sais que j'aime le sexe et je sais un peu mieux comment m'y prendre avec une femme même si j'ai bien conscience que je ne suis pas vraiment à l'origine des multiples orgasmes d'Élise. J'ai appris aussi que je pouvais prendre du plaisir avec un homme et ça, je ne le soupçonnais pas. J'arrive chez moi, il est 23h30, je prends une douche et je n'ai aucun mal à m'endormir.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!