Echange Des Corps (2)

Phil donne sa première fellation.

Phil ouvrit la petite bouche de Sheila aussi large que possible et goba l'épais gland en forme de champignon. Il a goûté le pré-sperme, ce liquide clair qui aide la pénétration. Sucer le pénis d'un autre homme était plus facile à faire d'un point de vue mental que Phil ne l'avait redouté. Il grignotait avec ses dents, juste assez fort pour chatouiller. Expérimentant, il caressa avec sa langue le frein puis le prépuce autour du gland. Oui, en fait, c'est un jeu amusant.
Émoustillé maintenant, il est devenu plus énergique, picorant le pénis de petits baisers, léchant et frottant la bite contre sa bouche.
« Hé bébé, tu deviens vraiment douée pour ça, j'adore ce que tu fais avec tes dents, tu ne me l'avais jamais fait avant, dommage que nous n'ayons pas le temps de le faire deux fois, ta bouche d'abord, puis baiser ta chatte.»
Venir dans ma bouche? Phil se demanda si Sheila avait déjà avalé le sperme de Fred. Elle ne l'avait jamais fait pour Phil, même au début de leur mariage. Si elle l'a fait avec Fred, c'est dégueulasse. Il devait savoir si ...
« Aimes-tu éjaculer dans ma bouche?» Phil prenait le risque. Selon la réponse ...
« Oh ouais, bébé, j'adore quand tu me suces jusqu'au fond de ta gorge ... J'adore te regarder avaler … Déglutir … Toute ma décharge … On a fait ça, peut-être ... quatre fois … mais tu es la seule à ne pas en perdre une goutte ... Ma femme n'est jamais arrivée à tout prendre.»
Eh bien, Phil avait sa réponse. Sheila avait pratiqué au moins quatre fellations complètes selon Fred. Phil était certain d'en être incapable. Il masturbait doucement le pénis de Fred pour le garder raide et faire la conversation.
Phil était intéressé par la femme de Fred. Peut-être pourrait-il en apprendre un peu plus sur Maud et, dans le futur, il pourrait la baiser pour rendre la monnaie de sa pièce à Fred.
« Donc, à part le fait que je suce mieux qu'elle, qu'est-ce que je fais de mieux?»
Fred regarda Phil avec étonnement.

Puis il a souri.
« Tu n'as jamais voulu en entendre parler avant, tu as toujours été jalouse de Maud parce qu'elle a ma bite à sa disposition. Mais si tu veux savoir, c'est plus chaud de baiser avec toi … tu es plus salope ... plus de vigueur, de ferveur, tu es un volcan, Maud c'est un lac.»
Phil voulait lui faire mal. « Peut-être qu'elle s'ennuie, tu la négliges ... Si on était ensemble, je serais peut-être moins enthousiaste.»
Fred a rigolé: « Toi? moins enthousiaste, j'en doute ... Pas de la manière dont tu aimes baiser ... Maud est passive au lit. Tandis que toi ... Bien sûr, je peux comprendre que tu t'ennuies avec ton mari après avoir baisé avec moi ...»
Phil serra les dents, prêt à se mettre en colère, puis se rappela soudain qu'il était dans le corps de Sheila.
Il détestait cette comparaison que Fred venait de faire à son sujet et qui le rabaissait. De plus, ce qui dérangeait Phil, c'est que Sheila, bien que coopérative pendant l'acte, n'avait jamais été «salope au lit». Il lui semblait que Fred avait révélé quelque chose à Sheila que Phil n'avait pas découvert.
« Tu vas me trouver bien curieuse, demanda Phil, mais quelle différences de sensations as-tu entre ma chatte et celle de ta femme?»
« Ouais, bébé. T'as raison. Aucune femme ne m'a demandé comment je me sens dans sa chatte, mais je vais te le dire, puisque tu as comparé ma grosse bite à la petite bite de Phil. Ta chatte est plus serrée que la sienne. On dirait une main à l'intérieur d'un gant qui te comprime. C'est beaucoup plus agréable qu'un vagin distendu. C'est peut-être parce que je n'ai pas encore passé autant de temps à t'élargir.» Il éclata de rire et Phil rit avec lui.
Phil connaissait déjà la réponse, mais il a demandé. « C'est mieux quand c'est plus serré? Pourquoi?»
Fred a rigolé: « Une grosse bite procure de meilleures sensations aux femmes, un vagin serré donne plus de plaisir aux hommes. C'est pour ça que tu es plus salope au lit avec moi qu'avec ton mari, c'est pour ça que je jouis plus fort avec toi qu'avec ma femme. Tu l'as reconnu plusieurs fois, tes orgasmes sont plus nombreux et plus intenses avec ma grosse bite. Maintenant arrête cette conversation, prends-moi dans ta bouche ... Viens, tu sais qu'après une première éjaculation, quand la pression est retombée, je peux te baiser pendant très longtemps sans que j'ai besoin de me retenir ... Et tu aimes ça, je le sais.»
Donc, Sheila aime se faire baiser dur pendant très longtemps par ce monstre? Même s'il était dans le corps de Sheila, Phil imagina Sheila sous Fred, subissant le pilonnage de cette bite monstrueuse dans sa petite chatte. En fait, avaler sa sauce n'était pas dans les plans de Phil pour aujourd'hui. Mais il voulait connaître la sensation de cette grosse bite dans la chatte de Sheila. « Pas aujourd'hui, chéri, j'ai envie d'être baisée.»
« Bien sûr, bébé, suce-moi un peu et je te niquerai dur.»
Et Phil l'a fait. Il l'a sucé avec amour. Il l'a caressé avec ses mains, l'a sucé avec sa bouche, l'a léché avec sa langue tout autour du gland, cette grosse viande qui appartenait à un autre homme. Il bécotait le méat, au bout du gland, en pensant que toute cette viande allait bientôt entrer dans son corps de femme. Il a même bercé ces grosses boules dans sa main en sentant leur poids et pensant à tout ce sperme à l'intérieur. Mais la pensée de Phil changeait. Maintenant, il appréciait de branler et de sucer ce puissant mât, il commençait à désirer sentir une charge chaude exploser dans sa bouche.
Phil ne se rendait pas compte à quel point il goûtait la bite de Fred alors qu'il la suçait, la caressait, l'embrassait et la grignotait. Il la servait si bien, avec la connaissance de ce qu'un homme désire, que Fred recevait la meilleure fellation de sa vie. Il a été de penser à autre chose pour se retenir.
Fred l'arrêta. « Tu est géniale, bébé, tu es vraiment la meilleure suceuse, maintenant passons à la baise, veux-tu commencer par me chevaucher comme tu le fais habituellement?»
Alors Sheila aime monter. Intéressant. Phil voulait s'allonger sur le dos et laisser la bite de Fred le pénétrer, analyser les sensations et voir ce que ça fait d'être baisé, mais si Sheila aimait monter, il pensait pouvoir monter et voir ce que ça donne comme sensations différentes.
Fred était déjà sur le dos. Phil empoigna la base de la tige rigide de Fred et, penché au-dessus, laissa couler un filet de bave sur le gland pour l'humidifier. Toute sa vie il s'était demandé: « Qu'est-ce que ça fait comme sensation d'être une femme et de sentir une bite pénétrer dans sa chatte?» Maintenant, il allait enfin le découvrir.
Phil écarta les cuisses en grimpant sur Fred et positionna son bassin au-dessus du pieu dressé. Phil / Sheila centra sa chatte. Promenant le gland entre les lèvres de sa chatte, il frissonna. Oh mec, ça va être vraiment bien.
C'était le moment, la question qu'il se posait depuis des années. Il a glissé sa chatte sur le gland. Sensation d'étirement. Il voulait gémir, ou grogner, mais il n'était pas sûr du son approprié, alors il resta silencieux. Il engloutit le gland et s'arrêta quand il sentit ses lèvres se resserrer autour du tronc plus mince.
« Hum, Sheila, tu es vraiment excitée, d'habitude tu fais du bruit et tu prends plus de temps à avaler ce gland parce que tu dis que c'est si bien quand il étire tes lèvres pour la première fois.»
« Oui, je suis très excitée, comme tu l'as dit, ça fait plusieurs jours.» Mais Fred avait raison. L'effet produit par le gland pénétrant la chatte était fabuleux. Phil se souleva et laissa ressortir le pénis. Il a recommencé la pénétration, et la sensation de dilatation l'a fait frissonner et geindre. Il a expérimenté une troisième fois en laissant échapper un petit gémissement. C'était si jouissif, alors attrapant d'une main le barreau tendu, il fit coulisser le gland sur l'entrée de la chatte plusieurs fois, gémissant et haletant.
« C'est mieux bébé, c'est la Sheila que je connais.»
Phil répondit sans le savoir comme Sheila l'aurait fait.
« J'aime la sensation du gland quand il franchit les petites lèvres, il me dilate la partie la plus sensible de ma chatte.»
A présent, il commença à descendre plus profond, par à-coups et à remplir son vagin avec la viande épaisse.
« Est-ce que tu préférerais ma bite cylindrique tout le long ou avec le gland saillant?»
« C'est mieux ainsi, je ressens un meilleur contact du gland, si c'était cylindrique, ça ne serait pas aussi excitant.»
Fred attrapa les hanches de Phil / Sheila et pesa pour s'enfoncer dans les profondeurs humides.
« Phil ne t'a pas baisé comme il le devrait, je sais qu'il n'est pas équipé pour te faire exulter comme je le fais, mais tu as dit qu'il assurait le devoir conjugal assez régulièrement.»
Phil réalisa avec certitude maintenant que Sheila avait dû discuter de leur vie sexuelle avec Fred.
Il voulait restaurer une partie de sa réputation auprès de ce voisin qui niquait sa femme.
« Eh bien, ta bite est délicieuse, Fred, mais celle de Phil me satisfait, et il sait s'en servir.»
Fred rit et commença à dire des paroles qui tordaient le cœur de Phil.
«Vous, les femmes, vous changez toujours votre histoire d'une minute à l'autre, d'abord tu m'as dit que Phil était trop rapide et que tu n'avais pas toujours le temps de jouir, et la dernière fois, que tu n'y arrivais plus du tout avec ton mari depuis que tu t'es habituée à ma grosse bite qui te ramone la chatte, et que tu devais simuler pour le rendre heureux.»
Fred triturait les seins de Phil / Sheila en parlant. « Et je constate de la manière dont tu remues ton cul, bébé, que tu commences à bien t'amuser.»
Fred disait vrai. Ses paroles étaient profondément blessantes, mais la nouvelle Phil / Sheila avait commencé à pomper plus profond, enterrant toute la longueur de la viande de Fred, pour ressortir presque la totalité, ne laissant qu'une petite partie du gland à l'intérieur, puis replongeant pour engouffrer toute la longueur du poteau, le clitoris butant sur le pubis de Fred, le gland enfouit au plus profond de sa chatte ruisselante. Le rythme de Sheila s'accélérant, les sensations augmentaient en intensité. Gémissante, haletante, elle ponctuait chaque pénétration de petits cris aigus. Les mains posées à plat sur le torse de Fred, elle volait littéralement, tous ses sens tournés vers la montée de la jouissance qui obscurcissait son esprit.
Quand Fred a empoigné les épaules de Sheila, l'attirant contre lui pour l'embrasser, Phil n'a pas résisté. Leurs bouches se sont soudées et leurs langues ont tournoyé ensemble. Dans le même temps, Fred a soulevé ses hanches à la rencontre du ventre de Sheila. Phil a commencé à ressentir un fort picotement dans son clitoris, dans ses lèvres, et maintenant, dans toute sa chatte. L'orgasme approchait rapidement. Bientôt, il saurait bientôt à quoi cela ressemble!
Phil cambra ses reins tout en cherchant la meilleure position, celle lui procurait la meilleure sensation. Il se souleva pour que la bite de Fred soit presque à mi-course. Là, maintenant, il l'avait trouvé, presque sous le clitoris, cet endroit sensible devait être le point G de Sheila. Il resta dessus, tordant ses hanches, utilisant le gland turgescent pour se frotter contre le point hypersensible dans la chatte de Sheila.
« Tu as retrouvé ton endroit préféré.» Tout comme Sheila, Phil avait trouvé l'endroit! « Oui, c'est le centre des délices!»
Dans le corps de Sheila, Phil découvrait que toute la longueur n'était pas nécessaire et que seulement quelques centimètres de viande chaude et épaisse étaient utiles pour atteindre le bon endroit.
« Oh merde, c'est ça. Maintenant, maintenant, je viens. Oh merde! Oh putain! Ooh! Ooh! je ne peux pas le croire.»
Phil, dans son intense plaisir, parlait à haute voix. Fred entendait tout.
Alors, constatant la jouissance de sa conquête, Fred se déchaîna. Maintenant fermement les hanches de Sheila, il soulevait son bassin, cherchant à s'empaler au plus profond de sa vulve.
«Ouais, bébé, baise-moi, nique ma grosse bite avec ta cramouille, fais-moi du bien bébé, je sais ce tu veux, jouis comme la fidèle petite femme au foyer qui devient salope. Fais-toi chienne et jouis!»
Et Phil jouissait dur. L'utilisation de mots orduriers par Fred renforçait son plaisir. Il ne s'est pas arrêté après le premier orgasme, comme il avait toujours fait dans son corps d'homme. Phil a continué à sauter sur le braquemart tendu de Fred. Après le premier éclair, le deuxième suivait de près.
Quand le deuxième orgasme fut achevé, Phil s'effondra, épuisé, sur la poitrine de Fred, hors d'haleine.
C'était le signal qu'attendait Fred.
« OK, chérie, à mon tour, laisse-moi te prendre comme tu aimes.»
Oh oui, Phil voulait, mais il était épuisé. D'une roulade latérale, sans effort, Phil s'est retrouvé sur le dos avec Fred allongé sur lui. Fred a immédiatement placé son pénis dans la chatte de Phil.
«Prends ça, bébé, dis-moi combien tu l'aimes pendant que je te baise fort.»
Phil gémit sous la rude pénétration. Putain que c'est bon. C'est étrange, cette sensation d'être dominée et forte à la fois.