Ce Soir Je Suis Sa Chienne

Ce scénario écrit à deux est une initiative d’un lecteur comme vous. Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d’entraîner l’autre dans son univers, d’exprimer avec ses mots son regard sur la scène.

Nous avons pris beaucoup de plaisirs à écrire cette histoire et nous espérons que vous en prendrez autant à la lire.

Elle :
Voilà déjà 3 mois que Lucas est mon amant. Il est l’homme qu’il me fallait pour enflammer à nouveau une sexualité flétrie par dix années de mariage. Notre relation a été volcanique dès le début. Par SMS pour commencer. Devant ma réceptivité Lucas n’a pas tardé à me raconter ce qu’il allait me faire et je ne restais pas en reste. Il a eu toutes les informations nécessaires pour réussir notre première rencontre, m’apporter les sensations fortes perdues avec mon mari. J’ai affiché sans détour ce qui me manquait : quelqu'un pour réveiller pleinement mon côté salope docile. Un dominant capable de me combler, me rendre sienne, me posséder entièrement. Un vicieux sachant m’entrainer là où je ne serais jamais aller seule, pour me faire découvrir des orgasmes dans des situations plus folles les unes que les autres. Puis nous avons baisé une première fois, comme des fous. Il s’est montré particulièrement à la hauteur de mes attentes, si bien qu’enchaîner est devenu une évidence. Nous jouons vicieusement l’un avec l’autre depuis des semaines, moi dans le rôle de la salope soumise, lui dans le rôle du dominant qui repousse mes limites chaque jour, en satisfaisant mon plaisir. Les deux premiers mois ont permis de bien nous installer dans nos rôles respectifs, de lui ouvrir toutes les portes. Ce soir son SMS est clair : “Rendez-vous à 20h sur mon parking. Enfile une mini-jupe bien raz du cul, facile à retrousser. Un petit haut léger à bretelle qui s’ouvre entièrement sur le devant. Des talons hauts. Pas de sous-vêtements.”
Je retrouve Lucas devant sa voiture, l’embrasse avec gourmandise avant qu’il m’ouvre la portière.


On va où ?
Ça c’est une surprise, met ce bandeau sur tes yeux…

Il me tend un joli loup noir et nous roulons 20 minutes sans que je puisse voir où nous sommes, où nous allons. Puis il commence à caresser mes cuisses, remonte jusqu’à ma chatte.
Ouvre ton haut sous tes seins et écarte bien les pans..

Lui :
Bien que plus qu’agréables, les quelques semaines écoulées ne sont pour moi qu’une mise en bouche, même si d’autres y auraient déjà vu le franchissement de nombreuses barrières morales. Carole représente ce que je n’ais plus connu depuis tant d’années et se montre on ne peut plus prometteuse. Prometteuse dans l’assouvissement du moindre de mes vices et de ce dont j’ai été tout aussi frustré qu’elle-même selon ses propres aveux.

Je ne peux pas nous imaginer cantonné à ce que nous vivons déjà. Je souhaite qu’elle se sublime sous mon autorité, qu’elle étincelle dans la débauche et que peu à peu elle s’abandonne totalement sous mon joug. Salope docile, oui, mais plus encore je la veux également Chienne, Roulure, Trainée. Qu’elle soit tout ce que je ne manquerais pas d’exiger peu à peu d’elle pour en faire le parfait objet sexuel “multiprise”.

Aussi il m’est apparu comme le plus naturel du monde de commencer à la faire sortir du confort des chambres d’hôtel dans lesquelles je la besogne déjà au gré de mes pulsions. Je crains plus que la peste qu’elle ne finisse par se complaire dans une banalité adultérine indigne de tout le potentiel que je pressens en elle. Il ne faut pas tarder à peu à peu la mettre sur le chemin de la dépravation à laquelle j’aspire la voir, chemin au fil duquel je ne doute pas qu’elle s’épanouira.

J’en veux pour preuve qu’elle n’a pas manifesté la moindre réticence à s’affubler selon mes désirs. Bien plus que provocante, je la voulais indécente et obscène, telle une Pute prête à l’usage qui n’aurait qu’à minima caché la marchandise. Je la voulais telle qu’elle fasse bander à en rompre un âne mort ou que le moindre vieillard ou grabataire ne songe qu’à se ruer sur cet appel à la saillie.
Et je dois dire que je ne pas du tout déçu, elle est exactement comme je veux qu’elle soit. Du coup dès son arrivée c’est moi qui déjà trique ferme.
J’ai des idées bien arrêtées quant à son devenir à mes côtés, ou plutôt à mes pieds. Pour autant, l’expérience me dicte de prendre mon temps et de ne pas brûler les étapes. Lui masquer les yeux pour cette sortie est tout autant pour la surprendre, faire travailler son imaginaire, et lui donner de l’assurance dans ces autres lieux où je compte progressivement la mener.

Tout à ma conduite, je ne résiste pas à l’envie d’explorer les trésors à peine cachés et de lui ordonner d’en déballer une autre partie, ne voulant pas être le seul à profiter de ces richesses. Ma main s’immisce entre ses cuisses à la fois par envie et par la volonté de contrôler son état, si tant est que j’ai besoin d’être rassuré à son sujet. Je ne cherche même pas à jouer avec son clitoris et vais directement à ce qui m’intéresse. Et je ne suis pas déçu ! Quasiment à l’aveugle deux de mes doigts n’ont aucun mal à envahir ce qu’il me plait tant d’enfiler de ma queue. Elle est plus que prête sans que je sache précisément ce qui là fait tant mouiller dans cette mise en scène… il faudra s’y intéresser.

Peut-être a-t-elle saisi que nous étions à présent sur l’autoroute au bruit des camions que je m’évertue à dépasser le plus lentement possible pour le plus grand plaisir des routiers qui savent profiter de l’aubaine. Je peux presque voir leurs yeux s’écarquiller et briller. Nul doute que leur ferme attention n’a d’égale que celle de leur bite.

Le moment m’apparait bien choisi pour prévenir Carole de la situation et faire un premier test.

- Montres à nos amis routiers, ces pauvres travailleurs laborieux, que tu n’as pas plus froid aux yeux qu’au cul !. Retrousse bien ta jupe et incline davantage ton siège"


Elle :
Plus aucun doute, nous roulons sur une autoroute et où que nous allions Lucas a l’intention de s’amuser avec des routiers pour ma première dépravation.
Des rustres qui sont enfermés seuls dans leur cabine la plus grande partie du temps, réputés pour être bien souvent de sacrés chauds lapins. Un choix qui pourrait m’affoler, mais il n’en est rien, bien au contraire. La situation m’excite au-delà du raisonnable. M’installer en position semi-allongée pour retrousser ma jupe sur mes hanches, écarter largement les cuisses, répond à mes propres désirs du moment. J’image tous ces camions doublés, les regards fugaces vers notre habitacle, la concentration nécessaire pour pleinement profiter du spectacle. J’ai envie d’être impudique à souhait, de m’afficher ouvertement en bonne salope qui demande de la queue, sans la moindre ambiguïté possible. L’idée d’alimenter les rêves de quelques camionneurs, de les faire bander comme des taureaux, qu’ils se branlent et éjaculent en s’imaginant me baiser dans tous les sens, n’est pas pour me déplaire. Je soulève mon chemisier au-dessus de mes seins, les caresse avant de descendre une main pour m’occuper de ma chatte, sans la moindre retenue, sans que Lucas me demande quoi que ce soit.
En temps normal j’aurais ouvert un à un les boutons de mon décolleté, mais l’idée de devoir éventuellement les refermer, plus tard, sans l’intervention de Lucas, me semble totalement inadaptée aujourd’hui, inconcevable. Ce soir je me suis conditionnée pour être traitée en chienne. Mon corps lui appartient, selon ses désirs, ses ordres, pour faire de moi son jouet sexuel. Cela nécessite une part importante d’abandon, une totale confiance en mon amant pour aller chercher de nouveaux plaisirs au-delà de mes limites actuelles, avec le bon dosage. Que mon chemisier redescendre par la gravité en me relevant est une chose. Être amenée à me rhabiller sans que Lucas me le demande explicitement en est une autre, incompatible avec ma posture actuelle. Ouvrir de ma propre initiative mon chemisier impliquerait devoir rester les seins à l’air, où qu’on aille, jusqu’à ce que Lucas en décide personnellement autrement.
Cela fait partie de mon contrat moral tacitement signé en acceptant ce rendez-vous au statut de bonne salope soumise, offerte. Décider d’en rajouter m’appartient, en acceptant les conséquences, mais dans l’autre sens le lâché prise doit être total pour me plier sans aucune initiative contraire à une volonté qui va au-delà de la mienne. Ma tête est en ébullition. Sous le joug de Lucas il y a peu de doute sur la tournure que va prendre cette sortie, tout de moins sur le fond. En revanche il y a tellement de possibilités quant à la forme….
Impossible de définir si nous allons vite ou doucement, mais notre vitesse semble régulière. Impossible de savoir s’il y a beaucoup de camions, ou encore si on m’a vu, me voit en ce moment. Enfin jusqu’au double coup de klaxonne juste à notre droite. Là, le doute n’est plus possible, un mec se rince l’œil. L’effet est immédiat. Mes mains se montrent plus actives, mes gestes plus francs, plus amples, plus démonstratifs. Lucas me glisse deux doigts dans la bouche et je les suce avidement pendant que je me fais jouir sur le siège avant de sa voiture, sous le regard d’un routier…
Je me sens prête à toutes les indécences et réfrène les mots qui me brûlent les lèvres, mon envie de sperme, de queues...

Lui :
J’aime les initiatives, pour peu que celles-ci aillent dans mon sens, et de la voir ainsi le chemisier remonté sans que je n’aie eu le moindre mot à lui dire fait plus que me satisfaire. Je le prends comme un gage qu’elle voudrait me donner pour la suite. Nous ne sommes déjà plus là dans une forme d’exhibitionnisme ludique, mais nous entrons déjà dans le dur et même ce routier qui nous apostrophe semble s’en rendre compte.
J’ôte mes doigts de sa bouche après qu’elle les ait largement sucés comme l’aurait fait de ma queue la première pute venue et, d’une voix posée et ferme, je lui ordonne de les remplacer par les siens.

- Ecarte plus ! Suce-les ! Montre à cet inconnu ce que tu es et ce qu'il te faut !

De la main, et du mieux que je peux, je tente de lui faire passer le message de nous rejoindre à la première aire venue. L’homme semble me comprendre, du moins si j’en juge au large sourire qu’il arbore. J’accélère un peu en quête d’autres amateurs, frustré que je suis de n’avoir pour l’instant que si peu d’échos. Léa le ressent-elle lorsque mes doigts la fouille de nouveau, plus brutalement, plus nerveusement ? Que m’importe, j’use et j’ de ce dont j’ai la pleine et entière propriété. Je la veux à mille lieues d’une quelconque sécheresse, fut-elle passagère, je la veux prête à ce que je déciderai qu’il advienne, parce que je l’exige, parce que je sais que c’est ce qu’elle désire au plus profond de son ventre et de son âme, parce qu’il ne fait aucun doute qu’elle est faite pour cela.
Un autre de ces mâles tant espérés semble manifester un grand intérêt à ce qu’il voit lorsque je le dépasse en trainant un peu sous sa cabine. Il est laid, gras, semble jurer, et me semble idéal pour la suite. Au cas où il aurait le moindre doute sur les dispositions dont fait montre la salope qui est à mes côtés, je la branle plus vivement, plongeant jusqu’à la garde deux de mes doigts tandis que je lui enjoins de bien faire comprendre ce qu’elle veut.

- Tourne ton visage sur ta droite ! Pompe bien tes doigts ! Montre à quel point tu as faim de bites !

La réaction du type est immédiate, il semble vociférer dans l’habitacle du camion, sans doute n’en croit-il pas ses yeux, sans doute bande-t-il comme un âne et peut-être même se paluche-t-il en voyant cette trainée aux trous ne demandant qu’à êtes emplis. A lui aussi je fais signe de s’arrêter dès que possible, et si j’avais pu lui faire comprendre d’inviter quelques-uns de ses collègues, je ne m’en serais pas privé tant cela m’aurait épargné cette conduite erratique que je n’apprécie pas beaucoup.
Il faut dire que maintenir une certaine attention à la route tout en besognant la pute trempée qui s’en est remise à moi, surveiller du coin de l’œil qu’elle ne baisse pas un instant en obscénité tout en racolant le tout-venant n’est pas chose aisée. C’est risqué, je le sais, c’est même inconscient, mais le vice l’emporte sur la raison. Trop longtemps j’ai été privé de ce genre de femelle que plus rien d’autre que l’assouvissement de nos plus bas instincts ne compte à présent.
Soudain je vois les premiers panneaux indicateurs de la prochaine aire et je ralentis un tant soit peu pour regarder dans mon rétroviseur si les deux sympathiques camionneurs ne suivent pas de trop loin. J’ai un doute sur mes capacités d’explication. Ceux-là sont chauffés, prêts, mais s’ils ne s’arrêtaient pas il me faudrait faire mon marché là, une fois sur place. Non pas que cela me dérange beaucoup de présenter la marchandise aux amateurs, mais ce genre de formalités ça va bien cinq minutes et il est grand temps d’entrer dans le vif du sujet, ou plutôt de la sujette.
Arrivé enfin à la hauteur de cette terre promise de péchés, je déboite et entre doucement sur le grand parking, garant la voiture entre deux semi-remorques déjà arrêtés, derrière la station et hors de vue du gérant. Je ne veux pas lui faire un procès d’intention, mais étant de tenir son fond de commerce autant l’écarter de l’équation.
Une fois le moteur éteint, je continue à farfouiller d’une main le con de cette bonne salope de Léa, tandis que de mon autre main enfin libérée des contraintes routières, je m’amuse avec la pointe de ses mamelles, les étirant, les vrillant afin de leur donner meilleure apparence tout en m’assurant du bon maintien du chemisier.

- Il te faut être présentable pour nos invités ! Je les veux afficher meilleure tenue ! Une tenue digne de la roulure que je vais faire de toi !

A peine ai-je eu le temps de terminer ma phrase que mon attention est attirée par le bruit significatif d’un gros cul qui se gare non loin de nous. Je ne sais pas si c’est un des convives qui vient festoyer ou si ce n’est qu’un autre routier. Très vite je suis rassuré, le premier des deux s’avance vers la voiture, sourire aux lèvres et la queue déjà au garde à vous du peu que je peux en juger. Je me tourne de nouveau vers Léa.

- Continue de bien sucer tes doigts et de te caresser. Il semblerait que ça va être ta fête…

Elle :
Après m’avoir pleinement excitée avec ce préliminaire tonitruant, Lucas m’abandonne, sort de la voiture. Sa portière claque et je n’entends plus un bruit pendant plusieurs longues secondes, reste les yeux bandés, seule, à me caresser en grande partie dénudée.

Sans rien changer à ma position, à ma tenue, j’attends. Que fait Lucas ? Est-il parti en repérage du lieu ? Discuter avec une personne ? Faire autre chose ? Puis ma portière s’ouvre. Toujours le silence, un temps d’arrêt qui me laisse imaginer mille possibilités avant que sa voix résonne enfin.

Tu as assez joué avec tes doigts et il est temps de te donner plus consistant. Tends moi la main, on va te trouver un lieu à la hauteur d’une salope de ton envergure.

La formulation claque tandis que tu m’aides à me relever, att rapidement les deux extrémités de mon chemisier qui allaient redescendre pour me les fourrer dans la bouche, maintenir ma poitrine bien exposée, avant de retrousser ma jupe pourtant déjà à la limite de mon cul. Tu ôtes le peu de décence qui restait à ma tenue et te colle à moi pour me faire avancer en me pelotant copieusement le cul.

Ne vous inquiétez pas Messieurs. On fait juste faire à notre salope un petit tour qui ferait pâlir la dernière des putes, et une fois tout le parking informé de sa présence nous nous en occupons comme il se doit..

Tu ne mâches plus tes mots, avec une excitation très perceptible, une volonté affichée de mettre le feu autour de nous, de briser toutes les barrières, les miennes comme les leurs. Tu me guides pendant que nous avançons lentement, avec un parcours incohérents où nous tournons tantôt à gauche, tantôt à droite. Au début en silence, puis sous quelques exclamations crues.

Être offerte en pâture à plusieurs queues bien pleines, pour être baisée sans retenue, soumise, est un vieux fantasme. Pour autant je n’en mène pas large. La peur et l’excitation se mélangent. Lucas est le premier à avoir eu tous les critères pour m’entrainer jusqu’ici, à avoir perçu l’étendu de mes prédispositions, à y être pleinement compatible et avoir su dissocier la femme de la chienne. En dehors de nos jeux il est tendre, respectueux, drôle, brillant. Il me fait l’amour. Dans nos jeux il est un maître délicieusement exigeant, qui sait adresser franchement, directement, l’objet sexuel qu’on apostrophe à renfort de mots crus, qu’on baise à loisirs dans tous les sens, seul ou à plusieurs, qu’on dirige totalement sans la moindre concession avant de l’avilir jusqu’à la transformer en vraie chienne offerte.

Nous déambulons quelques petites minutes avant que Lucas m’arrête, retire mon bandeau. Nous sommes au beau milieu du parking réservé au poid lourd et trois routiers sont devant nous, à se rincer l’œil au pied de leur cabine. Je n’ose pas me retourner pour savoir ce qu’il en est derrière nous, sur le chemin que j’ai dû mener en long et en large.

Lucas m’observe, satisfait, s’approche pour se coller contre moi, m’embrasser pendant que ses mains relèvent cette fois entièrement ma jupe sur mes hanches.

Direction les toilettes des hommes ma belle. Droit devant, en bougeant bien ton cul.

Et la suite ? :
Quelle suite m’attend ? Messieurs, ayant perdu mon partenaire d’écriture je vous propose d’écrire votre suite. Continuons ensemble cette histoire selon votre scénario et publions l’évolution après notre aller-retour. N’ayez pas peur de vous lancer, de ne pas être à l’aise avec l’écriture, je m’en accommoderais et me chargerais de faire les ajustements si nécessaire pour que l’ensemble soit homogène. Le plus important s’est vos idées : êtes vous cérébrale avec plein d’idées pour me manger toute crue ?
Espérons plusieurs ramifications intéressantes, en fonction du comportement et des désirs des partenaires de jeu. Messieurs, c’est à vous’...
Cette première ramification ne vous convient pas et vous voulez reprendre à la première réponse ! Ce sera avec plaisir aussi...

Carole M
Maboitecoquine@hotmail.com







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