Collection Tabou. Les Mimosas (5/7)
Je viens déchapper à ma bru qui voulait une nouvelle fois se faire baiser, il sen est fallu de peu que mon fils Kevin, la surprenne à poils chez moi, je viens de rejoindre Blandine, ma rousse voisine au bord de sa piscine en franchissant la haie de cyprès par le trou derrière mon chalet.
Elle est là toujours plus belle dans sa nudité, après lavoir embrassé, je plonge dans la piscine, elle vient de me donner le choix, repas de crudités ou bain.
Quitte à ne rien manger de consistants, je choisis le bain, lui lançant un défi.
Gagné, je suis le premier.
Cétait facile, je nai aucun mérite, jai juste enlevé mon maillot, elle arrive vers moi et saccroche à mon cou.
Nos corps se collent et je sens que ma raideur revient, à ce rythme, je risque une autre raideur, mais définitive celle-là et dire que jespérais avoir une retraite transquille.
Question retraite, côté travaille mes écrits ne sont pas trop fatigants, mais côté sexe, il nen va pas de même, ma maîtresse folle du cul qui se faisait sauter par dautres que moi sétant fait choper par son mari, je pensais être tranquille.
Bien sûr, malgré mon âge, un petit coup de temps en temps naurait pas été pour me déplaire, mais bander du matin au soir, même pour des chattes différentes, la fatigue risque de me gagner.
À ce rythme, en attendant ma mort prochaine, grâce à leau qui maide à la soutenir, Blandine sempale sur ma turgescence mentourant ses bras autour du cou et ses jambes de ma taille.
Quelle belle mort, je vais avoir, on pourra lire sur mon épitaphe « ici gît, Chris le retraité mort en tirant un coup. »
Jéchappe à cette mort pour ce coup-ci quand je lentends râler son plaisir.
Ma situation est différente quand je perds pied et que nous nous trouvons entraîner vers le fond de la piscine, c'est par noyade, ce qui est moins glorieux quaprès avoir bu une grande gorgé deau, je suis à deux doigts de trépasser.
Retrouvant la terre ferme, du moins les transats, ce que je navais pas vu, cest sur le côté de la desserte, la bouteille de rosée de Provence mise dans sa chaussette réfrigérante.
Ces divins, jadore le rosé, comme jaime me promener dans ces immenses champs de vignes, du moins du temps où je faisais de la voiture.
Je mange des pousses de bambou, du fenouil, des quartiers de tomate, des olives du pays, la fraîcheur commençant à tomber, ce qui est normal dans cette fin de printemps et la fin des mimosas, du moins les petites boules jaunes qui pullulent devant nos yeux, nous prenons un repos salvateur dans son lit.
Jignore ce que tu fais pendant tes journées, mais hier, dès que tu as été couché, tu as été aux abonnés absents, mais si tu veux dormir, jaurais mauvaise grâce à te le reprocher, les dimanches, jouvre rarement les yeux avant midi.
Je pars travailler, jai un client à 10 heures, je tai mis le code du portillon sur la table de cuisine, bien que tu nen aies pas besoin, grâce à ce trou dans notre haie.
Bonne journée, à demain.
Demain, tu vas déjà me tromper dès ce soir !
Gros bêta, je mange chez ma fille à Toulon, son mari est dans la marine nationale, il est officier et il est en mer avec la Jeanne Darc pour sa croisière annuelle.
Elle est seule avec ses petites jumelles, jai pris du rechange, je dors chez elle.
Je suis satisfait, une journée à navoir à affronter que ma belle-fille, pour cela, jai une idée, lenvie de finir mon livre est très forte comme chaque fois que je sais ce que je dois écrire, je me lève, je passe la haie sans bruit et jentre dans le chalet.
Vite, je saisis mon portable et je retourne par où je suis venu, minstallant dans la salle avec une tasse de café boisson du matin pour moi.
« Alors que je viens de prendre les rênes de notre exploitation, père étant frappé de paralysie après avoir vu, mère et moi baiser avec Nat le noir quil avait malencontreusement acheté.
Il avait aussi acheté un couple de noir Adel quil a certainement baisé dès la première nuit et Thomas.
Je me réserve Adel, elle m'apprend les amours féminins pour mon plus grand plaisir.
Alors que jai jalousé mère, jen fais ce que je veux maintenant quelle a refusé de gérer notre exploitation, comme je lai faite pour père qui est dans les mains de Mama la veuve de Tom quil a fouetté à mort, elle à Thomas à son service.
Nous avons été prévenus que la guerre de sécession venait de débuter, Richmond la capitale des forces rebelles étant éloignée, nous entendions des tirs darmes à feu sans trop être concerné.
Nous croyons que nous étions épargnés, jusquà cette nuit ou ma vie va basculer, nous venions de rejoindre ma chambre, Adel et aussi Nat qui nous donnait du plaisir tour à tour.
Père était dans son fauteuil à bascule sur la terrasse avec Mama assise à ses pieds qui le faisaient basculer, mais par moments lui pinçait les cuisses, le ventre ou tout autre endroit.
Elle faisait cela sans un mot comme si elle voulait quil se souvienne que si elle était seule, cétait de sa faute.
Javais vu mère entrer dans sa chambre avec Thomas, jignore si elle continue à se faire cravacher, mais il y a deux nuits, en faisant un tour pour voir si tout allait bien dans notre résidence, je lai entendu gueuler son plaisir.
Javais la verge de Nat dans la bouche, Adel me broutant la chatte quand jai entendu des cris et des coups de fusil, rapidement Nat sest levé, il allait vers la porte quand elle sest ouverte et que des hommes sont entrés.
Jai vu nettement la baïonnette au bout dun fusil transpercer notre amant, pour se défendre, il a attrapé la lame avec ses mains, voulant faire sortir ce morceau de fer qui lui prenait la vie.
Un autre qui suivait la achevée en lui plantant une autre lame dans la poitrine, le sang giclait partout, avant de venir vers nous.
Les gars, il y a deux salopes ici, nous allons nous amuser.
Pour samuser, ils se sont amusés, pendant tout le reste de la nuit, ils nous ont pris, Adel et moi, partout où ils pouvaient nous pénétrer, au début, je dois dire que la verge qui est venue me remplir a été à la limite de me faire jouir.
Combien étaient-ils, je ne saurais dire, ce que jai vu, cest que ce groupe avait des hommes en tenues bleues, dautres étaient habillés comme les gens de chez nous les sudistes, ils y avaient même deux noires, ce nétaient pas les derniers à nous défoncer.
Jétais couverte de sperme, à un moment, jai vu Adel prise devant derrière par deux verges, jai subi le même sort par les deux noires un peu plus tard, je dois reconnaître que le traînement à ce moment ma éclaté.
Jignore si je suis tombée dans les pommes, ce quil y a de sûr, cest quand je suis revenue à moi, nous étions seules et vivantes avec Adel.
Jai sauté difficilement du lit pour aller voir notre amant qui gisait au pied du lit, ses doigts avaient été coupés par les lames qui lavaient transpercé et quil avait essayé darracher.
Jai entendu nos esclaves chanter leurs chants de mort à lextérieur, jai mis mon peignoir blanc, je suis sorti et je me suis dirigé vers la chambre de mère, elle était dans son lit couché sur le dos.
Thomas qui devait la sauter était couché sur elle, un sabre dofficier les avait cloués dans cette situation ensemble, ils étaient morts.
Je suis descendu, père était toujours dans son fauteuil balancé par Mama qui navait pas bougé, père était mort sûrement de frayeur au faciès quil me présentait.
Mama chantait doucement des chants noirs, ces mêmes chants montaient des cases de nos esclaves, Mama devait mourir deux jours plus tard et ainsi rejoindre Tom dans leur paradis.
Nos esclaves avaient été épargnés, cest à ce moment que jai entendu et vu arriver des hommes avec à leur tête un homme sur son cheval blanc.
Jétais bien parti pour finir mon histoire quand jentends la sonnerie de la porte automatique de la maison de Blandine.
Javais vu que près de la porte de sa villa, il y a un écran qui me permet de voir que cest Olga dans son petit short et avec un chemisier blanc noué sous ses seins qui a sonné.
Que vient-elle faire, elle a dû aller au chalet et ne me voyant pas, elle vient tenter sa chance ici ?
Heureusement que je lui ai caché le passage dans les cyprès, elle serait déjà là pour se faire remplir le vagin, je ne bouge pas et je la vois partir.
Comme la piscine est cachée de la route, je me baigne, je fais la sieste en me faisant bronzer.
Je veux manger, je ne trouve que des légumes, jai oublié de demander à Blandine si elle était végétarienne ce qui ne serait pas impossible vu la minceur quelle affiche à son âge.
Jentends Kevin revenir avec la voiture, je nai pas assez de temps pour reprendre mon écriture, il faut dire que pour passer le temps, jai fait des longueurs de piscine et je suis fatigué.
La nuit tombe vite à cette époque, alors je décide daller manger des choses plus consistantes chez moi.
Jécoute la radio et je vais me coucher.
On frappe à ma porte, je regarde lheure minuit, qui peut venir à cette heure et surtout qui a pu savoir que jhabite dans le chalet ?
Olga, que viens-tu faire à cette heure ?
Où étais-tu passé, beau-papa, je tai cherché toute la journée !
Jétais au village, je faisais un concours de belote, je suis revenu il y a une heure, la concentration pour aller en finale ma épuisé et je dormais.
Mais, Kevin ?
Il dort, il a eu des insomnies quand nous avons perdu tout notre argent, il avait vu le médecin qui lui avait donné des gouttes pour dormir, il se peut quau repas de soir, quelques gouttes soient tombées dans son verre.
Tu las , tu ne manques pas dair, et en nuisette, je vois que ce que tu viens chercher.
Oui, je veux cet dès ce mois-ci, quand il viendra au monde, ce sera un Verseau, cest un très bon signe.
Une nouvelle fois, moi qui voulais rester tranquille pour refaire mes forces, je suis dans lobligation de lemmener dans mon lit
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