Trois Grands Méchants Loups
Voilà lété, mon homme nous a réservé un petit séjour dans un pays chaud et humide. Je me réjouis de cette petite escapade en amoureux dans un bungalow chic et confortable où je ne doute pas, en tenant compte de la cuisine épicée locale, quil me couvrira jours et nuits.
Dans cette ambiance estivale un souvenir précieux me revient en force et diffuse dans tous mes sens un sentiment chaleureux.
Jétais alors un jeune étudiant à lair timide, un peu naïf et, pour remonter mes finances, javais trouvé un job dété dans un cabinet davocats.
Lassociation sappelait 3GML, elle était dirigée par trois hommes qui soccupaient daffaires dans le milieu médical.
Cest Paul qui ma engagé suite à un rapide entretien. Cétait le genre dhomme qui me donnait de furieuses envies dabandonner toute pudeur, mais je restais calme et prudent car jétais là pour travailler.
Mon travail dassistant nétait pas très contraignant en ce mois de juillet. Javais le temps le matin dapporter à chacun un café dans leur bureau respectif. Je commençais invariablement par Paul, puis allais servir Joël et terminais chez Tony qui était toujours au téléphone et mindiquait dun geste négligent de poser le café sur la table.
Les semaines sécoulant sagement je rentrais chez moi le soir pour étudier, tout en nouant cependant certains contacts intéressants avec des jeunes travailleurs du foyer en face
Jai été surpris quand Paul ma proposé de partir en vacances avec lui et ses deux associés. Ils avaient lhabitude de louer un gîte ensemble dans le sud de la France pour sadonner à la pêche dans les eaux de la région. Jai accepté linvitation sans hésitation et nous sommes partis tous les quatre la semaine suivante. A larrivé nous avons fait les courses dans un supermarché, mais, les voyant remplir le caddie de surgelés et diverses conserves, jai décidé de prendre les choses en main pour acheter des produits frais et me proposais de faire la cuisine.
Cest Paul, voyant mon air embarrassé, qui a tranché, en me proposant de partager la sienne, prétextant quelle était assez grande pour deux. Une petite montée de fièvre passée, jacceptais en le remerciant. Nous avons ensuite diné tous les quatre, en se régalant des produits locaux. Puis jai fait la vaisselle pendant quils jouaient aux cartes en leur servant des bières lorsquils me le commandaient. Un peu saoulé par le grand air pur et le petit rosé frais, je leur ai dit que jallais me coucher, ce à quoi Paul a répondu vigoureusement : jarrive bientôt ! Jai pris une agréable douche fraiche en observant dans le miroir le reflet de mon corps entièrement lisse car je métais payé le luxe dune épilation totale en rêvant de
au cas où
Les draps sentaient bon le propre mais je remarquais que cétait un vieux lit un peu étroit pour deux, comme lon faisait avant et, malgré la chaleur, je me suis pudiquement recouvert jusquau cou, attendant mon hôte pendant que, dehors, les insectes psalmodiaient sans fin leur désir souverain dans la nuit.
Des pas décidés ont fait craqués le bois du vieil escalier, jai reconnu ceux de Paul qui se dirigeait vers la salle de bain pour, dabord, pisser hardiment et ensuite se laver les dents en fredonnant une mélodie toute gaie. Puis Il est entré nu dans la chambre, savançant dans la lumière de la lune. Je narrive toujours pas à mexpliquer comment je ne suis pas mort à ce moment-là, tellement mon cur a bondit à la vue de ce corps robuste et désirable. La légère pilosité qui ornait tous ces membres était plus épaisse sur les pectoraux et le pubis, sous lequel je pouvais admirer avec émoi un sexe généreux et des couilles bien charnues. Et plus haut ce sourire affriolant qui me disait : Hou la la ! Quest-ce quil fait chaud !
Il sest allongé près de moi en faisant grincer le sommier, les bras derrière la tête, tout à son aise, je pouvais sentir la chaleur de son corps et voir les petites perles de sueur sur sa pilosité.
Il me dit ensuite que je dois avoir trop chaud sous ce drap et me lenlève doucement en précisant : Allons ! On est entre nous ! Il a poussé un petit oh ! Lair satisfait en lorgnant mon corps nu et épilé. Je me sentais à la merci de ce grand mec, excité, haletant et décidé à satisfaire tous ses désirs. Il a commencé à me caresser les hanches en disant que javais la peau douce, puis ma embrassé en me serrant dans ses bras tout en frottant langoureusement son sexe sur moi. Nous nous sommes caressés un instant lun contre lautre, ma main est descendue pour envelopper son bel engin et le branler gentiment, puis il sest remis sur le dos, me faisant bien comprendre ce quil attendait de moi maintenant. Je ne me suis pas fait prier et je suis descendu plus bas pour gober son membre puissant et gonflé de promesses. Je lai sucé amoureusement, longuement, en caressant ses couilles chaudes et pleines, jubilant intérieurement de voir sa colonne prendre une telle ampleur. Paul me caressait de sa grande main, jusquà atteindre mes fesses et introduire un doigt profond. Comme je gémissais la bouche pleine en me déhanchant, il a conclu quil était temps de passer aux choses sérieuses et ma retourné pour prendre son dû. Je me plaçais dans la meilleure position pour moffrir à lui et, mempoignant résolument, il sest introduit avec un soupir de satisfaction faisant écho à mon petit cri de surprise. Persévérant il réussit à mhabiter de toute sa longueur, élargissant au passage mon cur soumis. Autant lun que lautre nous essayions de retenir nos approbations pour ne pas déranger les voisins car les chambres étaient mitoyennes. Mais le lit grinçait violemment, dans ce rythme si reconnaissable, que nul dans la maison ne pouvait ignorer que Paul était en train de me labourer avec entrain.
Son affaire finie, il reprenait son souffle, et je ne savais plus ou étaient le haut et le bas. Ayant repris quelque peu mes esprits je suis allé dans la salle de bain, les jambes flageolantes et le pas mal assuré, pour rincer mon cul bien englué, puis jai mouillé une serviette avec un peu deau tiède pour nettoyer le sexe de Paul pendant quil me souriait, ravi et lil brillant. Nous nous sommes rapidement endormis, tout serrés lun contre lautre.
Au petit matin nous avons ouvert les yeux ensembles pour se dire bonjour. Après quelques caresses et baisers jai bien remarqué son enthousiasme qui se dressait fièrement dès laube. Dévoué à son plaisir je lui ai fait une longue pipe appliquée à laquelle il a répondu par une éjaculation massive et nourrissante. Jai eu un petit rire étouffé quand jai vu que, malgré mon estomac rassasié, il y en avait encore partout, sur mon visage, son ventre et mes doigts. Jai lapé de mon mieux cet excèdent mais les draps était bien maculés et la chambre entière exhalait sa semence.
Nous sommes descendus rejoindre les deux autres vacanciers qui prenaient leur petit déjeuner. Joël me regardait avec un petit sourire entendu mais Tony était au téléphone et semblait indifférent. Je baissais le regard, embarrassé et rougissant, en buvant mon jus de fruit. Paul, lui, finissait de dévorer un petit déjeuner complet, sous le regard un peu narquois de Joël.
Je leur ai préparé des sandwichs pour leur journée de pêche et en partant Joël ma mis une franche main au cul. Après leur départ jai rangé la table, mis un peu dordre dans la maison et fais les lits. Jai ensuite bien profité du soleil dans le jardin en rêvant de choses très polissonnes. En fin daprès-midi jai commencé à préparer un bon repas pour les trois gaillards.
- Tu te rends bien compte, a commencé Paul, que tout le monde ta entendu hier soir, du coup jai raconté notre nuit en détail à Joël et Tony. Ils ont trouvés que ce nétait pas juste que jen profite tout seul, et ils ont raison tu trouves pas ?
- Oui, mais je..!
- Ils ont raison on est bien daccord
Aussi nous avons décidé que dès ce soir tu seras pour la nuit à celui qui gagnera notre partie de carte..!
- Ah mais..?
- On est bien daccord ?
- Oui daccord !
- Très bien ! Ah joubliais ! On a aussi décidé que tous les matins, parce que cest agréable, tu viendras nous faire à chacun une gentille gâterie buccale comme tu sais si bien le faire, tu comprends cest important pour bien commencer la journée !
- Mais
je..!
- On est bien daccord ?
- ben daccord
mais..!
- Allez ! On commence la partie et emmène-nous trois bières !
Joël a gagné la première partie. Avec lui cétait un peu brutal, direct et sans fioritures et à chaque fois que cétait son tour il ma toujours réveillé une seconde fois dans la nuit pour tirer son coup.
Le lendemain jai eu droit à Tony. Étrangement il était très tendre, caressant, lair intimidé. Si bien que le premier soir jai dû le chevaucher pour le guider et quenfin il memplisse.
Paul était bon joueur. Jai bien compris, quéquitablement, il faisait parfois gagner un de ses amis. Mais cest tout de même lui qui remportait le plus souvent la mise.
Tous les matins je macquittais de ma tâche en allant satisfaire chacun dans leur chambre respective. Je commençais invariablement par Paul, puis allais assouvir Joël et terminais chez Tony qui était toujours au téléphone et mindiquait dun geste négligent la direction de son membre impatient.
Et nen déplaise à certains blêmes moralistes se furent pour moi de merveilleuses vacances.
Aujourdhui dans cet avion je serre avec amour la main dAntoine et mendors doucement sur son épaule
comme un gentil garçon.
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