Quatuor (7) - Anniversaire De Mariage
Résumé des épisodes précédents : La révélation, Marion à la maison, Après midi filles, La clé USB, Le cadeau de Marion et le "Goûter du Dimanche.
Dans les six premiers volets de cette histoire, un couple de quadras, Fred et Caro, découvrent par hasard que leur baby-sitter Élodie vit en couple avec Marion, sa «petite» copine. Létudiante asexuée sest soudain dévoilée en lesbienne vivant avec une gourmande qui na absolument pas pas froid aux yeux.
Le couple apprécie les initiatives de Marion qui ne cache pas son envie de laisser libre cours à sa bi-sexualité avec Fred comme complice.
Caro fantasme régulièrement, depuis un certain temps, sur lenvie de voir son homme faire lamour à dautres femmes, en particulier une pas farouche du style de Marion, candidate idéale pour les aider à franchir ce cap.
Caro découvre quÉlodie a toujours été amoureuse delle en secret, doù sa grande timidité à son contact et son implication dans léducation de ses s, essayant de laider à sa façon dans sa vie de femme et de mère.
Nous poursuivons donc cette petite arnaque sensuelle par un septième opus où le jeu a toute sa place, pour tout dévoiler aux voyeurs que vous êtes. Bonne lecture et faites-vous plaisir.
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À peine de retour à la maison après le goûter chez Elodie, Caro lui laissa un message audio sur son portable, la sachant pourtant occupée dans les bras de Marion.
Merci beaucoup pour cette invitation Élodie, tout était magique et sincèrement très touchant. Mardi nous fêtons notre anniversaire de mariage. Vendredi cest le début des grandes vacances scolaires et les loulous partent chez les grands-parents dès samedi matin pour quinze jours. Bises, Caro.
Caro parlait un peu pour ne rien dire, toute en suggestion, évitant davouer à quel point ils aimeraient bien les revoir le plus vite possible. Sa voix chaude trahissait tout cela. Fred avait suggéré à Caro dinviter les filles à venir passer deux semaines à la maison pour profiter de labsence des s.
Dans la seconde Fred reçut un message de Marion. Il imaginait les filles nues sur le lit, en train de faire lamour, prenant le temps de stopper leurs plaisirs pour lui envoyer ce message:
T'as prévu un truc pour votre anniversaire mardi soir ?
Dîner aux chandelles à 21h00 au restaurant préféré de Caro.
Si Marion posait la question cest quelle avait probablement un bon plan en tête. Cette folle regorgeait didées dingues.
Dispo de 18h30 à 20h30?
Oui.
OK je prends ce créneau.
Marion était bien du style à tout prendre. Nul doute que les filles repartaient dans leurs lits vers des caresses et plus. Caro, la tête sur lépaule de son chéri, avait suivi léchange de sms. Elle adorait regarder la façon dont Marion construisait sa relation avec Fred :
Elle est dingue cette Marion !
Caro repensa à la façon dont cette histoire avait commencé et les étapes par lesquelles ils étaient passés. Tout nétait que respect et douceur et les situations senchaînaient naturellement avec bienveillance.
La fin du week-end se passa dans une tension érotique extrême entre les époux. Cela leur arrivait souvent, de se chauffer, se monter lesprit, de se frôler, se toucher en douce
Parfois même de se rapprocher sans sembrasser, juste leurs souffles échangés et leurs regards brûlants lun sur lautre. Il leur fallait attendre le soir, parfois tard, pour sexprimer pleinement et se lâcher.
Cet épisode torride du goûter chez Elodie les avait grandement excités.
Leurs jeux érotiques de ce dimanche avaient fait basculer Caro dans un autre monde. Celui de vivre du plaisir partagé à plus de deux personnes. Fred avait insisté quelques fois pour sortir dans une boîte échangiste, rien que pour le plaisir de regarder, sans rien faire, juste voir. Mais Caro avait eu trop peur de faire cela. La chance qui leur était tombée dessus avec ces étudiantes leur avait apporté une meilleure alternative. Elle savait au fond que bien des surprises les attendaient et quelle désirait les vivre sans ne plus vouloir sen cacher. Les ébats nocturnes du couple furent dune intense chaleur et lorgasme commun résonna en eux une bonne partie de la nuit.
Le lundi soir nouveau message de Marion :
Rendez-vous demain à 18h30 à linstitut de beauté de ma sur en tenue décontractée. Mettez vos habits pour le restaurant dans un sac, que vous puissiez être à lheure.
Ladresse suivait. Le couple déglutit, s'imaginant pleins de choses. Pourquoi un tel endroit ? Et cette tenue demandée? La nuit fut courte et leurs spéculations intenses.
Le mardi soir arrivé, Caro et Fred se présentèrent à lheure à linstitut de beauté. Cest Élodie qui leur ouvrit, habillée toute en blanc, leggings, tee-shirt, cheveux attachés, cou fin dévoilé, pieds nus. Elle referma la porte derrière eux à clé, excitée comme une gamine de la surprise quelles leur réservait.
Les deux filles avaient visiblement privatisé linstitut en sarrangeant avec la sur de Marion. Un parfum dencens caressa les narines du couple et une musique zen leurs oreilles. Le temps de shabi à la douce pénombre, le couple vit des pétales de roses au sol leur montrer un chemin. Caro déglutit, surprise par cette délicate attention. Élodie les invita à suivre les pétales qui les conduisirent vers une grande salle de soins. Au centre de la pièce, trônaient deux tables de massage installées côte à côte.
Marion arriva en courant, se jetant sur Fred pour enrouler ses jambes sur ses hanches et lembrasser comme sil était son petit ami. Cétait tout à fait son style. Caro eut un haut le cur et Elodie la prit par la main tout en douceur pour unir leurs doigts et regarder ces deux-là faire.
Marion était habillée exactement comme Élodie. Après un long baiser, elle descendit de son perchoir pour aller embrasser Caro. Fred, tout émoustillé par ce baiser câlin de bienvenue, avait le rouge qui lui montait aux joues, comme un adolescent timide devant ces hormones féminines débordantes.
Pendant quil reprenait ses esprits en déposant ses affaires et leurs sacs dans un coin de la pièce, Marion tendit un bandeau à Caro :
Cest pour mettre sur vos yeux les amoureux, et surtout vous ne trichez pas hein? Fermez les yeux.
La voix de Marion trahissait sa joie à les emporter dans ses frasques. Cette fille était folle. Marion symboliquement aida Caro à se masquer les yeux et lui susurra :
On va vous offrir un massage pour votre anniversaire de mariage.
Le couple lavait bien compris. Caro adorait les massages, Fred avait surtout peur de bander sans pouvoir se retenir. Il se répéta cent fois dans sa tête : ne bande pas, ne bande pas
Élodie laida à ajuster le bandeau et le simple toucher de la baby-sitter déclencha ce quil craignait : sa queue commençait à se tendre .
Mais avant tout, laissez-nous vous déshabiller.
Cétait bien sûr le passage obligé pour un massage, mais le couple navait pas pensé que les filles puissent le faire pour eux. Ils se sentirent déglutir sous leffet de surprise.
Laissez-vous faire et tenez-vous la main.
Cest Élodie qui les unit, Marion étant du style à faire linverse. Les deux époux, face à face, ne pouvaient voir dans les yeux de lautre ce quils ressentaient respectivement. Tout passerait par le contact de leurs mains, ils avaient croisé leurs doigts comme lorsquils se baladaient en amoureux. Ils étaient suffisamment proches pour ressentir, percevoir infiniment le souffle de lautre. Il naurait fallu que quelques centimètres de plus pour capter leur rythme cardiaque qui ne faisait que saccélérer depuis que les tourtereaux sétaient retrouvés dans l'obscurité de leur bandeau.
Caro ressentit une paire de mains sur sa taille, la complice était dans son dos. Elle serra plus fort les mains de son homme. Face à elle, elle entendit quune fille venait de faire de même sur la taille de son Fred. En fait, les quatre paires de mains étaient en contact avec des corps, l'énergie circulant en harmonie, avec délicatesse et tendresse. Il était impossible de savoir qui était qui, mais Caro souhaitait que Fred se fasse déshabiller par la torride Marion. De fait, elle imaginait fort bien les délicates mains dElodie soccuper delle et frémit en ressentant les pointes des tétons l'effleurer dans son dos.
Tour à tour, leur chemisier ou polo furent déboutonnés, le couple se faisait embrasser. Des mains aidèrent Caro à enlever son chemisier et remit ses mains dans celles de son homme comme pour ne pas rompre ce lien de confiance très important. Dautres mains palpaient le torse finement velu du mari après lui avoir ôté son polo. Les filles étant plus petites que lui, elles ne pouvaient atteindre son cou pour lembrasser, mais les mains étaient déjà très actives.
Les deux filles complices essayaient de sinterpeller par de simples coups d'il, de part et d'autre de leurs partenaires et déjà une forte excitation semblait poindre pendant cette séance de déshabillage du pauvre couple, aveugle pour la circonstance. Les filles changèrent de place, sur la pointe des pieds, essayant de ne pas glousser, pour que le couple ne sache pas qui déshabillait qui.
Des mains sattaquèrent au pantalon de Caro après de longs baisers dans son cou. Lidée était clairement de faire ressentir aux époux cet effeuillage assisté, simultané et très ordonné, pour que chacun puisse imaginer les émotions que son conjoint vivait en face.
Des mains avaient descendu les jeans de Fred sur ses chevilles, puis lenlevèrent complètement. Caro savait très bien maintenant dans quel état son homme se trouvait. Il ne lui restait plus que son boxer kangourou, le rouge aux joues, le désir à son comble et une paire de mains le caressant de toute part. Caro espérait que cétait Marion aux pieds de son mari, pleine denvie face à sa queue bandée.
Des doigts avaient seulement dégrafé le soutien gorge de la mère de famille, sans lui enlever. En effet, Caro avait lâché une des mains de Fred pour venir retenir ce rempart avec son bras devant sa poitrine. Avec sa pudeur, elle ne voulait pas apparaître totalement libre devant tout le monde. Les filles ressentirent une infinie tendresse dans ce geste et comprirent quil faudrait encore de la patience et de la délicatesse pour que cette femme se lâche complétement.
Les mains poussèrent le couple nu à se faire un calin. Cest comme si Fred avait ressenti une tension ou un malaise lorsquil sapprocha de sa chérie pour lembrasser. Caro eut un petit sursaut de surprise mais accueillit ce baiser charnel et rassurant comme une belle attention au moment où elle avait besoin de son soutien. Fred lui caressa les épaules, descendit sur les bras et vint au contact de sa main qui peinait à retenir ses seins dans son soutien gorge devenu inutile. Encouragé par son chéri, Caro respira un bon coup pour se détendre et lâcha le sous-vêtement au sol, sous les yeux ravis, attendris et bienveillants des filles.
Marion navait quune hâte, cétait dinstaller les amoureux sur les tables de massage pour faire monter la température des lieux. Assistés par les deux complices, les époux sallongèrent confortablement sur le ventre, toujours les yeux bandés, Caro en petite culotte sage et Fred en boxer.
Des mains prirent soin de leur placer un petit coussin sous leur taille ou leur ventre pour avoir un dos bien droit.
Fred ne pouvait cacher son érection manifeste. Caro fut rassuré de plaquer sa poitrine sur la douceur dune serviette et non sur le cuir froid, en offrant son dos à masser aux filles.
Une fois les amoureux allongés côte à côte, on les invita à se tenir la main, que ce couple soit uni par les liens indéfectibles du mariage.
Marion souleva légèrement le bandeau de Fred en lui faisant signe de se taire. Elle voulait quil regarde les deux filles masser à quatre mains son épouse, Élodie soccupant du haut du corps et Marion du bas. Cétait un spectacle très doux à regarder, réchauffé par les coups d'il sans équivoque que Marion lui lançait. Au début Marion massait plus vite quÉlodie mais ensuite elles se mirent à lunisson. Fred était aux anges. Les filles se croisèrent, Élodie massant les pieds de Caro et Marion les mains. Marion fit à nouveau signe à Fred de se taire et le remit dans lobscurité.
Puis ce fut au tour de Fred de se faire masser, se demandant si Élodie avait levé le bandeau de Caro pour quelle puisse regarder les filles uvrer sur son dos. Il eut du mal à trouver à quelle fille appartenait les mains, tellement elles avaient le même rythme et la même douceur.
Fred eut le plus grand mal à se retourner sur le dos quand Marion lui chuchota à loreille de le faire. Son corps pesait une tonne mais sa queue dressée bandait ferme dans son boxer. Il entendit Caro se tourner elle aussi. On lui glissa un coussin dans le dos, basculant ses hanches en avant comme pour quil puisse mieux bander, et lon écarta ses jambes pour que ses bourses soient à laise, bien libres dans son boxer kangourou.
Cette fois-ci, ce fut Élodie qui souleva le bandeau de Fred. Caro, sur le dos, allait se faire masser par les deux filles qui apparurent seins nus, juste vêtues de leurs leggings blancs, portés à même le corps, visiblement sans lingerie dessous. Le legging dÉlodie était mouillé entre ses cuisses. Elles se massèrent les seins devant Fred avec une huile odorante, pour les enduire et les rendre dressés et brillants. Marion avait les yeux dans ceux de Fred, histoire de bien le tenter et le séduire, ravie de son effet, matant régulièrement le textile tendu entre les jambes de lépoux.
Cest ensemble quelles sattaquèrent au massage de Caro, leffleurant de leurs doigts, de leurs seins et de leur langue. Caro aussi avait un coussin sous son dos et ses jambes avaient été écartées. Une fois tout le corps massé assez sagement, Élodie sattaqua de sa langue aux seins de Caro tandis que Marion partit entre les cuisses de lépouse. Fred aurait parié le contraire et fut très surpris. Mais le regard chaud de Marion sur lui, lui fit comprendre à quel point elle poussait le vice de ce jeu. Si Marion léchait sa femme serait-ce Élodie qui lui sucerait sa queue ? Ou bien Marion allait elle faire jouir sa femme puis lui à son tour?
Tout à ses questionnements, il vit Marion glisser ses mains sur lélastique de la petite culotte sage de son épouse pour la faire glisser à ses pieds. Ce spectacle lenvoûtait et une forte envie de se caresser le sexe lenvahit à nouveau, mais il parvint à se contenir. Autant Caro avait manifesté une retenue à dévoiler sa poitrine tout à lheure, autant maintenant elle gémissait sous les subtils coups de langue de Marion la volcanique. Élodie avait fermé les yeux pendant quelle léchouillait les tétons fermement dressés de lépouse. Caro se cramponnait à la table de massage et son bassin ondulait sous les coups de langue précis de Marion. Sûrement elle pensait que cétait Élodie qui passait à létape supérieure de ses découvertes. Cette seule pensée lui permit de se détendre et elle la laissa faire avec confiance en ressentant un immense plaisir.
Fred lui prodiguait régulièrement ce type de caresses mais là, de la part dune femme, le tout amplifié par le bandeau qui lui cachait la vue directe
Fred savait sa femme très réceptive dans ce genre de situation. Aussi il ne fut pas étonné de lentendre gémir et haleter de plus en plus fort
Élodie, avec sa fine poitrine toute enduite dhuile, se pencha en avant pour venir au contact de celle de son amie. Est-ce quà cet instant Caro reconnut la petite taille de la poitrine dÉlodie sur la sienne ? Tous entendirent un petit cri de surprise lorsquelle la sentit glisser sur elle. La plus forte poitrine de Marion aurait été manifestement plus lourde, plus imposante. Si seulement on lui dégageait la vue, elle serait fixée
Elle se concentra sur les caresses supposées de Marion entre ses jambes et il ne lui fallut que peu de temps pour atteindre lorgasme libérateur
Élodie chuchota alors à lépouse:
Surprise !!!!
Tandis que Marion finissait de la lécher, en profitant de tous les spasmes de son corps alangui après lorgasme, retombant sur la table de cuir.
Élodie embrassa Caro à pleine bouche pendant quelle reprenait ses esprits. Nul doute possible, cétait bien Marion qui était entre ses cuisses et qui venait de la faire jouir. Dailleurs elle quitta les jambes ouvertes et fonça bousculer Élodie pour prendre sa place et embrasser à son tour lépouse dans un baiser de folie. Fière de sa bêtise, Marion échangea un regard chargé démotions troubles avec Fred. Échange de courte durée car Élodie replaça le bandeau sur les yeux de Fred.
Cétait au tour de Caro de recouvrer la vue lorsquÉlodie lui enleva avec délicatesse le bandeau. Toute à sa surprise, à son plaisir et à son intense désir den voir et den vivre davantage, Caro rendit comme il se devait ce baiser fougueux à Marion la brûlante. Lépouse avait bien envie de montrer à quel point elle ne se laisserait pas envahir par cette tornade, tentant vainement de lui prouver quelle était encore capable de maîtriser tous les événements.
Alors que Marion sapaisa un peu dans la rage et la fougue du baiser quelle donnait sans réserve ni calcul, Élodie passa affectueusement ses mains sur le corps de sa tendre Caro, pour qui elle ressentait toujours une immense tendresse et, depuis toujours, un immense désir.
Élodie prit Marion par la main et passa à la table d'à côté, pour soccuper de Fred. Mais avant, les deux filles s'embrassèrent devant Caro, reformant leur couple. Cest bien sûr Marion qui prit linitiative de baisser le legging trempé dÉlodie et de la mettre à nu, avant de se laisser faire à son tour. Les trois filles étaient nues, sur un pied dégalité, devant Fred aux yeux bandés et à la queue bien dressée.
On ressentait lhomme impatient sachant quil allait être mangé par les trois pygmées
À nous trois, mon petit Fred, oh, devrais-je dire, M. le professeur ? lança Marion avec espièglerie.
Sans attendre et à lopposé de ce quelle venait de faire avec douceur entre les jambes de lépouse, elle retira le caleçon de lhomme heureux, afin de bien lexhiber à tout le monde comme un trophée. Puis Marion invita Élodie à se placer face à elle, chacune dun côté de la table de massage et à imiter chacun de ses gestes. Les filles disposaient chacune dune moitié du corps de Fred de part et dautre dun axe dessiné par la queue dressée en magnifique.
Marion ne résista pas et commença par poser sa langue dans le cou de Fred, immédiatement imitée par Élodie qui avait pour challenge de suivre la folie de Marion à lunisson. Fred se contracta immédiatement sous ses deux langues qui attaquaient son cou.
Oh la chienne ! cria Fred dans son for intérieur
Il savait bien que cétait Marion qui menait la danse et quÉlodie ne faisait que suivre. Ses sens étant démultipliés par le bandeau sur ses yeux, il avait entendu les leggings se défaire et savait les filles nues. Il savait aussi que Caro suivait ce spectacle sous le regard étincelant de coquinerie de Marion, qui avait une fois de plus inventé ce scénario diabolique.
Fred sentit son corps attaqué de partout, par des effleurements de doigts, de langues, de seins. Les filles descendaient lentement de sa tête vers sa queue, jusquà ce quil sente un premier lapement sur sa verge dun côté suivi dun autre similaire de lautre.
Comment dire? La tension était très forte. Surtout quand des lèvres qui enveloppaient son gland laissaient la place à dautres. Ce passage dune fille à lautre était de la pure , dautant plus quil sentait le plaisir que prenaient les étudiantes à ce jeu-là. Il ne rêvait que dattr Marion par les cheveux et lempaler sur sa queue pour une gorge profonde. Même pas besoin de demander, les lèvres se firent bouches puis gorges, de plus en plus goulues.
Dieu merci ce rythme infernal stoppa avant quil néjacule. Fred entendit du bruit avant de deviner que Marion se plaçait entre ses jambes pour le finir toute seule. Caro ne devait rien manquer de cette scène et Élodie devait surement être toute timide aux côtés de son épouse candauliste.
Cest une pipe de folie qui sattaqua à lui, révélant une excitation intense de sa partenaire. Fred ne tarda pas à succomber à tant de félinité mais eut lélégance de prévenir :
Je vais jouir...
Cest en éjaculant quil sentit quatre mains lui caresser le torse, la nuque et ses cheveux. Mais qui était donc la fille entre ses cuisses?.
Joyeux Anniversaire de mariage, Fred !
Cétait Marion qui, sur un ton de gamine, venait de lui chuchoter cela, imité par Élodie qui fit de même à lautre oreille. La pipeuse excitée nétait autre que Caro, son épouse. Il en fut quelque part soulagé. Il entendit les filles partir en gloussant, ramassant leurs affaires et refermant la porte derrière elles. Cest Marion qui rigolait le plus, fière de son espièglerie.
Fred sentit Caro se relever et il ressentit une grande fierté quand elle lui enleva le bandeau. Cette émotion était assez inexplicable, forte et douce à la fois, excitante et apaisante. Le baiser qui unit ce couple incroyable et le câlin quils se firent était la preuve dun amour merveilleux. Marion et Élodie, émues, les regardaient depuis le système de vidéosurveillance de l'accueil.
La longue étreinte du couple fut interrompue par lalarme que Fred avait programmé dans son téléphone pour ne pas être en retard au restaurant. Quand ils sortirent dans leurs belles tenues danniversaire de mariage, Marion et Élodie les attendaient à l'accueil, toujours habillées dans leurs tenues blanches sexy. Tout le monde se fit la bise comme si de rien nétait et le couple fila pour ne pas être en retard. Caro se retourna en partant :
Passez à la maison déjeuner samedi, les loulous seront partis en congés. Fred nous fera un barbecue. On se baignera si leau est assez chaude, prenez les maillots...
Marion, pouce en lair, tout sourire, confirma leur acceptation et Élodie fit un petit geste romantique tout doux vers Caro.
Quand le dessert arriva, Fred reçut une courte vidéo des deux étudiantes, nues lune dans les bras de lautre, tout sourire.
Joyeux anniversaire les amoureux.
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