Soumission En Vacances 3 - La Cabane
Partie 3 La cabane
10 minutes plus tard, nous arrivons à la maison. Je suis crevé. Heureusement que nous avions décidé de faire des vacances « glande à domicile », parce que si je devais partir pour une randonnée ou une journée de visite dans la foulée je risquerais de meffondrer au bout d1/2h.
Heureusement, ce nest clairement pas le thème.
Quand nous entrons dans le salon, nous trouvons nos 2 moitiés en pleine discussion, sieste finie et bière dans la main
et bien je vois que tout le monde na pas autant souffert que moi !
On se décide donc à les rejoindre et nous migrons notre apéro au bord de la piscine.
Pour rappel, je porte mon short traditionnel de vacancier, un T-shirt coloré, une paire de tong, un plug et une cage de chasteté. Autant les 3 premiers sont assez classiques pour la situation, autant les 2 derniers me donnent limpression dêtre complètement nu face à notre petit groupe.
Cependant, personne na lair de remarquer. Sauf peut-être Léa, qui sourit et à lair de franchement samuser de la situation.
- « Bon » attaque Pierre, « on va peut-être pas passer toutes les vacances à bronzer et faire la sieste non plus !
- Non tu as raison », lui répond Léa, « on va aussi boire des coups et manger.
- Moi je ferais bien une petite rando » lance Pauline, « jai vu quil y avait des tentes et tout le matériel pour bivouaquer dans le garage !
Autant Pierre à lair franchement motivé, autant Léa et moi ne semblons franchement pas plus emballé que ça. Javoue que marcher ne ma jamais vraiment enthousiasmé, et la perspective de dormir en extérieur ne minspire pas non plus tant que ça.
Nous convenons dun programme « plage » pour le lendemain après-midi et repoussons la décision de la randonnée. En écoutant dune oreille distraite les conversations qui suivirent, joptais pour une sieste discrète dans mon transat et sombrais en quelques minutes.
2h plus tard, je me réveillais revigoré, mais seul sur ma terrasse. Je retrouvais tout le monde qui maccueilli dans la cuisine.
- « Eh bin ça te fatigue de rien faire à ce que je vois ! » me dis Pauline avec un clin dil.
Je lui confirme quen effet, je récupérais encore de la soirée de la veille. Je profitais de la préparation du repas pour passer un moment avec elle, nayant pas encore passé beaucoup de temps depuis le début des vacances. On discutait, on riait et jen oubliais complètement les évènements des dernières 24h. Cétait sympa, on était bien.
Léa, de son coté, faisait de même avec Pierre et pendant 1h, toute les aventures de la veille semblaient être uniquement issu de mon esprit perturbé. Au seul détail près du plug que je sentais dans mon cul et de ma cage de chasteté.
Ce soir-là, nous mangeons un repas simple et pas trop arrosé, pour récupérer de la soirée de la veille. Nous jouons aux cartes, Pauline sur mes genoux (pourvu quelle ne sente pas la cage contre ses fesses
) et Léa sur ceux de Pierre.
Après quelques donnes, Pauline nous annonce quelle va se coucher, membrasse sur les lèvres et mencourage à rester jouer si je ne suis pas fatigué. Je reste donc le temps dune partie et là, Léa invite Pierre à aller faire de même.
Je reste seul dans le salon, ne sachant pas vraiment quoi faire
Léa ne mavait-elle pas dit quon se retrouverait ce soir ?
Je reçois à ce moment-là un sms :
« A minuit, déshabille-toi au bord de la piscine et traverse nu le jardin jusquà la cabane au fond. Là, assis toi sur la chaise et attends-moi. »
Jattendis donc patiemment sur la terrasse, après avoir vérifié que Pauline dormait bien à poing fermé.
A minuit moins 5, ny tenant plus, je me déshabillais sur la terrasse et traversa le jardin. Cétait à la fois terriblement stressant et excitant de se promener nu, en cage et pluggé à la lumière de la lune.
En arrivant au fond du jardin, je distinguais la cabane : il sagissait dune baraque en bois denviron 3x5m, lair plutôt robuste, une porte, pas de fenêtres.
Je franchis le pas de la porte pour découvrir lintérieur stupéfait. Je ne sais pas si la cabane avait été prévue à cet effet, mais elle semblait avoir été faite sur mesure pour notre soirée : en face de la porte, un établi sous lequel avait été stocké toute sorte doutil de bricolage, tassé sous une bâche pour ne pas trop gâcher lambiance. Dessus, lespace avait été dégagé pour accueillir un ordinateur portable éteint. Une chaise percée trônait au milieu de la pièce au-dessus dun gros anneau en métal. Sur les murs, les racks qui avaient dû servir a stocké les outils cachés sous létablis comprenait pêle-mêle : des cordes, une paire de menottes, 2 baillons (un masque intégral avec bâillon-boule et un ring-gag), une cravache, un martinet
etc
Jétais scotché. Je massis sur la chaise, pas tout à fait rassuré de ce qui allait marriver. Javoue quà cet instant-là, la présence de la cage de chasteté était très contraignante. Jattendis patiemment 10min, me demandant si Léa ne mavait pas oublié.
- « Ne te retourne pas et mets les mains dans le dos »
Je ne lavais même pas entendue arriver.
- « Oui maitresse.
- Cest bien, je nai même pas eu à te le dire cette fois-ci »
Après quoi, elle me menotta les mains dans le dos en faisant un tour de chaîne sur un barreau de la chaise. Je la sentis ensuite installer le gonfleur sur mon plug avant de me saisir les couilles sous ma cage, les attacher avec une cordelette en cuir quelle tendit ensuite en la passant dans lanneau au sol. Mes deux chevilles ont finalement été attachés aux deux pieds de la chaise, pour compléter le tableau.
- « Parfait », me dit-elle avec un petit bisou dans le cou, « tu es prêt pour la soirée. »
Lorsquelle entra enfin dans mon champ de vision je fus estomaqué. Elle était à couper le souffle. Elle tenait une cravache rouge à la main et avait enfilé une tenue intégrale de domina terriblement excitante : des bottes en cuir qui lui montaient juste en dessous des genoux, une petite jupe plissée qui lui arrivait sur le haut des cuisses, un corset en cuir, de longs gants et les cheveux tressés à la Lara Croft qui lui tombait sur le sein qui finissaient de lui donner un air irrésistible.
Ma cage me torturait. Elle sen rendit compte et sourit fièrement :
- « Ma tenue te plais à ce que je voie. »
- Oh oui maîtresse !
- Dommage pour toi, tu nen profiteras pas
pour linstant ;) »
Elle vint se mettre à califourchon sur moi et en me caressant le visage et commença à mexpliquer son programme pour la soirée.
- « Voilà ce quil va se passer : ce soir, je ne vais pas me contenter de recopier bêtement des scènes qui te plaisent sur internet. On va plutôt les regarder ensemble. Comprendre ce qui te plais, ce qui ne te plais pas, pourquoi, aller au cur de tes fantasmes pour taider à y voir plus clair. Au passage, lidée de te voir te débattre avec tes envies dans ta cage de chasteté sera un plus.
-
- Et si je juge que tu nes pas assez honnête avec moi, que tu ne touvres pas complètement, ou simplement que jen ai envie, je te rais un peu au passage. »
Sacré programme. Elle se leva, me donna un petit coup de cravache sur les bourses comme pour donner le top départ et lança une vidéo. On y voyait deux femmes dont une attachée sur un cheval darçon et bâillonnée, la tête relevée par une corde qui passait dans ses cheveux et dans un crochet métallique dans son cul, en train de recevoir des coups de martinet de la seconde. Elle avait lair den baver.
- « Quest-ce que ça tinspire ça ? » me demanda-t-elle.
- « Ça mexcite beaucoup maîtresse.
- Oui ça je men doute et je peux même le voir merci. Mais encore ? »
Je ne savais pas où elle venait en venir. Je tentais timidement :
- « La soumise est hyper sexy avec son crochet dans le cul ? »
Léa hocha la tête comme si elle était daccord, saisi un petit bac sur le rack de rangement, en sorti une pince à linge quelle me mit sur un téton.
- « Oui on est daccord
mais encore ? dis men plus »
Je grinçais des dents. Décidément elle était joueuse, la soirée risquait dêtre longue.
Je commençais à perdre patience
- « Je sais pas moi
la manière dont la domina regarde la soumise. Le coté sadique en apparence, mais on fond on voit quelle cherche juste à la pousser dans ses retranchements. »
Pas de punitions. Je continuais :
- « Là par exemple, quand elle va se mettre juste devant elle pour la regarder dans les yeux. Quelle la félicite. Ça cest un passage qui me plais !
- Bah tu vois quand tu veux
Javais compris ce quelle voulait. Elle me poussait à voir ce qui mattirais autant, au-delà des simples tenues et situations, dans la relation entre dominant et dominé. On changea de vidéo. Après quelques pinces à linge sur les bourses et un coup de pompe, je finis par aller au cur de ce qui me plaisait et déplaisait dans la situation (pratiques sexuels qui me vont, mais au fond la relation dominant-dominé dans toutes les situations de la vie ne me plais pas). Nouvelle vidéo, nouvelle conclusion : jaime les changements de rôles, un dominant dune fois et le dominé de la suivante. Javais quand même reçu quelques coups de cravaches sur les bourses et sur le plug au passage. Puis la suivante : le masochisme pur, cest pas mon truc. La « » me va dans un contexte sexuel, ne me va pas quand elle est seule et quil ny a pas de récompense. Nouvelles vidéos, puis la suivante, puis la suivante
Après 1/2h de visionnage non-stop de porno BDSM, Femdom, de bondage, à 2 ou plus, dominante ou dominée, javais perdu mes pinces à linge à coup de cravache, le torse rougit par un martinet, le plug gonflé dans le cul et le sexe encore et toujours enfermé.
Javais atteint ma limite et elle sen rendit compte. Elle mit la vidéo sur pause, sapprocha de moi, vint se mettre à nouveau à califourchon sur moi et membrassa à pleine bouche.
- « Je suis fière de toi.
- Merci maîtresse.
- Je vais pouvoir te récompenser.
Elle se leva et sorti une petite clé en argent : la clé de ma cage. Je remuais dans tous les sens, javais perdu toute forme damour propre. Elle me caressait la cage en parlant tout doucement.
- « chuuut, restes sage ou je te laisse enfermé jusquà demain. »
Je marrêtais immédiatement. Je bouillonnais intérieurement. Elle sagenouilla devant moi, passa un petit coup de langue sur mes bourses et sur le bout de mon sexe. Je la suppliais.
- « bon, jespérais ne pas avoir à faire à mais puisque tu insistes. »
Elle récupéra sur le rack un bâillon-boule avec plusieurs lanières qui enserrais lensemble du crâne.
- « avec ça, tu ne membêteras plus. »
Après lavoir installé, elle reprit son petit jeu en me regardant droit dans les yeux. Après quelques minutes de ce traitement, elle jugea quelle mavait assez torturé.
Elle dégonfla le plug mais le laissa dans mon cul, puis elle me libéra.
Ma bite était en béton, impossible de la bouger dun millimètre. Elle la caressa du bout du doigt.
- « Allé, tu las bien mérité » me dit-elle.
Et elle se lança dans une fellation de folie. Elle suçait, léchait, me caressait les bourses du bout des doigts ou jouait avec mon plug
Cétait divin. Lorsquelle sentit que jessayais daccélérer, que jétais au bord de la jouissance, elle sarrêta. Elle ignora mes grognements insatisfaits et mexpliqua la situation en agrémentant de quelques coups de langues ponctuels sur mon gland.
- « Bon, voilà ce quil va se passer. Tu vas jouir, je te rassure. Mais pas tout de suite. Dabord, je vais te laisser te reposer un peu de toutes tes émotions, puis je reviendrais te voir quand tu ty attendras le moins pour moccuper de toi. Ne tinquiète pas, je vais laisser de quoi toccuper. »
Elle se releva, ignorant mes objections (peu audible de toute façon à cause du bâillon), minstalla un anneau autour du sexe pour conserver mon érection, retendit encore un peu la lanière autour de mes bourses et passa hors de mon champ de vision. Je me débattais, mais rien ny faisait.
Elle saffairait derrière moi mais impossible de voir ce quil se passait. Puis dun coup, mon champ de vision fut obstrué par un appareil un peu lourd quelle attacha solidement à larrière de mon crâne. Suivi par un casque audio qui couvrait mes oreilles.
Elle me caressa le sexe, membrassa dans le cou et me dit de bien me reposer, quelle reviendrait quelque part dans la nuit. Je me débattis comme un diable mais impossible de bouger, jétais piégé et elle le savait.
- « A tout à lheure mon chou ! Ah, joubliais presque
»
Et là, au moment de son départ, tout salluma en simultanée. Ce que javais pris pour un masque était en réalité un support de portable pour projection en « VR ». Quoique je fasse, javais dans toute les directions une projection des films que nous avions commencé à regarder tout à lheure. Le casque audio diffusait le son, et pas en vague bruit de fond. Javais limpression dy être. Et pour boucler le tout, mon plug et mon anneau pénien sétait mis à vibrer en aléatoire
lattente allait être longue.
A suivre
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