Collection Tabou. Les Mimosas (2/7)
Pour aider Kevin, mon fils ainsi quOlga, ma belle-fille ayant fait de mauvaise affaire, à éviter quils se retrouvent à la rue, je me retire dans le chalet de notre début de mariage leur laissant la jouissance de la grande maison.
Il me promet que rapidement, je serais grand-père, à cet égard, ma belle-fille venant me rendre mes vêtements lavés et repassés profite de ce que je bande ayant regardé ma rousse voisine pour une faire une fellation d'ouf.
Le vendredi, je suis à ma table de travail profitant de la douce chaleur de cette fin de matinée, les mimosas en fleurs embaumants lair quand je la vois monter avec son panier à course à la main, son regard se portant là où elle sait quelle va pouvoir assouvir son vice.
Beau-papa, jespérais que vous seriez descendue me voir ces matins après le départ de votre fils.
Sans plus se poser de questions, elle recule mon siège et vient se placer entre mes jambes, la salope, même si elle garde ses vêtements, le décolleté quelle me montre ne me cache rien, du moins pas grand-chose de sa poitrine.
Mon petit-fils aura de quoi se nourrir quand ils déborderont de lait, instinctivement, je bande, ce quil ne marrivait plus avec ma maîtresse qui devait me pomper et me caresser pendant de longues minutes.
Elle commence une fellation toujours aussi bonne que la première fois, je décharge dans sa bouche, son visage sirradie quand elle doit sentir mon sperme descendre le long de sa gorge.
Fellation, accro au sperme, bonne piste pour Blanche ma sudiste américaine avec Nat son esclave black, depuis le début de son histoire, je sentais quelle baisait comme sa mère hormis la dernière fois où elle sest empalée sur son dépuceleur en étant dessus.
Merci beau-papa, vous êtes vraiment plus poivré que votre fils, ça doit venir des plats de Chili con carné que je vous achète.
Je mexcuse de ne faire que vous pomper, je reste fidèle à votre fils, ma chatte est à lui.
Jai failli lui demander si elle se fait enfiler le petit, mais elle reste ma bru et je garde en mémoire les moments, ou je faisais l'amour à ma maîtresse faisant cocu son mari, elle adorait cela et je ne men privais pas.
Jallais dire son prénom et celui de son mari, je les avais déjà tapés, je les retire, par égard à toutes les femmes de Bormes-les-Mimosas ayant le même nom ainsi que part un fait du hasard le nom du mari.
Vous seriez capable daller la voir pour lui demander si cest elle la salope que jenfilais quand jallais chez elle.
Les jours passent, je vais souvent me baigner sans jamais me faire prendre, les terrains sont bornés, la piscine est choisie, les ouvriers viennent faire le trou et la maçonnerie, Olga vient régulièrement boire à ma source et Blanche avance dans ses turpitudes.
« Depuis que je monte et que je descends sur la verge de Nat, méclatant deux fois plus grâce à sa verge deux fois plus grosse que celle de Tom, je sais et elle sait que je suis en concurrence avec elle.
Une nuit où elle venait de se faire prendre, rugissant comme une lionne et quelle était partie semblant repu.
Javais pris sa place avec ma bouche, nouvelle pratique que Nat, sans me parler, mavait imposée en me prenant par les cheveux, jai eu du mal à la faire entrer, mais quand jy suis arrivé, jétais fière de faire ce que ma mère navait jamais fait.
La concurrence étant rude, je décidais de lexclure de nos ébats nocturnes, jai fait courir une rumeur, rapportant ses pratiques avec des noirs.
Quelques soirs plus tard où je mapprêtais à rejoindre Nat, jai entendu hurler dans la chambre de mes parents, je me suis approchée comme pourrait le faire une petite souris, la porte était mal fermée.
Une glace bien placée ma fait voir ce quil se passait, mère était ligotée le cul en lair sur le lit, mon père avait la cravache qui lui servait quand il allait visiter ses champs et voire si ses esclaves entretenaient bien ses champs darachides.
Nous laccompagnons de temps en temps dans notre calèche tirée par deux chevaux, conduite par Tom qui vieillissant devait sen occuper, jai souvent vu le morceau de cuir entamer les épaules de ceux qui lui déplaisaient.
Tu aimes la queue de nos noires, à partir de ce jour, je vais te traiter comme jaime leur faire voir qui est le maître ici, tu auras droit à ta volée pour te calmer.
Jai vu la cravache sabattre, rapidement le cul de mère a été massacré, ses cris se sont raréfiés pour faire place à des râles complètement différents.
Tiens, prends ça.
Jai vu la verge de père pour la première fois, rien de comparable avec celle de Nat, rapidement, jai la sensation de lendroit où il est rentré, jen ai confirmation quelques secondes après.
Alors, ma verge dans ton cul, salope, elle est aussi bonne que celle de ton noir, dans ta chatte, tu vas voir demain, je vais moccuper de lui. »
Je suis épuisé, il y a deux heures que jécris, je me douche, je mhabille et je descends vers le village, je passe devant chez ma voisine, je vois que le portail commence à souvrir, la voiture de la belle rousse arrive, mais ne peut sortir, car comme je lai vue de la fenêtre du chalet, elle sarrête.
Vous avez lair davoir un souci avec votre portail automatique !
Oui, il commence à souvrir et sarrête, quand je le ferme, le phénomène ne se reproduit pas.
Je suis votre voisin, enchanté de faire votre connaissance, ce doit être un contact qui se fait mal à louverture, permettez que je regarde, commandez la fermeture et après louverture.
Laissez, je vais appeler un réparateur, jenverrai la facture aux anciens propriétaires, cela fait partie des vices cachés, ils me rembourseront.
Permettez tout de même, que je regarde !
La porte manuvre deux fois, deux fois, le phénomène se reproduit, je vais chercher un tournevis, Olga pense que je viens me faire sucer, elle est déçue quand je repars, jai pris lhabitude de lui donner sa ration de sperme, elle ne perd rien pour attendre.
Essayez !
Ça marche, cétait un simple contact comme je vous lavais dit, voyez inutile de paniquer.
Je suis en retard, jai un rendez-vous à mon étude dans une heure, venez dimanche après-midi, je vous offrirais un café, il est annoncé du beau temps, si vous le désirez, nous pourrons nous baigner.
Pour votre gouverne, je mappelle Blandine.
Je manque éclater de rire, je vois la rousse se faire sauter par Nat le grand noir.
On mappelle Chris, à dimanche.
De retour du village, ayant entendu les derniers potins à la mode, je retourne à mon écriture, le rapprochement du prénom de mon héroïne et de ma rousse voisine minspirant.
« Blanche na pas rejoint Nat ce soir-là, elle est venue se blottir au fond de son lit, à trop vouloir éloigner sa mère de son bel amant, elle risque que demain, il soit tué.
Elle a souvent vu son père, châtié ceux qui le défiaient, pas plus tard quil y a huit jours, une de ses esclaves qui avait été prise à voler une brosse à cheveux de mère sétait vu infliger trente coups de fouet.
Dès le dixième, son dos était en sang, au trentième, les vieilles esclaves ont difficilement réussi à le sauver, tout cela pour rien, car deux jours plus tard en nettoyant la chambre de mère, une autre esclave a retrouvé la brosse tombée sous son lit.
Quand il a appris la vérité, au repas, père a éclaté de rire, nous assurant que tôt ou tard, elle les aurait mérités.
À lheure dite, tous les habitants de la plantation étaient réunis devant la demeure du maître, nous nous tenions sur la terrasse en bois à lombre, nos esclaves et leurs gardes restant à nos pieds en plein soleil.
Père se pavanait en seigneur sur son domaine, mère qui avait prétexté une migraine se tenait debout accrochée les bras à un poteau, pourtant une chaise avait été placée pour quelle sassoie, son cul devait être trop douloureux, son cul devait lui cuire.
Père a fait un geste, lun des gardes est parti vers les cases des esclaves, jallais voir sortir mon amant et hélas peut être le perdre définitivement.
Les minutes ségrenaient interminables, quand dans le soleil levant, jai vu sortir le premier de la case Nat tirant avec John un autre de nos esclaves le vieux Tom.
Il était juste vêtu dun pantalon le dos nu, il regardait mère les yeux pleins dincompréhension, cest quand il a été devant lui que père a pris la parole.
Je vous ai réuni aujourdhui pour châtier ce vieux serviteur, qui a essayé de fuir il y a deux nuits, mes gardes lont rattrapé, il va recevoir quarante coups de fouet.
Quarante étant le nombre de lieux quil avait franchis avant que Pedro le ratt avec ses chiens, que chacun de vous méditent sur ce quil arrivera, sil lui vient lenvie de nous quitter.
Un lieu, un coup de fouet, depuis que mon père ma cédé sa plantation aucun de nos esclaves ne, c'est échappé, passez-moi mon fouet.
Père a enlevé sa redingote, Mère avait eu droit à la cravache et semblait en porter les conséquences en restant debout, que dire des coups de fouet portés sur Tom,
Je nai jamais revu Tom, Nat aisé de John lont détaché, Nat l'a chargé sur ses épaules tellement musculeuses et emporté vers les vieilles femmes qui attendaient devant la case doù il lavait sorti.
Pourquoi Tom et pas Nat, je ne lai jamais su, jai supputé que père ayant été prévenu de la tromperie de mère avec un noir, il lavait pisté cette nuit-là, alors que de temps en temps elle allait se faire remplir le vagin par notre veille amant ?
Cest là quil lavait surprise et la suite, on la connaît, il avait châtié le serviteur pour le comportement de mère.
Pendant huit jours, jai épié mes parents, mère ramassait sa volée tous les soirs, tous les soirs, il lenculait semblant refusé dentrer par la voix utilisée par lesclave.
Javais gagné ça, elle était hors course, huit jours plus tard, je me glissais dans la nuit vers celui qui mattendait. »
Fatiguée, Blanche est repartie loin dans ma tête et je me suis endormi attendant dimanche avec une certaine impatience, une rousse, il paraît quelles ont un goût très poivré
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