Une Nuit Inoubliable Avec Jenny.

Vendredi de la semaine passée, je revenais de Normandie, de Rouen plus précisément où mon travail m’avait contraint à un déplacement d’une semaine…
J’étais sur l’autoroute A.13 quand j’ai réalisé que je ne passais non loin du domicile de mon ami B…, un photographe qui réalise de magnifiques clichés en intérieur ou en extérieur dans le grand jardin qui entoure se maison.
En plus et ce n’est pas pour me déplaire, il a toujours des jolies filles qui gravitent autour de lui car sa réputation d’artiste les attire.
Et je pense, bien que nous n’en ayons jamais parlé, que quelques une doivent passer dans le lit de ce vieux coquin célibataire.


Lorsque je suis arrivé, il venait de commencer une séance de prise de vue avec une jeune femme blonde aux longs cheveux descendant presque au milieu du dos. Tout de suite, j’ai vu que ce n‘était pas une blonde naturelle car les racines des cheveux, les cils et sourcils étaient châtain foncé. Sa bouche étroite, son nez droit et yeux marron ombrés de longs cils artificiels lui faisaient un bien joli minois.
Après m’avoir invité à m’asseoir avec un bon demi de bière belge, mon ami B… a repris sa séance de pose : Il donnait ses directives à la fille qui aussitôt, prenait l’attitude demandée ou minait certains gestes.


Le modèle portait un haut en coton noir et épais dans le tissage laissait apparaître sa peau blanche dans les découpes du tissus. Le dos était entièrement décolleté puisque le devant n’était maintenu que par un fermoir perdu dans les longs cheveux de la fille…
Lorsqu’elle portait à sa bouche une flute de champagne à moitié pleine, on pouvait apercevoir brièvement ses deux canines blanches…
Elle était assise sur une sorte de tabouret de bar fait d’une armature métallique avec un siège en plastique transparent…
Elle lassait courir sa main libre sur son buste, passant et repassant sur ses seins masqués par le tissus puis elle est descendue sur ses hanches avant de relever l’ourlet de sa jupe de satin vert et faire apparaître des bas fumés maintenus par des jarretelles fines, d’un vert assorti à celui de la jupe.


En fait, elle semblait libre d’agir à sa guise, mon ami B… prenant cliché sur cliché…
Çà devenait torride ! La fille semblait comme sur un nuage et continuait à remonter sa jupe, laissant apparaître le string couvrant le serre taille…
Elle ne semblait pas gênée par ma présence et j’étais de plus en plus excité par le spectacle auquel je ne m’attendais pas…


Je trouvais la fille bien jolie… je lui donnais à peu près la moitié de mon âge et c’était un régal pour les yeux d’autant qu’elle a serré les pans de son haut entre ses mains, dévoilant de jolis petits seins à peine renflés sur le buste…
Elle nous a ensuite tournés le dos pour faire glisser sur ses hanches, la jupe serrée et le string… qu’elle a fait descendre le long de ses jambes en s’aidant de ses pieds chaussés d’escarpins aux talons vertigineux.
A nouveau, elle s’est penchée ostensiblement en nous tournant le dos, dévoilant des fesses rondes et bien fendues… et ses orifices au fond de la raie… Oh la coquine !
Mon ami ne semblait pas déstabilisé par le spectacle… et il continuait à prendre photo sur photo d’une scène qui tournait carrément à l’érotisme voire à la pornographie.


Je passe volontiers sur la suite de la séance de pose…
Au final, la fille était complètement nue et se caressait le sexe avec un gode d’une belle taille…
Bernard en avait assez… et il a dit à la fille !
• Jenny, va à la douche, il me semble que tu en as besoin pour calmer ta libido et rejoins-nous au salon !
• OK….çà marche… Ensuite je m’occupe du diner… pour 3… il me semble ?
• Oui, bien sur ! Tu restes avec nous ?
• Pourquoi pas… nous serons en charmante compagnie je trouve !

Quand Jenny est revenue de la douche, je n’imaginais pas que peu de temps avant, je la vais vue nue, dans des poses lascives et très érotiques : Elle portait un pantalon en latex noir qui lui faisait comme une seconde peau et de bottines noires également.
En haut, elle n’avait qu’un soutien gorge en latex également et un tablier de soubrette agrémenté de dentelle blanche. Ses longs cheveux blonds étaient remontés en un chignon lâche qui dégageait un cou gracile.
• Ah… tu as retrouvé ta tenue de l’autre jour… C’est bien !
• Oui… elle me plait bien ! Je joue la soumise qui honore son maître !
• Et çà te plait ?
• Oh oui… j’adore me soumettre à un homme ou une femme !
• Bon… si tu veux manger un peu avant de repartir sur Paris, mets-toi au boulot !
Et dans un grand éclat de rire elle s’écria :
• Oui Maitre !


Le repas servi par Jenny s’est déroulé comme un enchantement… entre échanges de souvenirs et de propos quelques peu égrillards, souvenirs coquins des uns et des autres, nous n’avons pas vu passer le temps…
J’ai eu la confirmation de ce que je pensais : mon ami B… ne crachait pas sur ses modèles… Il nous a raconté comment une jeune asiatique lui avait fait du gringue pendant plusieurs séances pour finalement se jeter à son cou…
Jenny n’était pas en reste… Outre les photos de charme qu’elle avait commencé très tôt, elle était également actrice pour des films pour adultes et elle nous raconta sans honte comment elle s’était fait dépuceler le cul lors d’un tournage alors que cela n’était pas prévu dans le scénario !
De mon côté, je racontais quelques bonnes fortunes qui m’étaient arrivées dans des clubs naturistes que je fréquente l’été et les clubs échangistes qui sont mon « terrain de chasse » l’hiver.


Le temps a passé si vite que Jenny n’avait plus de train pour rentrer sur Paris ce qui fait que je lui ai servi de chauffeur pour son retour.
Elle avait à peine pris place dans la voiture qu’elle me passait la main dans le cou avant de la descendre au niveau de mon sexe. Elle s’est collée à moi en disant :
• Tu me plais bien toi… je sens qu’on va bien s’amuser !
• Où va-t-on ? Chez moi ou chez toi ?
• Chez moi… je préfère… j’ai mes habitudes et je veux encore prendre une douche avant la nuit !
• Comme tu veux !


Un peu moins d’une heure plus tard, j’entrais à la suite de Jenny dans un vaste studio dans le Quartier Montmartre.

Pendant le court trajet sur le trottoir, Jenny s’était collée littéralement à moi et je sentais sa hanche contre la mienne, comme une promesse d’autre chose…
En moi-même je pensais que j’avais eu une fameuse idée en passant voir mon ami : je n’avais rien de prévu pour le weekend qui en principe devait être consacré au repos du fait de l’absence de ma copine du moment !
• Mets-toi à ton aise… je passe sous la douche et si tu veux tu peux me rejoindre pour me frotter dans le dos !
• Merci de ton invitation… je te rejoins tout de suite, j’ai moi aussi besoin d’une douche et j’ai envie de découvrir ton corps de mes mains…
• Coquin… mais çà me plait…

C’est ainsi que je me suis retrouvé avec Jenny dans l’immense cabine de douche où nous avons commencé à nous enduire de gel parfumé, profitant au passage pour nous exciter…
C’est vrai que Jenny était une « belle plante », grande, à la silhouette déliée de fille de 20 ans, sa jolie petite poitrine tenait au creux de mes mains et je ne me privais pas de faire rouler les tétons dans ma paume… les sentant poindre comme deux pois !
Pendant ce temps là, Jenny se frottait à moi, emprisonnant mon sexe dressé entre ses fesses où elle le faisait rouler…
Humm… que c’était bon… la fatigue de la route était envolée…
Nous nous sommes séchés mutuellement sans oublier de nous caresser au passage…
Jenny masturbais mon sexe qui était déjà bien bandé et moi, je fourrageais de plusieurs doigts dans sa chatte qui bavait de plus en plus… Elle était très réceptive !
• Viens… allons sur le lit… on sera mieux pour baiser… Je sens qu’on va bien s’amuser !
• Ok… montre moi le chemin… je te suis… et je suis à toi !
Jenny a pris ma main et m’a précédé dans sa chambre où un grand lit rond nous attendait ! Notre reflet se multipliait dans les nombreux miroirs tapissant les murs.
Devant mon regard surpris, Jenny a précisé :
• Quand j’ai acheté le studio, j’ai fait reproduire le décor que j’imaginais être celui d’une chambre de maison close… çà me plait bien… En plus quand je baise, on peut se voir sous tous les angles ! Allonge-toi sur le dos, je vais te sucer un peu… après on passera aux choses sérieuses !

Quelques minutes plus tard, je bandais à nouveau comme un cerf en rut et quand Jenny s’est placée en levrette sur le lit, je n’ai pas résisté à l’appel de son joli fessier, d’autant que j’ai découvert dans son sphincter un joli petit Plug.

J’ai pris les hanches de Jenny entre mes mains et sans me guider, je me suis introduit dans sa chatte chaude et humide…
J’allais m’efforcer de lui donner beaucoup de plaisir… ce n’est pas tous les jours qu’à 40 balais un peu passés, on peut se mettre une jeunette de 20 ans au bout de la queue, en plus une habituée des tournages X…
J’allais et venais dans cette chatte de plus en plus humide… Je sentais ma jouissance monter dans mes reins et Jenny me semblait de plus en plus réceptive… pour finalement jouir presque tous les deux ensemble !
• Waouh… Tu m’as baisée comme une reine… je n’ai pas eu besoin de simuler comme je le fais parfois dans les films… Tu n’as envoyée en l’air comme rarement !
• MERCI… C’est gentil… mais j’ai bien joui moi aussi !
• Je pense que ce n’était qu’une entrée en matière… si on peut dire ?
• Tu as tout compris ! J’ai des réserves prêtes à satisfaire tes envies…

Je bandais encore à moitié quand Jenny m’a fait m’allonger à nouveau sur le lit… elle m’a enjambé et s’est placée, le sexe à cheval sur le mien et sans se pénétrer, elle s’est mise à aller d’avant en arrière, massant délicieusement mon sexe entre ses lèvres vaginales…
C’était chaud et la caresse furieusement bonne !
• Je te sens prêt ! Alors… à cheval !
En se soulevant un peu, elle a pris ma bite dans une main et s’est empalée sur mon sexe, continuant à aller et venir dans une caresse savante.
J’avais devant les yeux sa jolie petite poitrine avec des aréoles à peine visibles mais des tétons qui pointaient, gros comme un pois chiche… et sur lesquels j’ai immédiatement posé mes mains… J’ai fait rouler les pointes au creux de mes mains et Jenny s’est mise à ronronner comme une chatte…
• Ooohhh… Ooouuuiiii… C’eeessst boooon ! Continue…
Je n’avais pas besoin d’encouragements… Baiser une jeunette de plus de la moitié de mon âge qui en plus avait un appétit sexuel hors du commun, je n’allais pas m’en priver.
D’elle-même, elle montait et descendait sur mon sexe qu’elle enfouissait au plus profond de son vagin, un peu comme si elle trouvait que je n’allais pas assez loin. Hélas, je ne pouvais donner que ce que la nature m’avait offert : un membre relativement court mais trapu qui avait déjà contenté plus d’une femme !
De temps à autre, je projetais mon bassin vers le haut pour qu’elle sente bien ma bite aller le plus profond possible et elle m’encourageait toujours…
• Vas-y… envoie-moi en l’air… Ooohhhh… Oouuiiii… Je te sens bien… Baise-moi fort !
Je répondais du mieux possible à ses sollicitations et lorsque je me suis mis à jouir, lançant quelques belles giclées au fond de sa chatte, Jenny a joui aussi, inondant mon pubis de quelques jets translucides…
• Excuse-moi… j’aurais du te prévenir… quand je suis bien baisée, ma fontaine se déclenche !
• Mais c’était bon alors ?
• OUI… Tu m’as baisée comme une reine… Il faudra que je te fasse de la pub’.
• Je ne suis pas sur qu’un quadra, bientôt quiqua, ferait l’affaire !
• Pourquoi dis-tu cela ? On a même un papy de 70 ans qui tourne de temps à autre !

Jenny s’est allongée sur mon buste, les jambes repliées de part et d’autre de mon bassin et ma bite est sortie d’elle-même. Je nous voyais, bête à deux dos, dans les miroirs et j’étais de nouveau excité au possible…
Désormais, je n’avais qu’une envie : Prendre Jenny en levrette à nouveau pour avoir la vision de son petit fessier ouvert et ses deux orifices palpitant comme deux bouches invitantes !
Je n’avais aucune envie de la baiser « à la pépère » en me mettant sur elle comme le font certains vieux couples qui sont en mal de créativité.
Elle s’est laissé couler le long de mon torse, mordillant ou griffant mes seins au passage… Comment avait-elle deviné que cette caresse avait le don de m’exciter encore plus…
Puis elle est descendue jusqu’à mon nombril puis, encore plus bas elle a pris ma bite dans sa bouche pour l’enduire de salive avant de se relever pour dire :
• Dis donc mon cochon… Ton sperme et ma cyprine mélangés, çà fait un fameux mélange !
• Régale-toi !
• Je vais te faire renaître et tu vas me baiser à nouveau… Mon cul est dispo aussi si tu veux ! Mais là, il faudra te couvrir !
• Je sais… c’est une sage précaution… J’ai ce qu’il faut…
• Non, je te donne de quoi te couvrir !
Moins d’une minute plus tard, Jenny prenait la pose, le buste allongé sur les draps passablement froissés, la tête tournée vers l’un des miroirs et les mains écartant les globes de ses fesses…
Je me suis introduit d’abord dans sa chatte et j’ai fait aller et venir le Plug enfoncé dans son sphincter… et après l’avoir retiré, j’ai placé mon gland sur son œillet qui était resté ouvert et je me suis introduit lentement jusqu’à la garde.
• Oooohhhh…. Ooouuuuiiiiiiiiiii ! Je te sens bien ! Encule-moi comme tu m’as déjà fait reluire devant !

Je n’avais pas besoin de ses encouragements… Je sodomisais Jenny à longs traits, sortant assez souvent de son sphincter pour y plonger à nouveau avec délices… C’était un véritable plaisir de me sentir dans son boyau étroit pour moi qui ne suis pas très fan de la sodomie… Mais puisque cela lui plaisait… pourquoi priver ma partenaire ?
Je la sentais prête à jouir et je dois dire que je me retenais… Je voulais que nous partions ensemble si possible…
• Vas-y… Lâche-toi… Je vais jouir !
• Moi aussi !
• Alors… Viens !
Jenny, prenant son plaisir, s’est mise à ruer sur ma bite pendant que je me vidais une nouvelle fois en elle…
Après, j’ai perdu toute notion… Je me suis réveillé le lendemain, Jenny lovée contre moi. Suivant ma bonne habitude, je bandais à moitié mais là, mon sexe était entre les cuisses de la belle qui s’est retournée vers moi en disant :
• Ben mon cochon… T’es prêt à remettre le couvert !
• Oui… Pourquoi pas… mais ce que tu as senti est quasi habituel chez moi le matin !
• Et bien… on va y remédier ! J’ai envie que tu me bouffes la chatte et je vais te sucer à fond pour connaître le goût de ton sperme !

C’est ainsi que la journée a commencé…avec un 6 9 de belle manière qui nous a amené à une jouissance quasi simultanée.

Lorsque j’ai quitté Jenny en fin d’après midi, j’étais asséché au delà de ce qui m’était déjà arrivé…

Jenny… quelle ravageuse de sexe !

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