Un Soir En Banlieue

Je maudis ce train de banlieue qui s’arrête constamment à des gares ou personne ne monte ou ne descend, et ces connards de mecs qui essaient lourdement de draguer, pourquoi cette anxiété ? parce que je vais rejoindre mon amoureux pour le weekend et que j’ai fait croire à mes parents que j’allais chez une copine, j’ai dix-huit ans mais encore couvée comme si j’en avais encore quatorze
Il y a aussi ma tenue que j’ai choisi le plus sensuel possible, en l’occurrence une petite robe entièrement boutonnée devant permettant de choisir de dévoiler ce que je veux, tout en me méfiant des rencontres hasardeuses des transports, ce soir ce que j’ai de plus érotique ce sont des sou vêtements coquins achetés en cachette de maman, et ça, je suis la seule à le savoir, je savoure à l’avance l’effet que ça produira sur clément !
Clément est mon chéri rencontré au fastfood, il a dix ans de plus que moi, je sais que ça ne plairait pas à mes parents c’est pourquoi nous nous voyons en cachette, expérimenté il m’apprend énormément sur le sexe et comment ça marche, il dit que je suis bonne élève, que j’irais loin … quelle est la limite entre bonne amante et grosse salope ?
Plus qu’une station, je défais deux boutons en haut et un en bas … Wwouuaah s’il n’a pas d’érection dans cinq minutes je n’y comprends rien, car moi je suis super excitée et mouille déjà ma petite culotte trop fine! le train ralenti, s’arrête … il est là …. Mais pas seul ? zut… trop tard pour repatter les boutons, ils s’avancent vers moi, l’homme est grand brun, bien habillé, bien gaulé, rien à redire sinon qu’il va gâcher notre soirée ?
- Bon voyage Cloé chérie ? tu n’as pas été importunée dans ce train ?
- Rassure-toi Lucas, je n’ai pas fait le voyage ainsi découverte !
- Je te présente Mathys, nous nous somment retrouvés dans la gare, il tenait à faire ta connaissance
Du coup mon visage s’est illuminé, il ne reste pas ! mais toutefois ne perd pas le nord et se met à détailler mes formes avec insistance, surtout ma poitrine bien apparente
- Vous ne restez donc pas ?
- Je voulais justement ton consentement pour inviter Mathys à l’apéro
- C’est ton ami Lucas, je n’y vois pas d’inconvénient …
- Je ne veux pas contrarier vos projets
- Soit rassuré, nos ‘projets’ ont largement le temps d’être réalisés ! nous allons sans doute rester allongés pas mal de temps !
- LUCAS !!
- Rassurez-vous je connais son humour, c’est un blagueur !
- Alors tu passes dans un moment ?
- Avec grand plaisir
- Faux frère ! je sais que ce n’est pas pour mes beaux yeux mais pour ceux de Cloé
- On ne peut rien te cacher, elle a des charmes a peine dissimulés!
A peine dans notre voiture Lucas impatient de me retrouver, m’embrasse et m’enlace, malaxe mes seins je serre les cuisses afin qu’il n’aille pas repousser mon string et me le rentrer dans la chatte humide
- Il te kiffe grave mon pote
- J’ai remarqué
- Faut dire qu’il a déjà vu certaines photos de plage …
- Quoi ? tu ? ….

. tu n’as pas fait ça ?
- En regardant des ‘images’ sur mon ordi il est tombé, par un pur hasard, sur des photos prises dans les dunes
- Celles où je …
- Où tu es nue et tu me suce …navré…
- Salaud …
- Après tout il n’en a pas perdu la vue, il faut dire que tu es très photogénique le cul nu
- Maintenant je comprends pourquoi il me matait ainsi
- Ça devrait te rendre fière de savoir qu’un mec t’a vue ainsi dévoilée et a beaucoup apprécié
- Tu serais sans doute moins satisfait s’il me passait une main sous la robe ?
- Mathys ? Pfffeee ! trop timide ! je le laisserais volontiers seul avec toi dans la même chambre !
- Si tu le dis …
- Rentrons, il ne va pas tarder à arriver
- J’espère qu’il ne va pas s’incruster
Comme prévus Mathys est venu, Lucas n’a même pas remarqué ses regards pourtant insistants essayant de lorgner mon décolleté ou de voir entre mes cuisses que j’oublie parfois de serrer au fil de la conversation, enfin Mathys daigne se lever pour prendre congé juste au moment où le téléphone fixe sonne dans le bureau
- Attend Mathys, je réponds avant de te dire au revoir
- OK prend ton temps Lucas
L’homme debout est quasiment collé à moi entre deux portes, sa respiration est soutenue, il matte sans vergogne mon décolleté en piétinant sur place, Lucas à haute voix discute avec son interlocuteur, son ami en profite pour me faire une proposition qui me sidère …
- Montre-moi tes seins Cloé. ..
- Quoi ?
- Montre-moi tes seins avant que Lucas ne revienne
- Tu es fou ?
- Dépêche toi, tu en meures d’envie, je bande dur pour toi, touche moi la bite
- Pas question
- Alors montre-moi tes nichons vite !
- Tu me foutras la paix ensuite ?
- Promis
Le cœur prêt à exploser je défait en catastrophe deux boutons afin que mon soutien-gorge soit entièrement visible, Mathys empoigne fermement l’un d’eux en marmonnant une réflexion désobligeante supplémentaire
- Donne-moi ta petite culotte Cloé
- Tu es cinglé ?
- Tu sais que tu vas céder alors magne-toi
La conversation de Lucas va surement se terminer car il donne un rendez-vous, je dois être rouge comme une pivoine lorsqu’il franchit la porte l’air satisfait de lui
- Une bonne chose de faite, excuse-moi Cloé demain matin je vais être obligé de m’absenter une heure ou deux, c’est très important pour mon boulot, à présent je suis à vous
- Je te dis à plus tard Lucas, amusez-vous bien les tourtereaux !
L’homme s’en va enfin, au moment de sortir il tourne la tête en reniflant longuement un bout de dentelle roulé au creux de sa main …j’ai juste eu le temps de reboutonner mon décolleté …entre mes jambes c’est la piscine …
- Enfin seuls ! vient ma chérie, embrasse-moi … mais ? tu n’avais pas de petite culotte ?
- Je voulais te faire la surprise !
- En tous cas tu es vachement excitée, la soirée s’annonce bien !
En même temps que Lucas me faisait l’amour en variant les positions, je ne pouvais m’empêcher de penser au culot de Mathys, me peloter effrontément a deux pas de mon copain et me demander ma petite culotte tandis qu’il frottait son érection sur ma cuisse…

- Tu peux rester au lit chérie, je reviens vite t’en remettre un p’tit coup !
- D’accord, revient vite honorer la femme nue encore chaude qui est dans ton lit !
Je somnolais quand cinq minutes après le départ de Lucas j’ai cru entendre la porte d’entrée se refermer, aurait-il oublié quelque chose ? sous le draps soulevé remonte les effluves mélangées de sperme et cyprine surchauffés … mais ? qui soulève ce drap ?
- Lucas ???
- Il ne reviendra pas d’ici un bon moment je l’ai vu partir, nous avons le temps de faire plus ample connaissance Cloé
- MATHYS ??? mais tu es complètement nu ? sort immédiatement de ce lit !
- Je te ramène ta petite culotte, je te remercie de me l’avoir confiée elle m’a aidé à passer une bonne de la nuit, regarde dans quel état elle m’a mis, je bande comme un âne depuis plusieurs heures, à présent il me faut du concret, je vais boire a ta source, écarte les cuisses
- MATHYS ! Mathys …. Mathys … oooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii
L’homme écrase sa bouche sur ma chatte qui ne s’est pas encore refermée, la langue ravive habilement la sensibilité de mon clitoris mis à mal durant la nuit, au lieu de le repousser j’appuie sur son crâne et relève les jambes a l’équerre, mon ventre ondule sous le savant cuni, mes glandes vaginales que je croyais taries tant elles ont donné refluent de plus belle, sur ma jambe la queue se frotte comme un chien qui s’excite sur sa maitresse
- Il ne faut pas … il ne faut … baise-moi salaud !
- Tes désirs sont des ordres, je te veux en levrette !
- Oooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiii !!! défonce ma craquette !
- Ça va finir de la vider avant que je ne la remplisse à nouveau, tu es très ouverte, qu’est-ce qu’il t’a mis le père Lucas !
- Ne parle pas de lui, baise moi
- Il t’a pris le cul ? il est tout déplissé
- Ça ne te regarde pas …
Mathys ne répond pas il m’enfile puissamment en écrasant ses couilles sur mon clitoris, ses mains sur mes poignées d’amour il me secoue comme un prunier, mes nichons valsent en tous sens, un énième orgasme monte, je serre mon vagin sur son manche pour essayer de le faire gicler et m’en débarrasser
- Tu veux me vider les burnes ? désolé mais ce n’est pas dans ce marécage que je vais me soulager
- Noooooonnnnnn pas làààààààààà ! AAAAAIIIIIIIEEEEEE !!
- Comme dans du beurre, merci Lucas d’avoir fait le passage !
- Dépêche-toi ‘il’ va revenir …..
Mathys a déchargé dans mon anus alors que la voiture de Lucas se garait dans la cour, il est sorti par le garage avec ses vêtements sous le bras, complètement vannée, affalée j’ai fait semblant de dormir a poings fermés
- Réveille-toi chérie j’ai pensé à toi depuis que je suis parti, j’ai encore envie, je ne débande pas … mais ? je croyais que tu n’avais pas mis de culotte ? que fait-elle sur le lit ?
- J’sais pas …..
- Bizarre- bizarre …..