Terma 35 : Ma Femme Et Les Ouvriers Africains (1) :

Terma 35 : Ma femme et les ouvriers africains (1) :
Mon cousin Si Mokhtar qui vit toujours dans les environs de Marrakech, m’a invité dernièrement au mariage de son fils cadet qui doit avoir lieu dans un mois. Il avait bien réussi dans les affaires car il possédait deux grandes fermes au pieds de l’Atlas et où travaille une trentaine d’ouvriers surtout africains et où il a construit deux grandes villas type haciendas avec des des domestiques hommes et femmes en majorité africains et qu’il loge dans des bâtiments annexes. En ville, il a aussi un hôtel de trente chambres pour touristes surtout étrangers et trois magasins assez vastes et spécialisées, l’un en vêtements marocains et africains, l’autre en fruits et légumes et le dernier en alimentation générale.
Comme j’ai toujours été jaloux de sa réussite, j’ai décidé de ne pas y aller, mais ma femme a insisté et nous sommes allés à son invitation, immédiatement pour participer aux préparatifs et assister aux fêtes. Comme j’étais l’un des plus proches parents, on nous a donné tout un studio parmi ceux qui étaient attenant aux haciendas, et complètement équipé et une vielle africaine comme domestique. Mais j’étais presque tout le temps avec les hommes de la famille dans l’hacienda principale. Ma femme, par contre, rejoignait les femmes de la famille et les domestiques qui préparaient les gâteaux et autres tissus et ne revenait au studio que vers 23h après les diners.
La nuit, je constatais que malgré mes efforts, ma femme était toujours insatisfaite de nos relations sexuelles. Sa chatte et sa Terma, toujours très affamées, étaient sevrées de vrais ébats à la mesure de ses appétits. Elle s’énervait et se fâchait trop rapidement, alors j’ai décidé de lui trouver, comme d’habitude, un ou plusieurs amants, discrètement. J’ai renvoyé la domestique et je l’ai remplacée par un jeune africain d’une vingtaine d’années et qui semblait assez timide.
J’ai fait sa connaissance parmi les ouvriers agricoles africains et comme il travaillait pour payer ses études, j’a décidé de le prendre comme domestique au studio pour s’occuper de l’entretien du logement et de tous nos besoins nécessaires mais, surtout, de devenir l’amant tout près, mis à la disposition de ma femme.

Et, dès le lendemain, je l’ai installé dans la seconde petite chambre du studio. J’étais sûr qu’il tombera dans le filet de ma femme qui adore les zobs africains et grâce à sa jeunesse, il pourra, peut-être la contenter et la rassasier sexuellement.
Et le soir même, lorsque ma femme a rejoint notre studio vers 22h, elle a été surprise mais en observant le jeune africain j’ai constaté, tout de suite, qu’il l’intéressait, surtout quant elle a su qu’il logera en permanence avec nous, J’étais certain qu’elle était enchantée et affamée. Je jeune travaillait dans la cuisine et quant on a besoin de lui, on l’appelait, pour de l’eau ou un fruit ou autre chose. Il devait attendre qu’on soit couchés pour rejoindre sa chambrette.
Nous avions pris des douches et on s’est préparés pour la nuit. Prétextant la fatigue, j’ai évité, ce soir, de baiser ma femme et elle, ayant d’autres projets, n’a fait aucun objection. Elle avait mis sa chemise de nuit chair, transparente et nue par-dessous. On voyait nettement sa chatte mais surtout sa belle et large Terma qu’elle balançait en marchant sans tenir compte de la présence du jeune africain.
J’ai remarqué qu’il semblait affolé et ne quittait pas ma femme des yeux, surtout son magnifique derrière. Elle l’appelait pour des riens, un peu d’eau, un fruit, une serviette alors qu’elle était dans la salle de bain. Le jeune était totalement hypnotisé. Je lui ai fait la remarque mais elle m’a répondu que ce n’était qu’un jeune innocent et de plus notre domestique. Elle n’avait pas de morale quant il s’agissait de ses appétits sexuels. Les yeux du jeune adolescent ne quittaient pas le derrière de ma femme d’autant plus qu’elle a été plusieurs fois dans la cuisine ou il lavait la vaisselle. J’étais certain que son zob devait bander et lui faire mal tellement il était gonflé. Je suis allé jeter un petit coup d’œil et j’ai effectivement remarqué la grosse bosse de sa braguette, bosse que ma femme a certainement aussi bien observé.

Puis on s’est couché et j’ai fais ce qu’il fallait. Je me suis mis rapidement, à souffler fortement, comme si j’étais dans un sommeil profond. Je connaissais ma femme, et rapidement, vers 23h, nue sous sa chemise de nuit, elle s’est levée doucement et a rejoint le jeune dans sa chambrette. J’ai laissé faire environ un quart d’heure, puis je suis allé voir, tout doucement.
Ils étaient nus tous les deux et le jeune chevauchait déjà ma femme, couchée sur le lit. Je savais que ma femme était rapide mais la, elle a fait un record, elle doit être brulante de la chatte. Le jeune la besognait avec son zob que je voyais nettement par l’embrassure de la porte. Il entrait et sortait de sa chatte en cadence et ils essayaient de ne pas faire trop de bruit. Je suis resté un long moment jusqu’à ce que ma femme ait son premier orgasme qu’elle a difficilement étouffé. Puis, ils ont changé de position et ma femme, à genoux sur le lit, lui a offert son sexe et sa Terma par derrière.
Quant il s’est levé, j’ai vu son zob. Assez gros, épais et long pour son âge, il brillait et du sperme suintait de son gland. Donc, il avait déjà éjaculé dans ma femme, mais en silence avant qu’elle n’ait eu son orgasme. Il a du être excité juste après avoir pénétré ma femme et avait éjaculé , puis sans s’arrêter, il a continué à baiser la chatte de ma femme jusqu’à l’orgasme.
Maintenant, son zob s’enfonçait dans la Terma de ma femme avec la même vigueur qu’avant et elle gémissait plus fortement qu’auparavant. Je savais qu’elle goutait mieux les zobs dans sa Terma que dans sa chatte. Et au bout d’un long moment, le jeune a encore éjaculé mais cette fois avec quelques cris mal retenus mais bien distincts. Ma femme aussi, a exprimé ses jouissances assez bruyamment avant de s’effondrer sur le lit avec le jeune sur son dos.
Ils se sont reposés un moment, puis ils se sont désunis, alors je me suis éclipsé vers la chambre. Je les ai entendus aller et venir à la salle de bain et quelques minutes plus tard, ma femme a rejoint notre lit, bien rassasiée du zob africain, et en présence de son mari endormi.

Le matin, vers 8h, levé avant ma femme, je suis allé à la salle de bain puis rejoins la cuisine. Le jeune était déjà allé nous chercher notre petit déjeuner de la villa et il l’avait déposé sur la table de cuisine. Quelques instants après, ma femme, toujours en chemise de nuit, nous a rejoins pendant que le jeune lavait ma vaisselle.
Je suis retourné vers la chambre, mais avant, par intuition et expérience, j’ai jeté un coup d’œil dans la cuisine. Ma femme s’était collée au torse du jeune qui lui caressait la Terma et elle l’a embrassée avec fougue. Elle avait encore envie du zob africain. Alors, pour l’aider à satisfaire son désir si voyant, je me suis rapidement habillé et je suis sorti du studio en lui souhaitant, à haute voix, une bonne journée.
J’ai fais quelques pas vers la première hacienda, puis je suis revenu sur mes pas. Je me suis faufilé dans le studio avec précautions et j’ai rejoins la porte de la chambre. Effectivement, ma femme et le jeune africain, nus encore une fois, baisaient sur notre lit. Ils niquaient, cette fois, avec des gémissements sans retenue, surtout ma femme qui criait presque son plaisir et ses jouissances. Durant un moment, j’ai admiré leurs ébats sexuels dont j’ai été le provocateur, puis je me suis éclipsé doucement, en fermant bien la porte du studio.
Assis un peu plus loin de l’hacienda, j’ai attendu presque une heure, lorsque ma femme est sortie du studio, bien habillée et s’est dirigée vers les logements des domestiques pour les aider aux préparatifs. Encore quelques minutes, puis j’ai rejoins le studio. Le jeune, habillé, lavait la vaisselle et chantonnait tout doucement. Il a été un peu surpris et effrayé de ma présence mais je lui ai souri et il s’est calmé.
Je lui ai demandé s’il était content de la femme et il a baissé la tête. Puis j’ai insisté en élevant la voix, alors il a avoué qu’il était enchanté de cette belle blanche à la grande Terma et aux désirs insatiables. Je ne lui ai pas avoué que c’était ma femme mais expliqué que c’etait une amie que j’ai amenée avec moi du nord pour mon plaisir et qu’il doit rester discret sinon il aura affaire à moi et au maître des lieux.
Il m’a juré le silence et voulait continuer à la baiser chaque soir.
Je suis alors parti rejoindre les hommes de la famille pendant toute la journée. Et vers 20h j’ai rejoins le studio avant le diner car je voulais changer de vêtements. Le jeune était au studio et il arrangeait la literie de la chambre. Mais il l’avait déjà fait le matin, alors je lui ai demandé des explications. Il m’a avoué que vers 14h, la femme était revenue au studio et elle l’a obligé à baiser sa chatte et sa Terma deux fois chacune, jusqu’à 17h, puis elle s’est douchée et repartie.
Il était fatigué et il a d’abord nettoyé la salle de bain, puis le sol car ils ont baisé aussi sur le sol où il a déversé une partie de son sperme et maintenant il arrangeait la literie.
J’ai éclaté de rire en lui avouant qu’une femme, nettement plus âgée que lui, l’a épuisée de sexe. Il m’a dit que ce n’était pas une femme normale, mais certainement une chitana (génie féminin) sous une forme humaine car elle l’a vidée de ses couilles et de ses forces. Et il attendait la nuit avec appréhension. Alors je l’ai libéré pour aller se reposer au moins pendant les trois heures qui restent avant le retour de ma femme vers 23h ou plus. Et le soir, ce fut le même stratagème. Après notre diner et nos douches, on s’est rapidement couchés et j’ai fais semblant de m’assoupir assez vite. Alors, ma femme est allé rejoindre le jeune adolescent. Je les ai entendu baiser avec éclats de voix et parfois rires hystériques, surtout de ma femme. Puis, leurs cris de victoire ont envahi le studio lorsque le jeune éjaculait et lorsque ma femme avait ses orgasmes. Ils ont pourtant baisé tout l’après midi et à ce rythme, le jeune ne survivra pas. Il faut une autre solution.
Le lendemain, j’ai laissé ma femme partir, puis je suis allé voir le jeune. Il était vraiment épuisé et travaillait avec difficultés. Alors, je lui ai conseillé une autre solution. A mes questions, il m’a signalé que parmi les ouvriers, il a un oncle, âgé de quarante cinq ans environ et qui l’aimait bien. Je lui ai conseillé de le sonder s’il pouvait l’aider à baiser aussi cette femme, mais avec discrétion. Si c’était positif, ils devront le faire pendant la journée alors que je suis absent. Je trouverais un moyen pour demander à cet homme de venir, soi disant travailler au studio.
Et le soir même, avant le retour de ma femme, le jeune m’a apporté la réponse de l’oncle. Ce dernier était enchanté de son neveu et était prêt, dès demain, à satisfaire les besoins sexuels de la femme, en mon absence.
Alors, ayant convaincu mon cousin Si Mokhtar, de refaire la peinture d’une partie, assez terne, des murs extérieurs du studio, j’ai désigné l’oncle du jeune pour qu’il puisse travailler avec son jeune neveu. Et dès le lendemain, en mon absence et sous les instructions du jeune, son oncle a démarré la peinture. Et vers 14h, lorsque ma femme est revenue pour baiser avec le jeune, elle a trouvé dehors, juché sur l’échelle, cet homme, aussi africain, bien bâti et qui doit, certainement, avoir un zob de qualité. Et le jeune, m’a expliqué, plus tard, que la femme a rapidement aguiché son oncle et l’a délaissé pour lui. Elle a amené l’oncle dans la chambre et ils ont baisé jusqu’à 17h et n’ont été arrêtés que par le jeune neveu, sachant que j’allais revenir.
Le jeune m’a informé que son oncle a baisé quatre fois la femme dont deux par sa Terma. Il a pratiquement éjaculé au moins trois fois. Ils ont fait l’amour une fois dans la chambre, puis une autre fois dans la salle de bain, puis une fois encore par terre et même après leurs douches, ils ont baisé, debout, dans la cuisine avant que la femme ne parte. Le jeune m’a avoué qu’il a presque assisté à tous leurs ébats sans qu’ils soient gênés. Ils avaient oubliés sa présence.
Moi, je savais que ma femme sortirait vers 17h, alors je suis revenu à 16h30 et j’ai attendu du coté de l’hacienda, jusqu’au départ de ma femme, puis j’ai rejoins le studio. L’oncle travaillait comme si de rien n’était, sur la façade arrière et rien, dans on attitude, ne montrait sa fatigue malgré ce qu’il venait de faire avec ma femme.
Son neveu m’a lancé un coup d’œil et c’est après que j’ai libéré son oncle, pour le lendemain, que le jeune m’a raconté ce qui s’était passé. Il était content d’avoir été laissé tranquille par la femme. Mais, le soir, lorsque ma femme est revenu et qu’on a diné puis mis au lit et que j’ai joué la comédie de l’endormi que ma femme est allé rejoindre le jeune dans sa chambrette. Je vous disais qu’elle était insatiable et résistante au sexe.
Je les ai entendais mais j’ai bien fermé la porte de la chambre et rapidement je me suis réellement endormi. J’ai légèrement ressenti son retour dans notre lit, mais très vite je suis retombé dans les bras de Morphée. Le matin, ma femme était radieuse et épanouie. C’est toujours comme ça quant sa chatte et sa Terma ont été rassasiées.
Le matin, l’oncle peintre est venu au travail et ma femme est parti comme d’habitude. Et, vers 14h, alors que je faisais, discrètement, le gué pas très loi, je l’ai vu revenir au studio. Dès qu’elle est rentrée, l’oncle du jeune a cessé son travail et l’a rejointe à l’intérieur. J’ai attendu quelques instants, puis je suis rentré en faisant attention. J’ai trouvé le jeune dans la cuisine en train de faire du ménage et il m’a désigné la chambre. Je lui ai demandé d’aller ouvrir un peu la porte de la chambre et il l’a fait. Ils ne se sont pas occupés de lui, alors je me suis rapproché et j’ai jeté un coup d’œil.
Ma femme était couché sur le lit et l’homme était sur elle. Ils étaient nus et l’homme était magnifique. Je voyais son dos, son derrière et ses fesses ainsi que son zob qui allait et venait dans la chatte de ma femme. C’était un formidable spécimen d’africain et sa vue m’excitait moi-même. Il personnifiât le mâle en puissance et ma femme le sentait par ses gémissements et ses cris de jouissances. Il grognait avec bruit et ahanait ses coups de reins à chaque enfoncement de son immense zob dans la chatte. Je me sentais excité et même un peu trop, alors je me éloigné vers la cuisine. Je lui ai demandé de les surveiller quant ils finiront et après plus d’une demi heure de baises sauvages, où j’ai entendu par deux fois, les hurlements d’orgasmes de ma femme, l’homme a éjaculé, lui aussi, avec un hurlement presque animal.
Ensuite, ils se sont reposé quelques minutes sans quitter la chambre, le jeune continuait à les surveiller discrètement. S’ils devaient sortir il m’avertirait pour que je puisse quitter le studio. Mais les deux amants ont décidé de continuer sans quitter le lit. Le jeune m’a fait signe et je me sui encore rapproché de la porte. Cette fois, ma femme offrait sa Terma à l’homme. Il était à genoux sur le lit et elle aussi, le derrière bien dégagé et le cul ouvert pour le rut. Encore une fois, la vue du gros, large et immense zob de l’africain m’a donné des frissons de plaisir devant et derrière. Son zob était gonflé et pointait presque à la verticale. Qu’il était beau et dégageait une puissance qui vous attirait vers lui comme un aimant.
Puis, il se pencha et d’un coup violent, enfonça son zob dans la Terma de ma femme qui hurla de jouissances. Elle cria quelques chose que je n’ai pas compris mais l’homme a aussitôt démarré ses vas et viens en soufflant et grognant avec force. C’était tellement érotique et puissant que ma bite a bondi et s’est gonflée. Je me suis mis à me masturber devant cette porte et mon souffle s’accélérait. Le jeune m’a touché le bras et m’a fait signe de la tête de quitter mon observatoire car je ne me maitrisais plus.
Alors, suivant son conseil, je suis allé à la salle de bain ou j’ai accéléré ma masturbation en y ajoutant mon doigt dans ma Terma et l’effet a été rapide. J’ai éjaculé plusieurs jets et ça m’a calmé les nerfs. Je me suis nettoyé et j’ai quitté rapidement le studio. Assis au niveau de l’hacienda, discrètement, j’ai attendu jusqu’à ce que ma femme sorte. Elle est suivie de près par l’homme qui a ensuite repris son travail de peintre sur la façade. Alors, je les ai rejoins comme si de rien n’était.
J’ai fait remarqué à l’homme que son travail n’avançait pas bien et il était très gêné et, la tête baissée, il marmonna quelques excuses et explications embrouillées. Je voulais seulement le gêner, mais en le regardant, surtout au niveau de sa braguette, alors qu’il était juché sur l’échelle, je devinais son zob et immédiatement ça m’a chauffé les sens. Pour plus de précautions, j’ai préféré m’enfuir pour ne revenir qu’après le retour de ma femme vers 22 ou 23h.
La soirée et la nuit suivante ont été identiques à la veille et le jeune a eu sa part de la chatte et de la Terma de ma femme. Moi, j’ai préféré m’endormir, sans état d’âme car j’avais, au moins la tranquillité avec ma femme qui était redevenue joyeuse et heureuse.
Cela a duré pendant deux semaines durant lesquelles, l’homme a baisé ma femme chaque jour mais pas le jeune neveu que j’ai décidé de renvoyer après quatre jours. Il était vraiment malade donc je l’ai éloigné de ma femme. Mais, je lui ai demandé s’il avait un autre parent, jeune parmi les ouvriers pour, éventuellement le remplacer comme domestique. Effectivement, il avait un cousin africain, jeune et dynamique et il a chargé son oncle de le ramener dès le lendemain.
Ma femme et l’homme ayant continué à baiser chaque après midi au studio, ce que le nouveau jeune a vu rapidement. Alors ma femme, dès la première nuit, elle l’a rejoins dans la chambrette et l’a obligé à honorer sa chatte et sa Terma, après mon semblant de sommeil.
Il n’a fallu que quelques minutes pour que le nouveau jeune cède à ma femme et je suis allé les voir baiser dans la chambrette. C’était une copie de ce qui se passait avec l’autre jeune. Les premiers jours, je voyais que je jeune se dépensait à fond avec ma femme, en complément des ébats avec le peintre. Je croyais qu’il allait fléchir au bout de quatre ou cinq jours, mais il semble être nettement plus résistant et plus amoureux que le premier jeune.
Bien entendu, son cousin lui avait confié que ce n’était pas la femme du patron mais sa petite amie, sa pute quoi, et qu’il fallait rester discret. Il savait maintenant que j’étais au courant de ce qu’elle faisait avec lui après qu’elle me laissait endormi. Il avait aussi compris que je savais pour l’oncle, alors il a décidé de les joindre lorsqu’ils baisaient à 14h. Pendant que l’oncle ma femme branlait sa chatte sur le zob de l’homme allongé sur le lit, le jeune lui enfonçait son jeune zob dans la Terma. Ces doubles pénétrations enchantaient ma femme, je l’ai vu en les espionnant l’après midi avec la complicité du jeune.
Et effectivement, ces scènes érotiques me donnaient chaque fois envie de me branler. Et chaque après midi, je me faisais une bonne masturbation et j’éjaculais avec plaisir. Je contrôlais les sensations de ma bite et ceux que mon doigt dans le cul pour obtenir le maximum de jouissances dans l’éjaculation. Ainsi, chaque après midi, j’avais moi aussi ma part de plaisir sexuel. Et ça continuait ainsi durant toutes les journées de préparations du mariage.
Et puis un jour, il y a eu un problème. En plein après midi, alors que je venais de sortir, après éjaculation et que je m’installais plus loin en attendant la sortie de ma femme, une autre personne se présenta au studio et le jeune lui ouvrit la porte, croyant que c’était moi qui revenait. Hélas, c’était une des femmes de la famille, celle d’un de mes nombreux cousins. Une épouse d’une trentaine d’années que j’avais déjà vu et qui avait deux filles et un garçon. Je me suis précipité pour l’empêcher de rentrer au studio où ma femme continuait à baiser avec l’homme africain et le jeune, mais c’était trop tard, elle était rentré au studio, découvrant le jeune en petite tenue car il était seulement en slip.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!