Un Quartier Accueillant
Après avoir décroché mon 1ier job, jai vite décidé de quitter le nid et de me trouver un appart. Grâce au bouche à oreilles, jai eu la chance de trouver un petit appart au rez de chaussée dune grande maison, dans un quartier sympa. Javais même un petit coin de jardin et une terrasse. Le tout dans un petit village, à 15 min de la mer, de lEspagne, et de randos en montagnes que japprécie régulièrement. Le pied !
Quelques mois après mon emménagement, jai décidé dadopter un chien. Je le sortais matin et soir, la plupart du temps je prenais la voiture et lamenai promener dans des chemins de vignes. Mais une fois par semaine (le mardi) je commençais trop tôt le matin pour prendre le temps daller dans ces fameux chemins, et je le sortais du coup juste devant chez moi.
Cest comme ça quun matin à la fraîche (il ny avait quasiment pas de bruit dans le quartier), jentendis un bruit de pas rythmé. Une femme, la quarantaine, sortait de la rue adjacente à la mienne et partait visiblement pour le travail. Petit jean serré qui moulait une jolie paire de fesses, talons (bruyants mais sexy), un chemisier, un sac à main, et une grosse paire de lunettes.
Elle marchait dun pas déterminé, et ne ma pas jeté un regard. Je lai suivie des yeux (à peine réveillé, cette jolie paire de fesses ma mis de bonne humeur), et jai supposé quelle devait travailler non loin dici.
Le mardi suivant, je ne lai pas vue. Il ma fallu 2 ou 3 jeudis pour avoir le bon créneau horaire où elle passait : entre 7h30 et 7h40. Jai fini par la voir tous les mardis, et me voyant régulièrement elle me gratifiait dun bonjour ou dun signe de la tête. Chaque semaine je découvrais une nouvelle tenue, toujours sexy et classe.
Jai commencé à fantasmer sur elle et jai voulu en savoir plus : je lai croisée un midi devant la mairie ; elle sortait et jen ai déduit quelle y travaillait. En profitant dune promenade du chien dans le quartier jai trouvé où elle habitait : juste derrière chez moi.
Lété est arrivé, et le déclic est survenu un mardi matin : je sortais donc le chien devant chez moi, et guettait larrivée du fruit de mes fantasmes. 7h40, toujours personne
7h45, toujours rien
Je me résigne et me dit quelle a dû passer avant, ou quelle est en congés. De toutes façons je dois partir, ayant 20min de route pour aller au boulot je suis toujours un peu en retard le mardi, quand jattends de la voir. Au moment où je rentre dans la voiture, 7h50, jentends enfin son fameux pas rythmé. Je nouvre pas la portière de suite, puis la vois sortir de sa rue : une jupe mi-cuisses, et un débardeur rose. Elle est super sexy ce matin, et ma surprise doit se lire sur mon visage car je la vois faire un petit sourire et me faire un signe de la main, que je finis par lui rendre. Je ne la quitte pas des yeux, le rythme de ses pas, le balancer de ses fesses, tout semble ralentir. Si cest comme ça quelle shabille tout lété, je veux absolument aller la voir à la mairie !
Le lendemain matin, mercredi, je décide de sortir le chien plus tôt que prévu pour avoir le temps de me retrouver devant chez moi à 7h30. Jattendais avec impatience. 7h35, le bruit de ses pas me parvient enfin. Je suis de lautre côté de la rue où je me trouve habituellement, et je nai pas le chien avec moi. Je lentends arriver, étant après un virage je ne la vois pas encore. Quand elle arrive enfin à ma vue, je vois la surprise se lire sur son visage, mais je ne my attarde pas : elle porte une tenue tout aussi sexy que la veille. Jupe blanche volante, et un fin tshirt qui laisse deviner son soutien-gorge.
- Tiens, bonjour, dit-elle.
Elle ne devait pas penser quon se verrait, ne layant vue que les mardis matin jusque-là.
- Bonjour, répondis-je dans un grand sourire.
Elle a marqué un court arrêt, et va pour se remettre en marche. Je navais pas réfléchi à quoi lui dire ou lui demander pour engager la conversation, et ne trouvant rien dintelligent à dire je la laisse partir sans la quitter des yeux.
Le lundi suivant, je me réveille en retard. Javais fait une grosse soirée le dimanche soir, et jétais rentré tard. Je sors le chien en vitesse après la douche, et je croise Mme Jolies-fesses (cest sous ce surnom que je lavais décrite à mes potes la veille :p). Je la vois de lautre côté de la rue. Elle me fait un petit signe de la main. Elle porte une jupe volante, comme la dernière fois, et un t-shirt échancré qui révèle la naissance de ses seins. Je traverse la rue, et sans réfléchir je lui fais la bise (jétais dans un état de fatigue tel que je ne réfléchissais pas vraiment). Elle sen rend compte et je suppose après coup quelle a mis mon comportement bizarre sur la fatigue plus quautre chose.
- Ça va, me demande-t-elle.
- Oui, un peu fatigué, et vous ?
Elle plisse le nez, et me dit :
- Il faut être raisonnable quand on fait la fête et quon travaille le lendemain !
- Oh oui
jessayerai de men rappeler la prochaine fois.
Elle rigole doucement, dun petit rire cristallin. Je la détaille un peu plus, ce matin elle ne porte pas ses habituelles lunettes de soleil, et je découvre un visage vraiment doux. Un teint ensoleillé, un visage harmonieux et une attitude chaleureuse.
- Bon courage pour cette journée alors, me dit-elle en reprenant son chemin.
- Merci, à vous aussi ; cest tout ce que jai trouvé à répondre alors quelle partait.
Faisant un rapide bilan, jétais assez satisfait : jai pris contact et jai même eu laudace, sans réellement le préméditer, de lui claquer la bise. Jespère en apprendre un peu plus dans la semaine. Je décide donc le lendemain matin de la re-croiser. Quand je la vois arriver, je traverse la rue de suite. Elle lève les yeux et sourit en me voyant arriver. Je lui fais la bise et elle me dit :
- Décidément, tu es là de plus en plus souvent ! Je ne te voyais pas tous les jours avant !
- Cest pour profiter de la fraîcheur du matin, éludais-je.
Elle fait une moue et paraît peu convaincue par mon argument.
- Et cest toujours agréable de vous voir de bon matin avant daller au boulot.
Elle paraît surprise :
- Ah bon ? Comment ça ?
Je ne sais pas si elle va apprécier, mais bon, je tente le coup quand même :
- Voir une si jolie femme, si bien habillée, ça me met de bonne humeur avant daller travailler !
- Vraiment ? dit-elle. Et tu nas pas dautres femmes à voir ?
- Si bien sûr, mais pas aussi classe ou aussi sexy.
Elle plisse une nouvelle fois du nez, comme pour essayer de détecter un mensonge, puis sourit et me remercie du compliment. Elle repart travailler en me disant quelle est heureuse de me motiver à travailler. Je repense toute la journée à notre discussion matinale, et suis pressé de la rencontre du lendemain.
Tellement pressé dailleurs, que le lendemain je suis en avance, dehors, à la guetter. Et ça tombe bien, elle aussi à un peu davance. Je la reconnais à son rythme de pas, mais quand je la vois jai un énorme doute : sa tenue était si sexy que je nétais pas sûr que cétait elle. Mini-jupe, talons haut, un petit chemisier, et son balancer toujours aussi sexy. Je traverse la rue et quand elle est suffisamment proche je reconnais son visage. On se fait la bise et je ne peux mempêcher de lui dire :
- He beh ! Quelle tenue ! Vous êtes ravissante !
Elle sourit et me rétorque :
- Cétait pour être sûre que tu passes une bonne journée.
Je suis tellement abasourdi par sa tenue que mon cerveau nest plus aussi bien irrigué.
- Ça risque de la compliquer en fait !
- Ah bon, tu napprécies pas ? Jaurai dû rester en jean alors
minaude-t-elle.
- Non non, bien sûr que japprécie, mais cest vraiment
ouf
!
Les mots me manquent et elle se rend compte de leffet quelle me fait. Elle sapproche alors de moi, glisse sa main sur ma nuque et me fait une bise à la commissure des lèvres en me disant :
- Je suis satisfaite de mon effet alors, je vois que tu apprécies.
Ma main se pose naturellement sur sa hanche à ce moment-là, et je la vois reprendre son chemin. Jai une érection incontrôlable mais je suis scotché par cette femme. Alors que je la suis du regard, elle prend son sac à mains, et sen sert pour cacher ses fesses. Elle se tourne vers moi et me fais un clin dil en me tirant la langue. Pris en flagrant de mattage, mais elle a le sens de lhumour il faut croire.
Le même jour à midi, je décide exceptionnellement de rentrer chez moi. Je passe devant la mairie à lheure où je suppose que Mme Jolies-fesses sort. Et je ne me trompe pas, je marrête à son niveau et ouvre la fenêtre.
- Je vous ramène, lui proposais-je.
Il ny a même pas 5 minutes de marche, mais elle accepte. Lorsquelle monte dans la voiture je guette le moindre de ses gestes. Ses jambes nues sont magnifiques. Elle sassied et me remercie.
- Avec cette chaleur cest un calvaire de marcher, dit-elle.
- Oui cest clair, jai limpression que mon jean pèse une tonne et me colle à la peau, cest désagréable.
- Ho oui je ne pourrai pas porter de jean en cette période ! sexclame-t-elle.
- Et cest tant mieux, fis-je sans réfléchir.
Elle me regarde alors un peu surprise, et je me sens rougir. Elle sesclaffe alors et me dit :
- Il faut que je trouve une tenue aussi affriolante pour demain jen conclus !
Je ne réponds pas de suite et la regarde du coin des yeux. Elle est souriante et ne semble pas effarouchée.
- Au moins oui ! dis-je alors avec un air de défi.
Elle ne dit rien, mais opine du chef alors quon arrive devant sa rue.
Je la laisse descendre et la regarde partir pour chez elle. Il me tarde de voir ce quelle portera demain. Je la regarde partir avec sa démarche si féminine et son balancer sexy.
Le lendemain matin, je suis devant sa rue à 7h20. Jattends à peine 2 minutes et je la vois arriver. De loin je suis un peu déçu, on dirait la même tenue que la veille. En même temps cest super sexy et il faudrait être indécente pour faire mieux !
Elle sapproche de moi, et me fait la bise.
- Alors, ma tenue te motive aujourdhui jespère !
Je la détaille et je vois que son t-shirt est plus lâche que la veille.
- Vous êtes ravissante, lui dis-je.
Elle plisse du nez. Je comprends que ce nest pas ce quelle attendait comme remarque. Devant mon air interloqué elle me dit :
- La jupe est la même quhier.
- Oui javais remarqué, elle est tellement sexy que je lai vu du premier coup dil.
- Mais tout le reste est différent, dit-elle avec un air mutin.
- Oui, je vois, fis-je avec un sourire, sans comprendre où elle voulait en venir.
- Par exemple, commence-t-elle, mon t-shirt. Il est joli non ?
Je regarde le fameux t-shirt, il présente des motifs fleuris.
- Oui
Alors que je cherchais quoi répondre, elle le plaque alors contre son corps en tirant sur les côtés dans son dos. Le t-shirt moule alors parfaite sa poitrine et son ventre.
- Il est sûrement plus joli comme ça, dit-elle.
Dans cette position, je vois quelle ne porte pas de soutif. Le t-shirt épouse parfaitement son ventre plat, et sa poitrine semble complètement visible. Ses tétons pointent légèrement. Ses seins semblent tout à fait exquis, un bonnet b jaurai dit si je devais my risquer. Je suis incapable de dire quoi que ce soit. Elle relâche alors son t-shirt et sapproche de mon oreille pour me dire :
- Il ny a pas que mon soutien-gorge que jai oublié
Ma main se pose une nouvelle fois sur sa hanche alors quelle me fait une bise à la commissure de mes lèvres encore une fois. Au moment où elle va pour partir, je la retiens et ma main se glisse vers le bas de sa jupe. Elle me regarde alors dun air fier et limite arrogant. Elle prend mon poignet dans sa main et me dit :
- Tu comptes vérifier ici ?
Devant mon manque déloquence, elle regarde alors autour de nous. Nous sommes au milieu dun carrefour, avec plusieurs fenêtres ouvertes. Ma main se glisse sous sa jupe, elle narrive pas à me retenir. Elle recule alors pour sadosser à un mur.
- Attends, chuchote-t-elle. Doucement, je nai pas envie quon nous voit ainsi.
Jarrive à lui palper une fesse, nue, mais la raison et sa soudaine peur me font reprendre mes esprits.
- Désolé, fis-je.
- Cest pas grave, cétait bien le but recherché, dit-elle. Mais je ne te pensais pas si téméraire.
Je bandais dur, et elle a dû sen rendre compte à ce moment-là ; elle a posé sa main sur mon sexe à travers mon jean. Elle la massé doucement quelques secondes et ma dit :
- Il faut vraiment que jaille au travail maintenant, mais je suis contente de voir que je texcite à ce point.
Excité, je létais, et javais tellement envie delle que jen voulais plus.
- Vous navez vraiment rien dessous, lui demandais-je alors, toujours abasourdi.
Elle jeta alors un rapide coup dil autour de nous, puis retroussa sa jupe en se dandinant. Javais le cur au bord des yeux. Jai alors découvert petit à petit ses magnifiques cuisses, jusquà son sexe parfaitement lisse.
- Je suis folle de faire ça, sest-elle alors exclamée en rajustant sa jupe. Mais quest-ce que tu me fais faire !
Je la regardais alors remettre sa jupe daplomb. Une fois finie, elle me fit un smack et me dit « à demain » avant de reprendre son chemin.
Autant dire que je nai pas été productif de toute la journée. Je nattendais quune chose, la rencontre du lendemain matin. Le soir je suis allé promener le chien et suis passé devant chez elle ; jai essayé de distinguer quelque chose par la porte-fenêtre à létage, qui donnait - je supposais - sur sa chambre, mais en vain.
Le lendemain, pressé de la voir, je suis à 7h20 au coin de la rue. Jattends, impatient. 7h40 je métonne de ne pas lavoir vue. 7h50, toujours personne. Je suis obligé de partir, étant déjà en retard. Je suis déçu mais je me fais une raison ; je suis sûrement allé trop loin la veille, elle a pris peur. Elle est mariée et on ne se connait pas finalement.
Le week-end arrive, et en revenant dune baignade improvisée, je la croise avec son mari. Je la vois sempourprer quand elle me reconnait, gênée ou inquiète de ce quil pourrait se passer. Je dis bonjour comme on dirait bonjour à des voisins et continue mon chemin. Je ne peux pas mempêcher par contre de me retourner sur son passage : elle porte un joli short rose qui une fois encore met son joli fessier en valeur.
La semaine passe sans que je la croise ; elle va travailler en voiture (vu le peu de chemin quil y a de chez elle à son boulot cest vraiment pour méviter). Je me fais une raison et décide de me faire discret. La semaine daprès je la recroise le jeudi jai appris plus tard que son gamin avait besoin de la voiture et que son mari avait pris leur seconde voiture. Ne sachant comment réagir je reste de lautre côté de la rue. Elle me fait un timide signe de la main et continue son chemin. Je ne la quitte pas des yeux, elle porte un pantalon fin couleur crème avec un débardeur rouge ; son pantalon nest pas spécialement moulant, mais il lui moule suffisamment le cul pour que jen apprécie la vue de lautre côté de la rue.
Alors quelle va quitter mon champ de vision, je la vois secouer la tête et se retourner. Elle traverse la rue et viens à ma rencontre.
- Bonjour, lui dis-je, heureux de sa réaction.
Elle porte ses grosses lunettes de soleil, je ne vois pas ses yeux et du coup je ne sais pas dans quel état desprit elle est.
- Bonjour ; merci dêtre resté distant et discret quand on sest croisé dimanche.
- Bah, cest normal, jai aucune envie de vous faire des histoires
- Jai pris peur avec ce qui sest passé. Tu sais notre petit jeu de séduction me plaît beaucoup, mais quand jai réalisé que cétait plus quun « petit » jeu, jai eu peur que ça impacte trop ma vie de famille.
- Pas de soucis, je comprends.
Je la vois sourire et elle lève ses lunettes dans ses cheveux.
- Je pense que je peux te faire confiance.
Elle fait un tour sur elle-même et me demande :
- Ten penses quoi aujourdhui ? Cest moins sexy que la dernière fois
- Moins provoquant, mais cest toujours sexy.
Elle sapproche de moi et me fait un petit smack. Ma main se pose sur sa hanche et ma bouche sur son cou. Je hume son parfum au passage et ma main descend sur sa fesse que je prends à pleine main. Je lentends soupirer et quand je relève la tête, elle membrasse à pleine bouche.
- Tu viens me chercher à midi, me dit-elle.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!