Collection Tabou. Les Mimosas (4/7)
Cest dans mon chalet où je me suis retiré pour écrire le livre commandé par mon éditeur que je vois arriver Olga ma belle-fille, hier, jai baisé avec Blandine ma rousse voisine et je crois que le feeling est plus que bon entre nous.
Nous sommes libres tous les deux, jadore son odeur de rousse et la façon quelle a de baiser, nous navons pas encore parlé davenir, mais après que je lui ai expliqué le problème sur ma fenêtre, me permettant de découvrir quelle se sert de godemichets, je retourne chez moi en passant sous les cyprès.
Je viens de terminer un passage sur lhistoire de Blanche, la fille dun riche planteur de cacahuète qui emploie des esclaves.
Blanche se fait sauter par Nat immense noir, force de la nature ainsi que sa mère, mon héroïne vient de découvrir que son père s'est acheté un couple de jeunes noirs pour pouvoir baiser la jeune femme.
Jen suis là quand Olga entre.
Beau-papa, vous êtes là, je suis passée hier, vous nétiez pas là, inutile douvrir votre braguette, cest dautre chose que jai besoin.
Je tai dit que je ne te ferais pas un pour remplacer mon fils que tu penses impuissant.
Ça, cest moins sûr.
Pourquoi ?
Où étiez-vous hier après-midi ?
Ça te regarde.
Un peu, je suis venue vous voir hier, cest Kevin qui mavait envoyé, inconscient que jallais satisfaire mon envie de votre sperme, jignore pourquoi, jai regardé par cette fenêtre où le papier opaque est décollé.
Et alors ?
Je veux que vous maidiez à avoir un , je sais que je vous ai dit attendre le prochain mois, mais jai la possibilité de raccourcir ce délai, même si cela va me coûter, car jusquà ce que je sois enceinte, je devrais me passer de votre sperme.
Sinon, vous savez que je nhésiterais pas à sonner au portail de votre rousse voisine, je me suis bien masturbé quand vous lavez baisé dans sa piscine, il faudra que vous me la présentiez, en attendant.
Je la vois descendre son short et ôter son débardeur, javais déjà vu ses seins, mais sa chatte qui a dû participer à leur banqueroute, entièrement lisse certainement traitée par un laser ce qui coûte un bras à ce que jen sais.
Vous voyez, beau-papa, ma chatte ne vous laisse pas indifférente, je vois que vous bander !
Elle a raison cette petite salope, sur tous les points, depuis hier, je sais ce que coup de foudre veut dire, je sais aussi quune petite chatte comme la sienne quelle me présente ayant couché ses seins sur la table où je mange, les jambes bien écartées.
Elle écarte son intimité avec ses deux mains, son anus est mieux placé pour me recevoir, mais je sais que ce nest pas son but, cest son vagin ouvert quelle veut moffrir.
On a beau être beau-papa, comme on dit-on nen ait pas néanmoins homme, je mapproche et sans plus me poser de questions, je la plante, son petit cul quelle frotte contre mon ventre, me fait partir et elle reçoit la première dose du sperme quelle espère va la féconder.
Sans un mot, elle remet son short et va pour partir.
Mais, que voulais-tu en arrivant, tu parlais de Kevin ?
Il voulait prendre la voiture, ce matin, toujours fainéant se pavanant au soleil, il ma envoyé, après ce que nous venons de faire et que nous allons faire régulièrement, je vais lui faire un gros câlin ce soir.
Je suis de plus en plus piégé, jespérais méchapper des griffes de ma bru, mais elle a vu que jétais accro à ma rousse et quelle avait là un moyen de chantage.
Pour éviter de penser, je retourne à mes écrits en attendant le retour de ma voisine et maîtresse.
Il va falloir que je prenne gare à ma santé, deux femmes dont l'une très jeune à satisfaire, dautres y ont laissé la santé, je voudrais éviter de finir en faisant un infarctus.
Confortablement calé, un verre de whisky à mon côté, je my remets.
« Je me fais prendre par Nat, entièrement nue, le coin tranquille que jaie trouvé au bord de la rivière traversant notre propriété nous le permet, mère est dans la même tenue.
Je suis appuyée sur le marchepied de notre calèche présentant mon arrière à la verge de Nat qui me pénètre.
Mère sapproche pour que Nat puisse lui mettre les doigts dans son vagin, cest à ce moment que jentends le galop dun cheval.
Il tourne le coin du chemin avant que nous nayons le temps de nous libérer, de toute manière, notre nudité naurait rien changé.
Je vois père tirer sur les rennes en nous voyant et sauter de son cheval, il pointe le doigt vers moi, ou vers nous, met sa main sur sa poitrine et se met à cracher en essayant de parler.
Nous nous remettons en tenue décente, Nat charge père dans la calèche, attache Tonnerre à larrière, nous aide à prendre place face à notre malade.
Ses yeux nous regardent, en nous lançant des éclairs, mais il est dans lincapacité de parler et de se mouvoir normalement.
Arrivé à notre résidence, Nat le porte dans ses bras jusque dans sa chambre.
Le contremaître qui vient de rentrer avec un groupe desclaves de notre plantation, récupère Tonnerre et part jusquà la ville chercher un médecin.
Diagnostique, paralysie générale avec perte de la parole due à un surmenage ou une grande frayeur.
Surmenage, baiser une jeune noire à son âge, on comprend, sans oublier mère quil continue à punir en la sodomisant, là encore, on comprend, mais frayeur !
Ingénument, je me demande si de découvrir sa femme et sa fille baisant avec un noir surtout en plein jour, navait pas été la goutte qui avait fait déborder la baignoire.
Mère nétait pas préparée à diriger une exploitation comme la nôtre et comme il avait eu une fille sans queue, cest moi qui prends la gestion de nos terres et de nos gens, ma première décision est de mettre à la disposition de père une servante attitrée.
Jaurais pu mettre à son service Adel, la jeune négrillonne qui a dû être la dernière chatte que sa verge aura honorée, non, jai mieux à lui offrir, Mama.
Mama la plus vieille de nos esclaves, mais surtout lépouse du vieux Tom, nul doute quelle saura lui rappeler les coups quelle a dû voir infligé par le maître de maison.
Cet homme qui ma dépucelé et qui sautait mère, le faisait, savant ne pas avoir le droit de nous refuser quoi que ce soit, comme depuis Nat qui vient dans mon lit aux yeux de tous.
Adel devient ma servante, n'ayant pas à donner son avis, son mari me la prête comme Mama prêtait Tom.
Japprends aussi la douceur, quand sa langue se promène sur mes seins, jadore son odeur poivrée des filles de lAfrique que jespère visiter un jour.
Attention, si je dirige notre plantation en bannissant le fouet, trouvant que ceux qui restent nos esclaves travaillent avec plus dentrain sans cette lanière de cuir, je reste une fille du Sud et je suis intransigeante. »
Jarrête là mes écrits du jour, Blandine arrive, jentends sa voiture montant le chemin du portail qui claque après sa fermeture et la maison, je vais prendre une douche avant de la rejoindre, cest à ce moment que je sens que lon me caresse le dos.
Olga, tu es terrible, tu as eu ta ration de sperme pour la journée, laisse-moi, je vais croire que tu as jalouse de ma liaison avec Blandine, en montant ici, tu as dû entendre sa voiture arriver, je dois la rejoindre.
Vous allez la baiser et moi il ne me restera plus que la bite de Kevin, elle me fait moins de bien que là votre, jai beaucoup apprécié quand vous mavez prise sur la table.
Je te le rappelle pour la dernière fois, sinon je te fesse que je refuse que tu tarraches à moi.
Beau-papa, chiche !
Cest dégoulinant deau, tous les deux que je latt par son bras, je la tire afin de masseoir sur une chaise près de la table, la couchant sur mes genoux, ma main sabat sur sa croupe rebondie à men faire mal.
Ses fesses deviennent rapidement rouges ainsi que ma main, jai envie de la bâillonner pour quelle arrête de crier, jarrête, je sens que je commence à bander au contact de son ventre sur mes couilles.
Je la lâche, elle tombe au sol sa chatte glabre me donnant envie de lui sauter dessus, je ferme les yeux et mets dans ma rétine la vulve rousse de Blandine, mauvaise idée, je bande encore plus.
Je me lève, alors que vicieuse, elle se caresse se mettant directement trois doigts et sortant sa langue quelle passe sur ses lèvres, je passe mon maillot de bain posé sur la table.
Fais comme moi, habille-toi et file rejoindre ton mari, je dois dîner avec mon amie.
Ouf, elle semble avoir compris et récupère son mini-short et son débardeur avant de mettre ses tongs.
Nous sommes à peine en tenue décente quon frappe.
Olga, tu es là, je te cherchais, bonjour papa, que fais-tu, tu sais bien que je tai promis de temmener au restaurant ce soir, pour fêter la date de notre rencontre.
Sauvée par le gong, heureusement quil nest pas venu directement par la terrasse, il nous aurait trouvés encore à moitié nues.
Ne ten fais pas mon poussin, jy pense, jétais simplement venue apporter un paquet de yaourt que javais malencontreusement mis dans notre frigo, alors que cétait pour beau-papa.
Viens, laissons-le travailler, à demain beau-papa, bonne soirée.
Je les vois repartir par la terrasse, main dans la main, chouette soirée danniversaire, Olga va sen prendre un petit coup dans sa fente à leur retour et me laissera peut-être tranquille demain.
Je profite d'avoir mon slip, pour passer les cyprès, Blandine toujours aussi bandante est nue près de la piscine, je mapproche et je lembrasse.
Quand je suis venue à ma piscine avec ce plateau, jai entendu crier, tu as des problèmes.
Il faut réfléchir vite, elle a entendu Olga gueuler quand je lai fessé.
Non, ma belle-fille ma apporté les yaourts quelle avait laissés dans son frigo, elle me fait mes courses, nous discutions du ménage quelle doit faire demain pendant que je serais au village.
Mon fils est arrivé en colère, car elle nétait pas prête, ils vont dîner en ville pour lanniversaire de leur rencontre.
Cest bien, enlève ce slip même si le soleil se couche, bain ou repas.
Je regarde les légumes crus et les fruits, coupés dans des saladiers.
Bain, mon cur, le dernier à leau a perdu
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