Chardonnay Et Autres Liquides

Chères lectrices, chers lecteurs,

Pour rappel, ma compagne, 1.65-1.70m, une cinquantaine de kilos, 85B, des fesses toutes rondes entretenues par du sport de manière pluri-hebdomadaire, des cheveux châtains, et un regard marron-vert, très intense. Elle s’habille tout le temps de manière très élégante, tout est toujours coordonné.
Et moi 1.77m, 65kgs, sec, brun noir, les yeux marrons, et un style BCBG.

HISTOIRE
Cette histoire dévie des faits réellement, car elle mixe une partie de mon histoire, et celle d’une amie co-rédactrice sur ce récit.

Je ne vais quasiment plus dans ma chambrette de 7m² en cité U. J’ai trouvé un point de chute agréable, chaud et douillet en l’appartement de Peggy. Je m’entends bien avec sa Sissy. Pour votre information, c’est un petit gabarit, ce que j’appelle un “petit poney”. Blonde, les cheveux au carré, élégante, 1,50-1,55m, très fine, peu de seins, et un fessier tout rond.
Toutes deux sont “habillées” en tenue de nuit, débardeur à fines bretelles, vraisemblablement sans soutien gorge, et pantalon de pyjama. Pour ma part, je suis toujours en jean (Levi’s) et polo (RL).

Pour plus de facilité j’appellerai
ma compagne Peggy
La coloc’ Sissy
Ne m’en voulez pas pour les redondances de prenoms, au moins on ne s’y perd pas

Un soir que nous avions fini de manger, fait la vaisselle, bref toutes les joies du quotidien, nous nous installons dans le salon (soit dans la “chambre” de Peggy), et plus précisément sur le lit, pour discuter tout en buvant un verre. Nous parlons de tout et de rien, détaillons nos collègues de promotion, nos profs, nos collègues du sport, bref nous faisons une tournée des mauvaises langues. Précisons que nous en sommes à entamer la 3eme bouteille.
Arrive le moment où nous abordons l’aspect physique de l’un des professeurs, bel homme, avocat de profession, avec des yeux clairs qui impressionnent apparemment Peggy, mais vraisemblablement une bonne partie de la gent féminine dans l'amphithéâtre.


Étant aidé par le chardonnay, je laisse ma compagne s’exprimer à ce sujet, et sa Sissy commence à avoir des étoiles dans les yeux.
C’est à ce moment que la conversation dévie totalement sur le sexe, sur les fantasmes de ces deux demoiselles. Ca reste assez “commun”, un homme fort, musclé qui s’occupe d’elles (chacune séparément, je précise), si petites, si fragiles… C’est assez intrigant de voir leur même façon de penser, comme si leur fantasme commun était exactement le même. A moins qu’elles ne le fassent vivre en direct. Mystère...
J’utiliserai le singulier puisqu’elles ont vraisemblablement la même idée en tête.
La façon d’embrasser avec une main entre l’oreille et la nuque, et le détail du pouce qui caresse la joue, qu’il serve à enflammer cette caresse. Le fait de détailler le corps de l’autre avec ses ongles, comme s’il était question de se l’approprier. L’autre qui utilise ses mains pour la soulever, un geste d’un érotisme fort, qui la pousserait à se cambrer à l’excès.
Je vous laisse donc imaginer la scène, je suis assis sur un lit à siroter un chardonnay en compagnie de 02 filles qui me détaillent par le menu l’un de leur fantasme, vraisemblablement commun.
Sissy prend son tube de déodorant tahiti douche (ceux en métal tout en long), et mime comment elle s’y prendrait pour le sucer en le regardant dans les yeux, et déclare: “c’est à ce moment que j’adorerais me sentir salope”.
Ces mots qui sortent de sa bouche, si sage d’habitude, sont un électrochoc. Nous restons tous les 02 à la regarder fixement, interloqués.

Sissy :”Quoi?! C’est bon, c’est un fantasme, on peut pas parler de cul sans vous choquer, vous deux?!”

Elle marque un point et je me dois de reprendre le contrôle…..

Moi : “Après tout, les fantasmes sont-ils faits pour être réalisés? Est-ce ce que tu en rêves ou est-ce ce que tu comptes faire?”

Phrase TOTALEMENT bateau, mais qui permet de gagner du temps

Sissy : “Tu as raison, si je dis à un gars que je me sens salope, il va être assez con pour le répéter à ses copains.
Tu sais garder ta langue toi?”
Moi : “Tout dépend des circonstances bien évidemment…… Où veux-tu en venir?”

Elle comprend bien le double sens de ma réponse, me toise du regard, prend la bouteille de chardonnay et sert nos 03 verres en quantité… Abondante.
Elle en boit une gorgée, pose son verre sur le plateau, s’approche de Peggy, l’embrasse tendrement. Ce baiser au chardonnay coule un peu à la commissure de leurs lèvres, et vient se déposer le débardeur de Sissy, qui se colle à sa peau. Elle n’a pas de soutien gorge.
Bien éduquée, elle propose de ne pas le tacher plus, l’enlève et se retrouve torse nue devant nous. De petits seins dont l'auréole est très claire. Une peau laiteuse, avec quelques taches de rousseur au niveau des épaules. C’est tellement mignon. Tout ceci combiné aux yeux clairs, des dents parfaitement alignées et une silhouette à rendre jalouses beaucoup de ses congénères, ne fait que monter mon excitation.

Pour mon “salut”, il faut que je maîtrises mes émotions! Même si je commence à bien apprécier la tournure des événements, je reste en retrait, avec mes nouveaux amis le plateau et la bouteille de chardonnay (un Dog Point 2005, neozélandais, très agréable avec des fruits de mer soit dit en passant). Je scrute la scène en détaillant les attitudes de chacune d’entre elles.

Elle propose à Peggy, d’enlever le haut également. Ne sachant pas vraiment ce que la suite pourrait donner, elle ne réagit pas, mais se laisse faire dans un silence des plus éloquents.

Sissy : “As-tu encore soif?”
Peggy : “Euh… Oui, mais c’est nouveau pour moi, je ne sais pas si…..”
Sissy : “Tout va bien, on est des grands…. Une gorgée?”

Elle ouvre la bouche mécaniquement, et avale d’un baiser langoureux la boisson. En refermant sa bouche, elle souille involontairement ses seins qui réagissent à la différence de température en se dressant tant au niveau des tétons que de la peau qui se hérisse.

Sissy passe son doigt sur toute sa largeur sur les globes et stoppe la descente du liquide, et vient lécher le surplus.
Peggy saisit quasi instantanément la tête de son amie pour encourager la caresse et jette sa tête en arrière avec les yeux fermés.
C’est assez saisissant de voir comment deux corps enveloppés de désir peuvent entamer un changement radical. C’est vraiment transcendant.
Je reste impressionné par ce potentiel que j’avais naïvement sous-estimé. Les caresses de ces deux demoiselles se font de plus en plus précises, les mains se baladent sur tout le corps, elles s’entrelacent d’une sensualité insoupçonnée.
A un moment Sissy reprend son verre, y trempe son doigt, et le donne à lécher à sa grande copine du jour. Celle-ci prend la main dans les siennes et simule une fellation. Elle commence par enlever le vin sur tout le doigt puis le lèche sur toute la longueur.
Sissy reprend son regard qui me toise, et me fait un clin d’oeil. Pendant que Peggy continue sa “performance”, l’autre se lève, finit de se déshabiller, et reste debout sur le sol. Elle positionne sa main au niveau de son pubis entièrement rasé, replonge son regard dans le mien, et dit à son amie :

Sissy : “Ca te dirait qu’on lui montre ce que peuvent faire deux femmes ensemble réellement?”

Elle n’attend pas la réponse et plaque la tête de celle ci contre son mont de vénus. Elle agrippe ses mains sur les hanches maintenant.
Je suis donc toujours allongé sur le lit, un peu à l’étroit dans mon levi’s, avec en ligne de mire ma compagne accroupie en train de faire un cunilingus à Sissy…...
J’ai ce regard planté dans le mien qui respire la luxure, comme planté dans le mien. Elle réveille en elle un instinct qu’elle n’avait jamais montré auparavant.
Dans une démarche qui s’apparente à un réflexe, je me rapproche, ne voulant pas être en reste. Elle m’annonce du regard que ce ne sera pas pour maintenant, et je reste assis, devant ce spectacle de lubricité.


Peggy : “Ne serions-nous pas plus à l’aise si je m’installais sur le dos, mon visage contre toi?”

Les mots détaillant la chose ne sont pas encore prêts à sortir, mais l’explication est assez précise. Elle me regarde avec des yeux innocents, les joues rosies par le plaisir. Elle se mordille le coin gauche de la lèvre inférieure et fuit mon regard.

Peggy : “Ca va toi? Tu veux venir?”

Je m’approche et lui roule une pelle d’anthologie, pour montrer à sa Sissy que je reprends le dessus.
Les deux coquines prennent position, je subis les foudres de la blonde qui me fusille du regard, je n’en prends pas ombrage, et continue ce que j’estime avoir à faire.
Je commence à lécher ma compagne qui se cabre instantanément, je parcoure son corps de mes mains. Je n’avais jamais pensé que de la voir affairée avec quelqu’un(e) d’autre pouvait être aussi excitant, je le sais maintenant!
Je sais qu’elle est toute émoustillée, et je compte bien lui porter le coup de grâce! J’insère 01 puis 02 doigts dans son antre brûlante, et fais des vas-et-viens, doucement au début, et de plus en plus violemment! Je la sens se cambrer, mais elle ne désoude pas sa bouche de son amie, elle gigote dans tous les sens, ses jambes se tendent, et elle jouit abondamment dans ma bouche! Pas une femme fontaine, mais nous n’en sommes pas loin...
Mais bon dieu, je ne suis pas là pour qu’on me dise ce que je dois faire! Je m’arrête d’un coup, et viens m’installer derrière sa Sissy, mon dieu, ses fesses sont toutes rondes. Je prends son verre qu’elle avait toujours à la main, bois une gorgée que j’échange avec elle dans un baiser ardent. Je fais exprès de faire couler le maximum sur son corps, pour que le tout soit léché en même temps que sa chatte. Ca ne manque pas, je reste au bord du lit debout derrière cette demoiselle, à admirer le point de vue. Mes mains se font de plus en plus baladeuses, et je remarque que ses seins ont une certaine propension à réagir immédiatement sous mes doigts. Je ne m’embarrasse trop de détails, je finis son verre d’un trait, et commence à masser son oeillet. Je m’agenouille derrière elle, pour y passer ma langue, elle se fait lécher devant et derrière en même temps. Je remplace rapidement ma langue par 01 puis 02, puis 03 doigts pour que mes intentions soient très claires. Je les fais tourner sur eux-mêmes, elle jouit (très) bruyamment. Au moment de son orgasme, je me relève, j’insère directement mon sexe turgescent dans son petit trou, doucement pour ne pas vouloir couper ce moment par une douleur qui serait de mon fait.
Son regard, mon dieu, son regard… Il se plante à nouveau dans le mien comme une dague dans la panse! Par dessus son épaule, Sissy m’évalue, me jauge.
Ma compagne se relève, nous regarde avec des yeux satisfaits, et vient derrière moi me masser tout le corps de ses doigts fins. Des petites griffures m’indiquent que je suis bien SON homme. Sissy se met en levrette, la cambrure est gravée dans mon esprit, avec au bout ce regard examinateur. Je me lâche totalement, et ne cherche plus à rester un gentleman. Un côté sauvage s’est réveillé, je lui tire ses petits cheveux courts, la gifle à quelques reprises.
Sissy : “C’est vraiment bon d’être baisée comme une salope, vas-y continue”
Peggy : “Je t’avais dit qu’il était pas trop mauvais tu vois”
Sissy : “Oui, et malgré sa taille, sa queue passe sans problème, mon gabarit ne lui a pas fait peur, tant mieux, j’a-do-o-o-o-ore”
Peggy : “Je vais lui caresser les couilles en même temps, je suis sure qu’il ne va pas tenir”

Elle joint le geste à la parole, et je me sens venir de manière de plus en plus imminente. Je me retire de son cul, et vais dans sa chatte. Elle est trempée, et serrée, c’est tellement agréable… J’ai une idée derrière la tête, j’ai envie de les voir avec mon sperme sur le visage, mais elles auraient surement refusé si j’étais passé directement depuis le cul. D’où ces dernières secousses.

Moi : “vous allez vous aligner sur le lit que je vous donne votre récompense!”

Peggy fonce se mettre en levrette à côté de son amie, je me retire et vais à l’autre bout du lit en urgence pour les arroser de mon sperme chaud. Bon, nous ne sommes pas dans un porno, alors il y en a en quantité limitée. Disons que c’est Sissy qui en a le plus dans la bouche, sur le menton, et un petit filet coule jusque son sein gauche.
Ma jouissance terminée, Je relève la tête en arrière, ferme les yeux, et profite du moment présent. Je baisse ma tête à nouveau, et observe les deux demoiselles s’embrasser d’une manière plus qui relève d’un état de famine avancé que d’une chaste caresse buccale.

Moi : “C’est vraiment un beau tableau, j’aurais bien pris une photo, mais je préfère graver cette image dans mon esprit. Je vous laisse pour une pause technique.”
Sissy : “Une pause technique?”
Moi : “Oui, je vais aux toilettes quoi…”
Peggy : “On vient avec toi! On va avoir besoin aussi”
Moi : “Ah, ok…”

J’arrive aux toilettes, qui sont dans la même pièce que la salle d’eau. Elles vont dans la douche, et commencent à pisser sur leurs jambes en rigolant.
Je n’ai pas commencé de mon côté, et les regarde, intrigué.

Moi : “Vous aimez jouer avec ça, vous?
Peggy : “Eh ça va on est tous les 03 bourrés. On l’a déjà fait mais c’était jaune, là on a assez bu et c’est tout transparent c’est comme de l’eau chaude”
Moi : “Je peux venir aussi alors?!”
Peggy : “Bah ça peut être drôle, qu’en penses-tu?”
Moi : “alors alignées mesdames!”
Sissy : “OK, mais évite le visage, s’il te plait”
Peggy : “Alors, si elle dit ça c’est qu’elle veut que tu lui pisses à la figure!”
Sissy : “Eh ça va oui”
Et elles rigolent toutes les deux

Je me sens venir, un petit jet au début qui ne les atteint même pas, puis une vraie fontaine. Contrairement au sperme tout à l’heure, il y en aura pour les deux. Elles ont raison, le fait d’avoir bu pas mal, et d’avoir eu quelques passages aux WC dans la soirée fait que ma pisse est totalement transparente.
J’arrose en premier Peggy sur ses seins, puis je descends sur sa chatte. Elle suit le mouvement du jet en se massant les parties éclaboussées. Sissy vient également lui lécher les seins, et j’en profite pour la doucher! Elle en reçoit sur la joue, je remonte sur ses cheveux, elles en rigolent vraiment.

Ca se termine, nous prenons une douche commune. Nous proposons à la Sissy de venir dormir avec nous, mais elle décline. Nous allons nous coucher, mais n’avons pas vraiment envie de dormir. La fatigue nous rattrappe, et nous finissons dans les bras de Morphée.

Et au beau milieu de la nuit, je sens quelque chose de chaud qui accompagnent des mouvements de couette…… Ma compagne est insatiable!!!!

Je reste bien évidemment ouvert à tous vos commentaires.
Bien à vous,

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