Groupe De Vacances 49

GROUPE DE VACANCES 49
Ep 49 : LUC FAIT SA STAR


En revenant vers la salle principale nous étions surpris par les bruits qui nous parvenaient … C'étaient des éclats de rires, je ne savais pas ce qui se passait dans la salle de spectacle mais il semblait y avoir de l'ambiance !

Luc était toujours au micro. Le pasteur semblait désolé, il s'était retiré dans un coin et cachait son visage avec la main, il avait la tête penchée en avant. Luc se livrait au jeu des questions-réponses avec une grande aisance. Je savait que mon petit frère n'était pas du genre timide mais là … Il assurait le spectacle !

Il faisait preuve de beaucoup d'humour, de décontraction et semblait tout à fait à sa place ! Il reprenait le ton que j'avais donné …

Luc : Si tu le sens pas tu le mets pas …
… Il ne faut pas se forcer …
… Moi j'ai choisi de le porter mais t'es pas obligé de me suivre …

Personne ne s'était aperçu de notre absence. Personne ne remarquait notre retour … Je suivais Dominique tout en regardant le public, discrètement nous remontions la salle jusqu'à la porte d'entrée. Nous arrivions au niveau des journalistes, le cameraman avait un mal fou à ne pas rigoler, à ne pas trembler ( c'est mieux pour l'image ), sa collègue n'avait pas ce problème et ne se retenait pas … Nous passions juste à côté du pasteur qui ne nous remarquait même pas, je l'entendait murmurer …

Le pasteur : Mais mon dieu pourquoi j'ai organisé cette réunion ? C'est une catastrophe ? Mais pourquoi … Je ne pourrai plus jamais demander à quelqu'un de porter ce … Mais pourquoi j'ai organisé cette réunion ?

Même les quelques dames qui avaient semblé se raidir à certains moments de mon discours riaient de bon cœur. Elles était sous le charme de mon petit frère, il faut dire qu'il est très mignon mon petit frère, il me ressemble d'ailleurs ! … Bein quoi ? Vous vous attendiez sans doute que je dise que ne suis pas mignon ? … De nous deux c'est moi le plus mignon … D'abord !

Nous arrivions à la sortie, je n'avais pas vu Bob.

Il faisait toujours un temps magnifique et régulièrement nous entendions des éclats de rire … On sortait et Bob était là, un peu en retrait à l'extérieur, dans un coin pour ne pas être vu !

Moi : Mais qu'est ce qui se passe ici ?
Dominique : Je ne sais pas, je ne m'imaginais pas que ça se passerait comme ça !
Bob : C'est Luc, je ne l'avais jamais vu comme ça ! Il est incroyable ! J'ai préféré sortir, je ne savais plus ou me mettre.
Moi : Un peu comme avec Justine ?
Bob : Un moment j'ai eu peur qu'il ne parle de moi. Mais il a fait pire que toi …

Dominique et moi le regardions d'un air interrogatif.

Bob : Toi tu as dit qu'il faut être un porteur pour pouvoir inciter quelqu'un à porter ce truc … Lui il a tout balancé … Il à dit à tout le monde que le pasteur ne le portait pas alors que c'était pourtant son cheval de bataille ! Et là encore je le dis mieux que lui, lui il n'avait pas de tact … Il l'a balancé directe !
Moi : Ça va faire un scandale cette histoire …

Dominique rigolait tout ce qu'il pouvait !

Le pasteur avait du me remarqué dehors et je le voyais arriver, il avait une tête à faire peur … Il avait l'air furieux !

Le pasteur : Alors vous êtes fier de vous ! Moi je vous faisais confiance … Et voilà le résultat … Vous devriez avoir honte … On peut s'attendre à un peu plus de tenue de la part de quelqu'un qui prône l'abstinence sexuelle, la probité, la chasteté …

En une fraction de seconde je repassais tout ce qui s'était passé dans la journée … Il parlait de la petite sauterie avec Dominique ? J'avais peur de comprendre …

Le pasteur : Regardez moi ce fiasco ! Je suis ridicule ! Permettez moi de vous dire ce que je pense de vous …

Il faisait de grands gestes qui ne cachaient pas sa colère. Ce n'était pas à moi qu'il pensait mais à lui !

Moi : Quoi ! Vous osez me faire des reproche, vous m'invitez et n'êtes même pas capable de m’héberger, je me déplace à mes frais d'une manière bénévole, on vous prête la salle et vous en faites payer l'entrer ! je ne suis pas un représentant de commerce ! Vous achetez en solde des dispositifs de chasteté que vous voudriez revendre deux fois plus cher que le prix fort de l'an dernier.
Vous n'êtes pas radin, vous êtes cupide. Vous voulez imposer à des gamins le port d'un dispositif que vous refusez pour vous même.

Bob et Dominique avaient disparu, mais j'avais remarqué que le cameraman filmait depuis que le pasteur était sorti du cinéma. Je faisais moi aussi de grands gestes pour illustrer mes propos, on pouvait deviner de quoi je parlais même sans la bande son !

Moi : Vous n'êtes pas moraliste vous êtes fanatiques ! Et vous me reprochez quoi ! ( là je hurlais ) Je suis prêt à répondre de tous les propos que j'ai tenu, ne m'en inventez pas juste pour excuser ou justifier votre fanatisme et votre hystérie …

Je jetais un œil vers le cameraman, la journaliste avait un casque audio sur les oreilles, d'un doigt elle me montrait le casque puis levait un pouce en l'air, façon de me dire que la dernière phrase était enregistrée … Juste derrière moi j'entendais .

Bob : Bien dit Djé !
Le pasteur : Et toi de quoi tu te mêles ? Et d'abord tu es qui toi ? (à l'intention de Bob )
Bob : Moi je suis le petit copain de Luc et je ne suis pas porteur … Et toc !

Le pasteur se retournait l'air dégoûté, il préférait disparaître, on ne le revoyais plus du reste de la journée ! Les journalistes avaient l'air très content et continuaient à enregistrer Luc. Bob à beaucoup apprécié leur tact, en effet lors de la diffusion ils ont couper ce dernier commentaire.

Moi : Tu étais encore là toi ? Je croyais que tu avais disparu.
Bob : Non j'ai pas bougé, j'étais toujours juste derrière toi. Et je suis bien content de lui avoir dit ma façon de penser !

Il était rouge mais pas de gêne, de colère ! On revenait vers la salle de la conférence, peu à peu le calme revenait. Luc avait fait le tour du sujet les participants avaient fait le tour des questions …

A la sortie, les discutions reprenaient. Luc et moi reprenions les explications sur la manière dont fonctionnaient les dispositifs qui étaient à vendre … On en vendait un certain nombre, au prix que j'avais annoncé bien sûr ! Personne n'envisageait de le porter en permanence, mais à ce pris c'était un achat découverte …Là Bob avait vraiment disparu !

Les trois garçons qui nous avaient reçu étaient enthousiastes, pour Dominique c'est normal, mais les autres ils avaient été sages … Eux ! La journaliste nous invitait au restaurant le soir même pour parler de différentes choses … Les deux journalistes étaient installés dans un hôtel à seulement quelques kilomètres du notre.
On fixait une heure …

Pour le retour je laissais Bob conduire, Il a son permis depuis peu mais il s'en sort bien et j'ai l'impression qu'il aime bien. C'est une belle voiture … Il était encore tôt quand on arrivait à notre hôtel. Les nouvelles vont vite quelquefois … Régis nous recevais avec un grand sourire et même un peu plus, en fait il se marrait …

Régis : Et bien, c'était un beau scandale ! J'adore …
Moi : On va se préparer dans la chambre, tu m'apportes une serviette ?
Régis : J'arrive !

On montait dans nos chambres, je passais sous la douche, il faisait chaud et j'en avait bien besoin. Je n'entendais pas frapper à la porte et quand le rideau de la douche s'ouvrait, c'était Régis qui m'apportait les serviettes, il était nu et sans rien dire me retrouvait sous la douche. Il avait toujours cet air rieur sur le visage ! Il bandait !

Sans rien dire il me savonnait le dos, depuis les épaules jusqu'aux fesses. Il me savonnait longuement la raie du cul puis il me glissait un doigt dans le cul. Je sursautais mais j'éprouvais tout de suite un grand plaisir, j'avais été bien préparé à peine quelques heures plus tôt ! Il m'embrassait dans le coup après avoir pris soin de me rincer à cet endroit parce que … Le goût du savon … Beuuuu !

Je relevais la tête en arrière, la retournais vers lui et l'embrassais alors qu'il me serrait dans ses bras, me caressait en me savonnant le ventre de la gorge jusqu'à mon entre cuisse. Il me pelotait les couilles. Je sentais son pénis bien redressé se glisser entre mes cuisses.

Je passais mes mains dans mon dos pour essayer de le caresser à son tour. Il se reculait un peut et revenait doucement en m'enfonçant sa queue dans le cul. C'était bon, j'avais été bien dilaté peu avant et je jouissais immédiatement. Je jouissais par le cul, par la prostate et je jutais. Je n'éjaculais pas, aucune giclée, le sperme coulait doucement, j'avais l'impression de pisser, de pisser du sperme, tout mon ventre était en feu, mon anus me donnait l’impression d'exploser à chacun de ses mouvements

Il me limait le cul doucement mais régulièrement.
Il passait d'un mouvement lent et régulier à un mouvement rapide et violent. Il se retirait complètement, glissait sa queue entre mes cuisses, me retournait le visage vers lui d'une main, il m'embrassait et en même temps il me pénétrait de nouveau, d'un coup violent bien à fond … Puis avec douceur et lenteur … Il terminait par un violent coup de rein ou doucement appuyait sont bas ventre sur mon anus. Appuyait de toutes ses forces du bas vers le haut, comme s'il voulait me soulever. Je me retrouvais grimaçant, crispé, sur la pointe des pieds ne sachant plus à quoi me retenir …

Et toujours cette impression de pisser de me vider, je ne savais plus si c'était réel ou juste une impression mais c'était bon. Je sentais mon ventre se contracter. Je sentais mon corps se contracter, se crisper, je commençais à trembler … Mes jambes ne me soutenaient plus, je me penchais contre le mur de la douche, Régis me retenait, il continuait à me buriner le cul. Je ne savais plus si je bandais ou pas, je sentais toujours cette pression dans ma PK mais c'était doux. Ça ne semblait pas être une forte pression, en fait je ne savais pas, je ne savais plus …

J'entendais la respiration de Régis dans mon oreille, il râlait for, il était essoufflé, il gémissait me serrait de plus en plus fort. Les mouvements de son bassin devenaient plus saccadés, moins réguliers, plus violents, plus imprévisibles. Deux coups de rein particulièrement violents puis un râle long et fort … Il ne bougeait plus et moi c'était pareil … Je ressentais encore une certaine pression dans ma PK, c'était bon, c'était doux, j'étais bien.

Quelques heures plus tôt j'étais en manque, mais après ça, deux fois en quelques heures, j'étais vidé, j'étais bien, vraiment bien, je me sentais comme rempli …

On avait le temps pour se rendre tranquillement au restaurant. Bob appréciait de plus en plus ce rôle de chauffeur que je lui laissais nous arrivions largement à temps. On s'installait au bar et on se commandait un verre en les attendant. Les deux journalistes ne tardaient pas. On les voyait descendre peut après. Ils venaient nous saluer et se joignaient à nous. Puis on passait à table.

La journaliste : Nous ne nous sommes pas présentés … Ada et mon cameraman Théo . J'ai fait parvenir l'enregistrement vidéo à Mr Le Conte. Il a beaucoup aimé votre prestation mais celle de Luc … Il a adoré ! Il m'a dit qu'il n'avait pas autant ri depuis longtemps.
Moi : C'est vrai que Luc était particulièrement en forme aujourd'hui.

A côté de nous Luc faisait l'andouille !

Luc : Je t'avais dit Djé que tu pouvais me prendre en exemple …
Ada : Justement … Nous voudrions faire un interview ... Si tu es d'accord bien sûr …
Moi : C'est quand tu veux, je suis à ton entière disposition.
Ada : Je parlais de ton frère ! Comme il est mineur et que tu es un peu son tuteur, il nous faut ton accord.
Luc : Oué ! Il est d'accord ! Et pour moi c'est quand tu veux ! Tu es d'accord dis Jérémy ?
Moi : Bien sûr que je suis d'accord. De toutes façons j'ai pas le choix !
Bob : Avec Luc c'est toujours pareil on a jamais le choix j'ai l'impression !
Moi : J'ai encore une conférences de prévue, après demain dans une salle de fêtes, à moins de cinquante kilomètres de là.
Ada : Si tu n'y vois pas d'objections Djé, nous aimerions y aller aussi !
Moi : Pas de problème, aucune objection !
Luc : Oué et moi je ferai la deuxième partie !

Tout le monde l'applaudissait en riant.

Ada : Nous pourrions aussi interviewer votre camarade Bob, tu portes ce dispositif depuis combien de temps Bob.

Instantanément Bob devenait tout rouge et piquait du nez dans son assiette …

Moi : Bob, c'est une mauvaise idée, ou alors il faudra le filmer en noir et blanc, au risque de saturer les couleurs.
Bob : C'est malin ça Djé ! ( sans relever la tête bien sûr )
Moi : Plus sérieusement, pour Bob je vous dit tout de suite … Non !

Ada n'insistait pas. Sur un tel sujet il faut toujours savoir faire preuve de tact … On terminait le repas dans une bonne ambiance et on se donnait rendez-vous pour le lendemain …

Moi : J'aurai encore une conférence le lendemain. Là ce sera un peu différent, là c'est une association de parents d'élèves. Qui ma invité, eux il pouvaient nous loger une nuit si nécessaire … J'ai pas tout compris, Il y aurait un vendeur …
Ada : Oui, je te confirme, un représentant de la PK sera présent. On pourrait aussi suivre l’événement si ça ne te dérange pas  ?
Moi : Mais avec plaisir !
Ada : On aura le temps de faire le montage, le reportage devrait être diffusé ce week-end.

On terminait le repas en faisant plus ample connaissance. Ada connaissait le château, elle y était passée à plusieurs reprises et connaissait très bien Mr Le Conte.

Théo avait fait plusieurs stages aux château et avait finalement choisi de travailler pour la société avec le statut de non porteur. Enfin porteur non permanent … Un grand nombre d'employés choisissent ce statut, ils sont porteur sauf pendant les week-end et les vacances …

Seul Bob n'y était jamais allé, il nous écoutait avec attention, il s'informait .

Ada : Et toi Bob tu y déjà allé au château ?
Bob : Euh ! Non jamais !
Ada : Et ça ne te tentes pas ?
Bob : Euh ! Non jamais !
Ada : Pourtant tous tes copains y sont allé. Et depuis que tu portes ton dispositif, tes copains y sont allé et pas toi ?

Bob devenait tout rouge … Me regardait …

Bob : Djé … Fais quelque chose …
Moi : Tu vois Ada ! Quand je te disais que c'était pas une bonne idée d'interviewer Bob …

Bob avait piqué du nez dans son assiette de nouveau, tout rouge, il n'osait pas bouger. En fait il n'osait pas dire qu'il ne portais pas la PK … Il avait peur d'être jugé. Je pouvais lui dire que ce n'était pas une obligation, il avait peur d'être jugé surtout qu'il avait compris que ces deux journalistes travaillaient pour le big boss Mr Le Conte … Il le connaissait, il l'avait rencontré … Il en avait gardé une très bonne impression mais il était comme ça Bob … On l'embêtait il devenait tout rouge, on insistait il se mettait en boule. Et là il s'était mis en boule !


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