Soumission En Vacances 4 - Le Renversement De Situation
Partie 4 Le renversement de situation
Dans le fond, impossible de savoir si jai subi ce traitement 10 minutes ou 5 heures : jétais hors du temps. La fonction aléatoire des vibrations de mon cockring et du plug mempêchait de basculer sur un rythme de croisière. Dès que je commençais à my habi, ça changeait.
Pareil pour les vidéos : il sagissait dextrait de scènes, de longueurs différentes, si bien quil métait complètement impossible de savoir combien de temps sécoulais.
Jalternais des phases de mi-sommeil (avec profonde remise en question de la situation) et dexcitation total (ou jétais complètement à ma place), au grès des évolutions de mes appareils de .
Après XX minutes, heures (jours ?), je sentis mon plug et mon cockring séteindre de concert : elle était enfin revenue.
Léa menleva le masque VR et le casque audio. Elle était complément nue en dehors de ses bottes et de ses gants, toujours avec sa tresse qui lui tombait entre les seins. Je soupirais de joie, grognais dans mon bâillon, me débattais avec mes menottes, bref je craquais quoi.
- « Tout vas bien je suis là », me dit-elle en séchant des larmes dont je navais même pas conscience, « je suis tellement fière de toi ».
Jétais dans un état second. Elle me caressait, membrassait dans le cou, au coin des lèvres
et tout doucement, elle me glissa en elle. Elle senfonça complètement, jusquà sentir la vibration de mon anneau sur son clito. Elle resta comme ça quelques secondes avant dentamer un lent va et vient, en se collant contre moi et en me regardant droit dans les yeux. Elle soupirait de plus en plus fort, gardant ses yeux plongés dans les miens. Lorsquelle se mit à gémir, je reconnus son regard coquin : elle navait pas complètement fini de jouer avec moi. Elle se mis à alterner caresse et , toujours le regard planté dans le mien : une embrassade dans le cou puis elle me pince les tétons, une main qui passe dans son dos pour me caresser les bourses puis une main sur ma gorge pour m quelques secondes.
Après 5 min de ce traitement, malgré mon anneau, je nen pouvais plus. Jallais jouir. Je gémissais dans mon bâillon pour lui signaler, craignant les représailles si elle ne me donnait pas lautorisation. Heureusement, elle choisit daccélérer :
- « Vas-y mon lapin, jouis. »
Et dans son ultime effort pour me donner lorgasme le plus dévastateur de ma vie, elle lança la vibration de mon anneau et de mon plug à fond et elle verrouilla sa main sur ma gorge.
Lorgasme fut violent. A en tomber dans les pommes. Je la vis jouir quasiment en même temps que moi, collée contre mon anneau vibrant, mais je men foutais. Jétais ailleurs.
Léa coupa les vibrations et se colla contre mon corps, haletant dans mon cou. Au bout de 5 minutes, je méclaircis la gorge. Elle se redressa et me souris.
Puis elle se leva, défit précautionneusement la cordelette de cuir autour de mes bourses, me libéra de mon anneau et de mon plug, dénoua mon bâillon-harnais et me détacha les mains.
Je restais là un peu idiot, à flotter entre deux mondes, un sourire béat sur le visage mais un peu de gêne. Elle aussi dailleurs semblait un peu gênée, comme si cet orgasme nous mettait enfin face à la réalité de la situation.
- « Viens », je lui dis simplement en lui prenant la main.
Je pense que lépreuve e du visionnage porno et dexpression de mes envies jouait pour beaucoup dans ce qui était en train de se passer. Le fait davoir été mis face à mes envies, de savoir et surtout dassumer ce qui me plaisait ma permis de me retrouver quasi immédiatement à laise avec la situation.
On marcha jusquà la piscine, je laidais à se libérer de ses bottes et de ses gants et on fit un plongeon discret pour se remettre de nos émotions, tout ça sans échanger un mot.
Sur les marches vers lentrée de la piscine, je la pris par les épaules et la poussa vers le bas pour la faire sagenouiller.
Elle avait bien compris le message et commença à me caresser les bourses, le sexe, pour provoquer une réaction. Elle ne se fit pas attendre bien longtemps. Malgré lorgasme dévastateur 15min plus tôt, javais quelques heures de frustration dans les pattes moi : jen voulais encore.
Elle commença par lécher ma bite de haut en bas, depuis les couilles jusquau gland. Elle se contorsionna ensuite pour se positionner sous moi et me lécher de lanus jusquau bas des bourses. Après une minute de ce traitement des plus agréables, je la guidais vers ma bite pour quelle me prenne en bouche.
Elle commença par me sucer tout doucement le bout du gland, sactivant avec les mains sur la base du sexe. Elle accéléra de plus en plus en prenant de lamplitude, en limitant les bruits de succions quelle savait que je naimais pas (ça a du bon de sêtre complètement ouvert sexuellement plus tôt).
Je larrêtais pour pouvoir en profiter à ma façon. Toujours sans parole, je lui fis signe de me suivre et sorti de la piscine.
Sur la terrasse, je récupérais la ceinture de mon jean et men servis pour attacher ses mains dans son dos. Elle se laissa faire, toujours en silence. Personne ne voulait briser le moment. Je massis sur le fauteuil ou elle sétait installée la veille
ça semblait beaucoup plus loin que ça.
Elle sagenouilla devant moi et me repris en bouche. Je lui pris la tête et la guidait, imprimant mon mouvement, me servant delle pour mon plaisir. Elle suivait comme elle pouvait, toussotant de temps en temps mais se reprenant rapidement à chaque fois. Elle était motivée et avide de plaire, jétais à laise dans mon rôle et la forçait sans trop la mettre en position de difficulté
Même si lobjectif restait mon plaisir et que ça impliquait de la pousser dans sa zone dinconfort.
Alors que le plaisir montait, je remarquais quelle tentait de se frotter la chatte avec les doigts de ses mains attachés en se levant sur les genoux et en essayant de passer la main sous ses fesses. Je lui pris donc la mâchoire pour larrêter alla récupérer le fil de son maillot de bain de laprès-midi en train de séché. Je men servi pour lui remonter les mains dans le dos en passant dans la ceinture et autour de son cou. Je serrais un peu avec un air sévère, pour sa tentative de masturbation sans mon aval. Elle garda les yeux baissés.
Je la fis reprendre sa fellation, ou pour être plus précis je la repris moi-même puisquau point où on en était, je me servais de sa bouche sans lui laisser une grande marge de manuvre. Je mis mon pied en avant, contre sa chatte et lui dit :
- « Si tu veux te branler, je te laisse te débrouiller. »
Elle saisit loccasion et se mit à se frotter contre mon pied comme une folle-furieuse, luttant à moitié contre mon mouvement de bassin mais plus pour la forme quautre chose. Elle se déhanchait, je voyais ses seins frotter contre lavant de lassise du fauteuil mais elle sen foutait, la bouche toujours pleine, une petite larme au coin de lil.
De mon côté, ce traitement ne me laissait pas indifférent. Voir cette petite furie se déchaîner, la sensation de mon gland dans sa gorge exacerbée par la corde du maillot de bain qui la serrait, ses yeux à la fois suppliant et envieux
je nallais pas tenir longtemps.
Heureusement pour moi, je sentais quelle essayait de me dire quelque chose. Ses mots étaient bien évidemment étouffés par ma bite qui continuait denvahir sa bouche et jen joua un peu, mais elle ne se démontait pas et continuait dessayer de dire quelque chose. Je finis par sortir de sa bouche pour la laisser parler.
- « Est-ce que je peux jouir pour vous monsieur ?
-
Non pas encore »
Elle avait tout le mal du monde à se retenir et ça se voyait. Je me levai donc, pris ma bite dans la main et commença à me branler face à son visage.
- Convaincs-moi de te laisser jouir ou je te laisse frustrée pour la nuit.
- Pitié monsieur laissez-moi jouir pour vous. Je vous en supplie, jen ai besoin, je ferais absolument tout ce que vous voulez, je
»
Je me branlais face à son visage en lécoutant me supplier de la laisser avoir un orgasme. Et lorsque je senti le mien venir, je prononçais enfin les paroles quelle attendait depuis tout à lheure :
- « Vas-y, tu peux jouir ».
Et jéjaculais sur son visage figé dans une position dextase.
Je la laissais reprendre ses forces et la détachait. Elle était épuisée, moi aussi. Sans un mot, je laidais à se débarrasser du sperme quelle avait dans les cheveux et sur le visage (bien quelle en récupérât une partie qui était à proximité de sa bouche et surtout de sa langue).
Nous finîmes par nous séparer, en silence pour ne pas briser le moment, pour aller nous coucher chacun de notre côté.
A suivre
Si lhistoire vous plais nhésitez pas à men faire part que je sache si ça vaut le coup de continuer !
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